Elle se leva, arriva à ma hauteur et déboutonna son jean pour le faire descendre jusqu’à mi-cuisses.
Elle dévoilait un tanga en coton, rouge, qu’elle poussa un peu plus bas également.
Je comptais en profiter pour bien la mater, jusqu’à ce que je me rende compte… qu’elle avait une queue !
Suce-moi.
Mais… mais t’es un mec !
La surprise était totale.
Derrière cette beauté se cachait une bite.
Non, je suis bien plus que ça, le meilleur des deux mondes, chéri.
J’étais resté coincé devant Alyssa, qui elle se rapprochait tout doucement de moi.
Qu’est-ce que tu attends ?
Je reculai de quelques centimètres et mes jambes touchaient déjà le fauteuil, j’avais l’impression d’être pris au piège.
Je ne suis pas gay, j’aime les femmes !
Parce que tu crois que je ne ressemble pas à une femme ?
Elle retira son t-shirt tout en me répondant, laissant apparaître une bralette, transparente, cachant à moitié une belle paire de seins, bien fermes, et des abdos en acier trempé.
Tu n’aimes pas, mais tu me mates bien pourtant ?
Elle me poussa d’un coup dans le fauteuil et se rapprocha encore et encore.
En grimpant à genoux sur les 2 accoudoirs, son entrejambe paradait devant mon visage.
Approche-toi.
Sans comprendre pourquoi, je l’écoutais et rapprochais mon visage de son pubis totalement épilé.
Machinalement, je donnai un coup de langue sur le petit-être endormi en face de moi.
L’effet fut rapide, il se déroulait et se gorgeait de sang afin de grandir de plus en plus.
Avec sa main droite, elle commença à se masturber et en moins de 30 secondes, son petit oiseau à elle atteignait une taille plus que respectable, un bon 15-16 centimètres sans être totalement dur.
A toi de jouer maintenant.
Elle attrapa délicatement mes cheveux et me rapprocha.
J’ouvris la bouche et gobai le membre, pas entier, mais le gland puis une partie de sa bite.
C’était chaud, doux, sans aucun poil apparent.
J’ai voulu imiter ce que je voyais dans les pornos et tenta un va-et-vient.
Sa queue vibrait dans ma bouche, sans doute du plaisir ?
Je m’y prenais comme j’y pouvais, mais après quelques instants, elle avait encore grossi, arrivant à une taille maximale dans les 18 à 20 centimètres, je ne saurai trop le dire.
Elle m’attrapa une main et me plaça sur sa bite, pour ajouter une branlette manuelle à la pipe que je lui octroyais.
En quelques minutes, j’avais ma main et ma bouche sur un pénis, ce qui n’était pas prévu ce soir, loin de là.
En continuant, la bite gonflait et vibrait de plus en plus.
Elle se décala en arrière en sortant sa queue de ma bouche et se branla elle-même, d’une manière très rapide.
Aaaah.
Un jet chaud et puissant s’écrasa sur mon t-shirt, suivi de plusieurs autres, moins forts, mais nombreux.
Ça faisait longtemps, ça fait un bien fou !
Mon t-shirt avait recueilli nos 2 spermes, je puais le sexe et je me sentais littéralement souillé.
Tu peux aller te changer maintenant, c’est tout pour ce soir.
Ces conneries m’avaient épuisé, je remontai rapidement, me changeai et filai au lit directement, le sommeil n’avait pas été difficile à trouver.
Le lendemain, je me réveillai à plus de 10h du matin, les yeux encore fatigués par cette longue nuit.
C’est l’heure de se lever, petit-déjeuner en bas !
Les parents étaient là, ce qui voulait dire qu’Alyssa, elle, était rentrée.
A table, la question fatidique arriva très vite.
Alors cette nounou ? C’était comment ?
Top.
Très sympa, elle nous a raconté sa vie, mais nous ne sommes pas restés très tard, nous étions crevés, ajouta Claire.
Et toi alors ?
J’étais encore en train de repenser à ce qui s’était passé la veille, que je nageais encore dans mes pensées.
« Il est amoureux de la nounou c’est sûr, blagua mon frère, tout le monde rigolait en me voyant rougir.
S’ils savaient…
—
C’est presque 1 mois plus tard que mes parents repartirent cette fois-ci en week-end et afin d’anticiper une éventuelle soirée arrosée à la maison, embauchèrent de nouveau Alyssa.
Avec ces quelques semaines qui étaient passées, je l’avais presque sorti de ma tête, mais son retour raviva en moi cette fameuse soirée.
Le vendredi soir arriva et Alyssa arriva également.
Débardeur noir style « rock’n’roll «, short en jean, boots noires, elle était là avec un autre style qui lui allait tout aussi bien.
Je vaquais à mes occupations toute la soirée, davantage pour l’éviter que pour faire mes devoirs si tôt dans le week-end.
23h45, il était temps de filer en douce.
Du haut de l’escalier, je gueulais « Bonne nuit tout le monde ! » et je filai dans ma chambre.
Mission accomplie, j’avais pu me tenir éloigné d’Alyssa toute la soirée.
Je m’endormais serein.
3 ou 4 heures plus tard, en pleine nuit, je sentis ma couverture se lever, puis des pieds froids se coller au mien.
Est-ce que je rêvais ?
C’est au moment où des doigts vinrent à la rencontre de mon caleçon que je me rendis compte que non, ce n’était pas un rêve.
Alyssa s’était faufilée dans ma chambre et dans mon lit, presque collée à moi.
Aussitôt la main dans la zone sensible que mon pénis s’excitait. J’essayais de bouger, mais à peine 1 centimètre en arrière que je touchais Alyssa.
Je sentais ses tétons dans mon dos, elle était nue ? Je n’osais même pas me retourner.
Elle passa sous le caleçon et commença à me branler, tout doucement.
Sa main douce, cette lenteur, le souffle de sa respiration dans mon cou, la scène était terriblement torride pour moi.
Elle me chuchota à l’oreille : « Vas-y, prends du plaisir »
J’étais encore plus à fond, le plaisir montait si vite qu’il a fallu que je me retienne sinon tout allait finir dans les prochaines secondes.
Sa main abandonna ma bite pour descendre sur mes boules.
A ma surprise, elle ne s’arrêta pas là et passa délicatement sur mon anus.
Tu sais ce que je veux ?
