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Avec un escort boy – Chapitre 5




Avec un Escort boy (5)

Le lendemain nous avions escale à Corfou. Klaus et moi avions choisi de faire une excursion en taxi jusquà une plage sauvage signalée sur nos guides. Mais au dernier moment son client de la veille, prénommé Daniel, a tenu à se joindre à nous. Je pris place à côté du chauffeur, un jeune grec plutôt beau gosse, vêtu dun polo et dun bermuda, alors que Klaus et son client sinstallaient à larrière. Jétais troublé car le matin au petit déjeuner mon Escort mavait dit que ce mec aimerait bien me connaître.

En route, jai parlé avec le chauffeur qui sexprimait un peu en français et me semblait très sympathique, tout en surveillant dans le rétroviseur mes deux compagnons, serrés lun contre lautre. Parvenus à la plage indiquée, petite, enserrée entre des rochers et ombragée de pins, mais déserte, Klaus, Daniel et moi nous sommes déshabillés, ne gardant que nos boxers de bain. Très brun, très viril, serré dans son maillot de bain jaune, Daniel me faisait de leffet. Nous sommes allés à leau et avons commencé à nager. Un moment, jai vu Daniel se rapprocher de moi, plonger entre mes jambes, puis se coller à mes fesses. Je me suis mis à bander comme un cheval, tout en me dégageant de son étreinte. Il a alors plongé, ma agrippé le slip et me la abaissé jusquaux genoux, mentravant ainsi et a commencé une fellation sous leau. Lorsquil est monté respirer, il ma embrassé à pleine bouche, tout en branlant ma verge tendue. Klaus nous avait rejoint et me caressait les fesses. Pris entre les deux mecs et comprenant quils étaient de mèche, je me suis laissé aller. Après tout cétait plutôt agréable et je sentais le désir monter en moi.

Cest alors que nous avons aperçu le chauffeur du taxi sur la plage, entièrement nu, savançant vers la mer. Un Dieu grec ! Apollon en personne ! Epaules larges, hanches étroites, jambes musclées, sexe se balançant sous sa touffe de poils noirs, cétait un corps de rêve, intégralement bronzé, qui se présentait devant nous sans aucune pudeur. Voulant remonter mon boxer, je découvris que je lavais perdu. Il avait du glisser de mes jambes pendant que je contemplais le grec. Le rouge me monta au visage.

Le chauffeur nous rejoignit en quelques brasses et nous avons chahuté comme des gosses dans leau claire et transparente. Gêné par ma nudité, jessayais de me tenir à lécart, mais Klaus et Daniel me ramenaient toujours vers le Grec et me flattaient ostensiblement le cul et la bite. Je commençais à bander et cela se voyait malgré le voile de leau de mer. Furieux, je me dégageais et nageais vers la plage, suivi peu après par mes compagnons. Le Grec sortit le premier de londe, ruisselant, la verge semi dressée, suivi par Klaus et Daniel. Toute honte bue, je quittais enfin labri de la mer et à petits pas allait vers le groupe. Klaus et Daniel sétaient étendus sur le sable, lun à côté de lautre, et commençaient à se mettre de lambre solaire, alors que notre chauffeur demeurait debout, regardant la mer, les mains sur les hanches, la poitrine gonflée, la tête levée, le sexe en évidence. Je ne pouvais détacher mes yeux de cet organe viril, bien proportionné, sombre et poilu et je recommençais à bander, sans pouvoir me retenir.

Comprenant mon désir, le Grec sest approché de moi tout doucement, ma pris la main droite et la posée sur son vit encore mou, mais bien chaud et si doux. Bravant mes inhibitions, je caressais lentement cette barre de chair, animée de soubresauts et qui se tendait rapidement pour se dresser, triomphante, vers le ciel. Je dégageais son prépuce, faisant apparaître un gland tout rose, en forme de cône. Me prenant par les épaules, le grec mentraîna vers les pins, sans plus nous occuper des deux autres qui étaient en train de retirer leurs boxers et de se palucher.

A lombre dun grand pin, je me suis allongé sur le sable et le Grec est venu sétendre sur moi, jambes de part et dautre des miennes, verges dure, contre verge dure, ventre contre ventre et à commencé à membrasser à pleine bouche en me parlant à loreille dans sa langue. Je ny comprenais rien et je men foutais. Je voulais juste baiser avec ce mec, là tout de suite, en plein air, sur cette plage encore déserte mais où à tout moment pouvaient survenir dautres gens. Prenant linitiative, mon Apollon se plaça en 69 et se mit à gober mon gland, dégageant le prépuce, léchant le méat avec une science étonnante. Une onde de jouissance, partie de mon sexe, remonta dans tout mon corps. Ny tenant plus, je pris à mon tour sa verge en bouche, respirant son odeur virile, goûtant son suc salé. Je sentis que le Grec, explorait ma raie de ses doigts et tentait de forcer mon illet. Je me laissais faire, écartant les jambes pour quil accède plus facilement à mon intimité.

Alors que nous allions jouir, mon partenaire se releva, me retourna sur le ventre, me redressa le cul et, accroupi derrière moi, posa son gland sur ma corolle plissée et doucement força le passage, puis me pénétra entièrement. Maintenant habitué à la sodomisation, je néprouvais sur le moment quune légère douleur, vite passée. Je sentais sa pine, longue et fine, explorer mes viscères et je serrai les fesses pour mieux la sentir coulisser en moi. A cet instant je vis Daniel, sappuyer des deux bras sur le tronc du pin qui nous abritait du soleil et Klaus le pénétrer dun coup sec, collé à son corps. Nos deux amants sactivaient, soufflant et suant. Hors de moi, je tremblais de tout mon corps, la bite tendue comme une barre dacier, écrasée dans le sable, le cul en feu et jai jouis dans un hurlement, arrosant le sable de ma sève alors que le Grec se vidait en moi dans un dernier soubresaut. Klaus et Daniel ont joui à leur tour, peu après, en feulant.

Le Grec venait à peine de débander et dabandonner mon cul que je sentis un autre corps se coucher sur moi. Me retournant, je vis que cétait Daniel. Son sexe était bien raide, épais, le méat suintant. Profitant de mon trou bien ouvert et gluant du sperme de mon précédent amant, il me pénétra dun seul coup de son vit dressé. Sans attendre, il commença à me ramoner avec force, ses couilles heurtant mes fesses, son gland cognant sur ma prostate, sa verge frottant mes parois internes. Soudain je sentis un poids supplémentaires, mécrasant dans le sable. Klaus, appuyé du dos au tronc du pin, détendu, le sexe au repos, me regardait, comme amusé. Je compris que cétait le Grec qui venait empaler Daniel, profitant de son cul offert et déjà préparé plus tôt par mon Escort. Après quelques mouvements saccadés, Daniel et le Grec prirent le même rythme rapide. Une fois de plus jéjaculais dans le sable déjà trempé, alors que Daniel minondait de son sperme dans un halètement de bête. Il restait en moi un long moment, alors que le Grec, se relevant, venait tourner autour de Klaus dont la verge se redressait à sa vue. En véritable pute, mon Escort sest retourné, présentant ses fesses au chauffeur, les écartant même de ses deux mains. Le Grec, toujours bandant, na pas hésité et avec une vigueur intacte a sodomisé Klaus. Je voyais son petit cul en action devant moi et je sentais ma pine reprendre des forces à cette vue. Mais Daniel se retirait enfin et se relevait. Libérer de son poids, je me redressais sur les coudes, pour contempler mon Grec possédant mon Escort.

Nous sommes ensuite tous retournés à leau pour nous rafraîchir et nous nettoyer, puis nous nous sommes rhabillés et notre chauffeur, tout sourires, nous a ramenés, épuisés, au paquebot. Daniel la payé et lui a laissé un gros pourboire et nous sommes remontés à bord en lui faisant de grands signes dadieu.

Arrivés à notre cabine, Klaus a sorti de sa poche un billet de 500 que lui avait donné Daniel pour notre prestation, mavouant quil sétait entendu avec son client qui voulait aussi baiser avec moi, car il aimait bien les hommes mûrs. Ainsi, sans le savoir, moi un père de famille, javais offert mon cul à un mec contre de largent. Jétais devenu un prostitué et jy avais pris beaucoup de plaisir. Décidément mon Escort boy était un sacré vicieux sous ses dehors de gendre idéal et jallais devoir me méfier à lavenir, car je nentendais pas me laisser maquer par lui ou un autre, mais au contraire lui rappeler que cétait moi qui le payais pour jouir de son corps, de son expérience, de sa vigueur et de sa semence.

Après avoir partagé cet argent, nous nous sommes changés pour aller déjeuner. En nous rendant à la salle à manger, je suivais mon bel amant blond et je réfléchissais à la manière de reprendre les choses en main, avant la fin de la croisière, dans deux jours.

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