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Comment je suis devenue une chienne. – Chapitre 1




Mon oncle m’a toujours considéré comme étant une petite pédale car je me suis toujours laissé faire sans rien dire et cela depuis des années. Il a 45 ans, divorcé, j’en ai 20. Je vais chez lui tous les samedis après midi pour me faire prendre et j’adore ça. Je suis sa salope bien passive et dernièrement il s’est mit en tête de m’offrir à son voisin. J’ai accepté sans savoir que cet homme était âgé de + de 60 ans, très pervers et très autoritaire ! Je n’allais pas tarder à le savoir.

    En arrivant comme d’habitude chez mon oncle celui-ci fit les présentations :

« – René voici mon neveu. Il est obéissant et tu peux t’en servir comme tu veux, c’est déjà une belle salope. »

    J’étais un peu surpris de la présentation et aussi par l’âge avancé du monsieur surtout qu’il enchaina de suite ;

« – Parfait ! Viens ici, déshabille-toi et commence par me faire une pipe, ton oncle va nous regarder pour commencer. »

    J’ai fais un effort pour accepter l’invitation et je me suis agenouillé. Pendant que je me déshabillais l’homme a sortit son sexe de son pantalon et mon oncle est allé chercher un appareil photo. En pompant je me disais qu’en effet il fallait vraiment être une salope pour sucer un inconnu ayant 40 ans, au bas mot, de plus que moi ! Mais il avait une belle queue donc je me suis appliqué. Je voyais des flashs crépiter et je commençais à être excité par l’effet de voyeurisme de mon oncle. J’ai attrapé une érection de mon sexe imberbe. René semblait satisfait et le fit savoir :

« – Ton oncle a raison, tu suces comme une vraie salope. J’adore les pédales de ton âge ! Relève-toi je vais m’occuper de ton cul et voir tes capacités de dilatation. J’aime les femelles quand elles sont larges du cul. Poses tes mains sur la table salope. »

    Des caresses et des claques sur mes fesses sont tombées avant de me faire introduire quelques doigts. Son autre main est venue m’attraper la nuque pour coucher mon torse sur la table. René s’excita :

« – Regarde-moi cette petite pute, elle couine comme une chienne et je viens juste de commencer. Je crois que ton neveu en attend plus. Je vais la fister, prépare ton appareil ! »

    J’ai senti une poussée plus forte que les autres et sa main est entrée entièrement jusqu’au poignet. J’ai lâché un cri de douleur mélangé de bonheur. C’était la première fois qu’on me faisait ça et c’était trop bon de se faire éclater la rondelle. Mon oncle se mit en face de moi pour me prendre en photo de gros plan, je regardais l’objectif en grimaçant de plaisir. J’étais aux anges et ce n’était pas fini. Mon oncle ni tenant plus, ouvrit sa braguette et me planta sa queue dans ma bouche. Je l’ai attrapé avec la même envie qu’un homme aurait fait s’il mourrait de soif avec une bouteille d’eau et j’ai pompé comme jamais. René m’encourageait :

« – Vas y pédé, suce ton oncle ! Fait nous voir que t’es une bonne chienne ! T’aimes ça pédé ? »

    Il avait raison, j’étais devenue une chienne et j’avais bien l’intention de continuer. Des claques tombaient sur mes fesses contribuant à mon excitation. René appuyait sur ma tête pour que j’avale le sexe en entier, des larmes me venaient aux yeux, mon oncle m’attrapa par les cheveux et me gava comme une oie. Je ne savais plus ce que je faisais, j’étais sur une autre planète, j’aurais voulu que cet instant soit sans fin, mais ils s’arrêtèrent. C’est au tour de René de m’attraper par les cheveux et m’emmena dans le jardin pour me jeter sur la pelouse sans ménagements.

« – Viens là petite pute, je vais te baptiser. A genoux ! Assis-toi sur tes talons ! Mets tes mains dans le dos, penche ta tête légèrement en arrière et ouvre la bouche. Je vais montrer à ton oncle comment on utilise une chienne! »

    Sans hésiter une seule seconde, il m’urina dessus et invita mon oncle à faire la même chose. Je touchais le fond. Je n’avais jamais été humilié de la sorte pourtant je me suis laissé faire une fois de plus. Mon oncle immortalisa l’instant de son appareil photo. La bouche pleine d’urine je regardais l’objectif prouvant ma soumission totale. Viens ensuite la récompense. Deux bonnes pipes bien baveuses et fournies en jus. Une par une je les ai vidé de leur contenu sans en perdre une goute. J’ai tout avalé !

    René me remercia à sa façon :

« – T’es un bon vide couilles gamin. Ne change rien et la semaine prochaine on remet ça ! »

    Je suis allé prendre une douche, j’étais crevé par les événements et je suis rentré chez mes parents comme si de rien n’était arrivé. Je venais de vivre un samedi exceptionnelle, je venais de découvrir que j’étais, en fait, qu’une chienne !

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