Voilà, je me suis un peu dévoilée, mais me voilà revenue dans ce gymnase, dans une tenue que je ne veux pas porter pour rentrer chez moi, et je vais devoir mexpliquer.
Fredo :
-Violaine ? Mais pourquoi es-tu encore là ?
-Je suis venue me changer, je ne veux pas rentrer comme ça, Danny ne comprendrait pas, il ne sait rien.
-Mais quest-ce que tu me chantes, depuis des années tu participes à mes soirées, tu viens dans ce club dans des tenues qui font bander tous les mecs, tu te laisses toujours faire par ceux qui sapprochent, depuis que je te connais je tai vu faire toutes sortes de choses, et tu me dis que ton mari ne sais rien !
-Cest ça.
-Tu plaisantes ? Et quand tu rentres tard après nos soirées, il ne te pose pas de questions ?
-Non, je lui dis que jai beaucoup de travail et parfois nous faisons lamour.
-Dans létat ou tu rentres après ces soirées tu arrives encore à faire lamour avec lui et il ne saperçoit de rien ? Et toi tu trouves encore de la force ? Et ça depuis tant dannées ?
-Oui.
-Mais Violaine, ça me parait impossible, quand tu pars dici, je me demande à chaque fois comment tu arrives à marcher. Et quand tu as des marques, il ne voit rien ?
-Tu me connais, jai toujours assez de force pour faire lamour. Pour les marques, il naime pas faire ça avec la lumière, et sil en voit, je lui dis que cest en pratiquant des sports de combats. De toutes façons, on ne se touche quasiment plus depuis des années. Sa famille sait que je ne suis pas pudique et que jaime les tenues provocantes, ma belle-mère me le reproche chaque fois, et mon beau père et mon beau-frère profitent du spectacle depuis toujours, et même plus, mais ils ne savent pas tout, quoique
-Mmmm ! Si cest ça ta vie, elle doit être bien ennuyeuse. Quest-ce tu veux dire par « et même plus » ?
-Oh! Il y a des années de ça, je travaillais au magasin, jétais enceinte de mon fils, javais mis une de ces jupes si courtes dont jai le secret, de celles que jévite en famille. Je ne sais plus pourquoi mon beau-père est passé, mais il a directement mis sa main entre mes jambes en me disant bonjour et en me demandant si cétait une habitude de montrer ma chatte. Je lai laissé faire, comme les autres hommes.
Il navait pas fini de me dire bonjour que ses doigts étaient déjà entrés en moi, et quelques minutes plus tard, javalais son sperme.
Le lendemain, jai vu arriver mon beau-frère, lui a préféré me sodomiser.
Depuis, ils sont passés souvent, parfois avec des amis, en me menaçant de tout dire à Danny si je naccédais pas à leurs demandes de plus en plus exigeantes.
Si seulement ils savaient que jaurais de toute façon tout accepté sans menaces.
Mon beau-père a organisé une soirée spéciale avec ses partenaires de foot deux semaines avant mon accouchement, ils mont suspendue par les seins et toute léquipe ma enculée. Je nai jamais eu aussi mal aux seins. Jai vraiment aimé.
-Même le jour je tai cloué les seins sur une poutre pour timmobiliser ?
-Même ça ! En voyant le lait sortir de mes seins, ils mont détachée et mont de nouveau enculée en me trayant comme une vache, cétait sublime comme sensation, je me sentais comme une bête et jadorai ça.
Ils ont continué des mois, aussi longtemps que javais du lait, je passais les voir à leur entrainement pour me faire traire à quatre pattes avant de rentrer, ça a duré des mois, un régal.
Quand jai expliqué mon plaisir de me sentir une vache à mon beau-père, il a proposé de me faire percer le nez pour y mettre un anneau. Rien que lidée ma fait jouir.
Il ma organisé un rendez-vous avec ses copains dans sa maison de campagne et pendant que belle maman gardait les enfants, ils mont attaché les mains dans le dos, lié les pieds, bandé les yeux et emmenée en voiture. Quand la voiture sest arrêtée, je savais quon était dans une ferme. On ma ôté tous mes vêtements, y compris les chaussures. Quand la porte sest ouverte, jai senti un air terriblement froid entrer dans la voiture, on ma fait sortir et quelquun a passé une chaîne glaciale autour de mon cou, je sentais de la neige à mes pieds. On a tiré sur la chaîne vers le bas, je me suis retrouvée allongée dans la neige et jai entendu quon attachait la chaîne et des pas séloigner.
Puis la voiture est partie. Au bout dun instant, je me suis mise à trembler de froid.
Des pas, jentends des pas.
On me soulève les fesses, je suis installée avec la tête et les seins dans la neige, le cul en lair, je demande qui est là, en réponse je reçois une claque magistrale sur mes fesses gelées. Jhurle, nouveau coup sur les fesses, mais cette fois, cest une cravache, jhurle à nouveau, nouveau coup. Je comprends vite, je serre les dents et ne crie plus. Cette fois, une main caresse mon cul et quelque chose de très froid y est enfoncé, je retiens mon cri de surprise. Ce qui entre dans mon cul est en métal très froid et les va et viens sont douloureux, je gémis et vlan, nouveau coup de cravache, sur le flan cette fois, la douleur me scie en deux, je crie et un nouveau coup sabat sur lautre flan. La barre de métal senfonce encore, je serre les mâchoires, aucun son nen sort. La douleur est intense, le froid, les coups, ce gode glacial qui me défonce Je jouis.
On détache la chaine et me redresse, mes seins doivent être bleus de froid, on en pince cruellement le bout, je crie encore. La cravache sabat sur ma poitrine, sur mon ventre et je reçois une gifle.
On menlève le bandeau. Cest mon beau-père, il sourit et me dit :
-Tu veux toujours être une vache ?
Je le regarde droit dans les yeux et réponds :
-Plus que jamais !
Il mentraine vers un bâtiment, mes pieds attachés me font souffrir, ils sont bleus, mes seins aussi.Il ouvre la porte, deux hommes sont là, sans doute les maitres des lieux. Au moment où je mapprête à entrer, il marrête, me détache les pieds et les mains et dit :
-Lève les bras, je veux te voir souffrir sans crier sous les coups, et ne ferme pas les yeux.
Je le regarde, provocante, et jécarte les jambes et lève les bras en souriant.
Il mannonce la couleur, ce sera au fouet, pas par lui, et seul le visage sera épargné. Les deux inconnus savancent, ils ont un fouet chacun et leurs sourires font séteindre le mien.
Le premier coup tombe, en plein milieu du dos, je retiens mon cri, ma peau bleuie par le froid est déjà douloureuse, un autre coup cingle, en plein sur les seins, je garde les dents serrées, ils frappent à tour de rôle, pas de pose, ils népargnent rien. Je les regarde sans montrer ma douleur, je nen peux plus mais je sens arriver lorgasme.
Mon beau-père attendait ce moment, la cravache remonte entre mes jambes et inflige une douleur atroce à mon clito.
Je ne crois pas avoir crié, mais quand je reprends mes esprits, je suis seule dans la grange, suspendue par les mains, les pieds attachés au au-dessus du sol, les jambes écartées. Jai mal partout, je regarde mes seins, un bout est en sang, les zébrures laissées par les fouets font des traits rouges partout où je peux voir. Mes poignets, mes bras et mon vagin me font horriblement mal. Ils ont dû continuer pendant que jétais inconsciente. Jai froid. Je jouis encore.
De la hauteur ou je me trouve, je peux voir six vaches, et juste à côté de moi, un taureau de belle carrure.
Un peu plus tard, la porte souvre, Mon beau-père entre, tenant la barre de fer dune main. Il me demande.
-Veux-tu toujours être une vache ?
-Oui dis-je en souriant, mais dois-je être maltraitée.
-Les vaches indociles doivent être matées, nous allons te traire, et maintenant que ta chatte est prête, tu vas être offerte au taureau. Si tu veux, nous pouvons te faire évanouir avant.
-Je ne veux rien rater dun tel moment, et je suis déjà bien assez marquée.
-Ça, on verra, maintenant on va poser ton anneau nasal.
Il fait un signe, dautres homme entrent, les paysans, mais aussi plusieurs de ses copains du foot. Puis arrivent mon beau-frère, et à ma grande surprise, ma belle-mère et ma belle-sur suivent. Je jouis en les voyant entrer.
Cest fou ce que la honte, la douleur et la provocation me font.
Je trouve ma belle-sur vêtue un peu court pour la saison.
On minstalle à quatre pattes, le paysan le plus âgé se met à califourchon sur mon dos, ma belle-mère et ma belle-sur commencent à me traire, le jeune paysan présente sa queue devant ma bouche, je lenfourne, mon beau-père mencule, les autres préparent leurs queues, quel pied, un orgasme manque de me terrasser.
Le paysan ne tarde pas à remplir ma bouche, javale comme je peux, la quantité est impressionnante.
Je sens mon beau-père arriver, je me cambre pour mieux le sentir, le paysan sur mon dos qui me tenait par les cheveux tire ma tête en arrière, un homme approche avec une aiguille énorme, sans hésiter, il transperce ma cloison nasale.
La douleur nest pas si terrible, il attend que ma jouissance cesse de me faire trembler, et avec dextérité, remplace laiguille par un anneau.
Les deux femmes tirent sur mes seins avec insistance, plus rien nen sort et jai très mal mais elles continuent. Les hommes défilent dans ma bouche, mon cul et ma chatte de plus en plus douloureuse, je meffondre en jouissant.
De là ou je suis, je découvre que ma belle-sur a la chatte à lair sur sa jupe presque aussi courte que les miennes.
Ma belle-mère approche un bol de ma bouche, cest le lait quelles mont tiré, je bois, pas terrible.
Ensuite, elle se penche pour membrasser, puis descend jusquà ma chatte pour y recueillir le sperme qui en coule. Sa langue provoque un nouvel orgasme, elle boit aussi mon jus.
Les deux femmes me prennent chacune une main, me font lever et me conduisent vers le taureau.
Belle surette est à poil, très jolie, avec détranges tatouages, je jouis encore.
Un homme me présente un miroir, je vois lanneau, il est énorme, la chaîne pend à mon cou, je me sens vache, jaime ça.
Je me penche sous le taureau, pas très impressionnant, je le prends en bouche, un peu de sperme coule, ce nest pas très bon mais je le garde en bouche.
Les paysans me font accouder à la barrière, belle surette viens en face pour membrasser, je lui refile le sperme du taureau, elle avale.
Je sens le taureau se dresser sur moi, belle maman dirige son sexe dans le mien pendant que les paysans lempêchent de mécraser, cest puissant, impressionnant tant la bête est énorme, violent, rapide, mais cest tout.
Quand cest terminé, belle surette vient lécher recueillir le sperme avec sa bouche puis viens membrasser. Javale, cette fois, jaime bien. Ses tatouages nen sont pas, cest autre chose.
Belle surette me glissa à loreille :
-Demain, essaye le cheval, le cochon ou le chien, cest bien meilleur.
-Je les veux tous.
Beau papa me demande si je veux toujours être une vache.
-Oui, pour la traite du lait, mais je voudrais aussi être chienne, jument ou cochonne.
-Dès demain belle fille, tu auras tout ça, puis nous te marquerons au fer avant de te ramener à ton mari.
-Quoi ? Au fer ? Je comprends ce que sont les « tatouages de Belle surette.
-Oui, au fer rouge, sur les fesses, et quand tu nauras plus de lait, tes seins seront marqués aussi, et tu auras droit à des anneaux.
Voilà Fredo, maintenant tu sais pourquoi au début de mon mariage je te voyais moins. Tu sais aussi que Danny ne sais rien de mes pulsions et que je ne veux pas quil sache. Mais tu dois aussi savoir que cest toi qui ma fait découvrir ce qui me fait vibrer, ma belle-famille na été quun passage, finalement, ils ne mont pas marquée au fer, ils ne mont pas fait les piercings promis ni rien de plus. Je veux que tu me marques de ton sceau, que tu me fasses prendre par des chevaux ou pire, depuis toujours je suis à toi, je veux être ta chose, mais garder mon mari.
-OK, demain tu iras voir ce Lucio, tu feras ce quil veut et tu me raconteras. Garde une vie apparemment normale pour ton mari, mais à partir de demain, tu seras toujours nue dans ce club.
-Nue : pour le ménage ?
-Oui, avec un plug, et pour le sport aussi, mais sans le plug.
-Et si mes enfants ou mon mari viennent ?
-Ton mari ne vient jamais, ton fils est loin et ne vient pas non plus. Ils devront sonner, avec Teddy et Chloé nous nous chargeront de te prévenir. Ta fille est grande maintenant, et la dernière fois que je lai vue, sa robe trop courte et son attitude mont fait comprendre que cest bien ta fille, je crois quelle aimera ce quelle trouvera ici, tu devrais même linviter ? En plus, Chloé laime bien, je les ai vues au vestiaire.