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Je me suis mis à la gym – Chapitre 4




Salut c’est votre folle de lycra.

Dans les épisodes précédents, je vous racontais comment tout jeune, je m’étais mis à la gymnastique en me disant que c’était une idée comme une autre pour faire des connaissances et pour s’occuper. Cest ainsi que j’avais fait connaissance de Franck Coralie et Marie, quand j’entends faire connaissance et c’est-à-dire que nous avions eu des rapports très intimes. Moi qui étais encore puceau avant de me mettre à la gym, en peu de temps j’avais perdu mon pucelage avec deux cougars et j’avais fait ma première fellation à mon prof de gym. J’avais aussi découvert combien il était agréable d’être paré d’une combinaison lycra, mais aussi d’une douce et robe longue. J’avais l’impression que Franck voulait faire de moi sa lopette soumise et que les deux femmes voulaient faire leurs de moi leur étalon, mais féminin. J’ai aussi découvert à cette occasion qu’avoir une aventure avec une cougar n’était pas si désagréable. Donc ce soir-là après le cours de gym, je m’étais retrouvé chez Coralie accompagnée de Marie et nous venions de faire des folies de nos corps; tous les trois habillés en femme.

Le samedi matin je venais de me vider dans le vagin de Coralie sans que Marie soit au courant, la maîtresse des lieux préférait que son amie ne le sache pas pour ne pas qu’il y ait de jalousie. Quand Marie est revenue son amie avait repris une position qui n’attirait pas d’attention, en fait elle venait pour m’expliquer que toutes les deux aimeraient bien que je sois à leur disposition après les cours de gym le vendredi soir. Il allait de soi que je devrais leur être totalement soumis et obéissant, vu les clauses de ce contrat oral je n’y voyais strictement aucun inconvénient bien au contraire. Il y a certains qui préfèrent découvrir le sexe avec une petite jeune inexpérimentée et découvrir ensemble, quelque part il faut voir si ce n’est pas plus intéressant de découvrir le sexe avec des femmes expérimentées. De mon côté c’était la deuxième offre qui se présentait à moi et je pense qu’il aurait fallu être con pour dire non. Vers 9h30 je leur ai expliqué que j’avais des choses à faire, elles m’ont expliqué qu’il n’y avait aucun problème elles me demandaient juste de garder mes vêtements féminins sur moi en dessous mes vêtements masculins.

Ma tenue féminine pour le départ était donc: cette douce et robe longue, une culotte très moulante ainsi qu’un collant fondu en lycra. Au moment de partir, les deux femmes m’ont expliqué que nous pourrions remettre ça à volonté; à condition que j’accepte qu’elles m’habillent en femme à chaque fois. C’est Marie qui m’a ramené chez moi, dans sa voiture que j’appréciais énormément, j’avais peur que tous les gens voient ce que je portais à même le corps; mais Marie m’a rassuré en me disant que cela ne se voyait pas du tout. Au moment de nous quitter, nous avons échangé un long baiser, qui laissait supposer qu’il y avait quand même quelque chose entre nous. Au fond de moi je me disais que dès que j’allais rentrer à la maison, j’allais prendre une bonne douche, mais surtout me défaire de cette tenue féminine. En fait quand je suis rentré à la maison je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je suis parti sur mon lit, m’allonger pour me faire un petit plaisir à travers ces douces textures. Au moment où j’ai éjaculé dans la robe, j’ai reçu un SMS; je me suis dit, ces deux femmes devaient savoir ce que je j’allais faire en rentrant.

Je suis resté quelques instants la tête dans les nuages, avant d’aller lire mon SMS; à ma grande surprise, c’était Franck qui m’informait qu’il avait toujours envie de moi. Par contre ce qui me faisait tout drôle, c’est qu’il parlait de moi toujours au féminin. J’étais en train de réaliser que Coralie et Marie me voulaient habillé en femme, et que Franck voulait abuser de moi en tant que femme que je n’étais pas. Si ce dernier m’avait vu dans la tenue où j’étais à l’instant où j’ai reçu le SMS, je pense qu’il aurait été tenté de me voler ma virginité par mon petit trou. Je me suis donc mis à travailler mes cours, car il ne fallait quand même pas que je me laisse déconcentrer par le sexe. Mais cela a été plus fort que moi, j’ai travaillé tout l’après-midi jusqu’à 19h dans la tenue féminine que m’avaient laissée les deux amies. Le soir je suis parti faire des petites courses dans la grande surface à côté de chez moi, mais en m’habillant par-dessus ma robe. Je ne sais pas pourquoi, mais ce soir-là j’étais tout excité dans la grande surface à tel point que je suis parti m’acheter de douces culottes en lycra ainsi que des collants voile.

Il n’y a pas à dire, ce que je venais de vivre la nuit précédente avec ces deux femmes et surtout le fait qu’elles m’aient imposé cette tenue; m’avait perturbé. Je préférais éviter de manger des conserves, je me rabattais plutôt sur les légumes et les fruits ainsi que des steaks. Quand je suis rentré vers 20h30, j’ai essayé mes achats puis je me suis mis à bosser jusqu’à 23h30 toujours ainsi vêtu. À cette heure-là, c’est en femme que je me suis couché; bien évidemment j’ai eu du mal à m’endormir, car j’avais une érection peu commune. Au petit matin j’étais assez content de moi, car j’avais réussi à m’endormir sans avoir besoin de tirer sur l’élastique. Vers 10h30 je suis parti voir mes parents pour prendre de leurs nouvelles, bien évidemment j’ai fait attention à me débarrasser de ma tenue féminine, car je suis sûr que ma mère s’en serait rendu compte. Ils voulaient savoir comment se passaient mes cours de gym, si je n’étais pas trop courbaturé, si je tenais le coup et si cela me plaisait.

Je leur ai répondu que je rentrais crevé, épuisé, vidé, mais que cela faisait du bien; je leur ai aussi dit que j’étais content, car cela me permettait de me faire de nouveaux amis. Bien évidemment j’ai fait attention à ne pas rentrer dans les détails, surtout au niveau des vestiaires et des après cours. Ma maman, une très belle et grande femme, avait mis des collants en lycra et je peux vous dire que je ne regardais plus ses jambes de la même façon. Quand je suis parti me laver les mains dans la salle de bain avant de passer à table cela a été plus fort que moi je suis parti renifler les petites culottes de ma maman dans le bac à linge. Voilà longtemps cela m’était arrivé de le faire quand j’étais petit à la maison, mais cela faisait quelques années que j’avais arrêté. Ce midi-là cela a été plus fort que moi; entre la douceur et l’odeur de ses culottes, j’étais comblé. Après le repas je n’ai pas trop traîné, car il fallait que je me remette à travailler, chose que je fis en rentrant, mais après avoir enfilé une culotte un collant et la robe. Ce soir encore je suis resté travailler très tard, mais j’étais content, car mon travail était efficace.

Le lendemain je suis parti travailler avec juste une culotte et un collant, déjà avec cela j’étais dans tous mes états la journée durant. Maintenant toutes les femmes que je voyais en collant j’essayais d’imaginer oh combien cela devait être doux à caresser. Cela me rappelait un film de François Truffaut qui s’appelait l’homme qu’il aimait les femmes avec Charles Denner. Disons que par rapport au film je faisais surtout attention à ne pas me faire écraser. Ceci mis à part la journée s’est bien passé et comme la veille quand je suis rentré, je me suis empressé d’enfiler ma robe. Le mardi soir quand je suis arrivé au cours de gym, Franck était là et il avait l’air de m’attendre avec impatience. Il a eu le même regard émerveillé que celui de Claudia Cardinale dans "il était une fois dans l’Ouest" quand à la fin c’est Charles Bronson qui rentre dans la maison après avoir tué Franck. Bien évidemment c’est lui qui est venu m’aider à fermer ma combinaison et bien évidemment il en a profité pour me prodiguer des caresses très efficaces; au point de me mettre une énorme érection juste avant d’aller en cours.

Marie était là, qui me mangeait des yeux, alors que son amie elle était absente; c’est vrai que ces deux femmes de l’âge de ma mère me faisaient très envie. Quand on y goûte une fois, on ne peut plus s’en passer et je pense qu’elles le savaient. Bien évidemment pendant le cours j’ai eu droit à des gestes déplacés, mais heureusement discrets de la part de Franck. À la fin du cours tout le monde est parti à la douche exceptés Franck et moi, car il m’a demandé de lui donner de main pour ranger les gros matelas. J’étais conscient quensuite cela allait dégénérer, mais j’étais prêt à assumer. Mon petit doigt me dit que Marie devait être déçue, car je pense qu’elle aurait bien aimé que je lui fasse une langue avant que nous nous quittions. Nous avons pris tout notre temps pour le rangement, ensuite nous sommes partis à la douche que nous prîmes ensemble. Je savais que ce soir il y avait de fortes chances que je passe à la casserole et cela n’a pas manqué. Nous étions tous les deux à poil complètement blancs de savon et bien évidemment mon prof s’est mis à me faire ma toilette, il fit bien attention d’aussi s’occuper de mon intimité. J’ai un peu rouspété, mais il allait de soi que c’était que pour la forme.

Il était maintenant dans mon dos et me tenait le sexe qu’il masturbait en même temps. Je sentais son sexe chaud en grande forme qui se trouvait entre mes fesses et il était évident qu’il avait envie de me prendre. Maintenant il n’arrêtait pas de me glisser plusieurs doigts dans mon petit trou, ce dernier avait l’air de bien aimer les visites de mon prof; même si le savon piquait un peu. Je me laissais faire alors que la douche continuait à couler sur nous, je lui étais offert je savais que ce soir il allait faire de moi sa soumise. Il était dans mon dos à me mordillait le cou, quand il ne me disait pas des insanités à l’oreille; il m’excitait énormément en parlant de moi au féminin. Il a fini par nous rincer tous les deux, je me laissais faire, maintenant nous n’étions presque plus mouillés; avant qu’il se mette à nous essuyer. Et alors partit chercher quelque chose dans son sac puis à ma grande surprise il est revenu avec une fine robe douce et longue. Décidément c’était une manie de vouloir me faire porter une robe, mais ce n’était pas pour déplaire.

C’est alors qu’il a commencé à me glisser plusieurs noix de salive entre mes deux lobes fessiers. Il a longuement continué à me préparer mon orifice à sa pénétration, je trouvais cela très respectueux de sa part. J’avais honte, car il me faisait énormément de bien et maintenant mon petit cul allait à la rencontre de ses doigts, en espérant mieux rapidement. Au bout de quelques minutes, j’ai senti son prépuce venir se positionner à l’entrée de mon rectum, les minutes de ma virginité anale étaient comptées. Il m’a fait m’accrocher les mains au portemanteau qui étaient face à moi, puis m’a invité à essayer de me cambrer au maximum. Ça y est, je commençais à sentir la pointe de son sexe forcer mon sphincter pour me pénétrer définitivement. Il a tellement progressé lentement que je n’ai strictement rien senti, aucune douleur donc une sensation très agréable. Par contre quand il a commencé à me ramoner, une légère douleur est apparue avant de céder la place au plaisir.

Pendant qu’il était en moi, j’avais le droit à ce genre de commentaires:

— Je vais te féconder, je vais te saillir.

— Tu vas y prendre goût comme tu n’imagines pas.

— Je vais te faire crier de plaisir et je te promets que tu vas en redemander.

Tous ces propos ne me laissaient pas indifférent, d’autant qu’à chaque fois, il insistait bien sur le fait qu’il me considérait comme une femelle. Il était bien accroché à mes hanches et je le sentais régulièrement me tirer à lui pour qu’il s’enfonce plus en moi. Le plus beau c’est que de mon côté je veillais à ce qu’il garde le rythme, en reculant mes fesses régulièrement pour qu’il aille toujours plus loin. J’adorais le contact de ses mains sur mon corps d’autant qu’entre les deux se trouvait le fin tissu de la robe que je portais. Je laissais maintenant entendre de petits cris de ma part qui laissaient supposer qu’il m’avait vaincu, ces petits cris laissaient sous-entendre qu’il me donnait énormément de plaisir. Régulièrement il me lâchait une hanche pour aller me caresser le sexe ou m’exciter la poitrine avec cette main libre, tout ce qu’il me faisait me provoquait des frissons de plaisir et d’excitation.

Voilà comment au bout de vingt bonnes minutes à me besogner ma chatte il a fini par se vider dans mon boyau. Je l’ai entendu respirer très fort, je l’ai entendu râler, je l’ai entendu soupirer de plaisir; pour la première fois de ma vie un homme se vidait en moi. Je venais d’acquérir mon statut de salope, de lopette, de chienne offerte donneuse de plaisirs. Il était évident que dorénavant mon prof de gym ne me regarderait plus comme avant et que je ne sentirai plus mon petit cul de la même façon. Il est resté encore un long moment en moi, car son sexe ne désépaississait pas, du coup il continué à me faire du bien. Il a fini par se retirer de moi et m’a dit:

— Allez ma belle va à la douche.

— Il faut que tu te débarrasses de toute la semence que je t’ai déposée.

Bien évidemment j’ai obtempéré, je me suis débarrassé de ma robe et je suis parti me doucher en insistant bien au niveau de ma rondelle. J’ai vraiment savouré cette douche chaude, elle m’a fait beaucoup de bien, je me sentais vraiment propre en sortant.

Quand je suis revenu dans le vestiaire attenant, Franck sétait déjà habillé, j’ai commencé à m’essuyer et là il m’a dit qu’il serait heureux de me voir repartir avec ma robe en dessous ma tenue. Ce n’était pas la première fois que j’allais sortir avec une robe sous mes vêtements et je peux vous dire que c’est à grande vitesse que j’y prenais goût. À ce rythme-là j’allais me retrouver avec une belle garde-robe, au fond de moi je me disais qu’il serait bien que j’essaye de porter des escarpins. Et si finalement j’étais voué à m’habiller en femme tous les jours… Toujours est-il que je me suis rhabillé avec ma robe à même le corps et que j’ai eu le droit à un roulage de pelle en règle de la part de Franck avant que nous nous quittions. Je suis rentré à la maison je me sentais souillé, mais en même temps je me sentais heureux ou plutôt heureuse de m’être fait prendre par mon prof de gym. Quand je suis rentré à la maison, j’ai eu un SMS de la part de Marie qui me disait qu’à force de traîner avec le prof de gym il risquait de m’arriver malheur.

Bien qu’ayant pris une douche moins un quart d’heure auparavant, je suis reparti dans la petite chambre où il pleut; histoire de continuer à me nettoyer le fondement. Cela me faisait tout drôle de m’être fait remplir de sperme par un homme qui me traitait comme une femme. Après cette soirée je peux vous garantir que je n’ai pas été bien loin m’endormir, même si une fois de plus je me suis endormi habillé en femme. Disons que le changement ce coup-ci c’est que la robe m’avait été offerte par un homme, mais vu qu’elle était aussi douce que l’autre; elle me faisait le même effet. Le mercredi matin j’ai pris l’initiative de mettre une robe toute fine en plus de ma culotte et mon collant en dessous des vêtements de tous les jours, une fois de plus je n’ai pas débandé de la Journée. Au fur et à mesure que les jours passent et je me sentais de mieux en mieux vêtu d’une robe et surtout de collant et culottes. Le vendredi d’après, le prof s’est fait remplacer par un collègue à lui et le cours s’est déroulé sans rien de marquant. À défaut de Franck ce sont Marie et Coralie qui se sont chargées de me fermer mon zip dans le dos de ma combinaison en lycra.

Quand nous avons quitté le gymnase au moment de nous séparer, Coralie est allée chercher une boîte dans sa voiture qu’elle m’a offerte; il m’a demandé de ne l’ouvrir qu’une fois arrivé à la maison. Coralie m’a invité à ce que tous les trois passions le samedi ensemble, vu que j’étais d’accord et impatient elle m’a dit qu’elle passerait me chercher le lendemain à neuf heures. Nous nous embrassâmes avec gourmandise tous les trois et je suis parti à pied vers mon domicile.

En espérant que ce quatrième chapitre vous ait plu

Bisous à vous

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