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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 10




Ma dernière visite chez Monsieur Coulibadou remonte déjà à quelques jours et j’essaye de ne pas trop penser à cette absence de trois semaines qui va certainement me peser. Pour m’éviter d’être trop en manque, j’ai diminué la dose de médicament que je prends tous les soirs. Cependant, à chaque fois que je porte le flacon à mes lèvres et que le précieux liquide descend dans ma gorge, j’imagine ma bouche sur son sexe puissant. Il me suffit de fermer les yeux et je suis en train de lui faire une longue fellation comme c’est quasiment le cas à chaque rendez-vous. Mes lèvres coulissent avec lenteur sur son glaive d’acier, ma langue s’applique à s’enrouler autour sa tige et ma bouche humide et brûlante tète avec application cette colonne de chair nervurée. Lorsque je savoure le goût puissant de son remède, j’imagine ses longs jets de sperme au fond de mon palais et mon entrejambe est aussi brûlant que le feu qui me consume.

Heureusement, je veille à ce que François m’honore régulièrement le soir lorsqu’il rentre du travail ou bien le matin à son réveil. C’est un peu rapide à chaque fois car je dois bien reconnaître qu’il ne tient pas la distance. Mais c’est un palliatif qui me contente dans l’immédiat. Lorsqu’il me quitte le matin, je me donne éventuellement du plaisir, seule, en pensant à mes sorties et rendez-vous à Pigalle. J’ai envie de retourner y faire un tour, aller au magasin de Monsieur Robert ou bien oser solliciter Ahmed. Mais pour l’instant, je me dis que je dois tenir le plus longtemps possible sans recourir à eux. Si vraiment je ne peux plus maîtriser mes pulsions et si je suis vraiment en manque, alors il sera temps d’y aller pour m’abandonner à mon envie de sexe et luxure.

Aujourd’hui vendredi, j’ai envie que François me débauche un peu et je me décide à lui mettre un petit SMS

— François, je pense à toi depuis ce matin. Je serais ravie si tu m’invitais de nouveau à dîner au Chalet des Îles au Bois de Boulogne.

Je ne reçois sa réponse qu’en début d’après-midi, sans doute avait-il une réunion ou un déjeuner de travail qui s’est éternisé

— Chérie, si je t’offre le restaurant, ensuite je t’offre……

Sa réponse est un peu énigmatique mais je décide de jouer le jeu. Je pianote donc sur mon téléphone et lui envoie aussitôt mon message

— Je n’ai pas tout compris ! Mais je vais me faire belle pour toi.

Il est déjà 19h30 lorsque François arrive à la maison et je lui ai servi un petit verre de porto dans le salon pour qu’il puisse se changer un peu les idées avant que l’on ressorte tous les deux. Il s’installe dans un fauteuil et savoure sa boisson tout en me regardant avec attention. J’ai fait en sorte de lui plaire et j’ai mis une ravissante robe noire avec de gros boutons blancs sur le devant. Je me suis fait un chignon car je sais qu’il apprécie parfois que j’aie les cheveux attachés. J’ai mis une paire de bottines noires à hauts talons qui m’allongent bien les jambes. Alors que je suis près de lui pour lui redonner quelques gâteaux d’apéritif, sa main se pose sur l’un de mes mollets et remonte doucement le long de mes jambes. Lorsqu’il arrive au niveau de la cuisse, il s’attarde un peu au niveau de la jarretière du bas puis remonte encore. Sa main glisse ensuite vers l’arrière de ma fesse en suivant la fine dentelle du string que je porte. Puis elle s’insinue entre mes fesses et s’infiltre vers l’avant jusqu’au niveau de mon sexe.

Elle s’attarde de nouveau, appréciant sans nul doute que j’aie choisi le string fendu qui met en valeur la petite toison de mon sexe. Il ne dit rien mais je suis certaine qu’en son for intérieur, il est satisfait de tout cela.

Comme lors de notre sortie précédente, nous sommes installés dans un petit coin tranquille du restaurant. François me raconte sa journée tout en veillant à ne pas laisser mon verre vide. Il souhaite que l’alcool me désinhibe en vue de la suite de la soirée car il n’imagine pas que je n’attends que ça. Juste avant le dessert, je m’absente un court instant pour aller aux toilettes. Lorsque je reviens, il se penche vers moi au-dessus de la petite table et me dit à voix basse

— Tu es vraiment en beauté ce soir. Lorsque tu as traversé le restaurant pour aller aux toilettes, tous les hommes t’ont regardée avec attention. Ils te convoitaient tous du regard.

Posant ma main sur la sienne et le regardant droit les yeux, je lui réponds

— N’est-ce pas ce que tu aimes ? Ils me désirent peut-être tous mais toi seul me possèdes !

A la fin du repas, une fois nos affaires récupérées au vestiaire, nous reprenons le bac qui nous ramène sur la berge puis nous dirigeons vers notre voiture garée tout près. François ouvre ma portière mais, avant que je m’installe, il me colle contre la voiture, m’embrasse à pleine bouche et glisse ses deux mains sous mon trench-coat pour bien me peloter les fesses. Son bas-ventre est rivé au mien et je sens son sexe bandé contre mon pubis. Il se frotte, il s’excite comme un chien fou mais se détache soudain de moi en disant

— Trouvons un endroit plus calme, ici il y a trop de passage.

Pour jouer le jeu, je lui dis d’une voix suave

— Oui chéri, trouve un endroit plus tranquille pour que je me donne à toi. J’en ai envie depuis le début du dîner.

Après quelques minutes de conduite, François engage la voiture dans une allée sombre à droite de la route principale et se gare quelques dizaines de mètres plus loin sur un petit parking. Comme il ne fait pas froid, il me demande de descendre et je m’exécute. Il m’entraîne à l’avant de la voiture, sort un loup noir de carnaval de sa poche et me le tend

— Mets-le devant tes yeux pour ajouter au mystère de l’instant.

Je le porte à mon visage, passe l’élastique derrière ma tête et me voilà transformée en une belle inconnue de nuit. Sans que François le demande, mais j’imagine que c’est ce qu’il attend, j’ouvre mon manteau et lui fais quelques effets en tournant devant lui tel un mannequin lors d’un défilé de mode. Il sort son téléphone portable et fait aussitôt deux ou trois photos en me disant

— Tu es superbe, j’immortalise ce moment pour mes vieux jours.

Il se rapproche de moi, pose ses fesses sur le capot de la voiture et ouvre sa braguette. Nul besoin de me faire en long dessin pour comprendre ce qu’il attend. Je me penche vers lui et entreprends de donner une belle raideur à son membre. Je m’applique autant qu’avec mon marabout, probablement pour me donner bonne conscience suite à mes écarts de comportement précédents et certainement aussi pour me faire pardonner par avance ceux à venir…

Soudain, François retire sa queue de ma bouche et, me faisant me retourner, me dit

— Tu as vu ? Tu as quelques admirateurs ! Peut-être ceux de la dernière fois qui se lamentaient de ne pas te voir revenir. Je t’ai répondu par SMS que je t’offrais le dîner et qu’ensuite je t’offrais. Le moment est venu pour toi !

D’une main, il leur fait signe et deux hommes s’approchent. Ils se posent à leur tour sur le capot de la voiture, sortent leur sexe et enfilent la capote que leur tend François. Il avait donc tout prévu, le loup, les préservatifs,…

Me voici de nouveau le buste courbé vers l’avant et la bouche à l’uvre. Je vais d’un sexe à l’autre pour ne pas faire de jaloux et pour ne pas faire retomber leur attention. Ce sont deux belles queues comme je les aime, pas spécialement épaisses mais assez longues pour les contenir en bouche et sentir presque le gland cogné au fond de mon palais. François, très certainement excité par cet instant d’égarement de ma part, vient se positionner derrière moi, remonte l’arrière de mon trench-coat, s’approche encore plus près, glisse son sexe par la fente du string et commence à jouer de son gland sur la fente de ma chatte. Il n’en faut pas plus pour que je me décide à prendre les deux en bouche en même temps et cela semble décider mon mari à s’enfoncer enfin au plus profond de moi. Bien que la position ne soit pas des plus confortables, la situation est des plus perverses et cela ne fait qu’augmenter l’intensité de mon plaisir. Certainement trop impatient de jouir et trop fougueux dans ses mouvements, la queue de François quitte mon chaud et doux fourreau.

J’en profite pour me concentrer plus fort sur les deux autres sexes que je suce et je me mets à leur caresser les bourses pour mieux en extraire toute la sève. Ah, voilà de nouveau mon mari qui revient à l’ouvrage ; ses mains se saisissent de ma taille, me maintiennent bien les fesses contre son bas-ventre et on réinvestit ma chatte. C’est drôle mais elle semble plus gonflée que tout à l’heure, certainement est-il encore plus excité de me voir sucer les deux queues en même temps. Soudain, du coin de l’il en me tournant vers ma droite, je suis surprise d’apercevoir François en train de faire quelques photos avec son portable tandis que je suis toujours en train d’être besognée par une queue que j’imaginais jusqu’alors être la sienne. Mais qu’importe ce sexe qui me prend pourvu que j’aie l’ivresse du plaisir ! Les deux hommes que je suce remplissent leur capote de leur semence mais ils sont aussitôt remplacés devant ma bouche par deux nouvelles queues bien encapuchonnées. Je continue mon travail de reine de la fellation tout en ondulant de la croupe sous les assauts de cette queue inconnue qui a maintenant fait toute sa place dans ma chatte.

Presque à l’unisson, avec des feulements de bêtes sauvages, les trois jouissent quasiment en même temps et se retirent.

François remercie aussitôt ces complices d’un soir et me fait remonter en voiture avant de se remettre au volant. Tout en conduisant d’une main, il pose son autre main sur mes cuisses et remonte jusqu’à ma chatte toute trempée.

— Tu sembles avoir apprécié la sortie ma chérie, ta chatte parle pour toi ! Je suis ravi que tu acceptes enfin, après plus de vingt-cinq de mariage, de pimenter notre vie de couple. Je suis certain que cela va être bénéfique à notre couple.

En écartant encore plus les jambes pour qu’il puisse apprécier toute la moiteur de mon intimité, je lui réponds

— L’éducation de mes parents à la maison et l’éducation scolaire à l’institut Sainte Geneviève ne m’ont pas préparée à cela et ce comportement n’est donc pas dans ma nature. Mais j’avoue y découvrir un certain plaisir et suis donc prête à parfaire mon éducation sous ta direction.

Une fois rentrés à la maison, nous nous endormons vite tous les deux. J’imagine qu’il rêve déjà à d’autres sorties. Mes envies de femelle apaisées, je sais que je vais pouvoir tenir quelque temps encore avant de retourner du côté de Pigalle…

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