Ah les technologies virtuelles! Que de prouesses pour le bonheur de tous. En particulier, pour le mien, puisqu’il s’agit de moi, jeune trentaine, beau mec, viril, pilosité peu persistante, et pour le bonheur de ces messieurs, un joli fessier bombé, rasé, apprécié par ceux ayant eu la chance de le posséder. Vantardise, diront certains, je vais vous raconter ce qui restera sans doute pour moi la plus marquante "chat rencontre"…
Un après-midi ensoleillé, me trouvant seul chez moi, la flemmardise aidant, je me décide à aller pêcher sur le net, et qui sait? Même si la plupart savent que c’est très aléatoire… Enfin, bon, bref, tant pis, on se lance. Annonçant la couleur avec mon pseudo exprimant mon envie d’être passif. 5 minutes passent, rien. 10, 15, même résultat négatif. Patience je me dis. Une demi-heure, gardons espoir! C’est tout ce qu’il nous reste. Et quand tout à coup, miracle! Trois lettres magiques apparaissent : TBM. Poussant la conversation, je découvre que c’est un homme mûr, la cinquantaine, viril, grand, et très bien outillé avec un engin de 21 centimètres en longueur avec 16 centimètres en contour selon ses dires. Ca impressionne, mais je me dis que toute façon beaucoup d’hommes sont optimistes de ce côté-là. Un rendez-vous est conclu et le lieu et l’heure sont chez moi, 16h…
A 16h10, mon portable sonne. C’est lui, il s’annonce avant de monter. Je me mets derrière la porte. Il arrive, je lui ouvre, il s’engouffre dans le salon. Semi-pénombre comme il avait exigé. Il commence à se déshabiller, enlevant sa cravate, sa chemise, découvrant un torse puissant et poilu, son pantalon enlevé, je constate une énorme bosse sur son caleçon boxer paraissant trop étroit pour cette queue (largement) au-dessus de la moyenne.
"Baisse ton jogging!" me dit-il tout d’un coup d’un ton autoritaire, je m’exécute. Il enlève son caleçon et dévoile une queue comme rarement j’en ai vue. Des couilles grosses comme des prunes de gros calibre et rasées ce qui ne fait qu’ajouter du plaisir. Mais cette queue, veinée, et si impressionnante au repos, mazette me dis-je.
"Enlève ton caleçon et mets-toi à 4 pattes!" Et oui, nous avions aussi convenu qu’il serait domi, ce qu’il aimait beaucoup par ailleurs. Je suis dans la position d’offrande la plus totale, les fesses tournées vers mon maître de circonstance, que je sens et devine se masturbant légèrement tout en s’approchant doucement. Il me pose sa bite sur les fesses, je sens un poids inhabituel pour ce genre d’occasion. Il bande de plus en plus fort, et là je constate que je vais déguster, gulp! Enfin je veux dire, que mes fesses vont se rappeler de ce chibre…
Il me claque les fesses, joue avec sa queue en la frappant sur mon cul qui rougit de plus en plus à mesure que les claques pleuvent. Soudain, il vient devant moi, me saisit la tête, et me frappe le visage avec son gourdin. Il s’acharne sur mes joues, ma bouche, il me l’enfourne dans la bouche, le ressort. il me lime la bouche, il alterne à son rythme. Quel enfoiré! J’en prends plein la gueule et c’est vraiment le cas de le dire…Après m’avoir usé la bouche et fais gober ses couilles, Il m’ordonne de me remettre à 4 pattes. Là je sens que c’est parti, les choses sérieuses ne font que commencer.
Le préservatif mis, il s’approche de moi, qui suis tout retourné par cette fellation choc, je le sens appuyer son gland sur mon trou. Il pousse doucement, s’introduit petit à petit, me provoquant une sensation de brûlure au fur et à mesure de son introduction.
"Rhhhhâââââââ…Tiens salope!!!" Et là tout d’un coup il s’enfonce violemment en moi me faisant crier comme jamais. Et c’est légitime, cet enfoiré m’a surpris par ce coup de boutoir. Et là tout s’enchaîne, ses assauts sont violents, il me lime, il me pénètre, il me défonce, il me casse les fesses, il varie son rythme, il s’acharne de temps en temps provoquant mes cris rauques qu’il a l’air d’apprécier le salaud! Et moi que dire! J’ai l’anus en feu, et c’est peu dire. Je me dis qu’il a dû prendre une pilule tellement il est endurant.
"Tu aimes te faire bourrer salope?" "Réponds salope!!!"
je prononce un oui avec un relent de douleur dû à ses coups de rein qui pour moi deviennent une éternité. J’ai le cul tellement dilaté qu’il me couche sur le ventre, me mets un coussin sous le pubis, monte sur moi et s’introduit avec force. Ahhhhhhhh, il me met tout son braquemart en moi et là je découvre la sensation d’être possédé par un très gros calibre. Il n’avait pas menti. J’encaisse tout son poids avec les va et vient incessants de sa bite monumentale. Il me pilonne, il m’encule de toutes ses forces. Et je dois reconnaître que jamais je n’avais subi tel traitement. Quel pineur de choc! Il me maintient la tête dans les draps tout en me bourrinant comme un sauvage. Je me fais casser le cul dans les règles de l’art.
Les "Tiens salope!!", "Prends ça sale pute!!", "j’te bourre grosse salope!!" "Gueule sale chienne!!" et autres résonnent dans cette ambiance qui devient subitement hard.
Après un assaut d’environ 2 heures, mon partenaire consent finalement à déverser le jus de sa prestation épique.
Il se présente face à moi, enlève le préservatif, et me colle sa bite dans la bouche. Je le branle doucement, je sens qu’il va venir. Il prend sa queue, la branle devant ma bouche et d’un seul coup un jet chaud m’inonde la face entière, suivi de 5 autres tout aussi puissants. Mazette! Il ne m’avait pas dit ça lors de notre chat. Tout retourné par ce que je venais de vivre, Charles (amitiés), se rhabilla et nous nous revîmes par la suite. Pour le plus grand bonheur des joies du sexe!!!
