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Malchance – Chapitre 1




Avant tout je voudrais préciser que cette histoire est un test one shot, et que je n’ai que peu d’expériences dans le domaine de l’écriture hétéro. Je vous demanderai donc d’être indulgent (e) et, s’il y a quelques erreurs niveaux relationnels ou autre de m’en faire part afin que je m’améliore.

Merci et bonne lecture.

Il faisait froid dehors et, regardant par la fenêtre, je vis que le toit de ma voiture était gelé et que l’herbe était blanche, couverte de givre.

Pourquoi il gèle tout le temps et ne neige jamais, s.

Je mis ma cafetière en route et, attendant que mon café soit prêt, j’allais vers ma chambre pour prendre mon gros pull que je tenais de noël, les motifs colorés représentant des canards le rendaient très laid mais il était surtout très chaud donc je le gardai toujours à portée.

Je passai devant mon miroir et me regardai quelques instants. J’avais un visage pointu, avec des pommettes légèrement plus hautes que la moyenne, des yeux bleus qui tirait sur le vert, de cheveux roux et bouclés qui tombait en cascade sur mes épaules, fines, je me plaignais souvent de mes trop petits seins, 85B, mais j’étais plutôt heureuse de mes fesses qui, sans que je pratique aucun sport, nétaient pas trop grosses, mais suffisamment rondes pour faire se retourner les garçons, et faire jalouser les filles (quand elle ne s’y retournait pas). Même si je n’appréciai pas trop les jeans trop serrés.

Après avoir passé quelques secondes à me regarder dans le miroir, je pris mon pull et retournai dans la cuisine, surveiller mon café qui avait presque fini. Une fois mon café fait je le versai dans une tasse et pris la tasse à deux mains pour me réchauffer. Je montai à l’étage et m’installai dans un fauteuil, devant ma cheminée à gaz. Je ramenai mes jambes sous mon pull et regardai les flammes en sirotant mon café.

Je dus m’endormir car je me réveillai à cause d’un terrible mal de dos qui irradiait de mes lombaires jusqu’à mes omoplates. Je dépliai mes jambes qui, elles aussi, avaient souffert et posai mon café sur la table basse. Je me levai et m’étirai, mon dos me le fit sentir. Je me dirigeai donc vers ma salle de bains pour me faire couler un bon bain chaud.

En passant devant une fenêtre je jetai un coup d’il dehors. Le soleil était éclatant mais tout restait couvert de givre, il faisait chaud à l’intérieur mais je frissonnai quand même en pensant à la température extérieure.

Je repris ma route vers la salle de bain et une fois arrivée je mis l’eau à couler à environ 40 °C je redescendis au rez-de-chaussée, dans ma "penderie" et ouvris un placard pour prendre une grande serviette et une plus petite.

Je remontai à l’étage, et me déshabillai dans ma salle de bain, la vapeur d’eau chaude se condensant sur mon corps je n’avais pas froid, j’aimai énormément cette sensation de vapeur chaude autour de moi, j’étais une adepte des saunas.

Je plongeais un pied dans l’eau, celle-ci, très chaude, me brûla le pied. "Qu’est-ce que je vais être bien." Me dis-je. Je me coulai tranquillement dans l’eau.

Au bout de quelques minutes à apprécier la chaleur je m’attristai du silence, et me mis à penser que j’aurais bien aimé que quelqu’un, homme ou femme, soit dans mon bain avec moi.

Je me mis à y réfléchir et me promis de sortir ce soir.

Tout en y pensant je m’endormis, bercé par l’écoulement de l’eau.

Je me réveillai environ une heure pus tard, l’eau s’était arrêtée de couler, le trop-plein ayant fait signe au robinet de s’arrêter.

Ma grande maison, ma cheminée, ma baignoire, ça avait du bon d’être avocate, mais c’était crevant et prenait beaucoup sur le temps libre. Mais heureusement je n’avais que peu d’affaires en ce moment.

Je sortis de mon bain, me séchai rapidement et mis ma serviette autour de ma poitrine, et enlaçai mes cheveux dans la deuxième. Je me dirigeais vers ma chambre et m’écroulai sur mon lit. "J’ai besoin de sommeil." Me dis-je. Je fermai les yeux durant quelques minutes avant de me lever et de m’habiller mais je m’endormis, et lorsque je me réveillai, il faisait presque nuit. J’ouvris les yeux, je n’avais pas changé de position, mais j’étais à présent en pleine forme. Je me levai donc et pris des affaires de soirées urbaines dans mon armoire, jean noir pas trop serré si jamais je danse, débardeur noir, sweat noir et mon long manteau en feutre, noir.

J’allais vers la porte d’entrée et pris mes clefs, sortis et me précipitai vers ma voiture, ouvris la portière avec difficulté car elle était gelée, gratta le pare-brise avec ma carte bleue et entra, je mis le moteur en route, mis le chauffage à fond, ma ceinture et partis dans la grande ville la plus proche, à 16 kilomètres. Je me garai à l’entrée de la ville et pris le métro jusqu’à la rue de la soif. J’entrai dans un bar que je connaissais bien, ni trop chic, ni trop bas de gamme. Je me dirigeais vers le comptoir.

Ah, tiens, une revenante.

Ça fait longtemps je sais, javais beaucoup de boulot.

Mouais, moi j’en ai pas peut-être ?

Je me penchai sur le comptoir et fis la bise à mon ami.

Salut Thomas.

Bonsoir Sylvie. Je te sers quelque chose ?

Euh, oui, met, moi, un bon vin blanc. Je vais commencer en douceur.

Très bien. Pourquoi commencer ?

Ça fait longtemps que je ne suis pas sorti et comme je n’ai pas beaucoup de boulot ces temps-ci, je profite.

Pas con. Il essuya un verre et le remplit d’un chardonnay 2015. Il avait une belle robe claire et dégageait un parfum fruité.

Merci. Je me reculai et allai m’installer à une table, seule avec mon verre.

Je regardai mon portable, vérifiant mes mails, mes messages, et j’attendais.

J’en étais à mon troisième verre lorsque mon ami m’apporta un verre de vin blanc d’Alsace que je n’avais pas demandé.

Du 2013, un des meilleurs que j’ai en réserve, il s’est ruiné pour te l’offrir. Il fit un signe de tête vers un jeune homme brun qui sirotait une bière au comptoir.

La chance devait me sourire, le garçon n’était pas laid, rasé, cheveux courts et entretenus, manteau en feutre, jean bleu foncé.

Je le regardai, un léger sourire aux lèvres, le verre dans la main.

Le garçon se retourna avec hésitation, nos regards se croisèrent et il rougit légèrement, se retournant immédiatement.

Je décidai donc de me lever à sa place. Je m’approchai de lui. Le verre dans la main.

Ça a dû te coûter assez cher, et puis comme c’est des escrocs ici. Je regardais Thomas en finissant ma phrase.

Il me rendit mon sourire tout en essuyant un verre.

Bah, ça va, j’ai un métier qui me laisse quelques écarts financiers. Mais on n’est pas censé en parler donc bon.

Holà, tu ne sais pas super bien t’y prendre avec les femmes toi, je me trompe ?

Bah non, pas vraiment.

Ça se voit. Lui dis-je en lui posant une main sur l’épaule.

Je finis mon verre d’une gorgée et le reposai sur le comptoir.

Tu viens ? On sort.

Ah ? Euh, très bien. Il finit sa bière et paya Thomas.

Nous sortions en discutant, nous traversions la rue, marchions sans savoir où nous allions, on s’entendait bien, il était drôle et cultivé, je m’entendais bien avec lui.

Je finis la soirée accrochée à son bras, il était légèrement plus grand que moi, jai appris qu’il faisait de la boxe depuis sept ans, qu’il était Agent immobilier et qu’il n’avait personne.

Bon, je vais rentrer moi. Dit-il.

Tu ne veux pas rentrer avec moi ? Ma voiture est pas loin, si on prend le métro.

Il rougit.

Euh, bah, OK, pourquoi pas.

Nous prenions donc le métro et nous nous dirigeâmes vers ma voiture. Je l’ouvris et l’invitai à entrer.

Nous arrivâmes chez moi et je descendis de la voiture, l’invitant à faire de même. Je le pris par la main et l’emmenai dans ma maison, une fois entré je refermai la porte derrière lui et enlevai mon manteau et mon sweat que je jetai dans ma chambre.

Mets-toi à l’aise. Lui dis-je et commençant à déboutonner son manteau.

Il l’enleva et le posa sur la table.

J’en ai très envie, tu sais. Lui susurrai-je à l’oreille.

Il s’apprêta à passer ses bras autour de moi mais je me reculai.

Va dans le salon à l’étage, prépare-toi je prends une douche et je suis là.

Je sortis de ma douche avec juste ma serviette autour du corps, lui était dans mon fauteuil, une bosse déformait son pantalon, pantalon qu’il avait déboutonné. Je m’approchai de lui et l’embrassai rapidement, je baissai son pantalon et pris son sexe chaud et palpitant dans ma main. Je commençais de le masturber lentement. Je le sentais frissonner, je déposai un baiser sur le bout et léchai son frein du bout de la langue. Je me redressai et laissai tomber ma serviette dévoilant mon corps. Je passai mes jambes de chaque côté des siennes et vins m’empaler doucement sur sa verge tendue. Je la sentais glisser difficilement, je me tortillai pour qu’elle aille au bout. Il mit ses mains sur mes hanches et appuya d’un coup, tout rentra dans un cri de ma part. Il perdit alors toute timidité et commença de rapides et puissants va-et-vient dans mon corps, il me prenait comme jamais encore je n’avais été prise, je criai de plaisir, il mit ses mains sur mes seins et continuait de me ramoner.

Stop, attends. Dis-je entre deux cris. Je me retirais, lui faisait signe de partir du fauteuil puis je pris sa place, à quatre pattes. Il me prit les fesses et rentra sa bite d’un coup sec dans mon vagin, il continuait de me prendre, cette position lui offrant plus d’amplitude il me donnait des coups encore plus puissants. Je sens le plaisir monter en moi, je jouis dans un long cri, mes mains se crispant sur le revêtement du fauteuil. Malgré ma jouissance il continuait de me détruire comme une bête, ma tête cognait à présent contre le dossier du fauteuil. Il se retira et rentra d’un coup dans mon anus, ce qui me fit crier de douleur, jamais je n’avais introduit de chose à l’intérieur.

J’avais mal et criai à chaque coup qu’il donnait, je ressentais que peu de plaisir. Mais lui continuait ses va-et-vient, j’avais beau mettre mes mains pour éviter il les prit avec une seule des siennes et m’attrapa les cheveux avec l’autre, des larmes coulaient de mes yeux, lui continuait de me détruire l’anus. Il accéléra le rythme, encore, il me ramonait. Puis il vint dans un puissant cri. Je sentais de longs jets remplir mon ventre, il était là, à se déverser dans mon ventre. J’avais mal. Des larmes continuaient de couler, mais mes pleurs ne changèrent rien. Après avoir fini de se vider, il me redonna quelques coups de verge dans l’anus, m’arrachant encore quelques cris de douleur puis il se retira et s’essuya, se changea et partit. Me laissant seule, prostrée sur mon fauteuil, encore frissonnante du plaisir mais grelottante de la douleur. J’avais mal au ventre et je sentais sa semence couler de mon corps. Je toussai et quelques gouttes de sperme sortirent de ma bouche.

Jamais je ne le revis.

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