Dès le lendemain matin, les Powell, Bart et Lisa se rendirent à la plage, en contrebas du camping. Janey portait un paréo, mais Bart savait qu’elle était nue en dessous. Lui suivait sa sur lentement, voulant éviter que son pénis ne se balançât quand il marchait.

    Janey se débarrassa de sa pièce de tissu et, avec le consentement de ses parents, elle entraîna ses amis au bord de la mer. L’eau était fraîche, mais tout de même agréable. Ils mirent la dernière acquisition des Powell, un canot pneumatique, à l’eau et leur fille se jeta avec fougue dans les flots, en criant de bonheur. Bart vit son petit corps nu disparaître sous les vagues. Elle ressortit juste la tête et lui tira la langue.

Allez, venez ! dit-elle en leur tendant la main.

    Bart entra dans l’eau jusqu’à ce que ses jambes, et ainsi, sa queue soient immergées. Posant le canot pneumatique à plat, Il s’agrippa à lui pour monter à bord. Il s’installa à genoux, le sexe coincé entre ses cuisses, fit monter Lisa et, à coups de pagaie, il rejoignit Janey. Le garçon lui tendit la main pour l’aider à les rejoindre. Elle fit des gestes désordonnés, exposa le côté face et son intimité aux quelques rares baigneurs et elle écarta largement les jambes pour s’installer face aux Simpson, dans la fragile embarcation. Bart vit clairement les yeux de la gamine se baisser vers son bas-ventre, et elle parut déçue de ne pas pouvoir voir son sexe. En quelques coups de rames, ils se rendirent là où ils savaient qu’ils n’auraient pas pied. Les Powell n’étaient plus que des silhouettes sur la plage.

    Les ados restèrent ainsi silencieux, se regardant en chien de faïence. Lisa sétait assise en tailleur. C’est-à-dire qu’elle ne cachait rien. Sa fente se détachait en plus brun sur la blancheur de la marque du maillot, et malgré tout, Bart ne pouvait m’empêcher de regarder cet endroit; puisque le duvet blond ne cachait rien.

    Il faisait chaud et Janey n’hésita pas à s’étendre de tout son long dans le canot. Posant la tête sur un des boudins, elle écarta les jambes en les faisant pendre de chaque côté. Bart était à genoux, à trente centimètres au-dessus de son abricot fendu. Pas un poil. Elle avait dû s’épiler.

    Comme les filles avaient fermé les yeux, le garçon prit son courage à deux mains et se pencha pour mieux voir. En même temps, il dégagea son pénis d’entre ses cuisses. Pour deux raisons. La première, c’est qu’en voulant cacher son sexe, Bart s’était compressé les couilles et elles lui faisaient mal. La seconde, c’est que se retrouver face à cette gamine impudique qui montrait tout, à nouveau, le plongea dans le ravissement.

    Il sembla au garçon que la vulve séparait le bas du ventre de l’adolescente en deux, comme une entaille et que les deux peaux étaient plaquées l’une contre l’autre.

    Cet examen attentif l’excita beaucoup et Bart ne tarda pas à bander. Une gentille et innocente érection, sans décalotter.

Bart ! Tu n’as pas honte !

    Lisa fusillait son frère du regard. Depuis quand avait-elle ouvert les yeux ? Elle ne sembla pas remarquer sa bite exhibée et en érection. Janey ouvrit les yeux et sourit en voyant la mine déconfite de Bart. Elle se redressa en s’appuyant de ses bras sur les boudins du canot pneumatique.

Vous savez nager ? leur demanda-t-elle.

Oui, répondirent les Simpson en chur.

    Brusquement, Janey fit des mouvements oscillant de droite à gauche et de gauche à droite, faisant tanguer de plus en plus dangereusement la fragile embarcation. Comprenant ce qu’elle voulait faire, Bart tenta de maintenir l’équilibre précaire de son côté.

Janey ! la supplia-t-il ! Arrête !

    L’adolescente fit un mouvement un peu plus brusque, le canot fut déséquilibré et ils tombèrent tous les trois à l’eau. L’embarcation se retourna et ils s’y agrippèrent. Janey et Lisa étaient hilares et Bart, pas mécontent de plus rien montrer.

    Sa sur fut la plus prompte à se hisser sur le fond du canot retourné. Elle se mit debout, totalement impudique, et cria victoire et levant les bras au ciel. Pendant ce temps, Janey plongea, remonta à la surface sous le canot, et poussa de toutes ses forces pour déloger sa copine. Elle tomba à l’eau en poussant un cri. Bart remit le canot à l’endroit et il s’y assit en tailleur. Et là, surprise, mauvaise surprise ! Il bandait toujours autant.

    Lisa ne riait plus du tout. Elle rejoignit le canot à la brasse et tendit le bras au garçon pour qu’il l’aide à grimper à bord. Elle reconnut que Janey l’avait bien eue et se plaignit d’avoir froid. Bart a donc pagayé jusqu’à la plage. Il a reluqué les deux petits culs blancs, tandis que les filles quittaient le canot et se précipitaient vers leur serviette dans laquelle elles s’enveloppèrent.

    Le lendemain, Lisa se plaignit d’avoir mal à la tête et eut de la température. Madame Powell décida qu’elle restât au chaud, pendant au moins deux jours. Janey voulait rester aussi, mais la petite malade insistât pour que sa petite copine s’amusât avec son frère.

    Deux jours plus tard, Lisa reçut la visite d’un médecin qui diagnostiqua une angine. Il mit la fillette aux antibiotiques et lui interdit toutes sorties à la plage.

    Cinq jours durant, Janey et Bart passèrent plus de temps dans le canot que dans l’eau à proprement parlé. Ils trouvaient un malin plaisir à se faire chavirer et couler quand ils tentaient de remonter le premier à bord. Toujours autant impudique, l’adolescente s’arrangeait pour que le garçon puisse voir ses seins, la forme convexe de son pubis, le dessin net de sa vulve, et ses fesses, séparées par un sillon étroit. De son côté, elle ne se gênait pas pour reluquer la bite de Bart. Il lui arrivait encore d’avoir des érections assez fréquentes, ce qui suscitait l’intérêt de Janey. Mais à force de la voir nue, la curiosité du garçon décroissait.

    Après plusieurs chavirages successifs, les ados forcèrent sur leurs bras pour remonter dans le canot. Une fin d’après-midi où Bart peinait à remonter à bord, Janey, qui était dans l’eau à côté de lui, eut l’idée de l’aider en le poussant sur les fesses. Ce que le garçon trouva très excitant sur le moment. La fille recommença à de nombreuses reprises et, à son tour, Bart usa de feintes pour lui toucher les fesses, effleurer ses seins à peine formés et surtout, ce sexe toujours aussi attirant. Le garçon attendait toujours le moment pour recommencer les attouchements sexuels auxquels il s’était livré sur ce corps nu, à la piscine.

    Le jour suivant, un orage s’abattit sur la région et la météo avait prévu de la pluie pour toute la journée, et une partie de la nuit.

    Les Powell s’étaient rendus dans le bungalow voisin pour jouer à la belote avec des connaissances. Epuisée, Lisa passait le plus clair de son temps à dormir. Janey et Bart avaient eu la permission de revêtir un tee-shirt pour ne pas attraper froid. Ce qui masquait à peine leur nudité.

    L’adolescente proposa à son copain de se rendre dans la chambre du bungalow quelle avait occupée avec Lisa, pour y faire la sieste. Ce que le garçon attendait depuis le début des vacances allait enfin trouver son aboutissement.

    Le lit était très étroit pour deux ados, et janey ne trouva rien de mieux que de se déshabiller entièrement avant de se coucher. Une fois son tee-shirt sans manches plié sur une chaise, elle parada, debout sur le matelas. Puis elle vint se poster à la verticale de Bart, jambes écartées de part et d’autre des hanches du garçon, son sexe parfaitement visible,

Et bien, Bart ? lui lança-t-elle en riant. J’attends !

    Janey avait le don de déstabiliser le jeune Simpson par ses interventions et le tenait à sa merci. Surtout depuis que Lisa était malade. Un peu comme si elle cachait bien son jeu depuis longtemps. Qu’aurait-il pu faire d’autre, Bart, dans cette chambre au store baissé, mais à la suspension allumée, que de se foutre à poil ? Pourtant, cette fois-ci, il s’allongea sur la couette, le tee-shirt remonté sur le ventre, dévoilant son truc au repos.

    Janey se laissa tomber sur Bart, immobilisa ses cuisses avec les siennes et caressa sa peau là où elle était le plus sensible. Ce qui commença à faire bander le garçon.

    En baissant les yeux, Bart se rendit compte que son truc tentait de s’extirper de son slip. Il était tellement excité par la perspective que ce soit Janey elle-même qui le tripote, que le garçon se débattit mollement. Du moins, jusqu’au moment où son sexe, au garde-à-vous, entra en contact avec la main féminine. Quand ils s’en rendirent compte, les deux ados restèrent pétrifiés par la stupeur, les yeux rivés sur les deux membres en contact.

    Janey s’allongea sur Bart, lascivement. Le garçon se sentit tout mou, sentant les mains potelées parcourir son corps. Sa bite gonflée et raide lui faisait mal. Il voulait que l’adolescente le caressât comme lui faisait sa sur. Mais Janey ne fit qu’effleurer son corps, s’arrêtant sur ses fesses, et les pelota. Elle admira la virilité débutante du garçon, un joli tube de chair, raide et palpitant, triquant sans décalotter, émergeant au-dessus d’une paire de boules gonflées.

Comme il est beau, ton zizi !

    Adepte du naturisme, Janey avait dû voir défiler toute une galerie de quéquettes. Et Bart n’était certainement pas le premier garçon qu’elle voyait dans cet état délicieusement indécent. Elle posa deux doigts sur le bout de l’organe et elle s’amusa à faire descendre la gaule en appuyant dessus. Elle se baissait un peu, et quand elle la lâchait, la chose revenait en position, comme un minuscule paratonnerre.

    Le pénis de Bart gonfla de désir sous ses caresses. Janey agrippa la bite et fit un mouvement de va et vient. Le gamin fut branlé à la perfection.

Oui, cest bon ! murmura-t-il.

    L’adolescente arrêta son geste et fusilla le garçon d’un regard sévère. Elle le retourna sur le ventre et lui colla une petite fessée.

C’est moi qui décide si cest bon, tu as compris ?

    L’idée d’être soumis à cette fille excita Bart encore un peu plus.

Cambre-toi bien, lui susurra-t-elle à l’oreille.

    Le garçon s’exécuta aussitôt, soulevant ses fesses vers Janey, cambrant ses reins, se demandant où elle voulait en venir. Il avait voulu explorer son corps, mais c’était elle qui menait la danse. Cette dernière lui écarta tout doucement les cuisses avec ses mains. Elle plongea sa tète entre les globes jumeaux. Bart sentit alors sa langue s’insinuer dans sa raie culière, lui lécher le sillon sur toute la longueur, et son trou du cul bistre et plissé. Si doucement que c’était un mélange de torture et d’extase pour l’adolescent. Le contact provoqua en lui une vraie décharge électrique. Janey donna quelques petits coups de langue sur lanus.

Mais elle s’arrêta soudain, laissant Bart totalement frustré. Elle se glissa sous la couette, se tourna de son côté en chien de fusil et ne bougea plus.

Janey, tu dors ? a-t-il demandé.

    La fillette ne répondit pas. Le jeune Simpson était suffisamment échauffé pour ne pas avoir besoin de la rejoindre sous la couette. Mais histoire d’avoir son corps nu contre le sien, il se pelotonna dans le dos de Janey, son sexe qui perdait de sa rigidité contre ses fesses.

(à suivre…)

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