Cela fait quelques temps que ce fantasme ronge ma libido et je suis fermement décidée à le vivre dans quelques minutes.

Je m’y suis préparée : épilée et maquillée, Mini jupe moulante très courte ouverte très haut sur le côté, hauts talons, un string blanc osé et chemisier presque transparent sans soutient-gorge laissant deviner les auréoles de mes seins… Bref, je veux ressembler à une pute…

Le mot est lâché, le résumé de mon fantasme tient en cinq mots : Pute, se vendre, se prostituer.

Mon mari est officier dans l’armée et j’ai décidé de profiter d’une de ses absences, où il est parti sur le terrain entrainer ses hommes, pour réaliser mon fantasme. Ce n’est pas la première fois que je me gare sur ce parking de la nationale 7 entre le Muy et le Luc par trop loin de chez nous et j’avais déjà vu des prostituées à cet endroit. mais cette fois, j’irais jusqu’au bout, aujourd’hui, je serais cette prostituée.

J’éteins le moteur d’une main décidée. La place choisie est idéale, légèrement en retrait mais visible des hommes cherchant une femme comme moi, parfait coin discret.

J’espère que je plairais, mais ne me fais pas trop de souci, je suis encore très désirable du haut de mes quarante ans : Blonde, coupé court, 1,65 mètres pour 60 kg, des formes pleines mais pas empâtées, un visage agréable et une paire de fesses qui engluent souvent le regard des hommes et surtout de gros seins bien fermes (90D).

Assise dans ma voiture, à l’ombre avec mes lunettes de soleil , je remonte légèrement ma jupe, le tissu découvre alors le triangle de dentelle blanc couvrant mon pubis coupé court en ticket de métro. Parfaitement visible par un amateur passant à proximité. J’espère que cette exhibition discrète affichera mon statut de femme à louer.

Je me concentre, j’essaie de me détendre, de calmer mes battements cardiaques… Relaxe-toi, imagine ce que tu vas peut-être vivre. Espérons que je n’aurais pas de problème… Ah ! Les préservatifs, j’allais les oublier. Je les glisse dans mon petit sac à main.

Il ne me reste plus qu’à attendre. Les bruits des moteurs sont étouffés par la végétation et les cigales.

Plusieurs voitures passent devant moi mais remplies de femme et d’enfants qui ne m’accordent pas un regard. Des hommes passent aussi mais ne semblent pas être là pour ça. Je commence à envisager de repartir quand une voiture s’approche doucement et passe devant moi. J’aperçois le conducteur, qui me vois et qui penche la tête pour mieux regarder à l’intérieur de la voiture. J’avais ouvert plusieurs boutons de mon chemisier et on pouvait voir une grande partie de ma poitrine, offrant mes avantages à sa vue… Mais qu’est ce que je suis en train de faire ? Et si on me reconnaît ?

Il descend de sa voiture, regarde mieux et s’éloigne pour aller uriner un peu plus loin contre un arbre. Lorsqu’il revient vers sa voiture il me semble qu’il me regarde avec plus d’insistance. Il a l’air étonné, il me dévisage, semble réfléchir puis remonte dans sa voiture. C’est étrange il ne bouge pas, il doit réfléchir ? après une attente de quelques dizaines de secondes, mon coeur fait un bon dans ma poitrine : Le conducteur redescend de sa voiture. Un black d’environ 25 ans, une coupe de cheveux court comme très souvent chez les black, habillé d’un jean, d’une chemise et des baskets aux pieds. Bref Le jeune banal, ce n’est pas un adonis et il est très noir de peau mais, bizarrement, cela fait parti de mon fantasme. Se louer à un bel homme serait moins excitant. Je n’avait pas prévu de tomber sur un black, j’ai quand même de la chance qu’il soit tout seul.

Il s’approche, il me regarde bizarrement, semble presque étonné. Il s’arrête face à ma portière et se penche. Le regard surpris, ses yeux me soupèsent, glissent sur mon décolleté, il peut voir l’auréole de mes seins tant il est ouvert et mes tétons qui pointent. Son regard descendent, j’écarte légèrement les cuisses, ma mini jupe remonte afin qu’il ait une vue plongeante sur le triangle blanc de mon string.

Je rougis sous ce regard qui me déshabille et il semble hésitant et me dit d’une petite voix.

— Bonjour

Sans réfléchir, je relève mes lunette et je me lance.

— C’est 50 euros…

Sur le coup, il semble maintenant très surpris, il réfléchit, je le vois qui s’éloigne en prenant son téléphone, il discute 2, 3 minutes, il est très excité, il n’arrête pas de dire qu’il est sur de lui et qu’il ne ment pas, puis je l’entend dire qu’il arrivera plus tard et range son téléphone dans sa poche. Je le vois le sourire aux lèvres et l’air très satisfait.

— Tu suces et tu baises pour ce prix là ?

— Oui….

Je me sens humiliée face à son attitude, il est maintenant sûr de lui et je comprends qu’il a l’habitude… Il me regarde avec insistance et envie, il soupèse la marchandise avant de l’acheter, anticipe sur le plaisir que ses 50 euros vont lui rapporter… Mais c’est ce que je voulais après tout.

Il regarde autour de lui comme si il cherchait quelqu’un ou quelque chose. Puis il me dit.

— Viens on va prendre ce petit sentier là bas, on sera plus tranquille.

Ca y est, je ne peux reculer maintenant. Je vais y passer….

Je sors de ma voiture et me penche pour prendre mon sac à main tandis qu’il en profite pour me caresser les fesses, le ton est donné. Je marche le long du sentier, il est derrière moi et je peux sentir son regard sur mon corps.

— Je te connais pas ?

je ne répondre pas, je réfléchis, m’a t-il reconnu ? Mon cur s’accélère.

— Non, c’est la première fois que je viens dans ce coin là.

J’espère que ma réponse lui suffit.

Arrivée dans un petit clairière discrète avec une table en bois et des bancs pour pique-niquer, je m’arrête et me retourne. J’ose à peine le regarder et réfléchis si je l’ai déjà vu ? Ce dois être ma peur qui me joue des tours. L’homme arrive du côté de moi, baisse son pantalon et son slip, redresse son sexe noir, encore mou et le branle doucement puis il s’assoit le dos contre la table, prend un air détaché et pose un billet sur la table.

— Qu’est ce que t’attends ? Viens me sucer m’ordonne t’il…

Surprise, Je sursaute et sans réfléchir, je m’agenouille sur le banc à côté de lui, prends appui sur mon avant bras droit en me penchant vers ce membre encore mou, le cul dressé. Ma main le saisit tandis que sans réfléchir, je l’engloutis, il sent encore l’urine. Je ne tarde pas à le sentir grossir, vraiment grossir dans ma bouche. Son sexe est énorme, l’homme a glissé sa main entre mes cuisses écartées et caresse doucement l’intérieur de mes cuisses puis je le sens remonter jusqu’à mon entrejambe qu’il frotte à travers le tissu du string. Son sexe, maintenant énorme, guidée par sa main étalée sur ma tête, je m’enfonce plus profondément encore, laissant son gland buter sur mon palais. Maintenant ses doigts fébriles remontent la couture de mon string cherchant une ouverture, l’accès libre à ma chatte louée, j’écarte un peu plus les cuisses. Ça y est, il y parvient facilement et ses longs doigts glissent sur ma fente humide.

— Mais tu es toute trempée et ton clitos est déjà tout dur…

Je suis surprise par sa réflexion et en déduit que les vraies putes ne doivent pas mouiller aussi facilement comme moi.

Son index s’introduit dans mon vagin. Je gémis doucement…

— T’es chaude toi dis donc et bien serrée, on va bien s’amuser tout les deux…

Il s’enhardit, me caresse l’anus en y glissant un doigt mouillé de cyprine, je m’arrête et gémis sous la rude pénétration. Je relève la tête, il me dit énervé.

— Mais continue de me sucer, je ne t’ai pas dis d’arrêter, t’entends.

Mon client, puisqu’il faut bien l’appeler ainsi, se penche sur le côté, donnant plus d’ampleur à son bras, ce qui permet à ses doigts de me fouiller plus profondément.

Je gémis encore, souffre sous la pénétration de mon cul. Le jeune homme. n’est pas tendre et s’amuse sans tenir compte de mes désirs….

— Allez bouge ton cul, enfonce-toi bien, bordel…

J’obéis et mon bassin vient à la rencontre de son index dresse posé sur mon petit trou. Je m’y empale en grimaçant. Je continue ma fellation tant bien que mal avec son doigt figé dans mon anus. J’accélère le mouvement en espérant que cela finisse rapidement.

— Arrêtes de me sucer, tu vas me faire jouir. Arrêtes donc… Aller relève toi maintenant. On va un peu discuter…

Je me remets à genoux, toujours fouillée par son gros doigt, il me pose des questions.

— Je t’ai jamais vue par ici, tu es occasionnelle toi non ? Son doigt me masturbe toujours, cette situation semble l’amuser. Il me parle, mais il ne regarde que son doigt qu’il rentre et qu’il sort.

— Oui

— C’est la première fois que tu viens ici ?

— Oui, dis je en rougissant,

— Je m’en doutais, des problèmes de fric ? étonnant… Allez. Fous-toi à poil maintenant… Je vais m’occuper de toi, tu vas voir, tu vas aimer, t’as déjà fait ça avec un black ?

Il m’observe…

— Et bien répond

— non

— ah ah ton premier black alors, tu vas voir. Dit-il de manière sadique.

Il ouvre sa chemise, il a un peu de ventre, le torse légèrement poilu et sent fort la transpiration …

— t’es mariée ? T’as un mec ?

— Oui…

— Il a de la chance, t’es bien foutue… Puis il rajoute en rigolant, – s’il te voyait maintenant en train de te faire sauter par un black… hum me taper une femme mariée tu vas voir ma belle…tu vas aimer, ça va te changer.

Je n’aurais jamais du lui parler de moi et de ma vie privée, mais je suis tellement impressionnée que je n’ose pas mentir. Je me relève et face à lui, j’enlève ma jupe et mon string, puis déboutonne mon chemisier et je dépose le tout sur la table. Je me retrouve nue en talons hauts debout devant ce jeune black. Les cuisses écartées face à lui, les mains dans le dos et la poitrine bien en avant, bref, ouverte au maximum à son regard, à ses mains sur mes seins.

— Tu es bonne toi, j’en étais sur que t’avais de gros nichons comme j’aime et bien fermes hum… On va bien s’amuser tous les deux, hein ?

D’une main il me malaxe la poitrine sans douceur et me pince les tétons.

— Ouais de bon gros seins bien blancs…

De l’autre, il commence à jouer avec mon clitoris. Puis rapidement, il entreprend de me masturber avec deux doigts. je me sens honteuse mais rapidement je sens le plaisir monter et je mouille de plus en plus, mon souffle s’accélère.

— Oh putain t’es une belle salope comme ça, t’as l’air d’aimer ça en plus hein… vu comme tu mouille, si ton mari te voyait… Bon, il n’est pas là le con. Et le voilà qui rit.

Mon cur fait un bon, il connait mon mari et il sais qui je suis. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il me dit.

— allonges-toi au bout de la table… Bien, relèves tes jambes que je vois bien tout… Redresse un peu ton cul… voila…

Je me sens mal à l’aise, il y a quelque chose qui ne va pas par rapport à sa remarque sur l’absence de mon mari.

Il se met debout devant moi à 2 mètres et me regarde obéir à ses ordres. Je relève les cuisses sur mon ventre et les maintiens avec mes mains, puis penche mes reins en arrière afin de redresser mon cul, de lui offrir la vue de ma chatte ouverte et luisante et de mon anus serré.

Je n’arrête pas de réfléchir ou j’ai bien pu le voir ?

— Tournes toi un peu, diriges ton joli cul vers moi. Oui, comme ça. Hum belle chatte, bien lisse et coupée court. Je vais te bouffer le cul, tu vas voir, ça va te plaire, hein, t’es une vraie salope toi… depuis le temps que je rêvais te baiser.

C’est sur maintenant je l’ai déjà vu et lui aussi apparemment, mais où ?

Je suis prise au piège, il m’a payé et je ne peux plus reculer. Je me sens comme un objet sexuelle. Je vois bien que cela l’excite de me donner des ordres.

Il plonge sa tête entre mes jambes et sa langue tourne autour de mon anus puis il commence à me lécher le sexe tandis qu’il me sodomise avec son pouce.

— Ta petite chatte sent drôlement bon, un vraie petite chatte de femme d’officier…

Oh non ! ça y est, c’est un des soldats de mon mari, je l’ai vu une fois ou deux lors de cérémonies militaire, je me rappelle de son regard posé sur moi quand je venais voir mon mari. Sa manière de me déshabiller du regard.

À son ton je sais qu’il va en profiter, comme si il voulait se venger de quelque chose. Je sais que mon mari m’avait dit qu’il était feignant et qu’il fallait souvent le rabrouer.

— et ouais tu te rappelles maintenant ? j’étais avec les autres soldats lors de la dernière cérémonie militaire au régiment. Quand t’es arrivée dans ta petite robe et tes lunettes de soleil devant nous pour dire bonjour à ton mari et nous exciter, hein salope, à bouger ton petit cul et montrer tes gros seins sous ta robe. À te pavaner devant nous pour nous exciter.

Il me lèche longtemps. Je gémis, partagée entre la douceur de la langue et la douleur de la sodomie.

Toujours la tête entre mes cuisses il rajoute.

— Si on m’avait dis que tu faisait la pute et que j’allais te sauter…

puis ce que qui me terrorise arrive surtout depuis que je sais qu’il me connait. D’un coup il s’arrête et sourit d’un air satisfait. Il se relève, son sexe est rigide et très épais, je vois son gland marron vraiment très gros. C’est la première fois que je vois un homme noir nu. Il se penche au dessus de moi. Je ne vois plus que son ventre et son sexe énorme. Il me regarde fixement.

— Allez tu vas aimer crois moi, ça va te changer une bite de soldat black.

Il prend son sexe en main et je le vois qu’il le dirige vers les lèvres de mon vagin. Il a un regard vicieux et conquérant. Son énorme gland est maintenant contre l’entrée de mon vagin humide et bien ouvert, il pousse, il est énorme. Je sens mes chairs qui s’écartent, ça y est, il rentre et prend possession de mon corps. Son énorme sexe noir tranche avec la peau blanche de mon sexe. Je le vois disparaître en moi.

Il commence littéralement à me baiser, longuement, debout contre la table, entre mes jambes ouvertes et relevées, son sexe bute bien au fond de mon vagin.

Il me pénètre profondément, ses testicules tapent contre mes fesses nues et son ventre pèse sur mon corps. Il me regarde à peine, il ne pense qu’à son plaisir que je lui procure…dans un rythme effréné il me baise littéralement pendant 5 bonnes minutes.

Soudainement il s’arrête et il m’ordonne de me retourner.

— Allez on va changer un peu de position, montre moi ton beau petit cul bien propre de femme blanche d’officier.

Un petit moment de répit, je descend de la table et je me retourne lentement, je pose mes coudes sur la tables, je cambre le dos et écarte au mieux mes cuisses pour qu’il ait une belle vue sur mes fesses et mon sexe ouvert, après tout, il a payé pour ça.

— hmm ouais t’es une belle chienne toi, j’en étais sur que t’avais un cul d’enfer, ah ah

Là, debout entre mes cuisses, il agrippe mes hanches et tout à coup, je sens son gland chercher mon étroit orifice…

— Non, pas ça….

— Comment ça pas ça ? J’ai payé non ? Tu savais à quoi t’attendre… Alors maintenant je vais t’enculer et si tu es sage je te donnerai même un supplément… Alors détends toi, maintenant, compris !

J’ai complètement oublié de lui dire au début que je ne me faisais pas sodomisée, c’est entièrement de ma faute…

Je hurle sous la possession brutale… Une douleur terrible irradie mon cul… L’homme n’en a cure, il force et appui son gland contre mon anus avec ses doigts et je sens que je cède. Il rentre d’un seul coup et il commence son va et vient, crispé sur mes hanches…

— Tu la sens bien ma queue hein…dit il fièrement. Puis il rajoute.

— punaise, j’encule la femme de mon chef, trop fort, les mecs vont pas en croire. Ma bite dans son petit cul.

Il se retire doucement sur toute la longueur de son sexe épais pour de nouveau me pénétrer profondément. La torture n’en finit pas, il prend son temps. Il me sodomise comme un vrai porc, sous ses violents coups de butoirs mes gros seins bougent dans tous les sens au rythme de ses profondes pénétrations, la table grince. Je m’accroche de chaque côté, les seins plaqués contre la bois. Ses cuisses et sa bedaine tapent contre mon cul. On n’entend que le claquement de son ventre contre mes fesses. Je l’entends qui souffle comme une bête, agrippé à mes hanches, il transpire comme un buf et des goutes de sa sueurs coulent abondamment sur mon dos. Mais la douleur s’amenuise… L’habitude, Il accélère et grogne comme un porc et n’arrête pas de parler.

— toi t’as un cul d’enfer… Hum salope… T’es bonne… T’es serrée toi… il doit pas t’enculer souvent ton mari… T’aimes ça te faire sauter par un black ?

Je sens enfin qu’il se retire, mon calvaire prend fin. Mais il reste derrière moi sans bouger, il me caresse les fesses, je tourne la tête et je vois son regard poser sur mon sexe ouverte. Il me regarde en souriant et me dit d’un air satisfait son téléphone à la main

— bouge pas je prend une photo de ton jolie petit cul.

— non pas une photo, je l’implore

Il ne m’écoute même pas.

— hum je ne me suis jamais tapé une femme d’officier, faut bien que j’immortalise ça. alors tu as aimé ma grosse queue hein ? Ça change ?

Puis il rajoute.

— Quand je t’ai vu dans ta voiture, je me suis dis "la femme du capitaine, non c’est pas possible " et quand tu as enlevé tes lunettes et dis que c’était 50 plus de doute, j’ai appelé un pote qui ne me croyait pas. mais là, merde, je vais être le roi quand je vais leur montrer ça…

Je tourne la tête honteuse, je n’ose le regarder. Lui croyant que le snobait, commence à s’énervé.

— Quoi ? je ne suis pas assez bien pour toi, t’as voulu te taper un mec pendant que ton mari était absent hein ! et bien tu vas voir salope.

Soudain je sens de nouveau son gros gland effleurer ma chatte. Il s’y introduisit et je pousse un gémissement.

— alors comme ça tu te crois mieux que moi hein et ton mari qui n’arrête pas de me donner des ordres. S’il me voyait entrain de niquer sa femme ? Mes potes vont être sur le cul. allez salope, bouge bien ton cul, t’es filmée…

Il reprend sa cadence de forcené et recommença à me baiser sauvagement. Il tend ses bras et ses mains s’agrippent à mes épaules, il s’enfonce et tape au fond de mon vagin, violemment. pendant de longue minutes.

Il accélère et souffle fort, entre deux halètements, il n’arrête pas de faire des commentaires.

— espèce de salope… Prend ça… Tu la sens ma grosse queue dans ta chatte… Tu sens comme je t’écartes le cul… Putain si ton mari nous voyait…

Il accélère encore, son dernier coup de rein est violent et profond. les poils de son pubis collent à mes fesses il reste figé dans mon sexe, je sens les soubresauts de sa verge épaisse contre ma parois vaginal , il jouit 5 ou 6 secousses, en grognant,,

— ah putain, salope, là je me suis bien vidé les couilles.

il s’immobilise et savachit sur moi. Le calme revient… Il est dégoulinant de sueurs et sent fort la transpiration.

il reprend son souffle.

— t’es vraiment bonne toi, t’as un cul d’enfer… Il doit bien s’amuser ton mari ? Hum j’en était sur que les femmes d’officiers étaient des bonnes salopes, quand je vais dire ça au potes…

Il s’écarte, fière de lui et je sens son sexe sortir de mon vagin et qui me libère, mon corps est trempé de sa sueur. Il se rhabille en me regardant, son téléphone toujours en mode caméra.

Je me tourne et, affolée, je sens une grosse quantité de sperme blanc, chaud et visqueux couler hors de mon vagin, le long de mes cuisses.

Le salaud, non seulement il m’a sodomisée mais en plus il a poussé le vice et l’humiliation à me souiller en remplissant mon utérus de son foutre.

Affolée je dis.

— vous n’avez pas mis de capote ?

Et là tout en rigolant, il me répond.

— Et c’est toi qui veux jouer à la pute, c’est à toi dis penser. T’inquiètes, je suis pas malade et puis si tu tombe enceinte tu sauras que c’est un soldat de ton mari qui ta engrossé, faudra juste lui expliquer pourquoi il est black.

Il est fière de lui, il sait qu’il vient de me posséder complètement.

Je me rhabille, la tête baissée…

Il me tend de nouveau 10 euros…

— Tiens, tu les a bien mérités. Ce soir je vais être le king avec ce film.

Je rentre à la maison, un peu honteuse et l’impression d’être sale, traitée comme une prostituée que j’ai été l’espace d’une demie heure, humiliée aux ordres du soldat de mon mari.

Une bonne douches me détendra et, quelques heures plus tard, je me suis caressée en pensant à cette expérience et aux jeunes aux régiment qui vont se masturber devant le film. J’espère seulement que mon mari ne soit jamais mis au courant.

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