Lhistoire est réelle et se déroule à lété 2012, alors que je venais de me marier avec Salomé. Nous étions partis en compagnie de sa famille pour trois semaines à Miami, trois semaines de soleil. Nous devions nous partager deux appartements sur le même palier dans un luxueux building de Miami Beach. Jétais tout jeune et ne connaissais pratiquement rien de la vie ni de la sexualité, ayant épousé la seule femme que jaie jamais connue. Je découvrais tout avec Salomé. Elle faisait de même avec moi.

Dans le premier appartement, il y avait Salomé et moi, ainsi que Pierre, son frère. Et dans le second, y habitait Héléna, Rachel et Anna, mes trois belles-surs. Elles avaient dans lordre 28, 25 et 17 ans. Mon épouse venant dune famille nombreuse. Comme tous les hommes qui ne se mentent pas, je fantasmais sur chacune dentre elle. Un peu moins sur Héléna que je ne trouvais pas belle.

En revanche, Rachel et Anna habitaient mes instants de rêveries et de masturbation. En pensant à Anna, jimaginais son corps blanc et ferme se tendre sous mes caresses, mes doigts sinsinuant dans ses parties les plus intimes. En rêvant de Rachel, je ne faisais que constater une attirance mutuelle. Du moins, croyais-je distinguer dans ses regards, une sorte de désir. Javais des doutes, bien sûr, mais je me savais beau et attirant du haut de mes 23 ans.

Malgré tout, jétais marié à Salomé et savais que rien ne pouvait ni ne devait arriver avec aucune dentre elles. Je passais donc des moments intimes avec mon épouse et chaque rapport nous permettait de découvrir un peu plus nos limites. Les positions devenaient plus osées et les fantasmes moins irréalisables.

*

Nous avions passé plus de huit heures dans lavion. Huit heures pendant lesquelles la majorité dentre nous dormis. Pour ma part, je préférai regarder des films en boucle, ayant toujours éprouvé une haute résistance au sommeil. Dans la rangée de gauche je pouvais voir la seule personne qui nétait pas endormie, il sagissait de Rachel. Cette dernière lisait le roman Orgueil et Préjugés, ou du moins prétendait le lire, et me jetait de temps à autre des coups dil ou des sourires. Que je lui rendais.

Ayant débarqués, nous nous rendîmes aux appartements loués pour loccasion. Nous nous garâmes au bas de limmeuble et montâmes nous installer. Très vite, une sorte dexcitation prit le groupe. Tout le monde voulait sortir, bouger, se dégourdir les jambes. Il faisait nuit et personne ne voulait dormir. Exception faite de moi qui commençai à ressentir les effets du Jet Lag. Ils me laissèrent donc sur place et allèrent, première destination importante, faire les courses chez Wallmart (léquivalent de Carrefour aux USA). Je me retrouvai tout seul et décidai daller dormir. À peine allongé, je mendormis sans délais.

Je me réveillai trois heures plus tard, toujours seul dans lappartement. Dans le salon, il y avait une bonne dizaine de sacs remplis. Preuve que les courses avaient été faites. Malheureusement je ne voyais aucune trace des autres. Sur la table, un simple petit mot de Salomé : « mon chéri, tu dormais profondément. Je nai pas eu le cur de te réveiller. Ne tétonnes pas de ne pas nous voir à ton réveil, nous sommes allés au Casino. Je taime ».

Déambulant sans but dans lappartement, je décidai de boire une des bières fraîchement achetées sur le balcon, donnant sur la ville. À peine sorti, jentendis un : « Hey ! Tu es réveillé ! ».

Je me retournais et vis sur le balcon voisin, dans lobscurité, la silhouette de Rachel, assise sur le fauteuil dextérieur en osier.

 Ah, cest toi ?

 Tas pas lair ravi de me voir. Tu débarques ?

 Cest que je ne mattendais pas à voir qui que ce soit. Tu nes pas au Casino ?

 Il ny a pas que toi qui nas pas dormi dans lavion, jeune homme… Jai le droit au repos.

 Jeune homme ? Tas lair fine du haut de tes vingt-cinq ans…

Un silence passa pendant lequel nous nous observâmes.

 Bon ben tu vas finir pas louvrir ta bière ?

 Oui bien sûr. Je me disais juste que ça faisait longtemps que nous ne nous étions pas parlés. Depuis le mariage et tout ça. Ça ma un peu manqué, pas toi ?

Rachel se leva et sapprocha du muret qui nous séparait.

 Moi aussi. Mais il y a autre chose qui manque. Je suis certaine que tu sais de quoi je parle. Jai attendu que le mariage passe, que tout soit officialisé pour quil ne te vienne pas lidée de tout annuler. Tu laimes ma sur, nest-ce pas ?

 Evidemment, sans amour pas de mariage.

 Bien. Moi aussi je laime. Et je ne veux aucunement la faire souffrir. Mais il faut que nous parlions.

 Bien sûr. De quoi ?

Rachel se colla au maximum au muret, passa un bras derrière ma tête, magrippa les cheveux et approcha mes lèvres tout près des siennes.

 De ça.

Elle passa alors langoureusement sa langue entre mes lèvres.

 Dis-moi que tu ny as pas pensé le premier jour où nous nous sommes vus.

 Si, dis-je dans un souffle. Et tous les autres jours qui ont suivi. Et jai pensé à bien plus que ça. Mais Salomé…

 … Mais Salomé ne saura rien, me coupa-t-elle. Sauf si tu le lui dis. Mais tu nes pas assez bête pour tout gâcher. Nest-ce pas ? Viens de ce côté, dit-elle en relâchant mes cheveux.

Jenjambai le muret et me retrouvai face à elle. Elle était vêtue dune courte jupe foncée en coton et dun haut blanc qui laissait apparaître malgré lobscurité son soutien-gorge rouge. Ses sombres cheveux contrastaient aisément avec la clarté de sa peau et les courbes de son corps laissaient espérer des heures érotiques.

 Assieds-toi me dit-elle.

Je minstallai sur le fauteuil en osier sur lequel elle était quelques instants plus tôt.

 Je te préviens : tu ne me baiseras pas ce soir. Mais on va quand même samuser.

Elle sapprocha de moi, ouvrit la braguette de mon short et sortit ma queue.

 Pas mal, Salomé me la décrite. Elle a un peu exagéré… Mais la largeur… Disons dépasse la moyenne.

Sous le feu des critiques, je rougis. Cétait la première fois quune autre femme que Salomé empoignait mon membre. Sous la pression, celui-ci prit immédiatement une taille… intéressante.

 Si tu savais comme jai fantasmé sur cet instant, lui dis-je. Jen ai versé des litres de sperme.

 La même chose pour tous les mecs. Tout de suite dans la vulgarité. Bon tais-toi et profite. Jimagine que Salomé est moins experte que moi pour ce genre de chose… Mais elle apprendra… Comme toutes les filles.

 Et toi tu serais une experte, cest ça ? Tu sais comment les mecs appellent une experte en fellation ?

 Une salope ? Une pute ?

 Oui, voilà. Alors ten es une ?

 Tu vas voir, me dit-elle en léchant sa lèvre supérieure avec la pointe humide de sa langue. Elle me repoussa au fond du fauteuil et déposa délicatement ses lèvres sur mon gland. Circoncis, elle navait pas eu la peine de me décalotter.

Elle entama une longue succession de va-et-vient sur mon sexe gonflé. Sans jamais le mettre dans sa bouche. Simplement à laide de sa langue musclée par lentraînement. De temps à autres, elle me jetait un regard pervers pour voir comment je réagissais à la fellation. Je ne supportai plus la tension et lui saisis ses cheveux longs et fins. Je la forçai à avaler ma queue dans son entièreté. Au départ, elle prit la moitié en bouche. Puis dans leffort elle fit passer les seize centimètres au fond de sa gorge. Je pouvais entendre les bruits détouffement et spasmes que provoquait la fellation.

Très vite, jentamai moi-même une pénétration de sa gorge, Rachel se contentant de garder la bouche grande ouverte et de ne pas vomir. La salive coulait sur son menton, sur sa gorge, et quelques gouttes tombaient dans son décolleté aguicheur. Mon membre était lubrifié, je savais que je ne pourrai pas tenir éternellement. Pour profiter au maximum de ma belle-sur (pour une fois, le mot définissant correctement lêtre indiqué), je passai une main sous son haut et me saisit de son sein droit. Protégé par un soutien-gorge rouge en dentelle, je pressai le globe soyeux afin de le dégager de lencombrant bonnet. Une fois le sein dégagé, je mattardai sur le téton rigide qui marquait lexcitation de Rachel.

À cet instant, léventualité de ne pas baiser cette salope me parut impossible. Il fallait que je pénètre sa chatte, avec ma virilité ou tout du moins avec mes doigts. Elle dut lire mon envie dans mes yeux car elle me dit :

 Je te lai dit mon cher, tu ne me baiseras pas ce soir. Je vais te faire juter dans ma bouche.

Pris par linstant, chargé de tension, je me levai et saisis la tête de Rachel à deux mains. Puisque je ne pouvais pas avoir son bas-ventre, je baisai sa bouche. Je donnais des coups de butoir et sentais la pointe de son nez senfoncer dans mes poils pubiens. Ces derniers étant pénétrés de la salive abondante de la suceuse.

Encore quelques instants, et je savais que ma semence recouvrirait le joli visage de cette femme torride. Je sentis ma verge se gonfler, signe dune fin rapide. Je sentis le flux sanguin dans ma bite, labandon qui précède lextase. Je vis dans les yeux de Rachel une lueur perverse et gourmande. Jinclinai mon gland vers le bas de son visage, elle garda la bouche ouverte. Et, fait incroyable, je déversai une quantité encore jamais produite par mon organisme dans la bouche et sur la peau satiné de Rachel. Mon sperme opaque oscillait par petit jet entre ses dents blanches et sa langue charmante. Il se mélangea rapidement avec sa salive.

Quand arriva le moment de tout avaler, elle ne se fit pas prier. Elle se releva, posa sa main sur ma nuque et membrassa longuement. Je sentis les relents salés de mon propre sperme. Un peu de mon sperme passa de son visage au mien. Étrangement, et contrairement à tout ce que javais toujours pensé, mon propre sperme ne me dégoûtait pas outre mesure.

Elle sécarta de moi, me fit un clin dil coquin, ramena à laide de son index un peu de sperme qui restait au coin de sa bouche puis elle retourna à lintérieur de lappartement. Je restai seul sur la terrasse. Je venais pour la première fois de tromper Salomé. Et je savais pertinemment que cela ne serait pas la dernière.

Jenjambais le balcon avec dans lesprit le cul de Salomé, sa chatte encore inexplorée. Je revoyais son sein chaud et lisse. Je néprouvais pas de remords. Seulement de limpatience. Savoir quand je baiserai enfin Rachel.

Je ne le savais pas encore mais cette soirée marqua indirectement la fin de mon mariage.

La suite de mon voyage à Miami et à travers le corps de Rachel très bientôt.

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