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Une seconde jeunesse – Chapitre 1




« Eh oui, ma titite, ta grand mère a le feu aux fesses, elle est amoureuse… »

Je parle à la photo de ma petite fille insérée dans un cadre fixé sur le tableau de bord de ma voiture.

Il y a deux mois, j’ai rencontré un homme par l’intermédiaire d’un site de rencontre, novice sur ce genre de site j’avais discuté avec cet homme de deux ans plus âgé que moi, nous étions divorcés tous les deux, lui pour lassitude et mésentente, moi parce que mon mari était parti il y a 4 ans vivre avec une de ses collègues qui a 20 ans de moins que moi.

En cette soirée de vendredi, je roule prudemment, dans un quart d’heure je serai chez lui où depuis pratiquement deux mois je me rend tous les week-end, les villes où nous résidons sont distantes de 50 km, et il y a l’autoroute..

/ …

« Bonjour Christine, je m’appelle Michel, on se fait la bise ?… »

Nous nous étions donnés rendez-vous en ce samedi après-midi de mars dans un bourg à mi-chemin entre nos deux villes, en terrain neutre, comme me le dis Mimi plus tard en rigolant.

Je détaille tandis que nous nous dirigeons vers un café, l’homme qui vient de m’embrasser, je me dis que ce n’est pas vraiment mon type d’homme, j’aime les grands bruns ténébreux, il est de taille moyenne, assez costaud, chauve, rasé à la tondeuse, donc barbe grise de 3 jours, par contre un sourire perpétuel aux lèvres, en guise de grand brun je suis servie.

La femme qui est à mes côtés correspond tout à fait au type de femme que j’aime, pas très grande 1,60 m, pas trop mince, des cheveux bruns coupés assez court, bien poitrinée, à vue de nez je dirais un bon 95 c, une belle croupe, mise en valeur par sa jupe, des jambes bien galbées, un magnifique sourire et de beaux yeux noirs.

Au deuxième café, nous avons décidés de nous tutoyer, Michel me propose que nous allions au restaurant, dans sa ville, il me propose un établissement, je lui répond que j’en ai entendu parler, je suis d’accord.

Michel prend son portable et réserve une table pour vingt heures et me dit, nous avons encore deux heures devant nous, de venir chez lui en tout bien tout honneur où si je le désire que nous continuions à boire des cafés ou autres, mais il me prévient s’il boit trop de cafés, il ne pourra pas dormir, j’éclate de rire et lui dit que moi aussi, alors allons chez lui.

Il me raccompagne à ma voiture et me demande de l’attendre, la sienne est un peu plus loin.

Nous nous garons sur le parking de son immeuble, un bon point pour Michel, j’adore le modèle de voiture qu’il a, un coupé.

« Nous allons monter au ciel… » me dit-il avec un large sourire.

Il occupe un appartement en duplex en haut d’un immeuble, immédiatement j’adore la vue sur la ville et le lui dis.

Après avoir bu un jus de fruit, échangé des banalités, un silence s’installe, puis Michel se lève, me tend la main et me dis « viens… »

Il y a quatre ans qu’un homme ne m’a pas touché, je suis nue sur le lit, Michel m’a déshabillé avec délicatesse, en me caressant et m’embrassant, j’embrasse Michel, il m’embrasse, nous nous caressons, puis la main de Michel se glisse entre mes jambes, je les écarte, il commence doucement à me caresser le sexe, ses doigts titillent mon clito, caressent mes lèvres, pénètrent mon vagin, je ne tarde pas à mouiller abondamment, puis à gémir, je fini par jouir dans un long hurlement de plaisir.

Collée contre lui dans le lit, je joue avec les poils de son torse, il est extraordinairement velu, c’est la première fois que je caresse un homme aussi velu, et je dois admettre que j’adore ça.

Je cache ma figure, je pleure, Michel s’en rend compte et me demande ce qui ne va pas.

« J’ai peur que tu me prenne pour une salope… ça fait deux heures que nous nous connaissons et je suis déjà nue dans ton lit, tu vas me prendre pour une pute ou une marie-couche-toi-là… et j’en suis pas une… » hoquetai-je entre deux sanglots.

Michel m’assure que non, et si je suis nue, c’est qu’il le désire autant que moi, il me dit qu’il n’est pas « un homme facile… », j’éclate de rire, toute gêne à disparue, je prend son sexe dressé et commence à le branler, Michel me caresse le bas du dos et les fesses, je me cambre pour m’offrir à ses caresses.

« Je te préviens, je n’ai pas trop l’habitude… » je suis à quatre pattes sur le lit et embouche le sexe de Michel, je commence une fellation, Michel me demande de ramener ma croupe vers lui, je m’exécute, il entreprend de me caresser à nouveau mon sexe et titille mon anus, je ne tarde pas à mouiller abondamment, il utilise la mouille pour lubrifier mon anus, ses doigts commencent à le pénétrer, il le fait avec délicatesse, je pense à mon ex-mari, qui les rares fois où j’ai accepté d’être prise par là, m’avait forcée avec une brutalité inouïe, je continue la fellation, je sens que Michel ne va bientôt plus se retenir, il a enfoncé un pouce dans mon anus, ses doigts me branlent le sexe, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps non plus.

Michel pousse une sorte de grognement et son sperme jaillit dans ma bouche, au même instant je jouis encore une fois.

J’avale lentement le sperme de mon amant, lui nettoie son sexe à petits coups de langue, le décalotte, aspire, suce, je veux récupérer jusqu’à la dernière goutte de sperme, puis me redresse, vient m’allonger à côté de lui et l’embrasse, il me rend mes baisers, nous sommes côte à côte, nous nous caressons mutuellement.

« Tu as des seins magnifiques… », Michel joue avec ma poitrine, la caresse, tire mes pointes qui sont érigées (je me rend compte, qu’avec lui elles sont restées tout le temps dressées, avec mon mari c’était de temps en temps).

Nous restons un long moment à nous caresser, Michel me dit « on va se nettoyer un peu, il est l’heure d’aller au restau, nous irons à pied, c’est à dix minutes d’ici… »

« T’as pas une charlotte ?… », debout dans la baignoire, je tiens la pomme de douche, Michel me rejoint, me tend un emballage, je le déchire, pose la charlotte sur ma tête et lui fait remarquer « je dois être très chouette et attirante avec ça sur le tête… », Michel m’embrasse, m’assure que je suis canon et me dis qu’il va me laver.

Il passe la pomme de douche sur mon corps, l’eau ruisselle, prend un gant, l’enduit de gel-douche et commence à me masser doucement la poitrine, je mouille derechef, puis il descend sur mon ventre, délicatement me nettoie mon sexe, enduit mon anus de gel, le pénètre délicatement, je sens que je vais jouir à nouveau, il s’en rend compte, laisse le gant, me croche pas les hanches, je sens son sexe pénétrer le mien, ses va et vient sont lents, délicats, je mouille de plus en plus, je suis ailleurs, je prononce des mots sans suite, je vais jouir, je jouis en hurlant…

« Et toi t’as pas eu le temps de venir, encule moi, prend ton plaisir dans mon cul, je t’en prie, mais fais attention, je ne suis pas trop habituée de ce côté là, mais je veux sentir ta bite dans mon ventre… »

Son sexe pénètre doucement mon anus, je n’ai pas trop mal, de toute façon j’en ai tellement envie, puis lorsque son sexe est entièrement rentré, il commence ses aller et retour, je me cambre au maximum pour m’offrir, je n’ai plus mal, je sens mon ventre couler, lorsque Michel se libère dans mon cul, mon ventre à un spasme et je pousse un nouveau cri de jouissance.

(Qu’est-ce qui t’arrive ma fille, jamais tu n’a joui comme ça avec Patrick [mon ex], lui… dès qu’il te touche, ton ventre coule… )

« Sors de cette baignoire Mimi que je me douche, et seule ce coup-ci… »

Michel sort de la douche, je suis en train de finir de m’essuyer, il veux prendre ma serviette pour m’essuyer à son tour, je lui tape sur la main « bas les pattes, pervers, cochon, je ne serai jamais prête, laisse moi… », malgré tout je l’embrasse « vas prendre ta douche et laisse moi me préparer.. ».

Je suis habillée, j’ai fini de me maquiller, Michel m’a complimenté sur le fait que je porte des bas, nous sommes dans le salon, je vais récupérer mon manteau pour sortir, Michel relève ma jupe, me caresse les fesses, je me laisse faire, puis il descend ma culotte, je laisse faire, il veux apparemment que j’aille au restaurant ventre nu, je ne l’ai jamais fait, mais je ne sais pourquoi, je suis d’accord, bizarrement j’en ai même envie.

Nous faisons un excellent repas, nous discutons, tout en parlant je suis un peu inquiète, je sens mon ventre couler à nouveau (bon sang qu’est-ce qu’il m’arrive…).

Nous revenons chez Michel tendrement enlacés, tout en marchant, il a relevé ma jupe et me caresse les fesses, nous sommes en pleine rue, certes il fait nuit, je me laisse faire et trouve ça normal.

Nous sommes allongés nus sur le lit, nous nous caressons.

« Tu es en train de faire de moi une vraie salope, jamais je n’ai fait des trucs pareils, le pire c’est que j’aime ça, je n’ai même pas honte… »

Mimi me caresse la poitrine, le sexe, je tiens son sexe dressé dans ma main et le branle tout doucement, il m’écarte les jambes, se redresse, se met face à moi, me caresse mon sexe qui est trempé, il place mes jambes sur ses épaules, m’empoigne par les hanches et me pénètre sans ménagement, puis son sexe commence ses va et vient dans le mien, accompagné du bruit de floc-floc que fait mon vagin trempé de mouille, je suis littéralement trempée, je sens mon plaisir monter, le sien aussi, lorsqu’il éjacule dans mon sexe, je hurle ma jouissance, lui aussi crie, fini de se libérer et s’écroule sur moi, nous sommes vidés.

Nous sommes allongés côte à côte, Michel cueille son sperme et ma mouille avec ses doigts et me les faits lécher, je m’exécute docilement, naturellement (si Patrick avait essayé de me faire faire ça, je lui aurais flanqué une baffe, l’aurai traité de salaud, d’obsédé et aurai refusé de le faire, là je le fais avec plaisir, mon cerveau tourne à 100 à l’heure, je me rend compte que je suis complètement mordue de cet homme que je ne connais depuis quelques heures, l’aime et ferai tout ce qu’il voudra « Christine… tu es complètement folle ma fille… », les pensées se bousculent dans ma tête…).

Michel m’embrasse tendrement, je suis bien maintenant, blottie dans ses bras, sa langue titillant une de mes oreilles, une de ses mains me caressant les seins.

Nous finissons par nous endormir enlacés.

Mon ventre est en feu, j’ai un poids sur le dos, j’émerge du sommeil, instinctivement je me cambre, Michel est en train de me prendre dans mon cul, il m’a prise pendant mon sommeil, je suis réveillée, il me caresse le dos, m’embrasse, me dis « bonjour mon amour, je te regardai dormir, j’ai eu envie de ton cul… », je vais au devant de ses pénétrations, mon ventre coule, lorsqu’il éjacule dans mon cul, je pousse un hurlement de jouissance «  Tu me le referas, j’adore, je ne l’avais jamais fait, mais j’adore, merci… », les mots sont sortis tout seuls de ma bouche, effectivement, il me viole, enfin presque, et j’adore ça…

Je suis blottie dans ses bras, nous nous embrassons, Michel me demande si je veux déjeuner, je lui dis que j’ai faim et envie d’un café.

« C’est prêt, descend et reste nue mon amour, je ne te monte pas le plateau au lit, désolé pour l’absence de romantisme, mais je suis maladroit comme une vache avec un plateau, et j’en flanquerai partout, excuse moi, amour… »

Je file dans la salle de bains me mettre un coup de gant sur le cul et descend, je vois que Mimi admire ma poitrine lorsque je descend l’escalier et lui fait remarquer «  ils te plaisent mes nénés, hein gros cochon… », une claque sur les fesses et un pincement de mes tétons furent la réponse.

« Viens… », Michel me prend par la main, nous remontons nous coucher.

«  j’aime dominer dans l’amour, je vais t’attacher, te faire plein de trucs bizarres, te flanquer une fessée, et te faire l’amour… », vaincue d’avance, j’accepte.

Michel me fait m’agenouiller sur le bord du lit, me demande de me pencher jusqu’à ce que mes cuisses touchent mon ventre, je m’exécute, il prend une sangle, la passe autour de mes cuisses et sur mon dos, la serre, je suis immobilisée, cambrée, offerte, je mouille comme une folle.

Il prend des pinces reliées par une chaîne, me les fixent sur les seins, le pincement et le tiraillement, sensations nouvelles pour moi, m’envoient une décharge dans le ventre, je mouille encore plus.

Il attrape la sangle, me fait basculer en arrière, une main fouille mon sexe et mon cul, je gémis des mots sans suite, je vais jouir c’est sûr…

Un sifflement, un coup, une douleur, je me retourne et vois une cravache, déjà le deuxième coup arrive, Michel me demande de compter, je m’exécute, à 10 il arrête.

Il prend un de mes bras, me bascule vers lui, son sexe pénètre mon anus, il prend mon autre bras et entreprend un long et lent mouvement de pénétration, je sens son ventre taper sur mon cul, ses couilles taper sur mes fesses, je crie, je gémis, il continue, à l’accélération de ses mouvements je comprend qu’il ne va pas tarder à jouir dans mon cul, il décharge, je hurle comme une folle, je n’ai jamais joui pareillement.

Je m’écroule, désarticulée sur le lit, inerte, Michel me caresse le dos et les fesses.

Au bout de quelques minutes, il me repositionne, les mots sortent seuls de ma bouche « …frappe moi plus fort, marque moi… ».

Je compte trente coups, mon derrière me brûle, il n’est plus que douleur, mon ventre est de nouveau en feu.

Michel se positionne derrière moi, pénètre mon sexe, prend mes bras et entreprend à nouveau son infernal mouvement de pénétration, je gémis, je crie, lorsque son sperme envahi mon sexe, je hurle comme une démente, je suis morte, je veux mourir, jamais je n’ai ressenti ça.

Je m’écroule sur le lit, Michel défait la sangle, je suis inerte, je serre mes jambes pour garder son sperme en moi… il caresse doucement mes fesses martyrisées, se penche me les lèche, les embrasse, me fait plein de petits bisous dessus.

Nous sommes allongés côte à côte, enlacés, je lui dit que désormais il peut me faire ce qu’il veut, je suis à lui, je suis sa soumise, son esclave sexuelle, il peut faire ce qu’il veut de moi, même me prostituer, j’accepte tout…

« Christine… t’es complètement folle…fiche le camp espèce de dingue… tordue… reste me dit mon ventre, j’aime ce qu’il me fait… » cette pensée tourne en boucle dans ma tête…

En sortant de la douche, je vais m’allonger docilement sur le lit, Mimi va me raser, il aime les sexes glabres, je le laisse faire, bientôt mon sexe est lisse comme celui d’un bébé.

Michel me remercie de ma docilité en me léchant le sexe, je mouille et fini par jouir en hurlant, il m’a fait jouir alors qu’un de ses doigts est dans mon cul, je jouis de tout avec lui.

Je vais me nettoyer dans la salle de bains et admire au passage les marques sur mon cul et mes cuisses, je me trouve belle marquée comme ça.

Je me pelotonne dans ses bras et m’endors comme un bébé.

Je suis nue dans la cuisine, je prépare le repas de midi, j’ai demandé à Michel de me laisser faire, il est derrière moi, ou assis, me regarde ou me caresse, lorsqu’il n’y a plus que la cuisson à réaliser, les plats sur les gazinière ou dans le four, il me prend sur ses genoux et entreprend de me caresser le ventre, ses doigts fouillent mon sexe, je mouille à nouveau, je ne tarde pas à hurler ma jouissance, malgré qu’il pince fortement un de mes seins.

Je récupère lentement toujours assise sur ses genoux, je me tourne vers lui et lui demande, « mords moi mes seins, marque les… », il le fait avec douceur et bientôt j’admire la marque de ses dents sur mes seins, il me les caresse et me dit qu’il les trouve fabuleux… (j’ai de la chance d’avoir une belle et volumineuse poitrine qui est restée ferme malgré deux maternités).

Il me prend par la main, m’entraîne sur le canapé, s’assied et me demande de me coucher en travers, j’ai la tête sur son ventre, il me caresse les cheveux, la figure, les seins, me murmure des choses gentilles « tu es belle, tu es faite pour être caressée, tu es faite pour être aimée… », je suis bercée par sa voix je suis heureuse…

I se lève, va surveiller la cuisson revient, s’agenouille devant le canapé, m’embrasse, joue avec différentes parties de mon corps, bêtifie « la madame a de jolis nénés fait pour les baisers et la main de Mimi », il les embrasse et les palpe, nous bêtifions, je suis aux anges, je n’avait en fait jamais beaucoup fait cela, j’adore…

Il me sert l’apéritif que je lui avais demandé, s’assied en face de moi dans le fauteuil, tend son verre et me dis «  à nous, à notre rencontre, à notre amour… (imitant Renaud, il chante [faux d’ailleurs]) je suis morgane de toi… », je ris, je suis aux anges, j’ai 20 ans, je désire un homme, il me désire, nous nous désirons, nous nous aimons.

Je mange à la cuillère les becquées que me donne Mimi, je suis assise sur ses genoux, nous mangeons le dessert, je ris, je suis heureuse [je ne suis pas sûre qu’un grand brun ténébreux aurait eu cette idée, Mimi lui, l’a eut]…

/

« Eh oui, ma titite, ta grand mère a le feu aux fesses, elle est amoureuse… »

Dans 10 minutes je serai arrivée et me blottirai dans les bras de l’homme que j’aime.

Je sens mon sexe mouiller de plus en plus, je suis nue sous ma jupe, nue sous mon corsage, depuis 5 semaines, je me suis mise au régime et sans regagner ma taille de jeune fille, ai fondue…

Mimi m’accueille en m’embrassant à la porte de lascenseur.

Nous sommes dans la cuisine, je suis assise sur ses genoux, les mains de mon amant courent sur mon corps encore habillé, me caressent, je suis aux anges, j’adore ces moments là… il appelle ça, me redécouvrir… ses mains se baladent…

« Je monte, tu restes en bas, je vais te faire une surprise… »

Je me déshabille rapidement dans la salle de bains, enfile un porte-jarretelles, des bas, des talons de 10 cm, et passe la robe en jersey moulante que j’ai acheté et modifié au cour de la semaine.

Je me regarde dans la glace de la salle de bains et me trouve irrésistible. La robe me moule outrageusement, s’arrête à mi-fesses, moulant mon cul cambré au passage, j’ai agrandi le décolleté qui va jusqu’au nombril maintenant, mes seins semblent prêt à jaillir à chaque mouvement, je me trouve splendide.

Je fini de me maquiller outrageusement, entr’ouvre la porte, »Mimi installe toi, je descend… »

Une musique d’ambiance, Mimi a mis un CD, je descend l’escalier marche à marche, levant, écartant les jambes pour que Mimi ai une vue imprenable sur mon ventre.

Arrivée en bas des marches, je fais quelques pas, Mimi me prend dans ses bras, me murmure à l’oreille « magnifique… tu es splendide… », je suis collée contre lui, mon dos contre son torse, je continue à bouger au rythme de la musique, mon cul frotte contre son pantalon, je sens la bosse de son sexe, une de ses mains explore ma poitrine, de l’autre il me caresse le sexe.

Mon ventre coule, je sens que je vais partir, je pars.

Je suis allongée sur le canapé, le temps de récupérer, les mains de Mimi parcourent mon corps, je m’offre à ses caresses.

« ce week-end nous avons trois jours, tu vas vraiment me traiter comme une chienne ? »

« Oui, demain nous sommes invités et qui sait ? »

Je frémis d’avance à la pensée d’être livrée ainsi à des inconnus, je sens mon ventre couler à nouveau, Mimi s’en aperçoit et me le fait remarquer.

Il prend un drap de bain, le dispose plié sur le sol, il me prend par la main et me positionne buste au sol, cambrée, sans aucune précaution, presque brutalement, il investit mon anus, ne bouge pas, je sens ce sexe dans mon ventre, puis vient une sensation de chaleur, je comprend qu’il me pisse dans le cul, je gémis de plaisir.

Lorsqu’il a fini, il m’aide à me relever et me dis d’attendre, il en profite pour me caresser sur toutes les coutures, lorsque je ne peux plus tenir, je me rue aux toilettes pour me vider de ce lavement imprévu.

« j’adore ça, t’es vraiment un gros pervers, tu me le referas, tu le referas à ta petite salope d’amour… ».

Il m’entraîne vers l’évier, prend un gant de toilette (donc c’était prémédité…), ne nettoie les fesses et mon petit trou, allongée sur le paillasse je me laisse faire, ne suis-je pas une soumise (et heureuse de l’être), il me prend les fesses à pleine main, les écarte, joue avec, je me laisse faire, j’adore ça, profitant d’un moment de répit, je m’écarte mes fesses pour lui exposer mon ventre et mon petit trou (il adore ça…, je le sais), une série de baisers sur mon dos est ma récompense, je suis heureuse…, mon sexe est trempé.

Je sens sa langue sur mon sexe, elle joue avec mes lèvres, mon clito, je sens le plaisir monter, bientôt je joui dans un grand cri…

Mimi me passe un collier de cuir, il assujettit à mes poignets et chevilles des morceaux de chaîne équipés de mousquetons, passe une chaine autour de ma taille, la serre fortement.

Puis il m’ordonne jambes écartées, de me caresser. Je m’exécute (qu’est-ce qu’il a pu encore inventer?).

Il va dans le cellier, revient avec une sorte de chevalet en bois, peint en noir, recouvert de tissu noir, l’installe au milieu du salon, revient avec deux planches assemblées, percées de trois trous, entreprend de les fixer sur le chevalet, je comprend, c’est un pilori.

Il me prend entre ses bras, caresse mon dos, ma croupe, je m’offre à ses caresses et m’installe sur le chevalet, ouvre le pilori, je positionne mon cou et mes poignets, il referme, et verrouille l’assemblage. Puis il attache les chaînes de mes chevilles aux pieds du chevalet, relève ma robe, attache la chaîne de ma taille à la poutre sur laquelle je suis allongée.

« Essaie de bouger… », peine perdue, je ne peux pas bouger.

Il écarte mes seins, qui étaient un peu écrasés sur la poutre, y accroche des poids par des pinces, laisse tomber les poids, je grimace.

(J’adore cette sensation d’être ainsi offerte, sans défense, je vais subir et j’adore ça, comme quoi tant qu’on n’a pas essayé…).

Mimi, me caresse mon sexe, joue avec mon anus, claque mes fesses, vient se positionner devant moi, introduit son sexe dans ma bouche, me tenant la tête, il percute rudement le fond de ma gorge, j’étouffe, je bave, j’ai des hoquets, mais ne peut me dégager, donc subi… mon ventre est en feu, je me sens couler…

Mimi réinvesti ma bouche, il continue de forcer ma gorge, un sifflement et la cravache s’abat qui sur mon dos, ma croupe, mes seins, les coups sont appuyés, je ne peux gémir, j’étouffe, soudain il se libère avec un cri dans ma bouche, j’avale à moitié étouffée son sperme, il me flatte la tête avec la main « bonne salope pipeuse… adorable salope pipeuse… » (j’adore ces mots crus, je suis aux anges, je sens mon ventre couler de plus en plus…).

Je l’entend farfouiller, une sensation de brûlure sur mon dos, puis une autre, qu’est-ce qu’il me fait, je sens l’odeur d’une bougie et je comprend, les gouttes brûlantes continuent à s’écraser sur ma peau, ce n’est pas très douloureux, des spasmes secouent mon ventre, Mimi s’en aperçoit, interrompt son manège, me branle le sexe, je jouis tellement, je bouge tellement que je manque tomber avec le chevalet.

Je suis ailleurs, je sens à nouveau les gouttes brûlantes s’écraser sur ma peau, un sifflement, les coups de cravache arrivent, je ne les sens pas, je hurle à Mimi de me prendre, j’ai envie de son sexe.

Les coups de cravache arrivent maintenant secs et rapides sur mes seins, jamais je n’ai été cravachée comme ça, je suis en sueur, mon ventre me brûle, je continuer à hurler « prend moi… », enfin je suis exaucée, je sens le sexe de mon amant pénétrer mon anus, il prend son temps, lorsqu’il éjacule dans mon conduit, je suis secouée par un spasme de plaisir, mais j’ai une idée fixe, je lui crie « dans mon sexe mon amour, prend moi… dans mon ventre… ».

Une nouvelle volée de coups s’abat sur mes fesses et mes cuisses, je ne sens plus les coups, je n’ai qu’un désir être pénétrée…

Lorsque Mimi se libère dans mon sexe, je suis secouée par une vague de plaisir, je suis à moitié inconsciente, j’ai encore hurlé ma jouissance, je n’aurai jamais voulu que ça s’arrête…

Mimi me détache, me porte sur le canapé, m’y allonge, la peau de mon ventre tremble encore, lorsqu’il veut m’ôter mes chaînes, je lui dis « non… laisse les… », il s’agenouille, me caresse les marques qu’il a faites, les embrasse délicatement, j’adore ces moments quand ses mains frôlent mon corps.

Je met une quinzaine de minutes à récupérer, Mimi toujours à mes côtés me caresse, m’embrasse, je me lève, l’enlace, l’embrasse à pleine bouche «  merci mon amour, tu me le referas, je veux que tu me le refasses… »

Mimi passe ses mains sur mon corps « et les marques ? Pas trop mal ? amour… », il m’amène à la cuisine en me prenant la main, m’assied sur une chaise et revient avec une bouteille d’eau qu’il a sorti du frigo, je bois à longs traits, je repose la bouteille, il m’enlève mes chaînes et mon collier, je le regarde, je souris, je suis heureuse, je lui dis « les marques, j’en suis fière et demain, comme j’ai une peau qui ne marque pas beaucoup elles seront quasiment invisibles, merci mon amour ».

Je vais m’admirer dans la glace du vestibule et revient contente, j’embrasse mon amant et le remercie «  avec ces marques là, au moins j’ai l’air d’une soumise, merci gros vicieux… sadique… mon sadique d’amour… ».

Je monte prendre une douche, Mimi, me suit, je le préviens «  pas comme d’habitude, je les connais tes façons de prendre une douche… je prend ma sucrerie et tu me laisses me doucher tranquille… »

Je suis à genoux dans la baignoire, je fini de nettoyer le sexe de mon amant avec ma bouche, puis je lèche le mélange des mes sécrétions et de son sperme sur sa toison pubienne, c’est ma « sucrerie », j’adore le goût de ce mélange… l’inconvénient c’est que ça le fait bander comme un cheval…

Mimi est en train de se doucher, je me sèche les cheveux, il sort de la baignoire, enfile un peignoir et me demande « tu veux un café ?… », quelques instants plus tard il revient avec deux mugs et m’en tend un, il s’assied sur le bord de la baignoire et me regarde maquiller, il adore me regarder soigner mon corps, je trouve cela mignon, attendrissant, à chaque fois il me dit « tu es la plus belle… je t’aime… ».

Mimi s’habille, jean, gros ceinturon, chemise en jean, santiags, il sort de son armoire un blouson de cuir, des gants, un casque.

Je le regarde interloquée (j’avais déjà rangé son armoire, donc il avait planqué ça ailleurs, en dehors du jean et de la chemise), « tu vas où comme ça mon Mimi d’amour ? »

« Jemmène la femme que j’aime au restaurant à moto, il fait beau, depuis deux mois nous passons nos week-end enfermés, de façon agréable, je ne m’en plains pas, mais j’ai envie de bouger un peu, donc… par conséquent…. »

Il ouvre à nouveau l’armoire, sort une chemise de toile, un blouson, des gants, un casque, qu’il me tend…

Je pleure à chaudes larmes sous le casque, je dois lui paraître ridicule, en plus mon maquillage va être foutu, à refaire, la chemise me va à la perfection, le blouson aussi, les gants et le casque idem, le casque est badgé « Cricri », dès que je suis émue, je pleure… c’est ainsi…

« Je comprends maintenant tes questions sur ma taille, sur mon tour de tête, ma pointure, tu m’as bien eue, je n’ai rien vu venir, pourquoi tu ne m’a pas dit que tu avais une moto ?, j’ai toujours rêvé d’en faire… »

« Tu ne m’a jamais demandé si j’aimais ça et en avait une… »

« Je m’habille comment ? »

« Jean, string en dessous, nue sous la chemise… mais va te remaquiller, je te veux belle… »

Les mains crochées autour de la taille de Mimi, je savoure la sensation de vitesse et de liberté que procure une moto, en plus il a une grosse moto, une 1000 cm3 m’a -t-il dit, ça fait vingt ans qu’il la possède, me dit l’adorer, je l’adore aussi, c’est une belle moto.

Nous arrivons dans un hameau, une ferme a été réaménagée en Pizzeria/Restaurant/Hôtel, Mimi s’arrête, je descend, il béquille son engin, je regarde autour de moi, l’endroit est calme, reposant, bucolique…

« Bonsoir Mademoiselle, bonsoir MichMich, une table en terrasse, au bord de l’étang, du rosé corse frais, toi MichMich comme d’habitude je suppose, Mademoiselle suivez moi, je vais vous installer… »

Je questionne mon amant en m’installant « t’es connu ici, tu en as amené d’autres (je joue les jalouses…)… »

« Mais non… c’est avec le boulot, tu sais bien que je fréquente tous les bons restaus du coin (il est expert comptable, il dirige l’agence qu’un grand groupe possède dans la ville, [il m’avait dit qu’il était « comptable »]), lorsque j’ai eu des aventures, je ne les emmenai pas manger dans mes « repaires », ici c’est le cas, le patron est un ami… »

Effectivement le rosé corse est délicieux, en fait, j’ai décidé de commander les mêmes plats que mon amant, carpaccio, calzone, fromages italiens et cornet de glace italienne…

La nuit est tombée, le restaurant s’est vidé, le patron arrive avec un plateau, des cafés, des verres et une bouteille de grappa…

Je tousse, j’éructe, j’ai la gorge et l’estomac en feu… c’est la grappa.

La moto roule doucement sur un chemin de halage, nous sommes cheveux (enfin moi) au vent, Mimi s’arrête, je descend, il béquille, prend une couverture dans une des sacoches, la pose sur l’herbe, s’y allonge.

Nous sommes au milieu de nulle part, Mimi dézippe mon blouson, ouvre ma chemise, me prend un sein, se penche sur moi, m’embrasse à pleine bouche, il déboutonne mon jean, me serre contre lui, nous restons ainsi un long moment, il me caresse un sein et les fesses, je ne bouge pas, je suis bien…

Je suis réveillée par une bonne odeur de café, j’ai un mal de tête épouvantable, j’ai trop picolé hier soir, Mimi m’embrasse, je me redresse, il me tend un plateau, j’avale un café, sourit en voyant l’aspirine et un verre d’eau (le remercie pour cette délicate attention), comme il a mis le pot de café sur le plateau, je m’en sert un deuxième, je commence à revivre.

« Dis donc Mimi, la chemise que tu m’as acheté, elle est magnifique mais qu’est ce qu’elle est rugueuse, j’en ai encore les pointes de sein irritées … »

Son sourire me laisse entendre que c’était l’effet recherché « salaud… tu ne sais pas quoi faire pour m’exciter… ».

Un sensation d’humidité de mon fondement, je passe la main… « .c’est pas vrai, salaud, alors tu violes le cul des jeunes femmes bourrées maintenant… t’es vraiment une boule de vice… », il me répond l’air ravi avec la mine de celui qui a fait une bonne farce, qu’il m’a prise il y a plus de deux heures (c’est un lève-tôt) et que je ne me suis pas réveillée, même en dormant mon cul suivait le rythme, participait, il est fier de moi (m’embrasse) manifestement très content de lui.

Je râle pour le principe, mais au fond suis ravie (j’avale trois aspirines avec un verre d’eau), j’en profite pour me prélasser un peu, Mimi s’est allongé à côté de moi, je suis dans ses bras.

Allongée dans la baignoire, je reprend pied, une main plonge dans l’eau, Mimi est agenouillé devant la baignoire, la main caresse et fouille mon sexe, évidemment je ne tarde pas à partir et hurler mon plaisir.

Je me suis recouchée et me rendors.

Lorsque je me réveille, j’entends des bruits d’outils, discrets néanmoins, je regarde au travers de la rampe, Mimi est en train de fixer quelque chose au plafond…

Je jette un coup dil au réveil, 14 heures 30, eh bien…, par contre me sens fraîche et dispose.

« Alors mon bel alambic, réveillée ?, tu veux manger ? Tu as une assiette sur la table…, j’y ai posé aussi ton cubi de 5 litres de rosé… »

« Andouille, c’est ça moque toi, j’arrive j’ai une faim de loup ».

Nous restons sage tout l’après-midi, trainassant au lit, nous faisant des chatteries, vers 17 heures, je me prépare : corsaire moulant blanc, chemisier transparent (juste ce qu’il faut), sandales avec semelles compensées, un string et un soutien-gorge en dentelle transparent pour ma poitrine, me maquille et me coiffe avec soin, je me trouve irrésistible.

Mimi est magnifique, jean, mocassins, polo blanc (il en a mis un de rechange dans un sac « à chaque fois, il y a toujours un truc qui coule, ou quelqu’un qui me renverse un verre dessus, je suis maudit [« je ne peux m’empêcher de me ficher de lui, pauvre Caliméro…].

Je musarde dans le jardin, un verre de champagne à la main, jattends que Mimi revienne, il connaît tout le monde, m’a présenté à ses amis et m’a prévenu, le repas, en fait un barbecue (il adore), sera plus intime, pour l’instant il y a au moins 100 personnes, je vois Mimi en grande conversation avec le député de la circonscription et des politiciens locaux, il me fait un signe, j’arrive, il me présente le maire et le député, plus quelques conseillers municipaux ou autres, comme je suis une nénette polie, je dis bonjour à tout le monde avec de grands sourires, et feint de m’intéresser à la conversation.

Assise sur un banc, je discute avec Mimi, les invités commencent à partir

« tu connais le député ? Vous avez l’air vachement copains tous les deux… »,

« c’est un pote, je lui vérifie ses comptes de campagne, à titre bénévole, c’est un type bien, je l’aide avec mes moyens… »,

« j’ai voté pour lui… mon amour »

« ça confirme que tu es une femme bien, ma puce, un peu obsédée, alcoolique, mais dans l’ensemble tu feras l’affaire, mon amour de nénette rasée… ».

Nous nous retrouvons à une vingtaine sous une pergola, Mimi me présente plus longuement à ses amis (jentends avec ravissement, ces deux mots, qui veulent tout dire « ma femme, Christine… »).

Nous rentrons nous coucher tard dans la soirée, j’ai passé une soirée formidable, ses amis sont très sympas, Mimi me demande de passer ma robe sexy et de dormir avec.

Nous nous endormons enlacés.

Mimi me secoue, je me réveille « j’ai envie de te faire l’amour, ma puce »

« quelle heure est-il ? », je jette un coup dil au réveil, 4 heures du matin, je soupire et tend mes bras à Mimi.

Nous faisons l’amour tendrement, ce qui ne m’empêche pas de jouir comme d’habitude en hurlant mon plaisir lorsque Mimi prend le sien.

… / … à suivre

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