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Vacances 1952 – Chapitre 2




Quelqu’un me secoue, c’est Hubert. Je suis surpris de voir que le jour se lève, je n’ai entendu personne se coucher, j’ai dormi comme une souche. J’ai a peine le temps de manger, que nous sommes dans le tombereau qui nous emmènent dans les champs, cahoté, sur ce chemin de terre, avec ses ornières, dans lesquelles les roues du char, tombent. A l’entrée du champ une jeune femme et un garçon de mon âge attendent, c’est Maurice et sa soeur Marie. Le patron repart avec le tombereau, Hubert prend sa faux et commence, il a avancé d’une dizaine de mètres quand Michel le suit, Alain part en dernier. Je suis chargé avec Marie et Maurice de ramasser les javelles, les lier et les mettre en bordure de champs pour laisser le passage à la moissonneuse. Il fait chaud, les hommes s’arrêtent régulièrement pour se désaltérer, le soleil et presque au zénith, Paulette arrive en vélo, elle amène les casse-croûte et du cidre frais. Elle repart aussitôt, nous nous installons au fond du champ à l’ombre d’une grande haie. J’ai à peine terminé ma dernière tartine.

— Paul tu devais me montrer quelque chose.

— Quoi.

— Je veux voir si tu m’as obéi.

Mes poils, j’avais oublié, il ne va pas m’obliger à montrer mon sexe ici, surtout devant Maurice, les autres ça ne me dérange pas de trop, si Marie était seule je serais déjà le short sur les chevilles. Bon, je crois qu’il ne me reste plus qu’à m’exhiber. Je suis nu le sexe bandé, debout devant tout le monde. Hubert me fait signe du doigt de m’approcher, il m’examine.

— C’est pas parfait, mais tu as obéi, c’est ce que je voulais, tu as vraiment un âme de soumis, on va bien s’amuser avec toi.

— Je peux m’habiller.

— Non j’ai dit qu’on allait s’amuser. Maurice tu as déjà enculé quelqu’un.

— Non je veux pas.

— Ne dit pas ça, essaye tu verras comme c’est bon.

Peut être le verre de cidre, mais j’ai une envie irrésistible de sentir une bite en moi, Maurice puisque c’est lui qui est désigné, fera l’affaire. Je fais ce que je n’aurais pas imaginer il y a cinq minutes. Je serre Maurice dans les bras l’embrasse dans le cou, il me repousse sans conviction. Il regarde Marie je comprend c’est sa soeur, et cela le gène, mais excité par le spectacle elle l’encourage. Je m’agenouille, lui retire son short, j’ai son sexe à hauteur de la bouche, il bande, je ne peux me retenir, j’ouvre la bouche, et le gobe. Il se laisse faire, et commence à participer, il met ses mains sur ma nuque et fait des mouvements de va et vient. Je ne veux pas qu’il jouisse maintenant, j’ai envie qu’il m’encule, je m’allonge sur le ventre dans la paille fraîchement coupée, les jambes écartées, il s’allonge sur moi, n’arrive pas à me pénétrer. Hubert me fait mettre sur le dos jambes replié sur la poitrine, étale du beurre sur ma raie.

— Allez, ça va entrer tout seul maintenant.

En effet, il est en moi face à face nos bouches se rencontrent, il entre sa langue, je suis à lui je vais défaillir, il s’agite, son ventre caresse mon sexe, je relève et écarte les jambes au maximum, pour lui permettre de me pénétrer à fond. Plus rien n’existe autre que notre plaisir, il se crispe, je sais qu’il se vide en moi, il se relève se rhabille aussitôt comme si il était honteux de ce qu’il a fait. Je n’ai pas joui, mes doigts coulissent sur mon sexe, Hubert me dit.

— Non pas comme ça, tu te frottes sur…… les pieds de Marie.

Elle semble décidée à garder les bottes de caoutchouc, qui protège ses chevilles des éteules, comment faire si elle ne soulève pas son pied, je suis à plat ventre le sexe sur sa botte mais à chaque mouvement il se met de coin et ne frotte plus. Avec son pied elle me retourne sur le dos, plaque sa semelle sur mon sexe, joue avec, appuie son talon sur mes testicules et fait rouler mon pénis avec sa semelle, mes couilles sont comprimées elle servent de pivot. Les hommes ont repris le travail, ils veulent finir plus tôt que prévu, seul Maurice regarde sa soeur me triturer le sexe, elle voit mon plaisir monter, je me tortille, elle soulève sa semelle en augmentant la pression sur mes couille, mon sexe se redresse, le premier jet me frappe le menton, le suivant tombe sur ma poitrine. le reste sur mon nombril. Je reste inerte quelques minutes, quand je me redresse Marie et son frère sont déjà au travail, je reste nu, de toute façon je n’ai plus rien à cacher, c’est le milieu d’après midi, nous sommes sur le coté qui longe le chemin, j’entends des voix, je me retourne Hubert parle à deux hommes et une femme, je réalise que je suis nu, il est trop tard, la femme semble choquée de me voir. Je sens un regard réprobateur sur moi, mon sexe se redresse, et par provocation je fait en sorte qu’elle le voit.

— Pourquoi il es nu?

— Il avait trop chaud.

— Bien sur! Tu feras croire cela à d’autre.

Et ils continuent leur chemin vers le village, une heure plus tard le champ est complètement détouré, les hommes se concertent, il reste un peu de temps pas assez pour entreprendre le second champ à un kilomètre d’ici. Je n’ai pas bien compris, mais je crois que ça va être la fête à mon cul, Marie et Maurice nous quittent, les trois hommes m’entraînent sur le coté opposé à la route, contre la haie.

— On a pas beaucoup de temps le patron risque d’arriver.

— T’inquiète pas il le sait, mais on va demander à Paul ce qu’il ne veut pas faire.

— Tu es fou je lui fais ce que j’ai envie.

— On va quand même lui demander, alors Paul tu répond.

Je n’aime pas que l’on me demande, j’aime mieux l’imprévu, et à part m’enculer et m’obliger à les sucer, je ne vois pas ce qu’ils peuvent me faire.

— Je veux pas sucer.

— On peut tout faire, sauf te prendre par la bouche, c’est d’accord.

Hubert sort de sa musette un grosse gourde en peau, elle fait au moins deux litres, il va boire, ça doit être chaud depuis que c’est au soleil. Il fait signe aux deux autres, qui m’immobilise, sans ménagement il m’introduit le bec de la gourde dans le cul. je crie de surprise, mon ventre se gonfle un peu plus à chaque pression. Il ne va pas tout vider, je commence à avoir mal.

— Arrête j’ai mal.

— Il y en a encore,

— Non, pitié,

— je vais la vider et ensuite je te bouche le cul. Regarde ce que Alfred le menuisier du village, a fait c’est un vicieux tu auras certainement l’occasion de le voir.

Il exhibe devant mes yeux un objet en bois cylindrique, avec un rétrécissement, c’est sûr quand c’est entré ça ne peut pas sortir seul. Encore deux pression il retire la gourde et enfonce le bouchon, j’ai le sexe qui pend, je suis debout, avec un mal de ventre insupportable, devant les trois hommes, qui se moque de moi. Michel me demande.

— Si je te permet de te vider, tu me suce.

— Oui, mais vite.

— J’ai tout mon temps.

Il se met nu et exhibe un sexe de plus de vingt centimètres, et au moins cinq de diamètre, le sexe d’Hubert me paraît d’un seul coup petit, j’ouvre la bouche en grand, il entre bute contre ma luette, je manque de vomir.

— Avale, ça ira mieux.

Il recommence, au moment ou il touche le fond de ma gorge j’avale, avec la bouche grande ouverte ce n’est pas facile. Maintenant il me fait sucer ses couilles, j’ai mal au ventre l’eau suinte légèrement et coule le long de mes jambes. Il faut qu’il jouisse au plus vite, je lèche son gland comme je le ferais d’une glace, je le masturbe avec les lèvres et la langue. Brusquement il s’enfonce dans ma gorge, je manque d’étouffer, il s’est vidé directement dans mon oesophage.

— Tu peux aller chier, mais dans les orties.

Je suis tellement pressé, que je cours dans les orties, j’enlève le bouchon et je me vide devant les trois hommes, c’est seulement maintenant que je ressens les piqûres d’orties j’ai tout le corps en feu, surtout les fesses et le sexe. Que vont-ils imaginer maintenant, et en plus j’ai donné mon accord.

— Quelqu’un a une idée ?

— J’en ai plein, mais là je vais commencer par l’enculer.

Hubert me fait mettre à quatre patte, me lubrifie le cul, et entre. Alain s’est mis nu, il a un petit sexe comparé à Hubert et surtout à Michel qui rebande déjà, j’aime cette sensation d’être possédé, sentir ce sexe qui fouille mes entrailles. Hubert se retire, il a été vite, Michel se précipite, il force je l’aide mais cela n’entre pas, il remet du beurre, écarte mon trou avec ses pouces, ça y est il est entré, je n’ai pas vraiment mal sauf une gêne qui disparaît vite. J’ai l’anus dilaté comme jamais, Alain un peu à l’écart se masturbe, un chariot approche c’est certainement Clovis. Il y a bien dix minute que Michel me lime, il est vrai qu’il m’a déjà éjaculé dans la gorge, le patron arrive au moment ou il se vide en moi.

— On s’amuse bien ici, je peux participer?

Clovis sort son sexe, sans se déshabiller entre en moi, facilement, mon cul était à peine refermé, Alain dans son coin éjacule, je ne comprends pas il a mon cul à disposition, Clovis les mains sur mes hanches, me fait coulisser sur sa verge, il n’y a plus que moi qui soit nu, une bite dans le cul. Il a fini, rentre son sexe comme si il venait de pisser, c’est encore plus humiliant. Je me relève le sexe bandé, que je le prends dans la main, Hubert me donne un coup de pied dans les fesses.

— Non, ce soir tu auras l’occasion, car on t’a préparé une soirée que tu n’oublieras pas.

Pendant le retour, je m’imagine une bite dans le cul, avec les cahots de la route ce doit être sublime, j’ai le sexe qui dépasse de ma jambe de short, je n’ai pas remis mon slip. J’ai une envie folle de me branler mais Hubert est juste à coté de moi. Avant d’arriver à la ferme on croise la femme rencontrée dans les champs, cela semble contrarier Hubert.

— Louise je suis sur qu’elle a raconté.

Pendant le repas je sens une certaine gêne, et cela semble me concerner, la mère de paulette me regarde.

— Ils t’ont obligé à te promener nu, raconte moi.

Hubert me donne un coup de pied sous la table, je ne sais ce que je dois comprendre, je vais être prudent et rester vague.

— J’avais trop chaud.

— Ce n’est pas une raison, Louise m’a dit qu’ils t’avaient forcé. Bon l’incident est clos, mais vous avez tous intérêt à ce que cela ne se reproduise pas.

Elle n’en sait pas plus, je sens un soulagement général, après un silence les conversations reprennent.

Je suis nu étendu sur ma paillasse j’attends Hubert, je désespère je n’aurais pas la séance de sexe prévu, il ne me reste plus qu’a me masturber, et je m’endort. Le lendemain retour aux champs, il ne se passe rien, les jours suivant calme plat. Il est vendredi soir je crois qu’il ne vont plus oser me toucher, moi j’en ais envie, Michel viens de rentrer il fait sa toilette, il est nu la bitte à moitié bandée. Je n’ose pas faire le premier pas, il se couche, j’attends un peu, je ne vais pas rester comme cela, je me lève, dans le noir, me dirige vers le lit de Michel, je reste debout juste à coté, je suis sur qu’il sait que je suis là. J’avance la main vers son sexe, il saisit mon poignet.

— Non, je ne veux pas d’ennuis, tu veux te faire baiser, demain soir tu vas au café du village, ils seront prévenus. Entre par la porte arrière, surtout soit le plus discret possible, passe à travers champs.

— Tu seras là ?

— Non mais t’inquiète pas tu auras ta dose, il y aura une sacré bande de vicieux.

Je retourne sur ma paillage, me masturbe en imaginant être le jouet de plusieurs hommes.

La journée du lendemain me semble longue, le repas terminé je pars discrètement, traverse un grand pré, j’approche des maisons, un chien aboie, j’espère que je ne me trompe pas, j’entre dans une cour. Un homme, jeune, une cigarette aux lèvres, appuyé contre le mur attend.

— C’est toi Paul.

— Oui.

— Moi c’est Bernard, tu sais pourquoi tu es la.

— Oui

— Viens par ici. Je vais te faire un lavement

J’entre dans un bâtiment, deux hommes sont assis, il reste encore des chaises vides, autour d’une table qui n’a visiblement pas sa place ici. L’homme me baisse le short. Appui mon torse sur la table, je me laisse faire. il m’enfonce la canule d’une poire à lavement, quelques minutes plus tard je suis accroupi dans le jardin, deux des hommes ont suivi. Pour m’humilier un peu plus ils décident de recommencer, entre temps deux autres hommes sont arrivés. Ils sont maintenant six, apparemment ils attendent encore du monde.

— Je pense qu’il ne viendra plus personne, je n’ai eu qu’une journée pour préparer, et faire prévenir tout le monde, j’ai imaginé un jeu, le loto ce n’est pas nouveau, mais le lot et la façon de l’utiliser va vous plaire, le lot je ne sais pas mais il est volontaire. Le premier qui a une ligne pleine, peut utiliser son petit cul, pendant ce temps la partie reprend, et ainsi de suite. De sorte qu’il aura le cul occupé toute la soirée. On le suspend ou on le laisse libre de ses mouvements.

— On lui attache les mains et on lui bande les yeux.

Les numéros s’égrènent, un cri, il semble qu’il y a un gagnant, quelques secondes plus tard je suis allongé sur le ventre, quelqu’un s’agite frénétiquement dans mon cul, j’entends les numéros se suivre, mon locataire se retire remplacé aussitôt, sans avoir eu le temps de jouir. Il y a maintenant un bon moment que des hommes coulissent dans mon anus, aucun n’a joui, j’ai renoncé à les compter, il est probable que certains sont passés plusieurs fois, ils n’ont même pas le temps de me faire prendre une autre position, je suis encore sur ma botte de paille face contre terre. Enfin un qui éjacule, il n’a pas le temps de finir quelqu’un l’éjecte son dernier jet tombe sur mes fesses. Malgré les lubrification renouvelé régulièrement, mon cul devient de plus en plus sensible. J’ai perdu toute notion de temps, on vient de jouir dans mes entrailles, il s’est lâché au bout du troisième aller retour, ce n’était certainement pas la première fois qu’il me taraudait le cul. Le défilé continu, je n’entend plus l’énoncer des numéros, ils discutent, celui qui m’écrase de tout son poids en ce moment en profite, il éjacule c’est le troisième seulement, j’ai l’impression qu’il y a quatre cinq heures que mon cul est occupé, il se retire, un grand vide, mon cul semble rester ouvert, je ne bouge pas attendant la suite.

On s’introduit de nouveau en moi la pause n’a pas duré longtemps, il roule sur lui même je me retrouve au dessus, il replie mes jambes sur mon torse, je sens un doigt s’enfoncer en compagnie de la bite qui est déjà en place, un deuxième doigt, on m’écarte les parois, j’ai compris ils veulent entrer à deux. il insiste il me fait mal mais cela ne le dérange pas, au contraire, cela l’excite. Il a réussi, j’espère qu’il ne vont pas bouger, cela ne semble pas facile une bite est sortie, elle reprend sa place avant que je me referme, ils ont pris la cadence ils entrent et sortent en même temps. Je suis maintenant, bâillonné, les yeux bandés, ligoté les pieds à hauteur du visage ce qui donne libre accès à mon entrée, ils ne s’en privent pas à un ou à deux. Plus rien, ils semblent tous partie, on me détache, je vois et je suis libre de mes mouvements seul Bernard est encore là. Il étale une pommade sur mon anus et me donne le tube.

— Tu en mets plusieurs fois par jour, et dans deux trois jour tu seras prêt à recommencer, tu as joui au moins.

— Non mon sexe a coulé un peu mais je n’ai pas éjaculé.

Il prend mon sexe dans la bouche, quelle sensation divine je tend mon bas ventre en avant, je me laisse faire, j’essaye de me retenir, impossible j’éjacule et il avale.

— je te devais bien ça. Reviens quand tu veux, mais préviens moi plusieurs jour à l’avance, que je puisse organiser la séance, j’ai envie de te filmer, et vendre les films je te donnerais ta part. Tu es d’accord.

— Oui combien vous me donnez.

— Tu veux quoi.

— Je rêve d’une caméra avec tourelle, il y a une Beaulieu qui me plais bien.

— On fait vingt films et elle est à toi.

— C’est vrai!

— Bien sur tu viens quand.

— Je ne peux que le soir, et dans quelques jours car j’ai trop mal.

— Demain on est dimanche viens, on tournera une petite séquence, je laisserais ton cul tranquille.

— D’accord.

Je rentre il fait noir, j’ai presque deux kilomètres à faire, la lune projette des ombres inquiétantes, une masse noire se profile à l’horizon, c’est la ferme, je passe par la petite porte, Michel m’entend entrer.

— Alors ça t’a plus.

— Bof.

— Je suis sur que ton cul est ouvert comme une entrée de tunnel.

Je ne répond pas et je m’endors aussitôt.

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