AU BUREAU
– Alors Julie, où vas-tu passer tes vacances cette année? Retournes-tu A Cap dAgde, avec Carole ?.
– Ne serais-tu pas un peu jaloux de mes liens avec elle ?
Bruno, jeune homme de dix neuf ans, bien de sa personne, un peu timide et réservé, est en formation en alternance dans notre boite depuis un mois. Son problème : depuis quil est arrivé, il est fasciné par la beauté de sa formatrice, au point quil nose lui exprimer les sentiments quil nourrit à son égard ; pour tout dire, malgré leur différence dâge, Carole va sur ses trente six, il en est amoureux. Carole, de son coté, se limite à ne voir en lui quun simple collaborateur, dévoué certes, mais avec lequel elle naura jamais daventure, tant ce jeunot lui parait sans expérience, pour ne pas dire puceau pourtant cest toujours avec le sourire et beaucoup de bienveillance quelle assure sa formation professionnelle, incapable quelle est de refreiner son pouvoir constant de séduction. Il faut dire que son regard de velours un peu coquin suffit à faire craquer un homme Carole affiche une certaine réserve à légard de Bruno lorsquil aborde des sujets trop personnels ; ainsi cest donc à moi quil se confit et quil me pose des questions sur elle.
– Oh non, ce nest pas de la jalousiesimple curiosité, tu sais bien. Carole samuse trop à mallumer et me faire languir pour que jose lui poser des questions sur ses vacances. Si tu ne mavais pas raconté vos vacances à Cap dAgde lan dernier, je nen aurais rien su par elle.
— Vois-tu, Bruno, je crois quelle timpressionne, dabord parce quelle assure ta formation, cest ta prof ! Elle est plus âgée que toi et surtout, tu te fais delle une trop haute opinion, alors quelle ne se prend pas du tout la tête.
— Sans doute, mais ses attitudes, ses tenues, ses charmes, me troublent tant, quelle me met mal à laise. Rappelles- toi, la semaine dernière, tu étais avec nous et le patron dans notre bureau. Ce jour là elle portait une mini robe blanche très fine, on lui voyait les tétons à travers, boutonnée ou plutôt très déboutonnée devant. Le bos était assis derrière le bureau face au mien, toi tu étais debout derrière le bos et Carole debout entre nos deux bureaux. Au prétexte de vérifier la similitude de nos documents elle narrêtait pas de nous allumer en se penchant successivement vers moi ou vers lui, nous exhibant alternativement sa poitrine et son cul que sa robe couvrait à peine. Tu las bien vu !..
— Bien sûr, mais pas avec le même regard que toi, quant au bos, il y a longtemps que ça ne lui fait plus deffet. Carole nest pas perverse ; se montrer, exhiber ses charmes, elle est belle, elle le sait, cest dans sa nature.
— Je veux bien le croire. Mais tu sais, ses tenues vestimentaires sont si légères que je connais presque tous les détails de son anatomie : ses seins bien rond, que je suppose fermes, ses larges aréoles brunes, ses tétons gonflés par les frottements du tissus, ses fesses rondes cambrées et haut perchées, ses cuisses musclées et même sa chatte qui doit être épilée. Nempêche que je paierais cher pour la voir complètement à poil !…
— Tu es frustré et tu fantasmes, Bruno. Si ça peut te soulager de la voir à poil ? Passe donc chez moi ce soir, on se fera une petite bouffe en regardant les photos et les vidéos quon a tournées ensemble l’an dernier à Cap dAgde.
— Eh bien !., pourquoi pas, cest ok .
DÉCOUVERTE EN VIDÉO DE MA FORMATRICE
Depuis un mois que je bosse dans cette boite dimport export, je commence à faire mon trou et à créer de chaleureuses relations avec mes collègues. Je suis entouré de nombreuses femmes dont certaines, très belles, comme Carole. Je dois avouer que ce doit être parce quelles mattirent quelles me mettent mal à laise, ou parce que je les mâte trop que certaines me repoussent, me trouvant sans doute trop jeune.
Ce nest pas le cas de Julie, gentille fille, bonne copine, vingt cinq ans, le regard pétillant certes, mais qui ne mattire pas physiquement. Cest pourquoi jai accepté son invitation sans arrières pensées.
Pourtant en plein Paris, elle loge dans un petit pavillon, au fond dun grand jardin, derrière la maison de sa grand-mère. Lorsque jarrive chez elle, la porte est ouverte, je frappe et Julie me répond dentrer, mais personne dans la grande pièce. Un bruit deau qui coule vient du couloir ; alors que je men approche ;
— Tu peux venir.
La porte de la salle deau est grande ouverte et au fond japerçois Julie sous la douche ouverte également. Je me retire et de nouveau :
— Alors !, tu viens !.. Je te fais peur ?
— Non, mais je ne veux pas te gêner.
— Idiot, si tu ne viens pas, là tu vas vraiment me gêner, alors entre.
Je pose mon bouquet de fleurs sur la table et rentre alors dans la salle deau. Cest ce moment que choisit Julie pour sortir de sa douche, nue comme un vers et tortillant des fesses. En fait, elle a un joli corps, fine avec de jolies petites fesses et rapidement je change dopinion. Au lieu denfiler un peignoir ou de senvelopper dune serviette comme laurait fait une autre femme devant un homme quelle connaît peu, Julie nue devant moi senroule en turban une serviette dans les cheveux, et vient me plaquer un langoureux patin .
— Ouah ! Quel accueil !… ne puis-je mempêcher de sortir.
— Tu sais bien que je suis naturiste et libertine comme Carole. Si tu veux te soigner de ta réserve et ta timidité, rejoint le club, et tu va téclater.
— Eh bien pourquoi pas !… lancé-je, un peu comme on se jette à leau. Julie me prend par la main, mentraine dans le salon. Elle introduit un CD dans la chaine et sur une musique classique, se met à onduler devant moi à la façon des orientales ou des gitanes. Puis elle sapproche et se pend à mon cou pour finir par me rouler un patin tandis quelle se colle à moi. Ses seins et son ventre encore mouillés ont trempé ma chemisette et mon pantalon.
— Oh, excuse moi, je tai sali. On va arranger ça ; et elle commence à déboutonner ma chemise. Puis elle dégrafe ma ceinture et fait glisser mon pantalon. Je me retrouve en slip. Elle reprend sa danse en me passant les bras autour le la taille pour mieux me serrer contre elle ; elle se frotte consciencieusement le pubis sur mon slip. Leffet ne se fait pas attendre ; mes sens échauffés, la bosse de mon slip est sans équivoque. La garce à réussit à me faire bander et sans attendre elle passe une main sur mon sexe :
— Hum !.. on dirait que tu es bien disposé ! Elle saccroupit alors devant moi et accrochant ses doigts à la ceinture de mon slip le descend dun coup sec, baissant les mains jusquà mes pieds. Dans lélan elle a avancé sa tête vers mon ventre et ma verge tendue, brusquement libérée, comme un ressort, lui frappe le visage
— Oh !… La belle bite que voilà !.. sexclame-t-elle, alors que linstrument se dresse à lhorizontale devant son nez. Voila quelle la saisit de main ferme, lastique un instant, puis donne quelques coups de langue sous le gland et enfin la gobe toute entière. De ses mains plaquées sur mes fesses elle lui imprime un va et vient dans sa bouche, tandis quelle la serre entre ses lèvres et la suce en enroulant sa langueje suis au comble de la jouissance et je peine à me retenir. Jai pris sa tête entre mes mains et jamplifie ses mouvements, prêt à me retirer avant déjaculer.
— Ça vient ! Ça vient ! » Répèté-je. Mais elle me serre encore plus et minterdit de me retirer. Alors au comble de mon orgasme je me lâche, me soulage et me répand en elle qui continue à me sucer avidement jusquà ce que mon membre se ramollisse. Lorsque enfin elle me lâche en se léchant les lèvres ;
— tu vois, je te la rends bien propre !.. se moque-t-elle de moi !
— Julie, tu n’es pas qu’une bonne copine, tu es une excellente suceuse, une belle nana super bien foutue qui m’as foutrement soulagé.
— Eh, mon coco, jespère que tu sais renvoyer lascenseurrecharge tes batteries le temps de voir les vidéo, et après tu toccupes de moi, ok !
— OK, bien sûr, avec plaisir.
Nous sommes assis cote à cote sur le canapé face au grand écran de TV. Julie a chargé le DVD de leurs vacances à Cap dAgde.
— Ça, cest notre arrivée cest un copain qui filmait ça bouge un peu au début, après il savait mieux faire là cest notre première soirée en boite. Pas terrible on découvrelà cest le lendemain, à la plagetas vu on est complètement à poilet là, tu vas voir le photographe qui a fait un shoot très chaud avec Carole le copain il a tout filmé, tu vas pas être déçu»
Là, je vois Carole à poil pour la première fois.
— Ouah, la classe !.. Après quelques poses classiques, debout, de face de dos, elle prend très vite des poses particulièrement suggestives ; à quatre pattes, sur le dos, jambes écartées.
— Tu vois, le copain, il a le coup pour se placer où il faut, avant le photographe, pour avoir langle le plus chaud ! »
Les poses de Carole qui commence à caresser sa chatte épilée, comme je men doutais, ont quelque effet sur ma bite qui commence à se réveiller. Le léger mouvement na pas échappé à lattention de Julie qui remonte ses pieds sur le canapé et vient se lover contre moi, la tête posée sur mes cuisses. Le film mexcite de plus en plus au profit de Julie que jai assise sur mes genoux et que je caresse assidument, sa poitrine et ses tétons en particulier.
A lécran le copain fait un gros plan sur le sexe de Carole. Après sa série de caresses un gros bourrelet de chair a sailli dentre ses grandes lèvres et maintenant elle pince les petites lèvres, les libère du fourreau et les étire en aile de papillon, ouvrant largement sa vulve gonflée et turgescente.
– Ouah, je nen ai jamais vu de pareille !
– Tu sais, ce coup là, jai vu Carole le faire plusieurs fois, et à tous les coups ça impressionne ! Elle est très fière de son gros bourrelet et adore lexhiber aux mecs comme aux nanas.
– Et vous faites ça sur la plage ?
– Bien sûr, là bas, cest cool, sur la plage on peut faire ce quon veut. On peut même baiser, même à plusieurs. il y a toujours des voyeurs autour dés quil y a une exhibition Cap dAgde, cest le spectacle permanent. Cap dAgde, cest la Mecque du sexe !
– Et le sexe du mec ?.. Y en a partout ?..
– Ouah !.. toi, tas lesprit qui chauffe. Et le reste aussi, il me semble !
Elle a sentit ma queue se dresser sous ses fessesalanguie dans mes braslun sous sa poitrine, lautre main caressant lintérieur de ses cuisses ainsi que son pubisa ce moment, ressurgit à l’écran, en très gros plan, la chatte de Carole, largement ouverte sur le trou noir de son vagin et tout en haut, comme dressé, turgescent et gonflé, le gland de son clitoris quelle chatouille du bout de lindex pressant ses chairs pour le décalotter et le faire saillir un maximum. Je suis fasciné, scotché !…
– voilà ce qui me rend jalouse !…mon clito à moi on le voit pas ; jai beau le titiller, il ne gonfle pas comme le sien .
Je ne réplique pas mais sais déjà où mes mains doivent besogner.
– Là, tu vas voir, cest au club libertin !.. Cétait vers la fin du séjour. Là bas, son pseudo, à Carole, cest Saphoet ce soir là, elle nous a fait carrément du XTu va voir, cest très hard, du vrai pornoelle ma avoué ensuite que cétait la première fois quelle faisait çà car, dans le feu de laction elle sétait complètement lâchée, uniquement guidée par la jouissance immédiate. Le début cest un peu long. Les mecs nétaient pas très motivés par les nanas pas très chaudes.
– Mais tout le monde à lair à poil là dedans !
– Normal on est chez les naturistes.
– Ben oui, javais oublié.
– Bon, on zappe plus loin pour voir Sapholà, voilà, elle arrive sur la piste, tu vois la classe. Topless, la jupette très courte et rien dessouslà, tu vois, elle est déjà sur le plot, les jambes en lair à se caresser lintérieur des cuisses et les ouvrir en grand écartla danse, çà aide !
– Ah bon ?… elle est danseuse ?
– Et contorsionniste !..Tu verras les postures tout à lheure là, elle a réussi à attirer un premier mec qui se branle devant-ellelà, elle est entièrement à poil et elle branle les deux mecs de chaque coté du plot, et tu vois, celui de dos il lui a déjà planté sa bite dans le cullà, il y en a deux autres qui attendent leur tourelle se lève et va organiser sa mise en scèneelle fait rapprocher le copain vidéaste, pour quil ne perde rien. Elle fait coucher un gars sur le dos, celui qui a la bite la plus longue, tas vu lengin !…accroupie, elle sempale le cul dessusfait avancer lautre mec qui la prise tout à lheuresastique bien la chatte et penchée en arrière, linvite à la pénétrertu te rends compte !.. Double pénétrationet pas des petits morceauxet cest pas finitu vois, elle branle avec ses mains les deux mecs de chaque coté, et la tête penchée en arrière elle suce la queue dun troisième !…tu réalises ! Elle arrive à faire jouir cinq mecs à la fois, cest dingue !… et là Sylvain, le copain vidéaste fait des gros plans de son cul comblé des deux grosses bites qui la pilonneet là, celui de dessous à dérapé, il narriva pas à replacer sa bite dans le cul il la guide au hasard et la glisse avec lautre dans le vaginet ma Sapho continue son showtas vu, le monde autour !….
– Mais ça ne la gène pas de baiser avec des hommes quelle ne connaît même pas.
-Tu sais, Carole est une libertine, mais cest surtout une dévoreuse de sexe, elle est ad dicte, nymphomane. À coté de son boulot à la boite, elle est interprète et rencontre beaucoup dhommestout à lheure je tai dit quelle est contorsionniste. Ainsi fait-elle des show dans des club, toujours complètement nue tu imagines, belle comme elle est , elle a souvent des propositions, sans compter ses exhibitions impromptues dans des lieux public où elle allume à chaque fois un ou deux mecs, toujours prête à assurer derrière.. Mais attention, elle a des critères de choix. son partenaire doit avoir une belle bite, doit savoir s’en servir et surtout doit être endurant !…c’est marrant comme elle les détecte au premier coup dil et elle se trompe rarement. la baise est essentielle dans sa vie, c’est tous les jours, plusieurs fois par jour, avec des mecs différents et parfois avec plusieurs à la fois. Elle a besoin de sexe pour se rassasier !..
– une vrai pute !…
– Non !..Là texagèresDabord, cest elle qui décide. Et puis cest toujours gratuiten plus elle me fait souvent participer à ses frasques et me refile ses amants quand ils me plaisent.
Maintenant, au gré des images stimulantes, jai pénétré de mes doigts la vulve juteuse de Julie. Comme Carole, sa chatte est généreuse et souvre facilement à tout ce qui vient la visitertout à coup elle tressaute et frémis.
– Quai-je fais ?
– Oui ! Cest bon vas-y, continu plus fort, le clito ! Je comprends la petite boule sous mes doigtsje la tripote de nouveau en étirant ses chairs pour la faire jaillir, puis je la frotte encore. Elle sursaute dans un râle et remonte ses pieds sur le canapé pour saccroupir sur moi.
– Oh oui ! Comme ça tes doigts! Oui, tous tes doigts, cest bon, jen veux ! .
Sa petite boule me roule entre les doigts et chaque fois que je la presse, Julie crie et jouit. On en a oublie la vidéo, Carole et tous les mecs autour. Je pivote pour mallonger sur le dos Julie a compris, et vient se poser à califourchon face à moi ; ma queue maintenant bien dressée est prête à la satisfaire. Aussitôt, elle vient sy empaler la chatte sans peine, jusquà la garde et imprime un va et vient régulier ponctué de quelques gémissementset je vais ainsi la ramoner sur trois autres positions : en levrette, sur la table, debout contre le mur, par devant, par coté et pour finir par derrièrecela fait trois quarts dheure que ma verge besogne sans fléchir, et je ressens les premières défaillances dans la pénétration anale que Julie a sollicitée. Nous savons tous deux que je vais pouvoir me lâcher dans son cul. Ce sont nos derniers instants de jouissance, alors de mes doigts je reviens lui fouiller la vulve et réussis à capter son petit clito. Je la sens frémir, un nouvel orgasme la saisit. De son coté elle a glissé sa main sous mes couilles et caresse voluptueusement mes attributs. Elle sy prend si bien que je sens monter la sauce, tandis quelle jouit dun autre orgasme par un dernier assaut de son clito. Cest à ce moment que je la comble dun long et puissant jet de foutre quelle reçoit dans un dernier râle roque et violent
La suite se termine sous la douche qui cueille fraichement nos corps transpirants de plaisir.
Enfin un repas frugale et léger, arrosé dun champagne qua ouvert Julie pour arroser nos premiers ébatsil y en aura dautres dans la soirée, puis le lendemain matin de ce samedi et même du dimanche.
Ma reprise à lÉcole de commerce lundi ne sera pas fulgurante !