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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura. – Chapitre 30




Pendant que les quatre personnes savourent ce rare instant en famille, une autre discussion se déroule dans la maison de Virginie.

Les trois jeunes femmes se retrouvent seules, après avoir vu les participants à la fête disparaître. Elles sont nues, elles sont propres ; il ne leur reste plus qu’à aller dormir, car l’heure et les émotions qu’elles ont ressenties leur ont fait prendre conscience de leur fatigue.

En pénétrant dans leur chambre, Amandine s’inquiète auprès de Virginie :

Qu’est-ce que tu as, ma chérie ?

Elle vient de se rendre compte que des larmes silencieuses coulent sur les joues de sa maîtresse.

Alertée à son tour, Laura se tourne vers elle et, intriguée, remarque :

Mais… tu pleures. Pourquoi ?

Avec un long sanglot, Virginie se précipite dans les bras de ses deux amantes et les serre contre elle. Elle dit :

Ne partez pas, mes amours, s’il vous plaît ! Nous sommes vendredi et demain je vais vous accompagner à la gare. C’est trop difficile pour moi ; restez-là, je vous en supplie, mes amours ! J’ai besoin de vous, ne serait-ce que pour m’aider à donner des cours à mes élèves. Mais j’ai surtout besoin de vous, de votre amour. Restez, s’il vous plaît, ne m’abandonnez pas !

Amandine, après s’être difficilement séparée de son étreinte, lui dit en la regardant droit dans les yeux :

Mon amour, nous t’avons promis de revenir : nous allons tenir notre promesse. Il faut que nous retournions pour rassurer nos parents, voir Madame Vinezac, lui expliquer ce que nous avons fait, la remercier de nous avoir offert ces vacances sans lesquelles nous ne t’aurions pas connue, et…

Virginie lui réplique :

Et pendant tout ce temps là je vais me morfondre ici, à attendre votre retour dans l’angoisse.

Laura intervient dans la discussion :

Non, ma chérie, Amandine a raison ! Mais pour l’instant, si tu veux, allons dormir ; nous en parlerons demain. Et, ajoute-t-elle en souriant, je crois qu’il va falloir que je mette aussi une grosse serviette entre mes jambes, parce que je ne sais pas si ce sont tes caresses si douces qui ont accéléré le mouvement, mais en attendant je crois que, chez moi, les Anglais vont débarquer.

Amandine fait remarquer :

Chez moi aussi !

Virginie reprend, l’air boudeur :

C’est bien ma chance ! Ça vient de finir chez moi et chez vous ça commence !

Ce n’est rien, ma chérie ! Viens, tu vas nous aider à nous préparer et demain, enfin tout à l’heure, nous parlerons.

Elles vont à la salle de bains, où Virginie leur fait une toilette vaginale minutieuse, entrecoupée de baisers clitoridiens qu’elles apprécient à leur juste valeur, puis elles reviennent et s’allongent sur leur lit.

Contrairement à ce que pensait Virginie, la fatigue a vite raison d’elles et elles s’endorment très rapidement d’un sommeil profond.

Le lendemain matin, en fait le jour même, elles se réveillent tard, dans la position où le sommeil les a surprises : Amandine et Laura sont de chaque côté de Virginie. Cette dernière a les têtes de ses deux maîtresses appuyées sur un sein ; on dirait d’ailleurs que Laura et Amanda tètent. Les cheveux blonds et noirs sont mélangés sur le ventre de Virginie. Ses mains sont posées sur les têtes de ses deux amies.

Un léger mouvement de Virginie, qui se retourne dans son sommeil, les éveille toutes les trois. Pour se dire bonjour, elles s’embrassent longuement, comme elles en ont pris l’habitude très rapidement depuis dix-sept jours, puis elles vont se laver.

Alors que tout se passe bien avec des savonnages doux et tendres, un nettoyage approfondi de chacune, Virginie éclate soudain en sanglots.

Surprises, Amandine et Laura se rapprochent d’elle et l’interrogent. Elle leur redit ce qu’elle a dit la veille :

Je ne veux pas que vous partiez, mes amours, dit-elle en reniflant. Ça me fait trop mal ! Déjà Hélène…

Amanda lui répond :

Mais nous ne partons que pour quelques jours. Je te jure que moi non plus ça ne m’enchante pas de te quitter, mais il le faut bien : nous avons nos parents, nos amis, Madame Vinezac, tout ça !

Laura interrompt leur aparté et dit :

Bon, nous allons nous essuyer et aller sur le lit. Là, je vous expliquerai l’idée que j’ai eue.

Elles agissent ainsi que Laura l’a dit. Une fois qu’elles sont allongées sur le lit, Amandine prend Virginie, toujours en larmes, dans ses bras et l’embrasse en la câlinant. Laura explique :

Voilà ! Virginie, tu es dans un état pas possible. Je ne veux pas que tu nous accompagnes demain à la gare.

Mais…

Non, je me suis mal exprimée : je ne veux pas que tu risques un accident en nous conduisant à la gare et surtout en en revenant. Je vais aller voir Mamie Simone et lui demander de téléphoner à un taxi qui viendra nous chercher toutes les quatre. Nous irons à la gare ensemble et je demanderai au taxi de te raccompagner ici, en compagnie de Mamie Simone. Amanda et moi irons à Lille, nous verrons nos parents, nos amis, Madame Vinezac et Giorgio…

Ne leur parlez pas de moi, s’il vous plaît ! Dites simplement… oh non, ne dites rien !

Nous ne serons absentes qu’une petite semaine ! Je te jure, mon amour, que dans moins de quinze jours nous serons de nouveau ici. Qu’en dis-tu, Amandine ?

Je suis d’accord, Laura.

Bon, je vais aller voir Mamie Simone.

Pendant l’absence de Laura, Amandine continue à faire des câlins à Virginie, qui se calme petit à petit. En même temps, elle lui dit des petits mots doux à l’oreille. Pour finir, Virginie lui sourit au milieu de ses larmes et lui apprend :

Tu vois, je suis sûre que c’est Hélène qui vous a guidées jusqu’à moi.

Amandine lui répond :

Tu dois avoir raison, mon amour !

Elles s’embrassent longuement sur la bouche au moment même où Laura revient. Elle regarde le tableau et se dirige, l’air heureux, vers ses deux amies. Elle s’allonge à moitié sur le lit, prend la tête de Virginie et la pose sur son ventre, tandis qu’Amandine se redresse et lui demande :

Alors ?

Mamie Simone m’a dit que nous avions raison. Demain, un taxi viendra nous chercher pour nous conduire à la gare. Virginie, tu reviendras avec lui en compagnie de Mamie Simone, qui a bien compris l’importance de sa tâche. D’ici là, il ne nous reste qu’à nous aimer.

Et pour ponctuer ce quelle dit, elle change de position et introduit sa langue dans le sexe de Virginie. Celle-ci lui dit :

Attends, j’ai peut-être encore un peu de sang.

Ça n’a pas d’importance, je veux bien te manger, je veux tout de toi, et Amandine aussi, je pense.

Les deux jeunes filles s’acharnent à faire jouir leur amie, sans que celle-ci leur offre la moindre résistance. En revanche, elles lui interdisent l’accès à leurs sexes respectifs, arguant du sang qu’il contient. Virginie ne veut pas en tenir compte et se retrouve bien vite avec les lèvres rougies. Elle leur dit :

Moi aussi j’aime tout de vous, mes chéries, je vous aime, je suis heureuse. Si vous pouviez rester ici

Laura lui dit :

Tu sais, nous allons revenir et nous installer ici, c’est décidé. Sois un peu patiente.

Toute la journée s’écoule ainsi. Mamie Simone, qui a deviné qu’elles veulent passer cette dernière journée ensemble, leur apporte de temps à autre un petit en-cas qu’elles savourent à pleines dents. La vieille femme ne peut pas s’empêcher de sourire à chaque fois que l’une ou l’autre l’embrasse pour la remercier. Elle est heureuse de les voir heureuses, et souvent elle les admire terminer leurs effusions sans les déranger.

La nuit tombe. Pour les trois femmes, l’heure n’a pas d’importance et leur nuit est aussi agitée que le fut la journée. Pourtant, tôt le matin, elles doivent se résoudre à se lever et à se laver mutuellement.

Elles prennent leur petit-déjeuner et, à l’heure dite, le taxi arrive.

Il charge les valises des jeunes femmes dans son coffre. Pendant ce temps, elles s’installent toutes les quatre à l’intérieur, Mamie Simone près du chauffeur, Amandine et Laura derrière, de chaque côté de Virginie qu’elles couvrent de baisers pendant tout le trajet.

Les quelques kilomètres jusqu’à la gare sont franchis rapidement.

Là, devant de nombreux témoins interloqués, elles s’embrassent : de gentils baisers sur les joues pour Mamie Simone, des baisers profonds sur la bouche avec la langue pour Virginie.

Finalement, Virginie et Mamie Simone restent sur le quai jusqu’à ce que le TGV disparaisse.

De gros sanglots agitent Virginie. Compatissante, Mamie Simone la prend par les épaules et la guide jusqu’au taxi en lui murmurant des paroles encourageantes, en lui redisant qu’elles ont promis de revenir le plus vite possible, en l’assurant aussi qu’elles sont toutes les deux amoureuses d’elle, « comme Mademoiselle Hélène l’était de vous », lui rappelle-t-elle.

Quand elles sont de retour à la maison, Mamie Simone soutient Virginie qui semble épuisée, comme si elle était vidée de toute son énergie. Elle la conduit jusqu’à la chambre où elle a dormi avec ses deux maîtresses, la déshabille doucement et la fait coucher dans son lit. Elle la borde comme on le fait avec un enfant, l’embrasse sur le front et lui dit :

Reposez-vous, Mademoiselle Virginie ! Elles vont revenir, je le sais, je le sens.

Virginie ne lui répond pas : elle est déjà endormie, abrutie de la fatigue accumulée au cours de cette nuit sans sommeil après une journée à aimer ses maîtresses.

Dans le TGV du retour, Amandine et Laura discutent longuement. Elles décident de raccourcir leur séjour au minimum et de faire une bonne surprise à Virginie en revenant par exemple « mercredi prochain au lieu de samedi », comme le confirme Laura.

Elles ne cessent d’évoquer leurs aventures, les personnes qu’elles ont vues, leur futur en compagnie de Virginie et de la délicieuse Mamie Simone, si prévenante à leur égard. Elles parlent aussi de leur amour mutuel, des liens qui se resserrent entre elles d’instant en instant. Finalement, elles se caressent mutuellement et s’embrassent sans se soucier de leur environnement, qui est d’ailleurs fort réduit.

En fin d’après-midi, elles sont de retour à la gare de Lille. Là, elles se quittent pour la première fois depuis le début de leur aventure, et c’est un peu tristes qu’elles rentrent chez elles.

Leurs parents s’extasient devant leurs mines splendides. Elles doivent raconter leur séjour ; elles passent sous silence tout ce qu’elles ont vécu et décrivent, ainsi qu’elles en ont décidé au cours de leur voyage de retour, un séjour paradisiaque au cours duquel elles ont fait de nombreuses connaissances.

Comme tout a une fin, elles partent se coucher, chacune dans leur lit solitaire, après avoir souhaité une bonne nuit à leurs parents respectifs.

Amandine ne peut pas dormir : elle sent qu’il lui manque quelque chose, la présence de Laura et de Virginie à ses côtés. Elle se résigne à passer une nuit sans sommeil. Elle se tourne et se retourne dans son lit lorsque, vers une heure du matin, son téléphone portable sonne. Elle s’en empare : c’est Laura. Elle est très heureuse d’entendre la voix de son amour.

Leur conversation est courte :

Amandine ?

Oui, Laura !

Je suis si heureuse de t’entendre, je n’arrive pas à dormir.

Moi non plus, mon amour. Je ne sais plus ce que c’est que dormir seule, maintenant !

Moi non plus. Tu sais ce que j’ai envie de faire ?

Non.

Demain matin, je dis au-revoir à mes parents et je retourne chez Virginie avec toi, si tu veux. Je ne peux plus me passer de vous deux. Je vais écrire une lettre à mes parents et je vais partir. Tu viens avec moi ?

Oh oui, mon amour ! Je vais faire une lettre aussi. J’ai tout juste défait ma valise, je vais la refaire.

Moi aussi.

Bon, voilà ce qu’on peut faire : on écrit à nos parents en leur disant qu’on s’aime, qu’on a rencontré quelqu’un à Mandelieu qui nous attend avec impatience et qui va nous donner du travail. Je vais leur dire que nous allons vivre toutes les trois ensemble, que ça leur plaise ou non. Je leur dirai aussi que je leur écrirai lorsque nous serons arrivées. Dès que j’aurai fini ma lettre, je vais la mettre sur la table de la cuisine, bien en évidence. Après, je prends ma valise et j’appelle un taxi pour aller à la gare de Lille. Tu veux profiter du taxi ?

Oh oui, mon amour, je vais faire comme toi. Je te quitte, je vais écrire ma lettre.

Une petite heure après, les deux jeunes femmes se retrouvent dans le taxi qui les conduit à la gare de Lille. Là, elles attendent patiemment le prochain TGV pour Cannes.

Le voyage leur semble court : chaque tour de roue de leur wagon les rapproche de leur amour commun.

Finalement, elles arrivent à la gare de Cannes où elles hèlent un taxi. L’homme descend pour les aider à charger leurs bagages et les interroge :

Mais, je vous reconnais ! C’est moi qui vous ai conduites ici, hier matin. Vous allez à Mandelieu ?

Oui ! Ramenez-nous là où vous nous avez prises, s’il vous plaît.

Bien, mesdemoiselles.

Quelques minutes plus tard, parce que le trajet n’est pas bien long, elles se retrouvent devant la porte qu’elles ont franchie pour la première fois vingt jours plus tôt. Elles règlent le chauffeur et attendent de le voir disparaître. Amandine est pressée de sonner, mais Laura lui suggère :

Amandine, fais comme moi.

Elle ouvre sa valise et met dedans sa robe, son slip et son soutien-gorge qu’elle enlève. Elle est nue dans la rue, heureusement désertique parce que la grande maison est isolée. Amandine fait la même chose et, une fois qu’elles sont nues toutes les deux, elle sonne.

Les deux jeunes femmes entendent des pas qui approchent, puis la porte s’ouvre. En face d’elles, Virginie arbore un air triste qui s’éclaire soudainement lorsqu’elle les voit.

Elle les prend dans ses bras et leur dit :

Oh mes amours, merci, merci.

À son tour, elle enlève le peignoir qui lui sert de seul vêtement et le dépose sur une valise.

Avant de les embrasser longuement chacune sur la bouche, elle demande, un peu inquiète :

Cette fois, vous ne repartez pas ?

Amandine lui répond :

Non, nous restons avec toi… enfin si tu veux bien de nous !

Un très grand sourire constitue sa seule réponse. Toutes les trois, nues, reviennent dans leur maison. Pendant qu’Amandine et Laura font rouler leurs valises dans l’allée, Virginie crie, d’une voix très heureuse :

Mamie Simone, Mamie Simone, venez voir !

Intriguée par le son rieur de la voix de Virginie, Mamie Simone sort de sa cuisine. Elle les regarde venir à elle, nues, splendides. Elle dit :

Je vous l’avais bien dit, Mademoiselle Virginie, qu’elles reviendraient.

FIN

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