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Notre belle famille – Chapitre 2




UNE CHAUDE APRES-MIDI

Le lendemain ma mère était en vacances a l’inverse de mon père qui devait travailler encore trois jours.

Au petit déjeuner elle ne parlait pas de ce qui s’était passe la veille. Elle me l’avait bien dit. En temps normal elle restait ma mère. Nous parlions donc de tout et de rien, de la pluie et du beau temps. Je sentais toutefois une atmosphère de gêne entre nous deux.

Elle me proposa de sortir et après le déjeuner nous allâmes au cinéma. Hélas le film était l’un des pires navets que nous n’avions jamais vu. Il y avait très peu de monde dans la salle. Toute la rangée du fond était à notre entière dispositions, rien que pour nous deux. Nous restions en espérant découvrir enfin un trait de génie mais non. Pourtant pour tut vous dire je ne fus pas déçu de cette projection. Je sentis au milieu du film la main de ma mère venir farfouiller dans mon pantalon pour en extirper ma queue. Elle me branla pendant une dizaine de minutes puis me chuchota

— ’ rentrons à la maison on va s’inventer un film toi et moi. Tu le regretteras pas je te le promet. ’

j’avais bien conscience de ce qu’elle voulait et je m’en réjouissait. Nous rentrions en vitesse et une fois la porte fermée elle m’embrassa à pleine bouche. Je n’avais pas encore embrassé maman et je dois avouer qu’elle embrassait très bien. Ces baisers étaient tout bonnement décapant. Après cela elle me dit

— ’ Tu as toute l’après midi pour réaliser tout ce que tu as toujours voulu faire à une femme. Je suis ton objet sexuel. Fais de moi ce que tu veux.’

J’étais aux anges, tout ce que je croyais impossible allait se réaliser. Mais il ne fallait pas se presser et profiter de l’instant présent. Déjà je lui voulait une tenue adéquate à la situation. Je lui demandais donc de troquer son tee-shirt et son jean pour une tenue plus sexy. Elle me demanda de patienter sur le canapé pendant qu’elle allait s’affairer à réaliser cette première demande. Quand elle revint je n’en croyais pas mes yeux. Je n’avais jamais vu ma mère aussi sexy. Elle ne s’était jamais habillée de la sorte devant moi, sans doute pour ne pas éveiller d’idée perverse. Mais c’est elle qui avait commencé et de toute façon la limite était dépassée. Alors pourquoi se priver ? Il n’ y a pas de mal a se faire du bien après tout.. Elle était habillé d’une mini jupe qui cachait sans en douter un porte jarretelle blanc, d’ une chemise avec laquelle elle avait fait un noeud afin de découvrir son bas ventre et son ravissant nombril. Elle portait également des talons et s’était recoiffé de manière sensuelle, type les cheveux au vent.. C’était une bombe. Il me semblait qu’elle avait rajeuni de 10 ans et que j’avais en face de moi une belle femme d’une trentaine d’année. Je n’en croyait pas mes yeux tant la métamorphose était impressionnante.

— ’ je te plait comme ça ?.’

— ’maman t’es bandante !’

— ’allons dans ma chambre, on y sera mieux tu ne penses pas?!.’

nous nous allongeâmes sur le lit de sa chambre et nous embrassâmes pendant un long moment se caressant dans tout les sens. Mes mains passaient et repassaient sur ses jambes douces et fines , tandis que les siennes passaient sous mon tee-shirt pour parcourir mon torse. Nous étions vraiment tel deux amant en pleine fougue amoureuse. La chaleur nous imprégnait de tout notre corps. Nous nous excitions de plus en plus à chaque caresses et à chaque baiser ardents.

Puis je fis le premier pas pour passer a la vitesse supérieur. ma main alla cette fois ci vers son entrejambe pour découvrir une chatte dénuée de culotte et de poils. Je n’avais pas remarqué à quel point ses lèvres pouvaient être douces. Je les caressais et cela la faisait gémir en ondulant du bassin pour que j’aille plus loin dans mon entreprise. mais je n’allais pas plus loin du moins pour l’instant afin de la forcer à me supplier. Elle continuait d’onduler lorsque , n’en pouvant plus elle chuchota entre deux souffle de plaisir

— ’tes doigts. rentre tes doigts.’

— ’pardon?’ répondis je en faisant celui qui n’avait pas entendu.

— ’ rentre tes doigts dans ma chatte. Va y fait moi jouir avec tes doigts. s’il te plait’

je mis fin très rapidement au supplice et rentra un doigt puis deux puis trois. Je me demandait si j’allais pouvoir rentrer ma main. Mais je ne préférais pas tenter le coup de peur de lui faire mal. Mes trois doigts s’affairaient dans sa petite chatte brûlante de désir. Elle ondulait son bassin de plus en plus brusquement jusqu’a ce qu’elle pousse un cri de jouissance et s’effondre de tout son corps sur le lit. Je lui fis reprendre rapidement ses esprits , je sortis ma bite de son emballage et lui demanda de me branler et uniquement de me branler. Jusque là , la seule main étrangère qui m’avait masturbé était celle de ma mère la veille et la séance avait été trop courte à mon goût pour que je puisse largement en profiter. Les filles de mon âge se répugnaient à l’idée de penser à cet objet. Et celles qui faisaient l’effort de coucher , ne voulaient jamais le prendre en bouche ou même le toucher. et dire qu’elle se font plaisir de jouir quand nos doigts farfouillent leur petite chatte de jeunette et qu’elles se vantent à tout va d’avoir fait l’amour. Enfin elles allaient grandir et devenir de vrais jeunes femmes. Mais je n’avais plus à me plaindre désormais j’avais une salope à domicile. Et celle salope commençais à me masturber sur mon ordre. quel plaisir; une main autre que la mienne qui s’agitais sur mon sexe qui pointais vers le plafond. Je regardais cette main s’appliquer dans sa tâche. Les gestes qu’elle réalisait étaient beaux à mes yeux , Fluide. Au bout d’une dizaine de minutes je l’autorisais à la manger, et à peine l’autorisation prononcée que la voila déjà en train de me siphonner. C’est la seule femme qui m’ai jusqu’ici pomper le dard mais je suis tout de même certain qu’elle était loin d’être une amatrice en la matière tant je prenais plaisir à chaque coup de langue, à chaque coulissement de ma queue entre ses lèvres fines et je crois également qu’elle aimait ce contact. Sans doute le fait de se sentir à la fois soumise et maîtresse. Le sentiment d’être la seule qui puisse réaliser ce plaisir et qui pourtant accepte d’obéir a mes ordres comme si elle en était obligée. De peur d’éjaculer trop rapidement et je l’arrêtais afin que nous nous déshabillions. Nous le faisant mutuellement en s’accompagnant de baiser. Une fois à poil je me sentais près à tenir à nouveau un bon moment. J’avais laisser ma mère en porte jarretelle et en talon , tel une actrice porno. Allez savoir pourquoi cela nous excite , nous les hommes ? Peut être parce que cela fait penser à un trou ambulant, en le disant vulgairement. Les talons justifiant le ’ambulant’ et le porte jarretelle, faisant bien ressortir le sexe féminin, ’le trou’. Quelle image dégradantes de la femme. Et pourtant cela m’excitait considérablement.

Je la fis mettre à quatre pattes et enfonça ma bite d’un trait dans sa chatte. Elle poussa un petit cris à cette intrusion soudaine au fond de son ventre. Mais très vite ce sont des gémissement de plaisir et d’obscénité digne d’un porno qui prirent place .

— ’ouiiiii c’est bon je sens ta queue. Enfonce la bien que j’en profite. AHHH tu me fait jouir plus fort défonces moi.’

J’était tellement excité que je lui répondais des

— ’tiens prend ça dans ta chatte pétasse. Tu l’aimes ma grosse bite qui te défonce hein salope ?’

— ? oui je l’adore. Elle me remplis bien mon cochon d’amour. ?

On poussait tous deux des gémissements ou beuglement de jouissance. Fatigué de bouger sans cesse mon bassin je la laissais prendre les commandes. Elle s’empala sur ma bite et on continua de baiser. Nous étions tous deux en chaleur et nous transpirions de tout notre corps. Nos gouttes de sueur remplies de chaleur se mélangeais au contact de nos deux corps, de nos lèvres. Elle arriva à jouir juste avant moi. Et Quand ce fut mon tour je sortis de sa chatte et lui éjacula a son visage qu’elle me présenta sans que j’ai eu besoin de lui faire connaître mon désir. J’avais abondamment éjaculé et son doux visage était maintenant mi humain mi flaque de foutre. Elle passait ses doigts sur ma semence qu’elle ramena ensuite dans sa bouche. Le rêve de tout homme : une femme qui avale le sperme sans qu’on le lui demande. Je débandais très vite mais elle ne voulais pas s’arrêter la et moi non plus d’ailleurs. elle me masturba ou me lécha la queue tranquillement le temps que l’on reprenne chacun nos esprits. Je cherchais bien ce que je pourrais bien lui faire et je trouvais très rapidement. Je passa une de mes mains derrière ses fesses et lui titilla délicatement l’anus.

— ’ah je savais bien que tu allais me demander ça petit pervers. Ca tombe bien mon chéri j’aime ça. Vas y rentre un doigt ne te gène pas. j’ai l’habitude.’

je ne me gênais donc pas et insérais mon majeur dans son cul. J’en rentrais deux et les gigotais à l’intérieur. Elle appréciais cette expérience et une fois que ma queue eu repris de sa vigueur elle se coucha d’elle même sur le ventre en s’exclamant

— ’allez je veux plus que des doigts maintenant ! Enfouie ta grosse tige dans mon cul de salope.’

Pas besoin de me le dire deux fois je m’insérais doucement dans ses fesses tandis qu’elle m’accompagnais dans ma tâche par des ’oh ouiii c’est bien je la sens qu’elle glisse. Va jusqu’au bout que je la sente au maximum. Ouiiiiii’ j’arrivais sans trop de problème au fond et je commençais à lui bourrer le cul , d’abord délicatement puis sauvagement sur sa demande. Cet orifice plus étroit me procurais un nouveau plaisir que je ne connaissais pas. Je jouissais très rapidement dans ses fesses et ce furent des flots de sperme qui se répandèrent sur les draps quand j’en sortis mon sexe. Nous effondrâmes sur le lit. Aucune paroles ne nous vinrent a l’esprit; puis elle pris la parole.

— ’alors ça te fait quoi de baiser ta mère.?’

— ’je croyais que t’étais qu’une salope bonne a sauter dans ce cas la?’

— ’ouiii. Mais tu ressens quand même quelque chose non.’

— ’oui bien sûr ça me fait bizarre. Mais tu baises tellement bien que j’oublie tout et je me contente de te niquer. Toi tu ressens quoi.’

— ’moi je ressens un jeune mâle en manque d’expérience plein de fougue. Et je ressent surtout ta queue. Allez trêve de bavardage , l’après midi n’est pas fini mon petit cochon.’

Nous baisâmes toute la journée et le soir je ne pus rejoindre mes parents dans leur ébats sexuel et cela dura jusqu’à ce que mon père prenne enfin ses vacances…

Adriansex. (anciennement ? pseudoisé ? Kbx si certains ont reconnu là cette histoire qui a été écrite il y a bien longtemps sur un site défunt). [email protected]

Si vous voulez m’envoyer vos commentaires c’est avec plaisir que je les lirais, tout comme vos expériences si vous avez déjà pratiqué l’inceste (avec une volonté consciente des deux bords bien évidemment, je ne préconise en aucun cas les actes pédophile en famille très très loin de là).

Enfin vous pouvez toujours m’envoyer de vos idées pour cette série que je pourrais tenter de caser par çi par là afin de peut-être la ? remasteriser ?.

Ne vous inquiétez pas, le fils n’en a pas fini avec sa salope de mère.

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