Je m’agenouille au bout du divan et plonge ma bouche sur son sexe. Elle ruisselle de cyprine, je me délecte de ce nectar tout en lui titillant le clitoris. Sa cyprine a un goût différent de la mienne, un peu plus doux, j’adore. Il y a très longtemps que je n’ai pas brouté une chatte avec une petite toison, même taillée très courte. L’impression est bizarre, mais pas désagréable, les poils sont trop courts pour me rentrer dans le nez. Je lèche son ticket de métro sans oublier son bouton proéminent. J’ai l’impression de voir une ombre bouger derrière une fenêtre d’en face, on nous mate. Elle ondule sous ma bouche, je la sens se durcir, son ventre monte de plus en plus, elle se tend.

— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, oui, AAAAAAAAHHHHHHHH

Je m’active sur son sexe jusqu’à ce que son corps se détende. Une fois que ses fesses ont retrouvé le divan, je me redresse pour venir me coucher sur elle. Je veux que nos corps fassent connaissance. Son visage est détendu, elle est sereine.

— Ça va ?

— Merveilleusement bien.

— Je crois que quelqu’un nous regarde en face.

— Oui, c’est pour ça que les fenêtres sont ouvertes.

— Ça arrive souvent ?

— Tous les jours, été comme hiver, je suis toujours à poil chez moi, et les rideaux ne sont jamais tirés, même en hiver. Il y a huit chambres de l’hôtel qui donnent directement sur le salon et j’ai remarqué que je vois régulièrement les mêmes têtes en face, ils doivent réserver la chambre pour me voir et j’aime.

— Et tu fais quoi ?

— Je me promène à poil, je passe l’aspirateur à poil, je me caresse sur le divan, je me masturbe en ouvrant bien les jambes, je baise avec des mecs ou des femmes, je vis quoi.

— C’est dommage que chez moi, il n’y ait pas de vis-à-vis, j’adorerais faire ce que tu fais, la prochaine fois, ce sera une des conditions pour que je prenne l’appartement.

— Oui, mais fais attention, il ne faut pas que ce soit les gens du quartier qui puissent te voir, ça peut te créer des problèmes. Là, ce sont des gens de passage, ils se rincent l’il, ils profitent du moment mais ne vont pas faire un scandale à la réception. Je doute que des voisins soient si cool, c’est pour ça que les fenêtres donnant sur les immeubles d’en face sont fermées.

— A retenir.

— Bon, passons aux choses sérieuses, embrasse-moi.

Je m’allonge sur elle, nos bouches se soudent, nos langues s’aiment, nos corps s’unissent. Au bout d’un moment, nous nous redressons pour nous assoir côte à côte. Je suis tout excitée de savoir qu’on nous regarde, je mouille encore plus. Julie pose sa main sur mon mont de Vénus, j’écarte les cuisses, elle plante son majeur dans mon vagin, le retire et l’amène à son nez.

— Tu aimes t’exhiber hein ?

— J’adore, je suis dans un état second quand je me montre.

— Que dirais-tu de l’exhibe absolu ?

— C’est-à-dire ?

— Te promener à poil dans une rue, simplement revêtue d’un string et d’une fine couche de peinture qui imite des vêtements, c’est le « body painting », tu ne connais pas ?

— J’ai vaguement entendu parler, mais je n’ai jamais pratiqué.

— Ça te dit ?

— Pourquoi pas, mais sans string, je n’en ai pas.

— Tu le ferais intégralement nue ?

— Oui, si je suis peinte, je ne vois pas pourquoi je mettrais un string.

— OK, et tu serais partante pour quand ?

— Tout de suite si c’était possible.

— Pas vraiment, tu sais, ça prend du temps de peindre un corps, si tu veux te balader vers seize heures, il faut commencer vers onze heures, ça prend quatre à cinq heures de boulot.

— Tu l’as déjà fait ?

— Non, mais ma sur l’a fait il y a un an, j’étais là quand elles l’ont peinte. Elles ont commencé à la peindre à treize heures et elle n’est sortie qu’à dix-sept heures.

— Elles étaient combien ?

— Deux, ce sont des amies qui vivent juste à côté du jardin du Luxembourg.

— Ensemble ?

— Elles sont lesbiennes.

— Et ça serait possible quand ?

— Je téléphone à mes copines.

Elle va prendre son téléphone en charge dans la cuisine et appelle ses amies. Elle cri de la cuisine.

— Demain vers midi, ça te va ?

— OK.

Elle revient très vite tout sourire.

— Elles sont toutes excitées, ça sera la première fois qu’elles vont peindre un corps intégralement nu, jusqu’à présent, les filles portaient toujours au moins un string. Tu verras, elles te plairont, d’autant qu’elles peignent à poil pour ne pas salir leurs fringues, de plus, elles sont canon.

— Il faut un début à tout, et moi, je mouille déjà rien que d’y penser, j’ai envie.

— Je peux arranger ça.

— OK, d’autant qu’il y a maintenant deux ombres derrière les rideaux.

— J’ai vu.

Je la regarde, m’allonge au bord du divan une jambe sur le dossier, lui offrant mon sexe à ses yeux concupiscents. Elle vient vers moi, s’agenouille et en prend possession. Sa langue s’active d’abord dans ma vulve, elle descend sur le périnée, replonge entre mes lèvres pour remonter sur mon clitoris. Je me laisse aller, une succession de feux d’artifice explose dans mon corps, je suis bandée comme un arc. Quand mes fesses touchent de nouveau le divan, Julie se redresse, elle me regarde tendrement, je vois que son sexe est très brillant, je me saisis d’une jambe, l’attire à moi et la fais s’assoir sur ma bouche. Ma langue s’enfonce dans son vagin, mes dents lui mordillent les lèvres, elle se penche en avant pour que je puisse accéder à son clitoris gonflé au maximum. Je le mordille, le lèche, le suce, le titille jusqu’à ce qu’elle s’envole dans un nouvel orgasme. Elle s’écroule sur moi, tétanisée. J’ai sa rondelle sous les yeux, une jolie petite rondelle bien lisse que je me promets d’explorer. Au bout de quelques minutes elle se redresse, se lève, me prend la main et tire pour me faire lever.

— J’ai envie d’une douche, pas toi ?

— Oui, et j’en ai besoin.

Nous arrivons dans une belle salle de bain, avec une douche à l’italienne.

— Cet appartement est magnifique, ça doit te coûter une fortune dans ce quartier.

— Pas du tout, il appartient à mes grands-parents qui sont à la retraite, ils sont au Portugal, ils y vivent toute l’année. Ils ne viennent ici que pour Noël. Ils me laissent occuper l’appartement avec l’accord de mes parents, ils sont rassurés de le savoir habité.

— Et tes parents ?

— Ils ont leur propre appartement à Versailles, mon père travaille à Vélizy et comme il est fils unique et que je suis fille unique, c’est moi qui hériterai des deux appartements.

— Ça change de mon petit studio.

Elle règle l’eau et nous nous glissons sous la cascade. Quand je vois Julie ruisselante d’eau, je me penche sur elle pour poser mes lèvres sur ses seins. Mes lèvres descendent le long de ce merveilleux corps, j’adore le grain de sa peau. Ça se termine par ma bouche sur son sexe pour la faire exploser de plaisir, ce qu’elle me rend immédiatement après être revenue à elle. Un quart d’heure plus tard, nous sommes de nouveau dans le salon. Il est maintenant dix-neuf heures trente, je dois rentrer chez moi. Je quitte Julie non sans un petit pincement au cur, mais on se revoit demain pour le « body painting ». Nous convenons que j’arrive vers dix heures.

Je retourne chez moi à pied, je veux encore me montrer. Il y a beaucoup moins de monde maintenant et la brise est tombée. Pour compenser, je remonte un tout petit peu ma jupe sur mon ventre. Je sens le bas de ma jupe taper contre le pli qui joint la cuisse aux fesses. A quelques mètres derrière moi, ça doit être intéressant. Je marche depuis quelques minutes quand j’entends une voix de femme derrière moi.

— Tu as vu ce beau petit cul, j’y poserais volontiers mes mains dessus et toi ?

— Moi aussi, mais j’y mettrais aussi autre chose.

Il y a une femme et un homme. Sans me retourner, je réponds.

— Et qui vous en empêche.

Quelques secondes plus tard, une main douce se pose sur ma fesse droite, la caresse, la soupèse, la malaxe.

— Ferme, douce et bien bronzée, j’adore.

Ma cyprine coule à flots, nous sommes en pleine rue et une femme me tâte la fesse au vu et au su de tout le monde, j’adore. Une autre main, plus grande et plus puissante, s’occupe de ma fesse gauche et la caresse.

— Tu as raison, très douce et ferme, mais moi, j’aimerais aller plus loin.

Je comprends parfaitement ce que veut dire sa réflexion et j’y adhère complètement. Je ne change pas de rythme, mais, connaissant le quartier, je change de destination, je tourne sur une petite rue déserte et me dirige vers une porte-cochère assez enfoncée. Ils me suivent toujours. Je l’ouvre et me plaque contre un mur du porche en leur tournant toujours le dos. Je reste sans bouger les bras le long du corps. Je fais l’innocente.

— Et c’est quoi aller plus loin.

— T’en foutre un bon coup entre les fesses.

— Ah bon, mais avec quoi ?

— Ma grosse bite, tu veux essayer ?

— Elle est si grosse que ça ?

— Si tu veux, tu pourras juger par toi-même.

— Tu as un préservatif ?

— Toujours.

— Alors, qu’est-ce que tu attends, je suis un juge impartial.

Je ne bouge pas, l’entends déchirer une protection de capote pendant que deux mains remontent ma jupe en la coinçant dans ma ceinture dégageant entièrement mes fesses.

— Putain qu’elles sont belles.

Une main me badigeonne le cul d’une matière grasse, un doigt la fait pénétrer dans mon anus en s’y glissant de deux phalanges et en faisant de rapides allers-retours pour l’assouplir. J’ai affaire à des connaisseurs. Un morceau de chair dur vient toucher ma main. C’est la bite du mec encapuchonnée. Je m’en saisis pour la jauger, elle est d’une taille très intéressante.

— Elle te convient ?

— Parfaitement.

Quand je la libère, il se dégage et une seconde plus tard, je sens son gland venir forcer entre mes fesses. Elles s’écartent pour la laisser venir frapper à la porte du paradis. Celle-ci s’ouvre sans problème, elle a l’habitude. Son gland se fraye un passage jusqu’à ce que je sente son pubis poilu se coller à mes fesses.

— Putain, elle est bonne.

— Alors, déguste.

Il se déchaîne dans mon cul, je ruisselle de cyprine, mais il jouit très vite ne me laissant pas le temps d’arriver à l’orgasme. Il se retire sans un mot, je suis frustrée, et pour tout dire, un peu en colère. Je suis sur le point de me retourner pour lui dire ce que je pense de sa prestation quand je sens une langue se glisser entre mes cuisses, une tête vient glisser entre mes elles et le mur. Je recule mes fesses pour faire en sorte qu’elle puisse y arriver plus facilement et la langue atterrit sur ma vulve. Des lèvres l’aspirent, la sucent, des dents la mordillent jusqu’à ce que la langue vienne titiller mon clitoris. Je n’en peux plus, quand un millier de feux d’artifice explosent partout dans mon corps. Mes jambes flageolent, deux mains puissantes me prennent par la taille pour me maintenir debout. Quand j’ai récupéré, la langue me lèche la vulve, s’occupe du haut des cuisses, de mes fesses et de mon anus. Des mains me remettent la jupe en place.

— Voilà, tu es nickel, ne t’en fais pas, c’était du beurre que j’ai utilisé pour ton cul, j’adore le beurre. Adieu.

— Adieu, tu as un super cul.

— Adieu.

Je n’en rajoute pas, pas de verdict, il risquerait de ne pas apprécier. Ils partent, j’attends un peu pour me retourner, je ne veux pas savoir qui c’est. Trois minutes plus tard, je me retourne, personne, je reprends le chemin de mon studio. Après une bonne douche, un repas avalé vite fait et avoir joui deux fois en pensant très fort à Julie, je me couche et m’endors comme un bébé.

…/…

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