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Fellations familiales – Chapitre 4




Le repas et surtout les boissons avaient apporté l’apaisement érotique recherché, tout en maintenant le désir de continuer ce jeu si spécial. Nos nudités, le peignoir de Maman à moitié enlevé, les récits que nous avons faits de nos expériences sexuelles, tout nous poussait à procéder bientôt à un nouveau tirage au sort, qu’effectua mon père. Ce fut alors au tour de Françoise de s’occuper de moi.

Je m’allongeais sur le tapis, tandis qu’à quatre pattes entre mes jambes, ma femme entamait l’une de ses fellations divines qu’elle me réservait pour les grandes occasions. Au troisième spectacle qui avait ainsi lieu, la réserve initiale du couple spectateur s’amenuisait un peu. Je vis ainsi mes parents venir s’asseoir à nos côtés, de part et d’autre de moi. Ma mère, le peignoir toujours retenu à la taille, était plus proche de ma tête, tandis que Papa s’était installé pour pouvoir admirer aussi bien la croupe de sa belle-fille que la caresse qu’elle m’administrait.

Il était manifestement fasciné par les fesses fermes, les cuisses pleines et la fente poilue de ma brune Françoise. Et à deux ou trois reprises, je vis qu’il ne se retenait pas pour passer sa main dessus. Sans cesser son va-et-vient sur mon sexe tendu comme un arc, elle se cambra un peu plus et écarta encore un peu ses jambes, pour lui offrir une vision plus intime encore. Pour ma part, je ne quittais pas des yeux les seins maternels, tout près de moi. Ma main se leva pour les toucher et c’est le contact de cette rondeur ferme dans ma paume, tandis que mon pouce jouait avec un téton durement dressé, qui me fit brusquement exploser dans la bouche de Françoise, qui après une ou deux gorgées me fit jouir sur mon ventre. Ma mère, à mon grand ébahissement, m’essuya avec ses doigts, qu’elle porta ensuite à sa bouche. ’Tu es plus salé que ton père’, me dit-elle en déposant un baiser chaste mais humide sur mes lèvres. Elle se leva ensuite, alla se verser un verre de vin doux et détacha son peignoir qui tomba, la révélant enfin nue devant nous tous.

Je ne sais pas pourquoi, mais lorsque dans mes fantasmes, il m’arrivait d’imaginer ma mère nue, je lui avais toujours prêté une toison pubienne abondante. Elle l’était encore plus dans la réalité. Un vaste triangle noir, touffu, qui remontait haut sur son ventre, librement. Seules les cuisses étaient préservées, par un entretien soigneux qui les maintenaient vierges de poils. Ce choix d’un triangle impeccablement entretenu, mais volontairement laissé abondant, m’excita violemment et je dus me retenir pour ne pas y porter la main. Mes parents s’installèrent soigneusement : mon père s’assit en tailleur sur le tapis, tandis qu’allongée devant lui, Maman haussa son sexe à hauteur de sa bouche. Françoise et moi avons calé plusieurs coussins sous ses hanches pour soulager sa position, tandis que mon père enfouissait son visage dans l’intimité de sa femme. Il alterna les baisers tendres, où il écrasait sa figure contre le sexe offert, et les phases plus toniques. Dans celles-ci, il écartait au maximum les lèvres intimes de ma mère, et faisait coulisser sa langue à l’intérieur, simulant une pénétration. Ma mère, les yeux fermés, secouait la tête en laissant s’échapper des gémissements continus. Ses seins tressautaient à chaque mouvement qu’elle faisait. Je m’étais assis à côté de sa tête ; n’y tenant plus, j’entrepris de lui caresser la poitrine, malaxant ses globes encore fermes et faisant rouler les longues pointes durcies entre mes doigts. Ses gémissements s’amplifiaient ; soudain, elle saisit mon sexe, dressé tout près de son visage.

Elle ne lui imprima aucun mouvement, mais le garda fermement serré dans sa main, alors que son bassin s’agitait de plus en plus frénétiquement. Je regardais Françoise et constatais qu’elle n’était pas en reste : elle avait saisi le sexe de mon père et le masturbait lentement, s’amusant à en frotter le bout contre les fesses de ma mère. Lorsqu’un long cri rauque annonça l’orgasme maternel, Françoise accéléra sa caresse et fit presque aussitôt jouir mon père. Sa bouche quitta alors le sexe de ma mère, inondé et encore secoué de spasmes. De sa main gauche, il attira Françoise contre lui et je vis alors leurs langues s’enlacer dans un fougueux baiser, tandis que ma femme tenait toujours dans sa main le sexe qu’elle venait de faire jouir. Je pris le visage de Maman entre mes mains, et me penchai sur sa bouche. Elle aussi me conserva dans sa main. Nous nous sommes aussi embrassés avidement.

En un instant, tout avait basculé. C’était d’ailleurs prévisible. Le ’jeu’ avait dérivé vers un échange de partenaire entre nos deux couples. Sur le tapis, étroitement enlacés, Françoise et mon père continuaient à s’embrasser. Il avait plongé ses doigts dans l’intimité de ma femme, et la fouillait avec vivacité. Juste à côté d’eux, ma mère me masturbait tandis que ma bouche passait sans arrêt de la sienne à ses seins. Sous les caresses de mes parents, Françoise et moi avons joui presque en même temps.

Pour la première fois de notre mariage, nous connaissions des orgasmes provoqués par quelqu’un d’étranger à notre couple.

Jusqu’où allait nous entraîner cette soirée ? C’est une autre histoire, que je vous ferai bientôt découvrir.

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