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le voyeurisme, une passion – Chapitre 3




Suite :

Nous descendons donc de la voiture chacun de notre côté et nous retrouvons devant le capot, coté bois, cachés de la route par la voiture. Nous nous embrassons fougueusement puis, sans autres formes de politesses, je lallonge sur le capot, lui écarte les jambes et la pénètre dun coup de bassin. Cette première pénétration est une délivrance, une explosion de plaisir et de soulagement pour moi comme pour elle tant nous en avions envie.

Je la baise fougueusement sur le capot, ce qui fait bouger la voiture. Je les tiens les jambes bien en l’air avec mes mains et lui enfile la totalité de mon sexe à chaque passage. Elle gémit, elle couine mais se mord un doigt pour se retenir de crier car, même endormit, son mari est sur la banquette arrière.

Le plaisir est intense, sa chatte est délicieusement trempée, ses jambes relevées sont magnifiques et ses gros seins, sortis de sa robe, remuent joyeusement au rythme de mes vas-et-viens. Bref, un cocktail parfait pour faire jouir en 2 minutes n’importe quel mec ! Sauf qu’il est hors de question de jouir si vite et de la décevoir. Je me retire donc pour faire redescendre la pression et commence aussitôt à lui lécher goulûment la chatte et à la doigter. Sa mouille est délicieuse et ce cuni a le double intérêt de lui procurer du plaisir et de calmer un peu le sperme bouillonnant dans mes couilles. Puis je me redresse et l’enfile à nouveau, lui arrachant un cri de plaisir au passage.

Je me retire encore une fois, mais pour la retourner, cette fois car j’ai envie de la prendre par derrière. Elle se laisse se faire et je la plaque sur le capot, le cul bien en l’air. D’une main j’écarte une fesse et de l’autre je dirige ma bite à l’entrée de sa chatte. Et à nouveau je la pilonne avec ardeur. Je profite de ma position pour mater son superbe anus et y enfoncer doucement un doigt. Elle ne réagit pas et j’ai même l’impression que ses gémissements se font plus expressifs Cela dit, je n’ose briser un moment parfait avec une tentative de sodomie qui pourrait lui faire mal ou la dégoûter.

Je continue donc à la besogner ainsi durant de délicieuses minutes. L’effet de mon doigt dans son cul se fait alors sentir et je sens à nouveau la jouissance venir.

— Putain je sens que ça vient.

— Oh mon dieux, je vais jouir aussi continue baise-moi viens en moi !!

Je commence alors à retirer mon doigt pour me concentrer sur la pénétration mais elle me retient :

— Laisse-le ! Et accélère !! Oh oui comme ça, tu vas me faire jouir !!

Le doigt bien enfoncé dans son fion, j’accélère le mouvement et la défonce sans retenue.

— Dis-moi que tu vas me remplir me dit-elle en gémissant Aaaahh, insulte-moi, s’il te plaît !!

Totalement excité par cela, j’enfonce un deuxième doigt dans son cul et commence à l’insulter.

— Tiens, prends toi un autre doigt dans le cul, salope !!

— Oh encore !

— T’en veux encore pétasse ?? Tiens je te baise sale pute bouffeuse de foutre, je te baise sur la bagnole de ton mari. Et je vais de remplir de sperme sale traînée !! Aahh ça vient !!

— Aaahhh vas-y baises-moi comme une pute !!! Aahhh ouiiiiiii, je jouis !!!

Et dans un ultime coup de hanche, je décharge tout en elle en la faisant jouir si violemment que j’ai cru que son mari allait obligatoirement se réveiller. Nous nous écroulons, encore emboîtés, sur le capot de la voiture et restons là un moment.

— Oh mon dieu. Fabien… c’était divin, absolument divin.

— C’était énorme et excuse-moi pour les insultes, je me suis lâché !

— Ne t’excuse pas, cest moi qui t’es demandé. J’adore ça, me faire insulter avant de jouir C’est dégradant et si excitant.

Je me retire d’elle et je la vois s’accroupir en écartant les jambes pour laisser séchapper ma semence. En voyant les flots tomber au sol elle me dit :

— Et bien ! Tu mas littéralement remplie !!

Puis elle s’approche de moi, et me suce la queue encore bien dure, apparemment pour me nettoyer. Nous nous redirigeons ensuite vers la voiture pour retourner à lhôtel.

— On est bien d’accord que je couche l’autre dans la chambre et qu’après on se trouve un coin tranquille pour remettre ça ? me demande-t-elle

— Je n’osais pas te le demander !!

Nous arrivons à lhôtel et Caroline me demande de lattendre discrètement près de la voiture car elle va réveiller son mari pour le monter dans leur chambre et ne veut pas quil me voie. Je sors donc, je me cache un peu et la vois sortir son mari de la voiture. Il a les yeux mi ouverts et marche péniblement, soutenu par sa femme. Mais je décide de céder à la curiosité en les suivant discrètement dans le hall de lhôtel. Puis, connaissant leur étage, je monte les escaliers et continue de les suivre à distance jusquà leur chambre. Jattends quelques instants dehors et tends loreille par la porte restée entrouverte pour entendre ce qui sy dit.

— Ça va mon chéri ? Tu nes pas trop malade ? demande Caroline dun ton compatissant. Tu as besoin de quelque chose ?

— Mmmmhhh, fous moi la p paix.je. je vais me c. coucher.

— Cest ça, couche toi et dors.

Le bruit de ronflement commence alors aussitôt.

— Tu dors déjà ? demande-t-elle de voix basse.

Puis plus haut :

— Hé ho ? Tu dors ?? Hum, oui, apparemment, tu dors Dommage javais tellement envie que tu mencule bien violemment !

Et à cette phrase, sans doute un piège, le mari ne réagit pas et continue de ronfler comme un porc. Mais Caroline continue de lui parler :

— Puisque tu es bien endormi, ducon, je voulais te dire : je me suis fait reluqué le cul et les seins toute laprès-midi par un beau jeune homme et je lai laissé me baiser ! Il ma pris sur le capot de ton 4×4 de merde et il a juté en moi Ah oui, aussi, je lai sucé dans laprès-midi contre le mur de la mairie pendant que tu buvais des canons en disant des horreurs sur moi. Et son foutre a un gout délicieux, pour info.

En entendant ses paroles, je retombe dans un état dexcitation et de fascination pour cette femme qui me poussent à entrer discrètement dans la chambre et à mapprocher de Caroline par derrière. Seule la lumière de lentrée, faiblarde, allumée par Caroline en entrant, me permet de voir où elle est dans la chambre.

— Et là tu vois, connard, je vais retourner le voir dans la voiture pour quil me baise encore et je lui demanderai quil mencule, ce que je tai toujours refusé, malgré tes demandes instantes !

A ce moment, je pose ma main sur la bouche de Caroline qui se raidit tout de suite et lui glisse à loreille « ne tinquiète pas, cest moi, Fabien ». Je libère alors sa bouche et elle se retourne avec un regard accusateur :

— Tu es fou ?? me dit-elle en chuchotant. Quest-ce que tu fais là ? Bon, viens on sort, je ne veux pas quil se réveille

Mais alors quelle me parlait, je massais déjà ses gros seins en ayant passé mes mains sous sa robe.

— Avec ce que tu lui as dit à linstant, sil devait se réveiller, ce serait déjà fait ! lui dis-je en lui touchant les fesses. Crois-moi, jai déjà été bourré comme ça et cest souvent le trou noir complet le lendemain

— Cest une très mauvaise idée, me répond-elle alors que le lui embrasse le coup et que mes doigts se faufilent entre ses fesses pour atteindre sa chatte. Il pourrait. nous réveiller Il pourrait nous surprendre mmmhhh en train de baiser Et puis merde !!

Elle cède alors à la pulsion qui montant en elle alors que je la doigtais, se retourne face à moi et membrasse fougueusement. Puis, immédiatement, elle saccroupit et commence à me sucer, à peine à deux mètres de la tête de son mari.

Elle se déchaine sur ma queue, me la gobe presque à fond, me pompe le grand très fort et me suce les couilles. Elle va et vient avec sa tête à une vitesse impressionnante. Parfois, folle dexcitation, elle frotte mon sexe sur son visage et se donne elle-même des petits coups avec sur les joues. Elle est totalement hystérique et ce nest pas pour me déplaire. Je me saisis parfois de sa tête et lui baise la bouche sans quelle ne conteste le moindre du monde. Au contraire, elle ouvre grand la bouche et se montre très docile (et habile) à avaler ma queue en entier.

Cette gorge profonde provoquait une sorte de « glurp glurp » dans la bouche de Caroline et était assez bruyant. Je sors donc un peu mon sexe de son gosier, histoire de ne pas réveiller son mari, et me refait sucer « normalement ». Alors qu’elle est accroupie et qu’elle me turlute, je vois qu’elle se caresse assez rapidement et en déduit qu’elle aussi voudrait qu’on s’occupe de sa belle chatte.

Je me retire donc de sa bouche, la relève et commence à la déshabiller. Je fais tomber sa robe légère au sol et fait sauter son redresse-seins et la découvre enfin entièrement nue. Mon dieu que cette femme est belle ! Ses seins sont gros et fermes et ne retombent qu’à peine sans soutif. Son ventre est parfaitement plat et surmonte des hanches larges mais pas trop et une chatte de modèle playboy Ses jambes sont magnifiquement sculptées, sans une once de cellulite. Je lui fais faire un tour sur elle-même, admiratif, pour mater ses fesses. Ainsi debout, Caroline possède la plus belle paire de fesses que je n’ai jamais vu, encore aujourd’hui je pense, rondes et fermes.

Ayant fait le tour de son corps parfait, je la fait sasseoir sur le bord du lit, là où son mari est endormi. Je pensais qu’elle allait protester mais au contraire, elle écarte grand les jambes et s’enfile deux doigts et écarte ses lèvres en guise de consentement. Je me baisse au niveau de son entrejambe et commence à la lécher.

Sa mouille est abondante et excellente. Ma langue senfonce facilement dans sa chatte grande ouverte dexcitation. Je mattarde de longs instants sur son clito que je stimule de bas en haut et de gauche à droite. Je la vois se mordre un doigt pour ne pas crier trop fort mais elle ne peut pour autant sempêcher de gémir de plaisir. Avec un doigt, je tire sur la peau en haut de son clitoris pour mettre à nu son petit bouton rose puis le lèche délicatement car je sais cette zone sensible. Immédiatement elle se crispe, ouvre grand la bouche et émet des couinements étouffés de plaisir légèrement douloureux.

Je la sentais très proche de la jouissance et elle commençait à se lâcher vocalement. Je décide donc de la tirer à moi, de lembrasser goulument et continue de la doigter pour la faire jouir. Jaccélère le mouvement et lui déclenche un orgasme puissant qui inonde ma main de mouille. Elle se retient de hurler uniquement du fait de ma langue dans sa bouche puis se calme rapidement au rythme de ses spasmes qui sespacent.

Mais pour ma part, hors de question de me calmer : je suis plus excité que jamais. Ayant parfaitement entendu ce quelle a dit à son mari endormi pour le narguer, je me saisis dune de ses jambes encore flageolantes et la retourne sur le lit. Elle a les genoux au sol et le torse sur le lit. Sa tête, légèrement surélevée est juste au-dessus des jambes de son mari.

Derrière elle, moi aussi a genouillé au sol, je commence par la baiser fougueusement pour profiter encore et toujours de sa belle chatte. Mais ce nest pas ça que je veux. Je me retire au bout de quelques minutes et commence à lui lécher lanus comme un affamé. Jintroduis aussi un doigt dans son cul pour préparer le passage.

Caroline ne réagit dabord pas à ses caresses anales, comme tout à lheure lorsque je lai doigté en la baisant. Mais alors que je retire mon doigt pour venir appuyer mon gland sur sa rondelle, elle se retourne vers moi avec un air affolé :

— Non, pas là ! Je suis Enfin, on ne ma jamais prise par là

— Pourtant tu as dit à ton mari que tu voulais que je tencule

— Cétait juste pour le provoquer

— Et tu as eu lair daimer lorsque je tai enfoncé un doigt en te baisant

— Cétait sur le coup de lexcitation. Sil te plaît, jai peur davoir mal

— Je tassure que tu nauras pas mal et je suis sûr que tu en as envie, au fond de toi

— Fabien je ne crois pas que. Oohhh doucement..

Nécoutant que mon excitation, javais en effet continué de travailler lentrée de son fion avec mon gland et finalement, avec pas mal de lubrification, il avait réussi à écarter ses sphincters. Comme promis, je fis mon maximum pour être le plus doux possible et ne pas lui faire mal.

Je fais de petit allers-retours en menfonçant un peu plus à chaque fois et après une petite pause quelle me demanda, je réussis à entrer la totalité de ma queue dans le cul très serré de Caroline. Je la sens crispée mais lexcitation me pousse à continuer à lenculer. Je le fais sans violence mais javoue lui enfoncer la totalité de ma queue à chaque fois et me délecte de voir son beau petit cul ainsi perforé. En mateur avéré, je me retire parfois pour admirer son anus ouvert après mon passage, crache un coup sur son illet pour maintenir une bonne lubrification puis la sodomise à nouveau.

Je ne prétends absolument pas lui avoir donné un réel plaisir lors de cette sodomie mais je note tout de même quaprès un moment de crispation, Caroline sest détendu rapidement, ainsi que son cul, et continuait de mouiller abondement. Toujours est-il que cétait la première fois que jenculais une femme et que je voulais tester un grand nombre de position.

Alors quelle est toujours à quatre pattes, la tête enfouie dans le drap qui recouvre à peine les jambes de son mari endormi, je me retire et la chevauche, les jambes de part et dautre de sa taille. Puis je dirige ma queue vers son queue et, dans cette position dacteur porno, la pilonne à fond. Ma tête est au-dessus de la sienne et je profite de cette proximité pour lui murmurer des obscénités à loreille.

— Tu vois, finalement, tu aimes quon tencule !

— Oohhh je. cest bizarre Ooohh vas-y doucement, je ten prie

— Tu te rends compte que tu es en train de te faire enculer à 10 cm de ton mari ? Tu es vraiment la dernière des salopes !

— Ooohh je sais. Tu mencules bien mon salop ! Ça te plais de me défoncer le cul ? Ça te plais de me prendre là où personne nest jamais allé ?

— Putain oui ça me plais ! Allez, écarte tes fesses que je puisse te prendre à fond !

Je me retire et la vois enlever ses deux mains quelle avait sur le lit pour les mettre dans son dos et sécarter bien le cul. Son anus est grand ouvert et nattend que ma queue.

— Ooohh vient me la mettre petit pervers Viens menculer !

A suivre…

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