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Séduction délicate de la soeur de ma mère – Chapitre 29




Si vous avez manqué le début.

Je m’appelle Patrick, je travaille en Allemagne à Hambourg. J’entretiens depuis plus d’un an une relation intime avec ma tante Véronique, très bcbg, sur de ma mère Anne.

Elle a 43 ans, divorcée avec 2 enfants de 9 et 11 ans, elle mesure 1m72 pour 55 kg et moi, 25 ans 1m80 pour 75 kg.

Je l’ai mise enceinte et elle a accouché d’un petit garçon prénommé Hugo en décembre. Nous avons vu mes parents en mai. Au retour et par téléphone, je les ai mis au courant, omettant de révéler que Hugo était mon fils. Ma mère, choquée d’apprendre la vérité rejette la responsabilité sur ma tante. 

Nous voici fin juillet, je viens de fêter mon anniversaire avec une soirée mémorable entre ma tante et moi. Lors de notre dernière étreinte, nous nous sommes avoués notre attirance mutuelle, du fait de notre complicité tante-neveu. Nous devons partir l’espace d’un week-end à Bordeaux pour les 50 ans de Patricia, meilleure amie de Véro. Ma mère doit me rappeler dans la journée, pour nous proposer de passer à Paris. 

Réveillé de bonne heure et préférant ne pas déranger ma jolie compagne, je pris une bonne douche pour commencer la journée, laquelle s’annonçait radieuse. Sortant de la salle de bains, je me séchai les cheveux en constatant un lit abandonné.

Véro en avait profité pour prendre son petit-déjeuner. Elle terminait une tartine recouverte de confiture et contrairement à ses habitudes, elle n’était pas en robe de chambre. Vêtue d’une simple chemise de nuit de couleur crème, elle n’en demeurait pas moins fort séduisante. Mal coiffée et sans maquillage, elle dégageait une sensualité peu commune et avec les jambes croisées, elle balançait sa cheville élancée dans le vide.

— Tu n’as pas mis ta robe de chambre ? Lui demandai-je en me servant un café.

— Oh non, il fait bon. J’ai dormi comme une masse cette nuit ! Bah heureusement que tu n’as pas 26 ans tous les jours ! Et puis je t’ai dit de ces choses hier En prenant un petit ait tristounet.

— Super bon le café ! Hier ? c’était le meilleur anniversaire de ma vie ! Et ne fais pas cette tête, on croirait que tu as honte. Lui dis-je en passant ma main sur sa joue qu’elle attrapa au passage.

— Sij’ai un peu honte et tu avoueras que ce n’est pas normal ! euh je t’ai dit que je me sentais attirée par toi parce que tu étais tout simplement mon neveu ! et en plus tu es beau garçon, ça n’arrange rien. Se lamenta-t-elle en touillant son café.

— Oui bah figure-toi que pour moi c’est pareilet je n’en fais pas un drame. Je te l’ai dit en premier, rappelle-toi Véroniquedéjà notre relation est hors norme, mais en plus tu es mon idéal féminin et cerise sur le gâteau, tu es ma tante ! Et moi ça m’excite de conjuguer les deux, en plus tu baises super bien et ne fais pas celle qui est choquée. Terminai-je.

— Bon pour cette fois, je ne dis rienmême sibon je préfère me taire. Ta mère va appeler et elle veut nous voir à Parisça je n’oserai pasje n’oserai pas venir, je te le dis tout de suite. Me prévint-elle en vidant sa tasse.

— Écoute, après demain, c’est l’anniversaire de Patricia. Quand elle m’appelle, on lui laisse Hugo, on part à Bordeaux et on le reprend au retour. Si tu commences à fuir, c’est foutu, je mettrai les ponts sur les i dès le départ. D’ac’ ? En caressant la pointe de son menton et en le dirigeant vers moi.

— Ouid’ac’. Soupira-t-elle dans un sourire forcé.

Véro n’était pas dans son assiette et notre soirée d’hier était déjà oubliée. Elle mourrait de trouille à l’idée de savoir que ma mère allait téléphoner et surtout à l’idée de se rendre à Paris, donc de se retrouver face à sa grande sur. Elle se savait dans le péché et elle assimilait cette invitation de mes parents à un passage devant un tribunal. Devait-elle plaider coupable pour son geste, ou du moins demander, voire implorer les circonstances atténuantes ? J’étais son complice dans cette folie à deux et je me devais de la protéger. Et puis il y avait notre enfant, nous n’allions pas lui cacher la vérité indéfiniment, à force de grandir, il la découvrirait forcément. Que la vie pouvait être compliquée, pensai-je en guise de conclusion.

En fin d’après-midi, mon portable sonna. Véro à mes côtés écouta.

Ma mère avait changé de ton, non pas qu’elle fut mielleuse, mais détachée. Elle parla avec une voix monotone, dépourvue d’enthousiasme.

Je lui expliquai notre arrivée en fin de matinée à Roissy, pour repartir prendre le TGV vers 16 heures. Elle ne moufta pas pour garder son neveu et rien que de prononcer ce mot m’agaça. Elle termina en me disant à demain. Point final.

Véro, très surprise de cette réaction fit nos valises et le lendemain, durant le vol, Véro me confia ses craintes quant au face à face avec mes parents. Je tentai de la rassurer, sans succès.

Mon père vint nous chercher et il nous posa des questions banales. A notre arrivée, ma mère, Anne, nous accueillit froidement en nous invitant à prendre l’apéro. Là aussi, nous n’échangeâmes que des propos insignifiants pour ensuite passer à table. En se levant, je vis le regard sévère de ma mère, jugeant la tenue de Véro inappropriée pour son âge. 

Elle était en jeans moulant avec un tee-shirt par-dessus et cette tenue décontractée la contrariait. Elle était super sexy et on devinait aisément son cul d’enfer, ainsi que sa poitrine ferme, même si elle portait des sous-vêtements.

Hugo avait déjà pris son déjeuner, concocté avec soin par sa tante, en réalité sa grand-mère. Il avait mangé une purée et du jambon mouliné et dormait dans le salon. Quant à nous, après avoir dégusté un savoureux lapin, nous passions directement au café. 

Mon père prit l’initiative concernant mon avenir.

— Alors comme ça, ils t’ont nommé directeur su site de Marseille ! Ca va te changer de Hambourg et c’est une belle promotion, je suis fier de toi. Dit-il en prenant sa tasse.

— Je pensais que ça se ferait plus tard et c’est déjà pour septembre, le temps passe vite. 

— Vous arrivez chez Patricia ce soir et vous fêtez son anniversaire demain ? Demanda ma mère sans s’adresser à sa sur.

— Oui, enfin Véro est plus au courant. Répondis-je en lançant une perche à ma tante, muette depuis notre arrivée.

— Je vais lui donner un coup de main pour dresser le buffet, il va y avoir du monde, environ 40 personnes. Ajouta enfin Véronique, tapotant sur sa cigarette.

— A propos Véro, tu restes à Hambourg ? S’interrogea ma mère en l’interpellant sèchement.

— Euh Bredouilla-t-elle, en piquant un fard.

— Non, tu pars aussi à Marseilleet pour les garçons, ils vont retrouver le goût du soleil et de la piscine ! M’exclamai-je, comme si de rien n’était.

— Ah bon. Conclut ma mère, anéantie par ma réponse.

Le café terminé, ma tante fit ses recommandations d’usage à ma mère concernant notre fils, pour les deux nuits avant notre retour.

L’accueil, tout comme le départ n’eut rien de chaleureux. Un malaise avait régné dès notre arrivée et je m’attendais au pire en revenant.

En gare de Bordeaux, ce fut un tout autre accueil que nous réserva Patricia, super bronzée.

C’était une belle brune aimant faire la fête, contrairement à son mari, Paul. Il était sympa, mais ennuyeux et sans humour.

Étant arrivés à 18 heures, elle nous proposa de nous mettre en maillot pour faire bronzette. Elle plaisanta sur la blancheur de Véronique et lui conseilla de prendre la protection maximale.

Enfin seuls dans notre chambre, ma tante ouvrit la valise en cherchant son deux pièces. Elle commença à se déshabiller en rouspétant encore une fois contre ma mère. Le tee-shirt enlevé, elle se débarrassa de son soutien-gorge, puis plia chacune de ses jambes pour presque décoller son jeans fort moulant. Presque nue, mon sexe se mit en alerte face à sa femelle mature.

— Quand je repense à Anne, elle savait très bien que je venais à Marseille ! Elle a bien failli m’avoir et heureusement que tu es intervenu. Dit-elle avec uniquement sa culotte pour vêtement.

— N’en parlons plus ! Pensons à nous et c’est vrai que tu es blanche. En la saisissant par la taille.

— Mais tu es déjà déshabillé ! Pesta-t-elle alors que mes mains glissaient le long de son sous-vêtement.

— En effet et après une telle journée, j’ai le droit de prendre soin de ma tante, elle en a bien besoin et elle a été éprouvée, pas vrai ? Lui demandai-je, alors que sa culotte gisait à ses chevilles.

— Ca oui ! J’ai été éprouvée, tu peux le direeuh Patricia va se demander ce que l’on fait si Songea-t-elle en trépignant des pieds pour se libérer de son slip.

— Mais elle est en train de bronzer et si ma charmante Tatie me demande un câlin, c’est une excuse très valable. En lui pelotant les fesses à leurs bases.

— Hum-humbon alors on fait viteeuh tu me câlines un peu, ensuite tu te mets assis sur la chaise et je vienshan ça m’embête de te demander ça ! j’ai toujours l’impression de passer pour la nympho de service vis à vis de toi ! S’indigna-t-elle toute seule en me caressant la nuque et en m’incitant à me pencher plus bas.

— Arrête, t’es pas une nympho ! En déposant de multiples baisers sur ses seins, puis en pressant l’un des deux pour gober son téton.

— Et je n’oublie pas ce que tu m’as dit ce matinje suis une super baiseuse. Plaisanta-t-elle en se laissant se faire pomper ses mamelons, l’un après l’autre.

Peu à peu, ses caresses se baladèrent au-delà de ma nuque, pour se perdre dans mes cheveux avec frénésie. Je l’entendis pousser un long soupir en lui suçotant les pointes de ses seins vigoureux et en reculant, je ressentis ses doigts fins saisir ma verge, gonflée à bloc. 

Véro voulait s’oxygéner après cette entrevue avec mes parents. Elle s’affranchissait des codes, des larges non-dits de sa sur le matin même, en prenant du plaisir avec l’interdit. Elle était souveraine en me branlant légèrement et en décidant elle-même de la position qu’elle souhaitait, elle s’ouvrait les portes d’une étreinte osée. 

Désormais assis, j’attendis sagement les directives de Véro, n’éprouvant pour une fois aucune gêne à se montrer nue. Elle se mît sur mes genoux, mon sexe dressé entre nous. Elle le frotta érotiquement contre son bas ventre, dans un désir évident de copuler. Décontractée avec ses mains posées sur mes épaules, elle me roula une première pelle et avec les yeux brûlants, elle enchaîna.

— Plus je te regarde et plus je deviens folle de toiPatrick, avec toije ne me reconnais plus ! je me sens si bien. Me déclara-t-elle en levant son bassin, me signifiant qu’elle voulait se faire prendre.

— Rassure-toi, j’éprouve la même chose que toi. En l’observant se couler en moi, elle en ferma les yeux.

— Ohoh j’aimehumm Me souffla-t-elle en restant immobile pour se délecter de m’avoir en elle.

— T’es à moi, t’es ma belle Tatie qui aime se faire baiser par son Patrick. En caressant ses flancs, puis le bas de son dos.

— Hann tu l’as ditembrasse-moi mon chéri Dit-elle en penchant la tête, bouche ouverte.

Durant une dizaine de minutes, ma tante enchaîna des mouvements sensuels agrémentés par de longs baisers. En silence et redoublant d’habilité, elle oscilla son bassin pour au final, s’agripper contre moi. Tressautant sous l’effet de mes contractions, elle exulta son plaisir en laissant échapper de petits cris aigus. Conquise, elle m’adressa un sourire pour entamer un nouveau baiser. Elle passa ses bras autour de mon cou, féline au possible et m’avoua ses sentiments, dans un besoin de confession.

— Ouhc’est vraiment hors du commun avec toitu as peut-être raison avec ton histoire de gènes que nous avons en communfaire l’amour avec mon neveu me transcende. S’accorda-t-elle à dire, immobile sur mes genoux.

— Oh j’en sais rien ! C’est juste le top des tops de te sauter ! et je te le répète, t’es une super baiseuse et super bien foutue. En passant ma main sur son front pour lui dégager ses mèches.

— Merci du complimentmais je dois te dire que la nature ne t’a pas oubliée Sourit-elle en contractant son vagin pour le relâcher aussitôt.

— T’es une vraie cochonne Véronique ! En lui infligeant à mon tour un léger coup de reins.

— Je m’en fous ! Hummmc’est bon de te sentirje prends du bon temps avec toi et tu me baises si bienoh là laje ne devrais pas parler comme ça, embrasse-moi encore. Me réclama-t-elle en ouvrant sa bouche pour un énième baiser.

— Qu’est-ce que je peux aimer t’embrasser, c’est génial de rouler des pelles à sa tantewaouh ! on est en osmose tous les deux, c’est pas croyable. Lui avouai-je tout en caressant ses flancs, puis ses épaules et enfin son cou élancé.

— Oui tu l’as ditpfff ! pourquoi fallait-il que ce soit avec toi ? ça aurait été plus simple avec un autre gars, mais bonça n’aurait pas été pareil, enfin je croiseuh tu peux encore m’embrasser, tu n’es pas le seul à aimer le faire ! S’exclama-t-elle en m’offrant sa bouche pour un dernier baiser.

J’avais adoré ce moment d’intimité et sa façon de se confier. Véro progressait et sans s’en rendre compte, elle franchissait des caps importants dans notre relation. En plus d’être son amant, je devenais son confident et son maître à penser dans cette situation compliquée.

Après plusieurs baignades dans la piscine et le temps de voir arriver Paul, nous prîmes l’apéritif.

Véro écouta Patricia, donnant son point de vue impartial du comportement de mes parents.

Elle ne les blâmait, bien au contraire. Elle justifiait leur hostilité envers Patricia toute légitime. Après tout, elle était ma tante et de par son âge faisant office de maturité, elle aurait dû purement refuser l’impensable. Maintenant c’était fait et la question se posait quant à annoncer que Hugo était en fait mon fils. Elle ne nous cachait que nous avions fait une énorme bêtise, au regard de mes parents. Sur ce point précis, elle n’avait pas d’avis, mais considérait comme nécessaire de leurs dire la vérité. Même si une telle annonce allait se terminer par un clash, nous serions, toujours de son point de vue, libérer intérieurement. Elle n’avait pas tort concernant le clash probable.

Mais étant très libre d’esprit, elle trouvait formidable de nous voir ensemble. Pour elle, nous étions physiquement dans une alchimie parfaite et en nous observant, elle estimait que chacun était sous le charme de l’autre.

Enfin, fidèle à elle-même, elle fit un clin d’il à son amie en lui déclarant qu’elle échangerait volontiers sa place avec la sienne, tant sur le plan affectif que sexuel.

Avec cette dernière conclusion, ma tante se mit à rougir, preuve qu’il lui arrivait encore d’éprouver une honte certaine à s’abandonner avec son neveu.

Puis Paul arriva et nous dînâmes en parlant des préparatifs de son anniversaire pour demain soir. La soirée fut ponctuée de fous-rires entre femmes et à une heure raisonnable, chacun rejoignit sa chambre.

Durant certains chapitres, j’ai évoqué ce moment si particulier pour moi. Cet instant toujours surréaliste durant lequel ma tante prenait soin de se démaquiller et de se présenter en chemise de nuit, pour me rejoindre dans le lit. Je n’arrivais pas à m’y faire, à chaque fois je me croyais en plein rêve et à chaque fois, elle peinait à enlever devant moi cette tenue, ce qui fut encore le cas ce soir-là.

Elle n’eut qu’à déboutonner deux boutons et prit son temps pour poser son vêtement sur la chaise. A cette occasion, j’observai son cul féerique et quand elle me fit face, elle tira sur le drap pour se glisser vite fait.

— J’ai l’impression que je fais quelque chose de mal quand je me mets toute nue contre toi. Dit-elle en me caressant le torse.

— Véroça fait plus de deux ans que nous couchons ensemble ! Bonmoi aussi ça me fait bizarre, mais c’est si cool de te sentir près de moi. En passant ma main le long de ses hanches, pour finir sur sa chute de reins.

— Patricia a une bonne analyse, tu leurs diras pour Hugomoi je n’oserai pas, je crains trop la réaction de Anne, enfin ta mèrehan je vois déjà son visage Patrick. Se désola-t-elle.

— Mais on a pas le choix, ça passe ou ça casse et puis on est ensemble, quoiqu’il arrive.

Rassurée par mes derniers mots, ma tendre compagne me fit un smack et poursuivit ses caresses, jusqu’à s’endormir tout doucement.

Patricia était dans le vrai et le mot clash sonnait juste. Je n’étais pas dupe et le fait de leurs annoncer une telle nouvelle n’allait guère les enthousiasmer. Il fallait oublier leur joie d’être grands-parents. Certes ils l’étaient, mais avec pour belle-fille la sur de ma propre mère. C’en était presque risible à dire, on se serait cru dans le jeu des sept familles avec des règles faussées. 

Vers six heures du matin, ma grande quadra s’étira en poussant ses bras vers le haut du lit. Puis elle bailla un grand coup et se frotta les yeux en repoussant ce drap devenu envahissant. 

J’étais à ses côtés, ébahi par ce corps de femme. Elle respirait doucement et en expirant, son ventre se creusait légèrement, lui conférant une puissance érotique hors norme. Le bout de ses seins était aplati et les rayons du soleil l’inondaient de chaleur. 

Je la regardai une dernière fois s’étendre en se tortillant. Ca n’aurait pas été ma tante, je l’aurais traitée de garce ou d’allumeuse. Finalement, j’optai pour la seconde suggestion quand elle rencontra mon visage.

— Je t’ai réveillé ? Me demanda-t-elle couchée sur le flanc.

— Non, je contemplais ma Tatie et je la trouve très sexy au réveil. En passant ma main entre ses cheveux qu’elle attrapa au passage pour la poser sur son sein.

— Hummdéjà des compliments ! Décidément, je crois bien que mon neveu m’adore 24 heures sur 24euh tutu as envie de venir me faire un câlin ? Enfin c’est toi qui vois En me fixant avec ses yeux brillants, puis en les détournant pour se mettre sur le dos.

Certes ma tante était matinale, mais sur le plan sexuel, je l’avais habituée durant notre semaine à Biarritz à un rapport dès la première heure. Quelque peu désorientée au début, elle m’avait avoué apprécier ce type d’exercice. Mais en me mettant accroupi face à ses jambes repliées, elle avait en horreur de se montrer ainsi.

Elle écarta ses cuisses avec difficulté et lenteur en soupirant. Pris dans un jeu érotique, le mien, j’effleurai la peau douce de celles-ci, puis je courtisai sa féminité en couvant ses lèvres intimes avec ma main. Je les palpai jusqu’à l’aube à de sa source, mais ma belle bourgeoise manifesta une grogne silencieuse avec un visage contrarié.

— T’es rayonnante le matin. Lui murmurai-je avec mes doigts ressassant sans cesse le sommet pour s’évaporer vers le bas de son ventre.

— Han Patrickje n’aime pas çaje n’aime pas que tu me voies comme çaen plus tu le sais, tu as le don de me mettre mal à l’aise ! Rouspéta-t-elle en expirant pour faire naître ses cotes saillantes, ce qui m’excita davantage.

— Hum-humt’es trop superbe à regarder dans cette position, tu peux rien me cachertu es nue devant moi et prête à te faire baiser, t’imagine pas ce que tu peux être excitante En accolant ma main toute entière à sa vulve trempée pour la circonstance.

— Hann Patrick ! Je ne sais pas comment te le dire ! Ca m’énerve ettu m’excites Patrickeuhviens s’il te plaîtviens M’implora-t-elle en soulevant son bassin, m’indiquant clairement son désir de se faire prendre.

— Je vais te baiser comme tu aimes Véronique. En positionnant mon sexe à l’entrée du sien.

— T’as une façon de me parler ! et depuis le temps que je te le dis ! mrrbon alors baise-moi. S’emporta-t-elle.

Sans sourciller, je savourai cet instant qualifié de magique, durant lequel ma longue verge entra en fusion directe dans le bas ventre de ma tante tant désirée. Une satisfaction éclaira peu à peu son visage durant ma progression.

Mais pour une fois, il fallut le souligner, nous eûmes un rapport où ni l’un, ni l’autre n’exulta aussi intensément sa joie, en comparaison aux autres fois.

J’avais mal agi, poussant Véro à l’extrême dans mon comportement égoïste. Nous avions fait l’amour et nous avions terminé sans nos câlins habituels. Certes la jouissance avait été commune, mais il avait manqué ce quelque chose en elle pour se libérer. 

Je plaidai coupable intérieurement.

Patricia avait dressé le buffet, aidée de sa brave Maria. Ma tante avait le don de l’organisation et commandait tout son petit monde, surtout quand le traiteur arriva, accompagné de deux jeunes gars. Peu avant 18 heures, elle donnait ses ordres pour les emplacements des plats chauds et froids, la gestion des vins à mettre au frais. Patricia, Maria, Paul, le traiteur et ses deux jeunes obéissaient face à cette quadra autoritaire et sûre d’elle. Par moments, on aurait cru que s’était-elle la maitresse de maison. Elle se montrait passionnée, mais également irritable si une de ses directives en arrivait à être contester. Bref, Véro avait sa brigade et aimait s’occuper de tout.

Peu avant 19 heures, tout le monde se changea et Maria raccompagna le traiteur avec ses deux commis.

Je mis mon costume lin beige, assorti d’une chemise blanche sans cravate. Vu son énervement, je ne fis aucune suggestion pour ses sous-vêtements. Elle décida seule dans la salle de bains, le nez contre le miroir en train de souligner ses sourcils. Un coup de peigne pour remettre ses mèches et un léger fond de teint firent l’affaire. Elle chaussa ses pieds délicieux dans des escarpins avec un talon haut et réajusta sa jupe pour faire ressortir discrètement son chemisier. Elle enfila sa veste en tirant un coup sec dessus, puis passa ses mains dans les cheveux pour les voir épouser ses épaules. Face à moi, elle déboutonna le haut de son chemisier.

— Ca va, je te plais ? Me demanda-t-elle en avançant d’un pas assuré.

— T’es magique, je suis fier de ma tantet’es En humant son parfum.

— Je sais ce que tu vas me direpasse ta main sous mon chemisier, je suis sûre que ça va te plaire. Sourit-elle en ôtant un bouton supplémentaire.

— Oh t’es gonflée ! En palpant savamment l’un de ses seins et en m’amusant à pincer sa pointe entre mes doigts.

— Arrêtet’es en train de m’exciter ! (en fermant son chemisier) oh non Patrick, tu t’en doutes aussi que je n’aie pas de culotte S’énerva-t-elle, sa jupe soulevée avec les fesses à l’air.

— Tu es très attirante dans cette tenue, si tu me laisses cinq minutes En lui pelotant ses fesses, puis en glissant entre elles.

— Non, non et non ! ils vont arriver, il faut que je sois làon verra plus tardhanntu ne penses qu’à ça avec moi ! Je ne suis pas ta chose non plus ! Bon embrasse-moi, après je me mets du rouge. M’ordonna-t-elle en passant ses bras autour de mon cou.

— Et moi, comment tu me trouves ? En lui faisant un smack.

— Tu es très beauet je t’ai à l’il ce soir, il va y avoir de belles nanas, tu vas avoir du succès et je ne veux pas qu’on me vole mon neveu ! Me confessa-t-elle en ouvrant la bouche et en fermant les yeux.

Après avoir goûté à la chaleur de mon palais, elle retourna devant sa glace pour se mettre du rouge à lèvres. Quant à et moi, je retrouvai Paul, accueillant les invités de son épouse. 

De petits groupes se formèrent et pour les cinquante ans de Patricia, les deux serveurs présents débouchèrent les bouteilles de champagne les unes après les autres. Ils passèrent respectivement avec un plateau pour servir de petits amuse-gueules et les discussions allèrent bon train. 

L’ambiance était bon enfant et de temps à autre, je mangeais un petit amuse-gueule. Véro de son coté, bavardait avec deux couples et ne pouvait s’empêcher de donner quelques directives aux serveurs en passant. Elle était devenue l’organisatrice en chef en quelque sorte. Dès qu’un problème quelconque survenait, l’un des garçons s’adressait à elle. Elle était comme le liquide dans ma flûte, pétillante à observer dans sa façon d’être. 

En pleine conversation avec un couple, elle me fit signe de la rejoindre. 

— Voilà ! Je vous présente Patrick. S’enthousiasma Véro en me prenant par l’épaule.

— Ah c’est toi le fameux Patrick, je te dis tuet tu vas emménager à Marseille ? Me demanda le quinquagénaire assez athlétique.

— Oui fin du mois en effet et tous les deux, vous connaissez Véro depuis longtemps ? 

— Nous t’avons connue à Paris et je crois que tu as une sur de mémoire ? Enfin bref, tu n’arrives pas à faire une phrase sans parler de ton jules, Patrick je suis ravie de te connaître. Rajouta la femme du couple, une blonde avec une frange assez snobinarde.

— Mais le plaisir est partagé ! Répondis-je.

— Ca fait maintenant deux ans que nous sommes ensemble et moi qui croyais que le prince charmant n’existe pas. Poursuivit ma tante en me prenant par le bras.

— Quelque fois, il se trouve juste à tes côtés et tu ne le remarques pas et puis il suffit d’une étincelle et la vie devient belleah Véronique, je crois que la maîtresse de maison a besoin de ton aide et même de celle de Patrick. Insinua le quinqua.

En nous dirigeant vers la terrasse où nous attendait Patricia, Véro très fière de pouvoir enfin s’afficher en tant que compagne avec moi, me confessa son engouement.

— Patrickje te présente à tout le monde comme mon copain, tu ne m’en veux pas ? Peut-être que j’exagère un peu En me faisant un baiser sur la joue.

— Ah là c’est le baiser d’une Tatie ! 

— Oui bahtu sais donc comment je suis en public, je ne suis pas du genre à t’embrasser sur la bouche devant tous ces genshann je me rattraperai plus tard. En pouffant de rire.

Patricia était bien entourée. Deux types d’une trentaine d’années la complimentaient et lui affirmaient que le nombre de bougies n’était pas exact. Elle adorait ce genre de situation et refusait de voir le temps passer. Autour de nous, nous n’étions plus une quarantaine, mais plutôt une soixantaine de personnes. 

Elle eut une discussion active avec ma tante et je pus observer leurs différences de style.

L’une était brune et juste belle, tout le contraire de ma grande blonde, m’évoquant la démesure. La première relevait d’une esthétique parfaite et mesurée, quand ma tante lui opposait non pas la beauté, mais le sublime. Sa silhouette élancée et son charme inqualifiable me sidérait, anéantissait mon entendement et ainsi provoquait en moi l’exaltation. Elle incarnait au-delà de la femme idéale, la démesure propre au sublime et me savoir en couple avec cette quadra rieuse, au physique insolent me transportait vers un monde irrationnel. En définitive, j’étais comme elle, étant dans l’incapacité à admettre la réalité de notre relation. C’en était quasi-magique.

Paul avait mis une musique douce, style Stan Getz et certains dansaient dans une sorte de slow improvisé. Patricia voulait la voir s’occuper de la préparation de son gâteau, aussi vite elle interpella l’un des serveurs et m’accorda un slow avant de rejoindre la cuisine. Elle était nerveuse, impatiente de retrouver sa brigade, Maria et les deux serveurs. A la fin de la musique, elle s’éclipsa en se faufilant entre les invités. En partant, je la scrutai avec sa jupe moulante, devinant son cul d’enfer et ses mollets raffinés. 

Je bavardais tranquillement avec une jeune inconnue, quand ma tante me fit des signes d’affolement complet. Le gâteau était fin prêt avec ses cinquante bougies et il n’était que 23h30, ainsi nous devions respecter minuit pile pour lui fêter son anniversaire.

Véro me prit violemment par le bras, dans une panique totale.

— Patrick, le paquet ! Je ne trouve plus le paquet !! S’énerva-t-elle.

— Tu l’as mis où ?

— J’en sais rien ! Aide-moi donc au lieu de ne rien faire ! S’emporta-t-elle en me criant dessus.

— Je vais voir en haut, il est certainement dans la valise et tu n’as pas fait attention. En lui répondant avec une pointe d’agacement.

— Certainement pas ! Dis tout de suite que je suis une conne ! S’écria-t-elle devant le personnel, médusé par son abus de langage.

En prenant l’escalier, j’entendis le bruit de ses talons. Véro me grilla la politesse pour se précipiter dans la chambre, mettant en vrac la valise. Elle fouilla sans succès et me jeta un regard de détresse, les bras ballants. Par un simple hasard, je soulevai sa chemise de nuit posée sur la chaise. Le paquet en main, je l’observai, à nouveau penchée dans le fond de la valise.

— Hep ! Lui murmurai-je en agitant le paquet dans ma main.

— Ohhtu me sauves la vie Patrick ! Mais comment as-tu trouvé ? J’avais cherché, mais pas ici. Dit-elle en reprenant son souffle et en remettant d’un geste leste ses mèches en arrière.

— Tu n’étais pas obligée de m’aboyer dessus devant tout le monde. En lui tendant le fameux paquet.

— Pardonne-moije me suis mal comportée et je le saissi je t’embrassetutu me pardonnes ? En s’avançant mollement.

— Il faudra plus qu’un baiser. En l’enlaçant par la taille.

— Euhpas maintenant, on n’a pas le temps, il faut que je descende. Tu ne te rends pas compte, tout le monde m’attend ! En me faisant un smack.

— Allez hopoublions tout ça ! Lui dis-je excédé par son attitude autoritaire.

— Hance que tu peux être chiant ! Dès que tu n’as pas ce que tu veux, tu fais la gueule ! On dirait un gosse. Me rétorqua-t-elle.

— Toi tu me dis ça ? Tu te comportes comme une enfant gâtée ! Tout t’est due ! Tu es la petite dernière à qu’il faut céder au moindre caprice En prenant la porte.

— Parle-moi sur un autre ton ! Et je t’interdis de me dire des choses pareilles, tu oublies un peu que je suis ta tantemême si je suis la petite dernière ! C’est un manque de respect ! Hurla-t-elle en me suivant dans le couloir.

— Ehce serait beaucoup te demander de parler moins fort Lui murmurai-je en descendant les escaliers.

Véro ne répondit pas, réalisant qu’elle s’était donnée en spectacle. Elle m’ignora en se dirigeant vers la cuisine, tête basse. 

Elle était bien foutue, mais avait un foutu caractère. C’était la première fois que nous avions des mots et vu le degré de nervosité de ma tante, je préférai l’éviter dans les minutes suivantes.

A minuit, tous les invités chantèrent un happy birthday et Patricia souffla à plusieurs reprises les nombreuses bougies. Elle eut en guise de cadeau, un voyage au bout du monde pour une semaine. Heureuse, elle remercia tout le monde et coupa une première tranche, puis l’un des serveurs prit le relais. Véro lui remit discrètement son propre cadeau. 

Elle lui avait offert un petit flacon en cristal. Patricia, très touchée lui fit la bise et lui glissa quelques mots à l’oreille en me désignant. La musique reprit et contre toute attente, ma grande blonde se décala pour se placer à mes côtés.

Paul démarra sur un rock et ensuite avec une samba brésilienne. Quelques couples saluèrent Patricia pour prendre congé, laquelle les remercia pour leurs participations au voyage. 

Véro n’avait pas bronché, stoïque avec sa flûte à la main. Patricia avait certainement eu vent de son emportement en cuisine, par le biais de Maria. Elle avait sûrement conseillé à ma quadra autoritaire de se mettre près de moi et par la même occasion de baisser pavillon, ce qui ne tarda pas. 

La musique changea pour un vieux slow et la connaissant, un peu tête de mule, elle ne prit aucune initiative à par de me serrer la main timidement.

Je l’emmenai danser près des autres couples et elle, d’habitude si prude se colla à moi, enroulant ses bras autour de mon cou. Puis elle me caressa la nuque, comme pour me demander pardon d’après une interprétation toute personnelle.

Il n’y avait plus que deux groupes qui parlaient de choses et d’autres et en réalisant l’heure qu’il était, d’un accord commun, nous filâmes à l’anglaise.

Mais en passant la porte de notre chambre, notre petite altercation avait laissé des traces. 

Véro ôta sa veste, puis se déchaussa et tira sur son chemisier pour le faire sortir de la jupe. En déboutonnant son haut, elle ne put se contenir.

— Écoute-moi bien Patrick, ce soirc’est la première et dernière fois que tu me parles de cette manièreet en plus tu me traites de petite dernière capricieuse ! Pour qui tu me prends ? En parlant à nouveau fort et en se baissant pour se débarrasser de sa jupe.

— Bon, on va pas remettre ça et je te signale que sans moi, tu n’aurais jamais trouvé ton cadeauet je n’ai pas envie de m’engueuler avec toi. Tu as pensé à demain ? En me déshabillant à mon tour.

— Ne m’en parles pas, j’aimerais avoir deux jours de plus ! euh je vais faire ma toiletteet ? oh non rien, tu peux aller te coucher. Dit-elle désormais en slip avec son chemisier ouvert.

— Dis-moi, fais pas de chichi entre nous. Lui demandai-je en ne portant qu’un sous vêtement.

— Bah j’aime pas nous voir fâchésattends-moi cinq minutes, j’en ai pas fini. En fermant la porte de la salle de bains.

D’habitude, j’aurais baissé mon caleçon et je l’aurais attendue à poil. Mais cette fois, au regard de l’atmosphère délétère qui régnait, j’optai pour rester habiller en jouant la carte de la sécurité. 

En sortant, elle secoua la tête en se passant la main dans les cheveux, pour tenter de les recoiffer. Complètement démaquillée, elle étira ses bras pour remettre sa chemise de nuit sans la fermer. En principe, j’aurais dû me pâmer devant une telle tenue sexy, la complimenter sur ses longues jambes et lui dire qu’elle sentait bon. Je ne fis que la regarder s’asseoir au bord du lit.

— Patricia m’a fait des compliments sur ta bague, elle s’y connaît et tu as dû la payer une fortune. 

— Je tiens à toi. Lui répondis-je en gardant mes bras croisés.

— Je le sais, mais je vais oublier ce que tu m’as dit tout à l’heure, mais tu es prévenu ! C’est la dernière fois que tu me parles de la sorte, tu as bien compris ? quoi, tu me fais la gueule maintenant ? En posant sa main sur ma cuisse.

— Non pas du tout. 

— Tu avais beaucoup d’allure en costume ce soir, tu saison m’a fait des éloges sur toibon j’en reviens à nousPatrick, il faut que tu comprennes que même si nous faisons l’amour et que tu m’as fait un enfantje suis toujours ta tante et je suis plus âgée que toi, je pourrais être ta mèretu as tendance à l’oublierbref, quand je te dis quelque chose, tu dois m’écouter et tu dois me respectertu as saisi maintenant ? 

Je n’en croyais pas mes yeux, ma tante me faisait la morale et endossait un rôle de mère de substitution improvisé, c’était du grand n’importe quoi. Elle qui pétochait des pieds à la tête devant ma propre mère, me parlait de respect, alors qu’une heure plus tôt, elle avait pété un câble devant Maria et les autres. Sa façon de m’expliquer son point de vue me donnait l’impression d’être un gosse, bref, son comportement en était presque agaçant. 

Mais je la désirais plus que tout et j’avais envie de me la faire ce soir, sachant que demain, mes parents allaient vraisemblablement brouiller les cartes dans notre relationnel. De plus, elle n’avait pas conscience qu’elle était à moitié nue, tant obnubilée par ses propos.

En douceur, je posai ma main sur la sienne afin de lui rappeler que nous étions ensemble. Elle ne moufta pas et j’enchainai avec un mea culpa pour l’amadouer.

— T’as raison, j’y suis allé un peu fort. Mais sans moi, tu n’aurais jamais trouvé ton paquet ! Lui déclarai-je en m’aventurant jusqu’à la base de ses seins pour les palper.

— Ca je dois dire que sans toi, j’étais foutueet impossible de me rappeler où j’avais pu le mettrequ’est-ce qui m’a pris de le mettre sur la chaise ! S’exclama-t-elle, en me laissant toute liberté pour câliner dorénavant l’ensemble de sa poitrine.

— Tu n’as pas loupé ton coup, tu as vu sa tête ? Elle était ravie ! En plus tu as très bon goût. Lui dis-je en pressant l’un de ses seins mollement, sans pour autant l’exciter.

— Ouioh j’ai un peu mal aux pieds, je suis restée debout toute la soiréeon dirait qu’ils sont enflés Insinua-t-elle en tendant ses jambes pour me les faire voir.

— Allonge-toi, je vais te faire un bon massage pour faire circuler le sang. Lui proposai-je en me mettant accroupi.

— Bahje ne te dis pas non et ils sont encore humides, je les ai passés sous l’eau froidemais ça n’a pas fait grand-chose. En s’étendant sur le lit.

— Eh ! mais ils sont glacés ! Pourquoi tu ne m’as rien dit ? En les enveloppant dans mes mains, puis en soufflant dessus.

— Après tu vas me dire que je fais des capriceshum c’est nouveau, tu me sèches les pieds maintenant ! Observa-t-elle dressée sur les coudes.

De ma vie, je n’avais jamais vu de pieds aussi beaux. Quitte à me répéter, j’avais littéralement craqué sur ceux de Véro. Ils étaient élancés et ses orteils si fins, si harmonieux dans leurs tailles frôlaient la perfection. Ses ongles parfaitement coupés étaient recouverts d’un vernis rouge corail et en palpant sa voute plantaire, j’éprouvai un sentiment jouissif. 

Tout en soufflant dessus, j’effleurai de mes lèvres le bout de ses orteils sous les yeux éblouis de ma blonde. Prise à mon jeu, elle les releva progressivement pour me permettre de les prendre en bouche. 

En suçant les pieds de ma tante, je réalisai un fantasme débile, me rappelant les petits déjeuners qu’elle faisait le matin avec ma mère, en robe de chambre. Elle balançait son pied nu, les jambes croisées et je la voyais pour la saluer, juste avant de partir au lycée. Ce fut peut-être à cette époque que cette idée saugrenue fit son petit chemin, dans ma tête rêveuse d’adolescent. Dorénavant, elle était allongée et se délectait du spectacle offert par son neveu.

— T’es quand même le premier à me sucer les pieds ! S’exclama-t-elle faussement étonnée.

— Ils sont si beaux et c’est tellement rare chez une femme. En suçotant le bout de ses orteils.

— Oui mais il est tard Patrickon continuera une autre fois, je veux avoir les idées claires pour demain.

Je n’avais l’intention d’en rester là. J’avais ses mollets si bien galbés en main et ma langue léchait le dessus de ses orteils à la peau satinée.

Tout naturellement, mon sexe cria famine et mes mains entreprenantes caressèrent l’intérieur de ses cuisses fuselées. Ainsi, je délaissai ses pieds délicieux en l’incitant à se rapprocher. Véro ne broncha pas et sans un mot, se déplaça jusqu’au bord du lit. Au moment d’égarer ses jambes, la confusion régna dans son esprit.

— Euhtu devais juste me masser les pieds on avait dit pas plus ! maintenant, après mes piedsje suppose que tu veux prendre soin de moi Précisa-t-elle, les jambes écartées.

— Tu devines tout. En évitant de me précipiter sur sa féminité.

— Avec toi, ce n’est pas très difficiletu me désires de partout. Ajouta-t-elle d’un ton blasé, mais teinté d’une fierté cachée.

En débutant mon cunnilingus, je remarquai son visage contrarié. Je léchai ses grandes lèvres par des mouvements amples, mais je dus m’interrompre au regard de ce comportement inédit. 

J’avais ma main posée sur son ventre plat et ma bouche était recouverte de son excitation, mais quelque chose ne tournait pas rond. 

— Quoi Véro ? Tu penses à demain ? L’interrogeai-je en parsemant sa féminité de plusieurs baisers.

— Oui et je n’y suis pasne m’en veux pas, savoir que je vais les voir et te voir en train de meça m’ennuie. Dit-elle en se reculant pour coucher sa tête sur l’oreiller.

— Je comprends et je ne vais pas te forcer, n’y pensons plus Lui répondis-je en me redressant debout, avec le sexe dans un état facile à imaginer.

— Hannnje vois bien que tu en as enviealors viens quand mêmeaprès tu vas me faire des reproches, je sais comment tu esmais on fait vite. Râla-t-elle en ôtant sa chemise de nuit, puis en écartant à nouveau les jambes pour me recevoir.

Le terme – on fait vite – résonna pour moi comme une sorte de dévouement de sa part et comme si je lui faisais pitié. Normalement j’aurais dû l’envoyer paître, du fait de cette espèce de charité déplacée envers moi. Elle voulait le faire pour en être débarrasser et je l’avais compris de cette manière.

Ma grande blonde m’attendait donc, le sexe à l’air avec ses longues jambes ensorcelantes et ses seins vigoureux. Elle avait un peu mouillé sans gémir, sans émettre le moindre son durant mon cunni interrompu. La voir à poil avec cette peau blanche lui conférant une sensualité extrême, ainsi que son ventre se mettant en retrait à chaque expiration eut raison de moi.

En mettant ma dignité de côté, je m’accroupis face à elle et sans perdre de temps, je guidai mon sexe vers la chaleur de sa source. Sur le coup, un sentiment égoïste m’interpella et Véro en remit une couche, peu flatteuse à vrai dire.

— Dépêche-toi Patricktu sais donc que je n’aime pas être comme ça, devant toi. En soulevant son bassin, signe de son impatience.

— Tu veux que je fasse vite ? Lui demandai-je avec mon sexe à l’orée de sa fente.

— Oui si tu veux bien. Répondit-elle sèchement.

Au passage, elle avait jeté un coup d’il furtif sur mon anatomie, plus que bien portante. Elle n’avait pas une grande envie d’après ce qu’elle venait de me dire, mais avec ce coup d’il de dernière minute, elle devait être mitigée, partagée dans son désir de copuler et son envie d’en finir.

En la pénétrant, j’observai attentivement son visage sans expression.%2

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