LE MARIAGE DE JULIETTE

Juliette avait maintenant 27 ans. Elle a eu trois enfants supplémentaires depuis son exil dans le harem de l’Emir. Mais voilà, malgré tout, la lassitude de l’Emir à son égard se fit sentir : elle fut de moins en moins choisie pour ses longues soirées régulières. Elle passait à son tour la plupart de son temps à s’occuper des tâches ménagères dans la grande salle du harem : servir, nettoyer lorsque c’était à son tour de le faire. Cela faisait toujours drôle de se mouvoir et réaliser ces tâches en quasi-nudité : seul un voile transparent lui recouvrait les hanches (ne cachant rien de son anatomie). Ses multiples grossesses n’ont absolument pas altéré le physique de rêve de Juliette : elle avait toujours ses hanches si étroites qu’on aurait dit celles d’un homme, le ventre plat comme si l’élasticité de son utérus était intact. Ses fesses était toujours aussi rebondies et musclées. Seul vestige de ses grossesses successives et du traitement qu’elle a subi : ses seins n’ont pas complètement repris leur forme initiale. Elle est passée du bonnet C à l’origine à un bonnet D. De ce fait, avec ses boucles blondes qui lui arrivaient au bas du dos, elle avait réellement l’air d’une pin-up qui aurait fait bander n’importe quel mâle … sauf son Maître, l’Emir qui en était lassé de cette esclave blanche. Grâce à son physique de rêve, Juliette s’était faite surnommée ’Yasmina, Cheveux de Feu’. Yasmina étant son nom à consonnance arabe après sa conversion. Son physique et son éloignement était les raisons pour lesquelles elle n’a pas encore été répudiée. Ses amies occupant originellement le harem lorsqu’elle était arrivée l’ont toutes été. Toutes n’ont pas aussi bien supporté les multiples grossesses comme elle : elles ont toutes pris des hanches et ont gonflé comme des baudruches. C’était le signal pour l’Emir de les renvoyer et dans leurs familles avec leur avenir financier assuré ainsi que leur offrande à un mari parmi ses sujets les plus méritants. Ainsi devaient se terminer la vie de toutes les filles du harem dont l’Emir s’en serait lassé. Malgré sa lssitude envers elle, Juliette n’a pas encore été offerte en épouse à un des sujets de l’Emir (qui pourtant n’attendait que ça !), mais l’Emir avait de moins en moins envie de résister aux pressions des mâles en rut qui attendaient de se marier et sauter avec la blonde favorite de l’Emir.

De nouvelles arrivantes sont venues garnir le harem en remplacement de toutes celles qui ont été répudiées. En particulier, parmi la horde d’autochtones toutes aussi jeunes les unes que les autres, il y avait deux blanches, deux blondes, pas aussi belles ni plantureuses que Juliette mais elles étaient plus jeunes et c’étaient de la chair fraiche comparées à Juliette considérée à force comme faisant partie des meubles. Juliette en éprouva une vexation profonde d’être reléguée à un second rang et, en même temps elle craignait pour son avenir car l’expérience lui avait appris que l’Emir ne gardait que très rarement des ’jouets’ dont il ne se servait plus. En attendant le verdict, Juliette se renseigna sur ses deux rivales blanches de la couche de l’Emir. La première était une jeune lycéenne française de 17 ans fraichement diplômée du baccalauréat, prénommée Candice : elle avait toujours été passionnée de civilisation moyen-orientale et elle s’était longuement documentée dès s on plus jeune âge. A l’âge de 14 ans, elle était tombée amoureuse du mode de vie de harem que lui décrivait un manuscrit ancien rédigé en ancien arabe, et depuis, elle n’a eu cure que de vivre cette expérience de l’esclavagisme sexuel de la femme. Dans son lycée huppé parisien, formant les élites françaises, elle avait surpris un de ses camarades de classe saoudien par sa vocation : intégrer un harem dès la fin de son lycée et réserver à son futur-propriétaire sa virgintité. Ce camarade lui avait fourni les contacts nécessaires. Dès son diplôme en poche, alors que ses parents, totalement ignorants de sa décision lui préparaient son installation dans son appartement à la veille d’intégrer les Ecoles Préparatoires aux Grandes Ecoles, elle s’échappa en leur laissant une missive expliquant son choix. Les diplomates dépéchés par l’Emir de leur côté après validation physique de la jeune lycéenne avaient fait le nécessaire pour soutenir logistiquement la fuite de Candice. Moins d’u ne semaine plus tard, Candice intégrait officiellement le harem de l’Emir Ibn-Al Khaldun aux Emirats Arabes Unis. Elle était d’assez petite taille (1m61), de poitrine très développée (85D) et des fesses très rebondies avec des hanches très étroites (un peu l’équivalent de corps de Juliette). C’était également une vraie blonde avec des cheveux très fins coupés en carré avec une longue mèche lui barrant le front et masquant à moitié les yeux bleus presque transparents. La seconde des deux femmes blanches était plus âgée : elle avait 25 ans, était auparavant l’épouse d’un diplomate Allemand en poste à Dubaï et était la maîtresse de l’Emir. Elle s’appellait Erika, elle était d’ascendance royale Allemande tout comme son mari. Ils fréquentaient le même milieu que l’Emir pour les affaires et comme de fréquence dans ces cas là, l’épouse Européenne délaissée s’est prise un amant qui n’était autre que l’Emir. Son mari fut rapidement mis au courant de la liaison d’Erika mais il ne s’en formalisa pas vu l’importance de son amant et d’ailleurs, lui aussi opérait de même. L’Emir devint même un ami de la famille et un soir, alors qu’ils avaient tous les trois passablement enivrés, ils jouèrent le sort d’Erika au poker et le mari de celle-ci perdit. L’Emir emporta donc sa nouvelle conquête dans son harem ainsi qu’il le lui avait promis en cas de victoire. Ca ne gênait nullement Erika d’être un trophée que les hommes se jouent et plus tard, l’Emir resta même ami avec l’ancien mari d’Erika qui se remaria avec une jeune Indo-Asiatique ramenée d’un de ses voyages. Erika était blonde avec des cheveux longs et soyeux qui lui arrivaient à mi-dos, elle était grande (1m80) plus grande que l’Emir même, avait le corps musclé témoin d’une activité sportive équestre intense auparavant. En revanche, elle manquait de poitrine qui faisait à peine un 90A. Ses traits étaient fins et réguliers, plus adultes que ne le laisseraient augurer son âge.

Le jour de la présentattion officielle des nouvelles femmes du harem se présenta. La quinzaine de femmes qui venaient d’intégrer le harem défilait devant l’Emir et toute sa cour, dont faisait partie Juliette en tant que plus ancienne du harem et Houria en tant que gardienne éternelle. Juliette était vêtue d’un sari qui lui masquait le visage, ne laissant transparaître que ses yeux verts tout de même assez remarquables. De toutes les femmes qui défilaient habillées de sari transparents richement décorés d’or, l’Emir arrêta Candice et congédia le reste des femmes. Candice resta debout tête baissée n’ignorant rien des coutumes auxquelles elle devait se soumettre. Houria lui retira la sari et son corps juvénile aux seins lourds apparut dans toute sa splendeur. D’immenses anneaux dorés lui ornait les tétons, comme pour Juliette. Le marquage au fer rouge opéré sur ses globes fessiers était particulièrement réussi avec des cicatrices qui avaient à peine coulé. L’Emir connaissant les études de Candice lui parla directement en Arabe et même sans répondre, celle-ci paru comprendre ce qu’on lui demandait. Elle se mit à quatre pattes cambrant ses reins, offrant ses deux orifices encore vierges au vu de l’assemblée. L’Emir ordonna à Juliette de préparer l’intromission de l’Emir dans cette croupe somptueuse. Celle-ci en fut troublée et excitée mais se contenta d’obéir à son maître. Tandis que l’Emir frotta sa verge enflée à l’entrée du vagin complètement fermé de l’adolescente, Juliette lécha la fente de Candice pour lubrifier l’objet de la convoitise de l’Emir. Celui-ci après avoir longuement laissé Juliette humidifier avec sa langue l’entrée du ventre de Candice, commença alors à peser de son bassin et fit rentrer petit à petit son appendice gorgé de sang de 75 ans, et ayant exploré des milliers de fois ses centaines de femmes, dans l’appareil génital de l’adolescente. Candice poussa juste un aïe à peine audible lorsque son hymen céda à celui qu’elle ava it choisi pour l’asservir et quelques gouttes de sang rapidement avalées par Juliette perlèrent. L’Emir devant tant de volupté eut du mal à se retenir et, au bout de cinq minutes explosa longuement dans le ventre de Candice. Celle-ci eut également le premier orgasme de sa vie, long et saccadé comme si son vagin s’était vengé d’avoir été trop longuement confiné.

Quelques semaines plus tard, la plupart des nouvelles venues dont Candice tombèrent enceintes. Pour Candice, c’était la volupté. Elle venait de subir également sa première sodomie quelques jours auparavant et cela lui avait fait atteindre un orgasme incommensurable. Seule Erika ne tomba pas tout de suite enceinte car elle était la seule à prendre la pilule auparavant et elle n’avait arrêté qu’une fois son entrée dans le harem. Pour Juliette, son sort fut bientôt scellé. Ne jugeant plus très utile de garder dans son harem la jeune blonde, l’Emir lui expliqua son futur : elle restait la propriété de l’Emir qui disposerait d’elle quand il le voulait mais en attendant, il allait l’offrir comme épouse à l’un de ses chefs caravaniers. Son futur époux disposerait d’elle comme il le voulait sauf contre-ordre de l’Emir. Juliette avait peur de cet avenir moins sécurisant que le harem mais comme d’habitude, personne n’avait le droit de disuter les ordres de l’Emir aussi elle se soumi t. Après le mariage célébré dans les murs du palais, Juliette fut emmenée par son nouvel époux, Haroun dans sa demeure au village éloigné de presque 5 kms du palais. Juliette fut accueillie par les trois premières femmes d’Haroun qui l’aidaient à se deshabiller pour subir sa nuit de noces. Haroun était gros et massif sans aucune délicatesse envers les choses du sexe. Dès qu’il fut auprès de Juliette, il s’enfonça brutalement dans le vagin de la jeune femme qui passé le premier sentiment de surprise s’occupa à rendre agréable le coït. Sans être délicat, Haroun était très résistant et il se passa presque une heure à voyager entre la vulve et le sphincter de Juliette avant que celui-ci n’explose violemment dans son vagin. Juliette, elle en était à son sixième orgasme lorsque son mari éjacula. Juliette était épuisée mais au cours de la nuit, son mari d’une force incroyable se reposa à peine une dizaine de minutes avant de renouveler son coït dans Juliette qui ne sentait plus son corps dont les forces s’amenuisaient de plus en plus. Le lendemain, Haroun comme si de rien n’était se leva et alla travailler laissant Juliette endormie. Celle-ci apprit l’organisation du ménage de Haroun : chacune de ses femmes occupaient une tâche particulière et celle de Juliette consistait à puiser de l’eau dans le puis situé sur la place du village pour remlir avec son âbe et ses jarres l’immense citerne dans la cour de leur logis. Les petits enfants jouant sur la place du village sifflèrent, se moquèrent de Juliette à chacun de ses passages car pour eux, la vision d’une blanche aux cheveux jaunes était une nouveauté. Durant toute une semaine, Juliette s’attela fidèlement à exécuter ses tâches quotidiennes. La nuite venue, Haroun baisait ses quatre femmes à tour de rôle sans jamais en décevoir aucune. Juliette avait le chic de tomber tout au cours de sa vie sur des bêtes de sexe car Haroun l’épuisait systématiquement toutes les nuits malgré son vécu dans la luxure. Si elle se remmémorait bien, Juliette avait du subir une bonne dizaine de milliers de rapports sexuels depuis la perte de sa virginité et apparemment, ça n’était toujours pas fini. Son vagin étant une vraie machine à produire des orgasmes, Juliette n’avait pas à s’en plaindre.

Au bout d’une semaine, Haroun dit à Juliette de préparer ses affaires car il avait l’intention de l’emmener pour l’accompagner au cours de son prochain voyage en caravane afin d’exporter les produits de l’émirat d’Ibn-Al Khaldun. Ses co-épouses expliquèrent à Juliette que la caravane d’une quarantaine de dromadaires accompagné d’une soixantaine d’hommes, soldats ou marchands sillonerait le désert durant trois mois pour approvisionner les villages de l’Emirat jusqu’à Dubaï en différentes marchandises. En revanche, elles s’étonnaient qu’une femme, de surcroit Juliette, fasse partie du convoi, sachant que les femmes étaient rares et, si elles venaient, c’est généralement dans un but précis de rendre visite à sa famille éparpillée dans l’immensité du territoire de l’Emir.

Juliette fut installée sur le dromadaire de tête, celui conduit par son mari (ont c’était le métier). Sa pose fut au départ très inconfortable mais elle s’habitua. Elle était vêtue d’un sari blanc qui la couvrait de la tête aux pieds, laissant juste poindre ses yeux derrière une ouverture et la plante de ses pieds aux ongles vernis de noir. Dessous, elle ne portait rien d’autre évidemment car il y a maintenant des années que Juliette n’avait plus senti le contact d’un semblant de dessous féminins. La caravane progressa lentement dans le désert toute la journée. La nuit venue, le convoi s’arrêta pour bivouaquer. Après manger, dont elle assura tout de même la quasi-totalité du service, Juliette apprit enfin pourquoi son mari l’avait emmenée. S’étant rapidement lassé de cette blanche qu’il jugeait pas suffisamment charpentée pour devenir la mère de ses enfants, Haroun opta pour une nette préférence pour ses anciennes femmes (il est vrai, taillées pour une vie dans le désert). N’osant pas répudier Juliette de peur de déplaire à son Emir, il trouva cette solution : lors de ses expéditions caravanières, sa dernière et plus jeune femme serait la bonne à tout faire mais surtout, servirait de défouloir sexuel payant à tous les mâles de la caravane. Juliette en fut attérée par cette nouvelle situation : subir les assauts sexuels de plus d’une soixantaine d’hommes toutes les nuits ne la rassurait nullement. D’autre part, elle ressentit une humiliation profonde de ne pas être considérée comme la favorite pour la deuxième fois en moins de deux semaines, elle qui jusqu’alors, soit dans ses études, soit dans sa vie professionnelle, soit dans sa vie dans le harem, était la numéro 1 absolue : elle venait de se faire supplanter une fois de plus. Elle tenta de protester mais son mari la giffla pour la mater. Ayant peur de la brutalité de son mari et de la proximité de tous ses hommes sans possibilité de recours, Juliette s’engouffra dans la grande tente vers la quelle son mari l’envoya d’un coup de pied puis s’installa attendant anxieusement l’arrivée de ses futurs amants.

Le premier ne tarda pas à venir : lui-même portait un sari en forme de robe de chambre (c’était la tenue traditionelle des caravaniers) fermé par une ceinture en tissu qu’il dénoua. Des pans croisés de son sari, l’homme, un soldat, sortit un pénis de taille moyenne déjà au garde à vous. Juliette fit passer par dessus ses épaules son sari blanc et s’allongea sur le dos les jambes écartées, attendant son partenaire. Celui-ci la prit en missionnaire, glissant soyeusement jusqu’au fond du ventre de Juliette. Le contact ne déplut pas à celle-ci mais il dura trop vite pour qu’elle put apprécier la saveur du coït. En quelques minutes de va-et-vient accompagné de grognements, son partenaire se répandit dans le vagin de la jeune blonde qui enserra de ses muscles vaginaux internes le pénis en elle pour en tirer la quintescence du jouissement de son sodat-amant. Puis il se retira rapidement laissant la place à son suivant : le second, un soldat également, la prit également en mission naire, sans lui laisser le temps de sécher le sperme dégoulinant de son prédecesseur. En quelques minutes également, il explosa et Juliette ne ressentit toujours rien. Tous les soldats, une vingtaine, passèrent, trahissant leur inéxpérience de la blanche car ils éjaculèrent tous précocement dans le vagin de la jeune femme. Juliette n’eut un orgasme qu’une seule fois ce qui le frustra profondément. Puis le jour se leva …

La journée, Juliette se cala une position sur le dromadaire pour dormir et reprendre des forces en prévision de la nuit suivante. L’épisode de la veille ne manqua pas de se renouveler après le repas de la nuit. Ceux qui n’avaient pas eu droit passèrent sur le corps de Juliette : cette fois-ci des marchands s’y risquèrent et certains d’entre eux étaient plus imaginatifs et plus résistants que les soldats de la veille. Les meilleurs étaient assez endurants, la sodomisèrent en préparant correctement l’outrage qu’ils allaient faire à l’anus délicat de Juliette. Juliette, elle-même, eut enfin correctement plusieurs orgasmes dignes de ce nom. L’un des marchands se fit prendre en photo avec un polaroïd lorsqu’il était profondément enfoncé dans les entrailles de Juliette. Celle-ci subit en levrette cette sodomie et la photo fut prise au moment où la jeune femme arrivait au point culminant de son orgasme. Sur le cliché, son amant aux commandes abhorrait fièrement son trophée : une jeune femme blanche et blonde, les yeux fermés, se tenant tremblottant les seins à deux mains, la bouche entrouverte, la langue à demi-sortie dans le prolongement de l’axe du pénis qui l’embrochait. Juliette en voyant sa photo immortalisée eut honte de s’être laissée allée aussi loin devant un objectif.

Au bout de deux mois d’un tel traitement, Juliette fut épuisée autant physiquement, nerveusement que psychologiquement : elle subissait des dizaines et des dizaines de rapports sexuels non protégés tous les soirs et sur certains, cela lui arrachait des orgasmes à la profondeur vertigineuse qui lui secouait tout le corps.

(à suivre)

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