Je suis un jeune homme de vingt ans, dévergondé, qui ne se refuse rien.
Je vais vous raconter quelques unes des aventures qui me sont arrivées récemment.
Une après-midi ennuyeuse, pluvieuse, j’allais me réfugier dans un sex-shop. Je faisais mine de m’intéresser au rayon dvd mais rapidement, je prenais une heure en cabine.
A l’étage il y avait plusieurs cabines et un escalier donnait vers la salle commune. Je m’installais dans ma cabine et laissais la porte légèrement entrouverte.
Je me branlais lentement devant un porno gay. Rapidement un homme mur se présenta dans l’entrebâillement de ma cabine. Je le laissais entrer. Il referma la porte derrière lui et me donna son sexe, petit mais bien épais.
Je m’agenouillais sans rien dire et gobais le gland humide.
Je suçais ainsi sa belle queue pendant plusieurs minutes, il poussait des râles de plaisirs, heureux d’avoir trouvé une bonne bouche à son goût. Il finit par sortir de ma bouche, se branlant activement devant moi. De long jets m’aspergèrent le visage, en travers du front, de la joue et un peu sur ma langue et mes lèvres. Je laissais couler le foutre sur mon menton.
Il me remercia et quitta la cabine.
Le visage plein de sperme, je retournais à ma branlette.
Un autre homme, mur également, ne tarda pas à faire irruption dans la cabine. Cette fois il voulait ma queue.
Il me suçait activement, une bonne bouche de pute. Assis sur le siège, j’écartais les jambes et relevais un peu mes fesses.
Il passa son doigt dans ma raie et me doigta en même temps qu’il me suçait. Il avait de gros doigts et son index seul me faisait un bien fou. Je sentis alors le jus monter dans ma verge et se déverser dans sa bouche de suceuse. Il me caressa le torse, titillant mes tétons et toujours doigtant mon cul, me roula une bonne pelle baveuse de foutre en me disant que j’étais bon.
Il sortit à son tour.
J’attendis un peu encore, je n’étais toujours pas rassasié de bite.
Arriva alors un beau jeune mec, d’une trentaine d’année. Il me plaisait beaucoup.
Je le fis asseoir à ma place et entreprit de lui bouffer la queue. Elle était bien longue et assez épaisse. Mais alors que je me régalais avec ce beau sexe, il se releva et quitta la cabine sans plus d’explications.
Me sentant délaissé, je décidais d’aller faire un tour dans la salle commune.
De nombreux hommes étaient là, se branlant devant un porno hétéro d’une pute blonde aux gros seins.
Je m’installais alors dans une petite cabine sombre possédant un trou communicant avec la salle de projection.
C’est alors que je vis mon suceur ainsi que le beau mec entrer dans la cabine et refermer la porte coulissante.
J’étais tout excité par ce qui se préparait ici.
Mon suceur sortit le sexe du beau gosse et commença à le sucer. Je m’approchais à mon tour et nous étions deux sur sa queue, partageant la même bite. Il gobait le gland puis me l’enfonçait dans la bouche.
Je me relevais et, étant redevenu raide, je donnais ma queue au suceur mature qui se fit une joie de pomper nos deux queues.
Le beau gosse en profita pour me glisser des doigts alors que je caressais son torse avec envie.
Je l’embrassais dans le cou quand il me murmura "j’ai envie de ton petit cul"
Sans hésitation, je me plaquais contre le mur de la cabine, le cul en bombe, écartant bien les fesses.
Mon beau gosse me prit avec une violence inouïe à laquelle je ne m’attendais pas.
Alors que je pensais avoir droit à une sodomie douce au départ, il me l’enfila sans cérémonie, m’arrachant quelques gémissements.
Il me bourrina sans pitié. Je sentais mon trou bien ouvert aspirant sa longue verge. Je le suppliais d’arrêter même si je voulais tout le contraire. Il me souleva et me posa à quatre pattes sur la banquette avant de me limer le cul de plus belle.
Le vieux en profita pour s’emparer de ma queue me suçant avec gourmandise et excitation.
J’encaissais en criant de plaisir cette grosse queue qui me démontait le cul. S’en était trop, je jouissais comme jamais, lâchant un flot de sperme dans la bouche de mon suceur qui pour la seconde fois se délectait de mon foutre. Mon anus suite à cette jouissance se sera sur la queue de mon enculeur qui ne pu alors retenir son foutre.
Nous étions exténué de plaisir, enfin surtout moi qui avait bien eu ce que je voulais.
Je m’habillais, et m’accrochais au cou de mon baiseur. Il refusait les baisers depuis le début, mais cette fois je ne lui laissais pas le choix et déposais un bisou léger sur ses lèvres charnues. Il me fit un sourire amusé:
"T’as un bon petit cul, je te reprends quand tu veux"
Je souriais, lui fit un clin d’il et sortis de la cabine.
Tous les hommes se branlaient derrière notre porte, quand ils me virent sortir et passer entre eux, ils me dévisagèrent, devinant bien que j’étais la salope à l’origine de tous ces gémissements. Je passais aux toilettes me refaire une beauté, puis je quittais le sex-shop. La pluie s’était arrêtée, j’en profitais pour fumer une cigarette en laissant à mon cul le temps de comprendre ce qu’il lui était arrivait. On ne m’avait jamais bourré avec autant de violence, et j’avais adoré ça.
