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Sous Louis XV – Chapitre 2




Assise sur le fauteuil de la chambre, tout près du palais de Versailles, je me caresse la chatte. Souvent j’ai cette envie de me soulager ainsi. C’est bon mes doigts glissent bien en moi. J’ai déjà eu un orgasme tout à l’heure : pas suffisant. Je recommence donc en rêvant à la bite de l’ami de toujours de mon mari, en visite chez nous. Je l’imagine assez grosse pour m’ouvrir largement. J’écarte largement les lèvres, mes deux doigts caressent doucement, le clitoris. J’aimerais qu’il vienne me la mettre, profonde, j’en ai envie.

Je rêve quand je sens une bouche venir sur moi. Le marquis est presque assis devant moi, la tête en arrière, sa bouche sur la chatte. Je me laisse faire. Pourvu que mon mari ne me voit pas ainsi offerte. Je suis léchée royalement. Qui diable a pu lui apprendre cette chose si ensorcelante pour les filles. Sa langue est divine , un peu moins bonne que celle de mon mari. Mais où est-il celui là, pendant que je me laisse aller aux délices suprêmes. Et pourquoi le lécheur est ainsi aussi mal installé.

J’ouvre le yeux. Il est là mon époux. Il a la bite du marquis dans la bouche, il le lèche comme je le lui fait. Je vois sa main autour de sa queue : il se branle doucement. L’observer dans cette posture me donne encore plus envie de jouir. Je sais bien que les murs sont dissolues, mais pas à ce point. J’ignorais en plus que mon mari,si bon époux,si bon baiseur se livre à de telles actes, non pas qu’il le fasse, mais qu’il ne m’en ai jamais parlé. Pourtant c’est normal de notre temps. Et puis s’il suce comme moi, pourquoi pas !

Je vois la queue de mon amant de l’instant se gonfler, il va jouir. Il jouit dans la bouche de mon mari qui garde le sperme dans sa bouche : je le vois aspirer et avaler la semence : il aurait pu en garder un peu pour moi. La bite du marquis baisse pavillon. Celle de mon époux est toujours en l’air. Je n’ose pas la lui demander il risquerait de préférer le cul noble celui qui me léchait. Je ne lui demande jamais beaucoup sa queue une fois de temps en temps dans le con au lieu de le perdre dans ceux des domestiques.

Le roi m’a fait savoir qu’il me trouvait à son goût. Quand Louis XV demande en principe on obéit. Pour le moment ce ne sont que des bruits qui courent. Normalement il devrais menvoyer un message par son plus proche domestique. Le physique doit compter, la façon de se tenir, et je ne sais quoi de plus, la façon de lécher, de se faire enculer ou même de caresser lanus avec doigts. Et comme se tenir devant lui : désirer lui s’il me caresse les fesses , prendre un air pincé ou heureuse ou simplement faire comme la courtisane de alcôve prêtre satisfaite même s’il y prend mal comme avec la Lavallière qui taisait son corps de son entre jambe. Je comprend qu ’elle fut vite pleine : elle qui ne prenait même pas le matin le peu de tisane de rue qui élimine le fardeau ventral.S’il y a peu de naissance cest bien grâce aux tisanes qui donnent nos apothicaires aux dame de la cour

Je suis prévenue vers 9 heure pour le déjeuner de 11heures ; je suis en retard. Tant pis le roi attendra un peu. Qu’il se branle en attendant/ J’ai mis ma robe la plus facile à enlever ! La presque totalité de ma poitrine est visible.

Bien sur, pas mal de regards sont sur moi, des hommes émoustillés par ce qui va m’arriver et des femmes jalouse de mon sort.

La porte de la salle à manger s’ouvre, Louis entre majestueux comme toujours. Il me fait un signe : jobéis à la volonté royale. Une petite révérence, je suis à sa disposition.Pour une fois aucun dignitaire n’est présent.Je ne me demande plus ce qui va se produire. Je suis les recommandations en faisant une large révérence. Louis ; me relève en prenant les bras. Vue de près son visage est grêlé de petite vérole. Il est assez beau, pas attirant, mais c’est notre seigneur à tour, je me dois de lui céder en ce qu’il veut.

Il me fait soulever le bas de la robe et des jupons. Je sais mes jambes attirantes : c’est par là que passent les mains de mes amants ; Je ne porte rien de plus, il peut voir la chatte mouillée.J’ai envie de connaître ses façons de prendre son plaisir et d’en donner. Avec difficulté je sort sa queue : il bande tellement. C’est un beau morceau, jai envie de la lui manger. Il ordonne que je sois nue. Sans être trop excitée je le suis rapidement. Mes seins se soulèvent, je vais me donner au Roi ; je vais avoir sa royale bite dans le con, comme une vulgaire fille de Saint Germain. Il me fait coucher, j’écarte les cuisses en lui demandant devenir me baiser.

Quoi ma bite dans ton con ? Et puis quoi encore ?

Sire, s’il vous plaît baisez moi.

Il ne fait que ce quil veut : ce matin très tôt il a eu la visite de sa première maîtresse qu’il a baisé, il lui faut autre chose de plus pimenté.

— Donnes moi tes fesses, branles toi si tu veux, je prends le plaisir qui me plaît.

Comme vous voudrez, sire, enculez moi.

Il lui plaît d’entrer dans le cul. Je n’ai rien contre, sauf que la bite est grosse. Il m’installe même sur le lit, penchée en avant, la tête sur l’oreiller. Je peux le voir se pencher sur les fesses, il y passe une langue curieuse. C’est très agréable de sentir cette langue mouillée sur ma pastille.Il s’incruste un peu, il la rentre même un soupçon. Je m’ouvre, j’adore ce qu’il fait. C’est meilleur quune queue mal mise. Je gicle dans sa bouche, mon trop plein de cyprine part sur le royal visage. J’en suis quitte pour lui lécher toute la figure, j’aime heureusement mon goût de mouille.

Il prend ma langue au passage, la fait entrer dans sa bouche. Sa langue lèche la mienne comme une abeille prend le miel d’une fleur.

Il pose sa main sur le con. C’est bon, il me branle bien. Je me laisse aller au plaisir. Enfin sa queue raidie vient juste à l’entrée de l’anus. J’ouvre comme je peux. Il est en moi, à fond dans le cul. Je crie mon bonheur d’être sodomisée par cette royale bite. Même si j’ai à peine mal. Il m’encule sans fin , je ne voudrais pas qu’il s’arrête. Ses poils me chatouillent un peu les fesses, ça ajoute à mon plaisir. Je ne me touche pas la cachette, il y passe des doigts. Je le sens sur le bouton où seuls mes doigts ont réussi à me donner ce plaisir étrange. Je suis totalement détendue. Mon seul soucis est de savoir si cette baise royale me fait parvenir au rang de favorite avec ce qui en découle : la jalousie des autres, les plaisirs cachées avec dautre courtisanes justement, ce que je cherche et l’avenir de mon mari.

Quelques jours plus tard, sa majesté me rappelle près de lui. Cette fois c’est moi qui prend les commandes. Je le fais coucher sur le ventre : il se touche la queue. Je passe mes mains sur les fesses. J’espère que personne ne voit ma main entrer dans sa raie. Notre sire aime se faire branler le cul ; Ce n’est qu’un homme après tout. J’ai en « héritage » un domaine fantastique de plusieurs domestiques, de quoi vivre en paix avec mes amants, le paradis quoi. C’est bien d’être la maîtresse provisoire d’un monarque . Outre les plaisirs divers, je sors fortunée.

En sortant de la chambre royale, une « amie » me prend à part. Drôle d’amie en vérité. Elle adore les filles et me le fait comprendre en m’embrassant sur la bouche Nous nous retrouvons un peu plus tard chez moi :mon mari est écarté, qu’il retrouve un amant.

La comtesse m’embrase profondément, à tel poins que j’y prend goût. Sa langue fouille ma bouche mieux que le fait Louis. Que de soins pour caresser une chatte consentante. Ses doigts sont dun divin secours. Je me laisse aller au fond du plaisir Elle masturbe avec brio. Elle assure le plaisir des deux cotés à la fois : le pince sur le clitoris et d’autres doigts dans l’anus. Elle me donne un plaisir que je ne connaissait pas encore. Je m’abandonne sur son épaule, sa bouche est sur mon sein. Elle redescend encore. Je sens sa bouche sur le pubis, elle aspire mes poils. Une main vient encore sur le bouton. Je la laisse me masturber. Je tends mon ventre, elle comprend que je veux qu’elle aille encore vers l’anus. Ses caresses sur le périnée me suffisent pour que je parte encore vers ces contrées inconnues..

je me laisse aller à poser ma main sur son entrejambe. Je ne pensais jamais qu’une foune soit si mouillée, à croire qu’elle a uriné. Je passe ma main partout, je découvre en fait un autre sexe de femme : c’est chaud, humide, agréable à caresser : je ne cherche pas grand chose, juste de quoi la faire partir vers le paradis d’où je viens. Je me souvient que tout son con a déjà servi à satisfaire Louis. Ma langue cherche un peu le goût de notre amant commun, un reste de sperme sans doute.

Qui sait qui baise Louis XV ?

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