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Elodie, piégée. – Chapitre 8




Elle suivit Dominique dans un dédale de couloirs dénués de personnalité. Des murs blancs éclairés par des néons, pas de décorations, ni même d’indication. L’absence de repère dans les innombrables corridors ne semblait en rien perturber l’homme qui se déplaçait sans aucune hésitation apparente. Elodie essayait d’abord de retenir le trajet, au cas où, mais abandonna au bout de quelques virages.

Dominique finit par s’arrêter devant une porte qu’il ouvrit.

"- Entre, dit-il

— Bien, monsieur."

Elle pénétra dans la pièce et regarda tout autour. La pièce était plus agréable à regarder que celle où Joris avait testé ses aptitudes à la fellation. Les murs était bien éclairés, le sol était tapissé d’une moquette douce, et des meubles remplissaient l’espace.

Dominique resta à l’extérieur.

Des poufs confortables accompagnaient un grand sofa en cuir, dans lequel Joris l’attendait.

"- Bonjour, s’exclama t-il. J’espère que vous avez passé un agréable trajet en compagnie de mon collaborateur ! Ne perdons pas de temps, voulez vous ? Le mien est précieux. Déshabillez vous, je vous prie."

Elodie, résignée, obtempéra.

"- Bien, prononça Joris tandis qu’Elodie faisait tomber un à un ses vêtements. Dites moi donc : avez vous réussi à convaincre vos supérieurs de laisser tomber le reportage pour de bon ?

— Oui, répondit-elle en dégrafant son soutien gorge.

— Comment avez vous procédé ? Ne m’épargnez aucun détail."

La jeune femme, la mort dans l’âme, raconta avec une attitude extrême comment elle parvint à persuader M.Dugnat d’abandonner le sujet. Elle évoqua l’accord qu’elle avait établit avec le rédacteur en chef, la façon dont elle l’avait chauffé, ainsi que la baise sur le bureau. Durant tout le récit, Joris l’écouta sans sourciller.

"- …Et après qu’il eut éjaculé en moi, acheva t-elle d’expliquer. Je me suis accroupie et…

— …Et vous avez récupéré le sperme pour le boire." Conclut son auditeur à sa place.

La journaliste, entièrement nue, acquiesça d’une hochement de tête. Le rouge lui était monté au visage, de honte.

"- Superbe, enchaîna le scientifique. Je ne me doutais pas que les choses se passeraient ainsi, mais l’essentiel est que cela ait marché. D’ailleurs, je me servirai sans doute de cette performance sexuel dans un avenir proche."

Elodie ne comprit pas ce que Joris avait en tête. Il ne lui laissa pas le temps de réfléchir puisqu’il ajouta :

"- Bon, maintenant, nous avons du travail, tous les deux. Installez vous où vous le désirez."

Il attendit qu’elle choisisse de s’asseoir sur un des poufs pour continuer :

"- Masturbez vous, faites vous du bien, laissez vous allez. Ne me cachez rien : je veux vous voir humide."

Elodie vit ses mains prendre possession de ses seins, les triturant, les malaxant, étirant ses tétons. Puis elle descendit une main vers sa chatte et écarta les jambes afin de permettre à Joris de l’observer. Elle promena un doigt sur son intimité, d’abord assez aléatoirement, puis de façon plus précise. Elle écarta ses grandes lèvres d’une main afin d’appuyer son majeur de haut en bas. Après, Elodie mit ce doigt dans la bouche pour le lubrifier, puis caressa son clito en faisant des mouvements circulaires. A sa grande honte, elle mouilla rapidement. Il faut dire qu’elle était très frustrée de ne pas avoir pu jouir la veille.

Comme si elle avait été seule dans la pièce, la jeune femme se laissa glisser au sol, s’adossant au pouf. Elle releva le bassin en mettant ses genoux au niveau de ses épaules, et continua sa masturbation en respirant bruyamment.

"- Je vois que vous mettez du cur à l’ouvrage, commenta Joris. Répondez moi sincèrement, Mme Maerte : avez vous envie de jouir ?

— Oui… Répondit-elle tandis qu’elle mit un doigt dans sa chatte luisante de mouille.

— Je vous l’interdis." Objecta l’homme. "Sauf si vous me le demandez. Ainsi jeme chargerai de vous faire jouir en vous prenant. J’ai besoin que vous soyez impliquée corps et âme dans votre apprentissage."

Elodie avait deux doigts dans son vagin. On pouvait distinguer des petits clapotis au rythme des mouvements de son poignée. Son autre main, crispée, s’occupait de sa poitrine. Malgré son apparente grande excitation, elle releva la tête vers son interlocuteur, et, les yeux chargés de désir et de colère, prononça :

"- Jamais… je ne vous demanderai… une chose pareille."

Certes elle était frustrée, et au plus profond d’elle elle savait que sa chatte ne demandait qu’à être remplie, mais elle préférait rester insatisfaite toute sa vie plutôt qu’offrir d’elle même son corps à cet individu. Malgré son avilissement, elle gardait un semblant de fierté.

"- C’est dommage, regretta Joris. Tant pis : nous avons d’autres choses à travailler, en attendant que vous cédiez."

Il se leva, ouvrit le tiroir d’un meuble et en sortit un objet ovale ainsi qu’une télécommande. Il se dirigea ensuite vers Elodie qui continuait à se toucher, et lui expliqua :

"- Ceci est un uf vibrant. La télécommande que je tiens dans les mains va me permettre de l’actionner à mon bon vouloir. Vous pouvez arrêter de vous caresser, mais gardez les jambes écartées et laissez vous faire."

Il lui mit le jouet dans le vagin, qui l’accueillit facilement tant la femme était trempée. Il intima à la femme l’ordre de se lever en gardant les jambes serrées.

"- La fellation que vous m’aviez donné la dernière fois était vraiment de qualité, complimenta t-il. Mais il y avait cependant un défaut : vous êtes déficiente au niveau de la gorge profonde. Vous allez vous exercer sur moi."

Restant debout, il sortit son sexe.

"- Restez les jambes tendues. Ainsi vous aurez la bouche dans l’alignement de votre gorge, ce qui vous facilitera la tâche. Avant de commencer l’exercice, rendez moi le plus dur possible."

Elodie se vouta et goba la queue à demi bandée. Elle tournoya la langue sur le gland qu’elle sentit se remplir de sang. Elle taquinait le bout, le suçotait, l’aspirait tout en caressant ses couilles. L’engin prit rapidement de belles proportions.

"- Salivez sur mon sexe, lui indiqua Joris. Cela facilitera le passage."

Elodie obéit, promenant sa langue baveuse sur la queue fièrement dressée.

"- Maintenant, montrez moi jusqu’où vous arrivez à l’avaler."

Le cul tendu, elle fit coulisser la verge dans sa bouche, mais s’arrêta en sentant le gland buter contre son palais. Elle toussa par réflexe et lâcha le sexe.

"- C’est navrant, déclara Joris. C’est à peine si vous arrivez aux deux tiers. Remédions y. Ouvrez grand la bouche, et tirez la langue au maximum. Parfait. Reprenez ainsi ma queue en bouche. Très bien. Engloutissez la progressivement, en n’oubliant surtout pas de respirer."

Elodie sentit à nouveau le gland buter contre son palais, mais conformément aux instructions, elle n’arrêta pas le trajet de la queue. Elle continua son mouvement et força ainsi son gosier à accepter le corps étranger. Elle ferma les yeux et s’efforça de respirer lentement afin de ne pas étouffer. Elle progressa lentement, millimètres par millimètres, jusqu’à ce que ses lèvres virent buter contre le bas-ventre de son instructeur. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle était capable de faire ça.

"- Je suis très fier de vous." Congratula l’intéressé. "Avec un peu d’entraînement, vous arriverez à faire des gorges profondes de façon tout à fait naturelle. Gardez bien ma queue au fond de votre gorge."

En disant cette dernière phrase, il appuya sur la télécommande. L’uf au fond de la chatte d’Elodie vibra, lui rappelant son manque. Elle émit des gémissements étouffés et de la bave coulait sur les couilles de Joris. Elle déglutit difficilement, provocant des mouvements de gorge qui durent plaire à l’homme, puisqu’elle sentit sa bite se raidir. Elle se dandinait de façon grotesque, mais gardait ses jambes tendue.

"- Reculez votre tête lentement puis recommencez plusieurs fois. Je veux qu’à chaque tentative, vous arriviez à prendre la totalité de mon sexe dans votre gorge un peu plus vite."

Elodie sortit peu à peu la queue de sa bouche, la découvrant recouverte de bave. Elle l’absorba à nouveau, en soufflant fort à cause de l’engin qui vibrait dans sa moule.

"- Si vous désirez jouir, vous n’avez qu’à me le demander." Précisa à nouveau Joris.

Elodie, à mi-chemin sur la bite, fit non de la tête. Elle voulait conserver ce qui lui restait d’amour propre.

Elle continua son travail. Au bout d’un certain nombre d’essais, il ne lui fallut que quelques secondes pour engloutir entièrement la queue alors qu’elle avait eu besoin d’environ une minute la première fois. Pendant ce temps, Joris s’amusait à arrêter les vibrations avant de les relancer, à régler l’intensité à sa guise, faisant souffrir la jeune femme de plaisir.

Entre temps, il avait passé un coup de fil sur son portable, comme si Elodie n’existait pas :

"- Dominique, nos dernières arrivantes sont-elles prêtes…? …Ah. Tant pis, amène moi l’autre ici, s’il te plait."

Elodie se demanda s’il s’agissait des femmes qu’elle recherchait, mais, la bouche remplie, ne put le demander à Joris. Elle ne dit qu’elle en aurait de toute façon le cur net rapidement.

Effectivement, trois minutes plus tard, elle entendit s’ouvrir la porte. Elle lui tournait le dos, et ne put donc qu’ouïr Dominique ricaner en la voyant dans cette position. Joris lui dit d’arrêter sa fellation et de se tourner.

"- Ecartez vos jambes et mettez vos mains sur les cuisses." Ajouta t-il. Il retira l’uf.

Elodie regarda donc la personne que Dominique avait amenées. Il s’agissait effectivement de Lisa Asthoën, la jolie femme noire aux seins en forme de poire. Elle était entièrement nue, et son corps était comme les photos le laissaient penser : aux courbes alléchantes. Elle baissait les yeux et gardait le silence.

Elodie n’aurait jamais imaginé la rencontrer en pareilles circonstances.

Dominique prit la parole :

"- Je crois que je vais briser la glace entre vous deux. Lisa, voici Elodie. Figure toi qu’elle est journaliste, et qu’elle faisait une enquête sur ta disparition. Je pense qu’elle est tombé sur un os : elle est aujourd’hui destiné au même travail que le tien. Elodie, je pense qu’il est inutile de te présenter Lisa. Je suis désolé de ne pas être venu avec Alice mais je la laisse se reposer. Elle a ses règles.

— Puisque vous refusez aujourd’hui d’être pénétrée par une queue, ajouta Joris. Vous allez passer à une autre étape. L’amour lesbien."

Elodie paniqua : jamais elle n’avait fait l’amour avec une fille de toute sa vie !

"- Non ! Je ne veux pas…

— Vous ne pouvez pas répondre non à tout, ce serait trop facile." Objecta t-il. "Allongez vous donc sur le sol et écartez les jambes. Je vous assure que ce qu’elle va vous faire va vous plaire. Vous n’avez toujours pas le droit de jouir."

Elodie s’exécuta, morte de trouille, et ferma les yeux en attendant la suite des événements. Bientôt, elle sentit une langue agile laper sa vulve couverte de cyprine. Elle fut surprise par la douceur et l’application dont faisaient prendre la belle femme. Elle ne put retenir malgré elle des petits cris de bonheur. La journaliste se dit en son for intérieur qu’il n’y avait pas mieux qu’une femme pour faire jouir une autre femme.

"- Tu vois ça ?" Commenta Dominique. "Elle sait y faire, la salope, pas vrai ? Et elle est complètement soumise, aujourd’hui. Même plus besoin de lui donner d’ordre pour qu’elle comprenne ce qu’elle doit faire. Ca fait une semaine qu’on les fait se gougnotter, elle et la petite rouquine. Elle font un beau duo, maintenant !"

Elodie subissait les coups de langue de la femme experte, qui agaçait son clito, enfonçait des doigts dans la chatte, les remuant de façon diaboliquement délicieuse. Parfois, Lisa soulevait les cuisses d’Elodie, pour avoir accès à son anus et le laper. Ce qu’elle lui faisait était tout bonnement divin. Si Elodie n’avait pas été privée de jouir, elle aurait déjà eu plusieurs orgasmes.

"- Assez joué, dit au bout d’un moment Dominique à l’encontre de Lisa. Fais lui bouffer ta chatte."

La langue de Lisa abandonna ses activités, et Elodie la sentit se mettre à califourchon sur elle, jusqu’à presque s’asseoir sur son visage. La jeune journaliste resta figée sur place, des lèvres intimes couleur café à quelques millimètres de sa face.

"- Lèche la." Ordonna Guillaume. "Et mets y du cur. Il faut que tu essayes de lui rendre autant de plaisir qu’elle t’en a donné.

— Bien, monsieur."

La langue d’Elodie entra en action, et elle lécha pour la première fois une chatte de sa vie. Elle passa un peu maladroitement son petit organe sur toutes les zones sensibles de Lisa, se concentrant sur ce qu’elle aimait qu’on lui fasse pendant un cunnilingus. Elle mettait beaucoup d’entrain pour satisfaire la belle femme noire, et cela marcha puisqu’elle sentit de la cyprine salée en périphérie de son vagin. Elodie en récupéra du bout de sa langue pour l’étaler sur son clito en faisant des petits ronds. Ensuite, elle pénétra sa langue dans son trou, la tendant au maximum.

"- Bon, les petites gouines, mettez vous en 69." dit Dominique. "Toi, ajouta t-il en s’adressant à Elodie. Tu restes sur le dos."

Lisa se tourna et fondit sur la moule d’Elodie, qui la lécha à nouveau en donnant de larges coups de langue. Les deux femmes gémissaient de concert.

En ouvrant les yeux, la rédactrice vit Dominique, entièrement nu, en train de se masturber à quelques dizaines de centimètres de son visage. Il avait opté pour une place de choix lui permettant d’observer Elodie dans sa première relation saphique. Il lui dit :

"- prépare moi bien cette grosse chienne : j’ai envie de l’enculer.

— Bien monsieur."

Comme guidée par une force extérieure, elle souleva sa tête, écarta les belles fesses fermes de la black, et lécha son anus. Celui ci avait un goût musqué. Elle cracha dessus, revint titiller son clito avec sa langue et appuya un doigt sur la rosette. Elle s’étonna de la facilité avec laquelle celui-ci entra, et se dit que la sodomie avait dû devenir une habitude pour elle. Elle réalisa qu’elle allait sans doute y passer elle aussi… Elle tenta d’y ajouter un autre doigt, mais le sentant forcer, revint lécher sa partenaire entre les fesses, en salivant au maximum. Elle enfonça son index et son majeur dans le vagin humide, fit quelques allers retours, et les sortit pour essayer de les insinuer dans le fondement en reprenant son cuni. A force de stimulations, l’anus de Lisa accepta les doigts jusqu’à la dernière phalange. Elodie fit des petits ronds avec ses doigts.

"- Suce moi" Intima Dominique en posant son gland sur le nez d’Elodie. "Et lubrifie bien ma queue, si tu ne veux pas qu’elle ait mal.

— Bien, monsieur.

— Et cesse tes "Bien, monsieur", de temps en temps" Gronda t-il. "Essaye d’être un peu plus original, sinon ça va vite être lassant.

-A vos ordres, maître." répondit-elle à son grande honte.

Elle laissa la queue s’engouffrer entre ses lèvres et virevolta sa langue pour saliver bien partout. Son bourreau profita quelques instants de sa bouche, puis retira son pénis luisant pour l’appuyer contre l’anus de Lisa et y rentrer son gland. Elodie regarda, fascinée, le membre entrer centimètre par centimètre entre les belles fesses noires. Elodie se rendit compte que la langue de Lisa faisait des mouvements plus désordonnés. Peu à peu, la totalité de la verge fut engloutie, et les boules de Dominique se posèrent sur le front de la spectatrice. Celui-ci commença de longs et lents allers-retours, tandis qu’Elodie se faisait doigter au rythme de la pénétration anale. Elodie n’en pouvait plus de frustration, elle voulait jouir ! Le spectacle de Dominique enculant sa soumise de plus en plus vite à quelques centimètres de son visage ne l’aidait vraiment pas à penser à autre chose.

"- Garde la bouche grande ouverte : je la veux à disposition.

— Comme vous le désirerez."

Il lui pénétra la bouche. Le goût était fort, désagréable. Mais son envie était telle qu’Elodie suçait presque avec joie, émettant des gémissements étouffés. Elle imprimait d’elle même sans qu’on ne lui eu demandé des mouvements de tête, au bonheur de celui qu’elle suçait :

"- Mais quelle gourmande tu fais, petite chienne !" S’exclama t-il juste avant de lui retirer sa queue. "Sois patiente, je vais bientôt te rendre ton nonos."

Il sodomisa à nouveau la femme qui la léchait, pendant qu’elle gardait les mâchoires écartées, fixant avec désir la bite qui entrait et sortait.

Dominique profita pendant de longues minutes de ces deux trous accueillant. Puis, après être sorti une énième fois de la bouche d’Elodie, il enfonça sa queue dans le cul de Lisa pour s’y déverser bruyamment. Il y resta planté quelques instants avant de sortir son engin et de le secouer au dessus de la bouche toujours ouverte d’Elodie pour y répandre les dernières gouttes, comme si elle n’était qu’un vulgaire urinoir.

Joris reprit à nouveau la parole :

"- Mademoiselle Asthoën, soyez gentille de vous redresser, et d’écarter vos fesses au dessus de la bouche de votre camarade."

Elodie voyait l’anus ouvert de cette femme d’où du sperme s’écoulait lentement. Celui ci tomba dans sa bouche, et elle avala. Elle pénétra ensuite l’index dans le trou du cul endolori pour faire tomber le reste, puis lécha le pourtour avant d’y rentrer profondément la langue. Lorsqu’elle eut fini, elle avait le visage couvert de mouille et de foutre.

"- Nettoyez votre nouvelle amie." Dit Joris en s’adressant toujours à la même personne.

Lisa se pencha sur Elodie qui avait les yeux et la bouche fermés. Elle se servit de sa langue pour débarrasser Elodie de la mouille dont elle l’avait imprégnée, ainsi de quelques traces de sperme ci et là.

"- Vous nous avez offert un joli spectacle, toutes les deux !" Félicita le chercheur. "J’ai hâte de vous voir en compagnie de Mademoiselle Frenielle. Vous ferez un beau trio ! Maintenant, venez me sucer ensemble. Je ne devrais pas être long à venir."

Elles se placèrent à genoux devant l’homme qui avait conservé une belle érection.

"- Et je veux que quoi qu’il arrive, vous ayez chacune votre langue ou votre bouche occupée à quelque chose. Mon sexe est assez grand pour vous deux."

Lisa emboucha le pénis de son maître, allant d’avant en arrière. Elodie s’occupa donc des couilles en en gobant une, puis l’autre. Peu après, Lisa fit courir sa langue, sur le coté de la verge. Elodie l’imita, symétriquement. Elles partirent toutes deux de la base de la queue pour remonter jusqu’au gland, où leurs langues se touchèrent. Elles s’attardèrent un peu sur le bout couvert de liquide séminal, avant qu’Elodie ne prenne Joris en bouche, laissant à sa partenaire le soin d’avaler un testicule. Ce fut ensuite cette dernière qui se servit de sa bouche, mais cette fois-ci pour engloutir entièrement la bite. Elle semblait plus dégourdie qu’Elodie à ce niveau là. Elle sortit la queue du fond de sa gorge, la laissant couverte de ses sécrétions.

"- A votre tour." Dit simplement Joris.

Elodie obéit, se concentrant sur sa respiration. Le résultat paru satisfaire l’homme qui l’asservissait.

Elle s’échangèrent ainsi les rôles pendant un moment durant lequel Elodie pu progresser un peu plus à la technique de la gorge profonde. Joris finit par s’adresser à elles :

"- Mlle Asthoën, ouvrez grand la bouche, et n’avalez pas sans que je vous le demande. Quand à vous, masturbez moi au dessus de sa bouche. Un peu plus vite. Voilà, comme cela… Ca vient… Aaaah!"

Joris se déversa sur la langue de Lisa, qui, bien obéissante, ne broncha pas. Il leur ordonna de s’embrasser. Elodie, le cur battant, mêla pour la première fois de sa vie sa langue à celle d’une autre femme. Si elle mettait de coté le fait le baiser était humide de semence, elle trouvait ça bizarre, mais… pas désagréable. Elle alla chercher au plus loin tout le sperme qu’elle pu trouver dans la bouche de la belle femme noire, puisque tel était son devoir. Une fois le sperme de leur bourreau ainsi partagé, et avalé, elle se séparèrent.

"- Bravo Mesdames !" Félicita Joris. "Votre performance était vraiment exquise ! Madame Maerte, avant de vous laisser rentrer chez vous, je vais vous demander de vous asseoir sur le canapé."

Elodie s’installa, pendant que le scientifique fouilla dans un petit frigo qui était posé dans un coin de la pièce. Il en sorti une seringue remplie d’un liquide. Il prit également un coton qu’il imbiba d’alcool et un rouleau de scotch. Il s’approcha d’Elodie et lui dit de se détendre, ce qu’elle fit automatiquement. Il lui pinça ensuite la cuisse et injecta entre la peau et le muscle le produit, lui laissant un discret petit point rouge. Il y appuya un coton vierge et demanda à Elodie de le maintenir ainsi. Il prit un morceau de scotch, et le colla sur la peau d’Elodie afin de protéger le coton.

"- Vous l’enlèverez dans au moins une demi heure, et avant d’être à votre domicile, évidement. Je vous interdis toujours de jouir : j’ai bon espoir que vous cédiez à vos instincts lorsque nous nous reverrons. Je n’en doute pas car vous n’avez cessé de mouiller depuis que vous êtes ici. Même maintenant, vous êtes toujours trempée ! J’ai hâte de vous revoir, pour être honnête. Vous pouvez vous rhabiller, Dominique va vous reconduire. Pendant ce temps là, je raccompagne Mademoiselle Asthoën dans ses quartiers qui seront bientôt également vôtre.

" – Une dernière chose, ajouta t-il précipitamment. Il serait de bon ton que vous renouveliez ce genre d’expérience avec votre supérieur. D’une part tout apprentissage à la luxure ne peut être que positif, et d’autre part il est temps de songer à la façon de vous éloigner progressivement de votre emploi. Vous allez donc entretenir cette relation avec lui, au moins deux fois par semaine. Ne soyez pas trop discrète, cependant : faites des sous entendus devant vos collègues, isolez vous avec lui en plein milieu des heures de bureau, habillez vous de façon provocante… Avec un peu de chance, quelqu’un finira bien par vous surprendre, entrainant à coup sûr un vive discrédit en votre encontre, voire votre renvoi. Ce serait une bonne chose de faite.

— Salaud, ordure !" Fulmina Elodie.

"- Nos séances devront-elles se conclure éternellement par vos injures ?" se lamenta Joris."Je vous donne rendez vous vendredi, dans deux jours. Je vous souhaite une bonne soirée."

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