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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 18




Chapitre 18 : Aurélie et Kate s’occupe de Paul.

Il ne me faut que quelques minutes pour rentrer à la maison. Je vais immédiatement dans la salle de bain pour jeter un il sur l’état de mes orifices intimes maltraités pendant que mon esprit réfléchi aux moyens de me venger de Sally pour cela. Je relève ma robe au-dessus de mes hanches et mettant un pied sur la tablette j’examine ma chatte. Mes lèvres sont gonflées et rouges mais je n’ai pas mal. Il va falloir un peu de temps pour qu’elles reviennent à la normale, mais je devrais être remise ce soir. Reposant mon pied je fais demi-tour et je me penche en écartant mes fesses. C’est mon trou du cul qui m’inquiète le plus. Par-dessus mon épaule, je regarde dans le miroir mais je ne vois pas bien à l’exception de mon trou anal un peu plus prononcé maintenant, détendu et encore légèrement ouvert. En fait mon inquiétude s’envole et je me sens un peu excité en regardant mon cul.

« Mon Dieu, je suis malade, voila que ça m’excite de regarder mon trou du cul.»

J’attrape quelques lingettes et je les applique sur ma chatte et mon cul pour les nettoyer et les rafraîchir. A moitié soulagée je sors de la salle de bain et je tombe sur ma fille Aurélie.

— Hé maman… Waouh… Regarde-toi ! Quelle robe ! s’exclame Aurélie, dès qu’elle me voit.

Je souris sous son regard admiratif qui me chauffe déjà.

— Ou étiez-vous passée mademoiselle ?

— J’étais dehors…Maman, tu es bandante ! Laisse échapper Aurélie avec un soupir.

— Aurélie ! Voyons

Elle vient vers moi et me prenant la main elle me fait tourner.

— OOhh, la vache ! Quel cul !

Et je sens sa main qui me fesse le cul.

— Aurélie ! En principe c’est la maman qui donne la fessée à sa fille incorrecte.

— Ah, ouiii, selon qui ? Moi je pense que tu mérites une bonne fessée car j’ai comme l’impression que maman a fait de vilaines choses aujourd’hui,

Me dit Aurélie en rigolant et elle me tire derrière elle.

Où m’emmène-t-elle ? Qu’a-t-elle en tête ? Bien que l’on s’amuse elle m’excite déjà, car, chaque fois que ma fille veut " jouer" avec moi, c’est toujours pour dériver sur des attouchements sexuels.

— Quoi ? Que veux-tu dire ? Je n’ai rien fait de mal.

Je n’allais quand même pas dire à ma fille que je me suis faite baiser mes deux trous par une machine infernale.

— Oh la menteusemoi je suis sûre du contraire. Viens par là, tu mérite une punition.

Elle s’assied sur le canapé du salon et me tire sur ses genoux à plat ventre pour mettre mon cul à sa disposition.

— Aurélie ? Que fais-tu ? Je feins la surprise mais je mouille déjà sachant ce qu’elle va faire.

— Te punir ma petite maman. Et je ne veux pas t’entendre te plaindre !

Paf, paf, paf.

Un frisson pervers me parcours le corps dès les premiers coups frappent mon cul.

— Aïe ! Aurélie

— Tais-toi ! Et dis-moi ou tu étais et comment tu t’es mal conduite aujourd’hui.

Me dit ma fille avec confiance et fermeté, en assumant le rôle d’un maitre.

— Non ! Murmurai-je.

— Paf, paf, paf.

— Uuugghhmm…

J’étouffe un gémissement de plaisir pour ne pas lui montrer que ça m’excite.

— Il serait préférable de me dire tout ou je vais faire à ce joli petit cul quelque chose que tu vas regretter

— No… je n’ai pas le temps de finir que,

Plaf, plaf, plaf, plaf.

— Aïeyaaïe ! Uuuuhhhhmmmm…

Mon cul me brûle et je ne vais pas pouvoir lui cacher longtemps que je prends du plaisir. Je regarde par-dessus mon épaule pour voir Aurélie qui a l’air surprise, mais qui ensuite sourit, quand elle comprend combien cela m’est agréable. Et voila ! Ma fille découvre la salope qui sommeille en moi.

— Mais c’est qu’elle aimerait ça la coquine. Voyons voir si je peux faire mieux.

Et elle saisit les bords de ma robe.

— Aurélie ! Arrête !

— Ouiiiii, dit-elle en me fixant dans les yeux et en continuant de remonter ma robe et de dévoiler mon cul.

— Alors tu te décide à me dire ce que tu as fait ?

— Nonsienfin ça n’était pas si mal que ça

Aurélie à remonté complètement ma robe et maintenant fixe mes fesses nues.

— Pas si mal, haha ? Cela signifie donc que tu dois être punie.

Là, je sens que ça chauffe vraiment et mon cul m’envoie un frisson érotique dans ma chatte à chaque coup d’Aurélie. Elle a réussit à me donner du plaisir et ma chatte se mouille. Je geins en continu sous la fessée de ma fille. Enfin elle s’arrête pour admirer mon cul tout rouge. Elle aussi est excitée, ça se voit sur son visage. Elle pose ses mains sur mes et commence à les masser doucement, frottant ma peau rouge avec ses paumes, en mouvements circulaires.

— Dis, maman tu vas baiser avec papa ce soir ?

— Heu Peut-être, mais, ooooooh Aurélie tu devrais arrêter de…

Car j’ai l’impression que je mouille sacrément et si ça continu, j’ai peur de mouiller aussi les cuisses de ma fille.

— Tu va le faire, oui ou non ! Et tu vas l’attacher avant de lui sucer sa bite ?

Ma chatte ruisselle !

— Huuummm, Aurélie ! Oh Dieu… s’il te plait Suppliais-je car je sens mon trou du cul s’ouvrir.

— Alors, tu vas le ligoter et lui sucer sa bite ?

Je regarde ma fille pour m’apercevoir qu’elle regarde entre mes fesses mon trou du cul ouvert. Ça me rend complètement dingue.

— Oui, Aurélie, je vais sucer sa bite !

Soudain nous entendons la porte du garage qui s’ouvre.

— Lâche-moi, Aurélie, c’est Paul.

Elle ne bouge pas, en fait elle me maintient plus fermement. Que fait-elle ?

— Aurélie, ça suffit ! Arrête.

Elle fait "non" en secouant sa tête d’un côté à l’autre.

— Pas avant que tu me promettes d’attacher papa et de laisser la porte ouverte pour moi ce soir.

Oh cette petite salope ! J’entends la voiture entrer dans le garage et l’arrêt du moteur. Maintenant, à tout moment mon mari peut entrer et me voir sur les genoux de ma fille avec ma robe remontée et le cul nu.

— Aurélie, ce n’est pas drôle, lâche-moi.

— Pas avant que tu me promettes, maman.

Merde ! Elle ne me laisse pas le choix car je ne veux pas que mon mari me trouve dans cette position, qui conduirait fatalement à un tas de questions, que je n’ai pas envie de répondre.

— Aurélie, tu va me le payer, je te le garantie !

— J’espère bien, maman. Alors

— Mais…Je te le promets. Maintenant laisse-moi me relevé ! Ton père arrive.

Aurélie lâche mes hanches et rapidement, je me relève et baisse ma robe juste à temps avant que Paul ne rentre dans la cuisine, laissant tomber ses clés sur le comptoir et une petite valise dans le fauteuil voisin. Il nous aperçoit dans le salon.

— Oh, salut les filles. Je suis vanné ! Quelle journée.

— Salut papa. Maman me parlait justement de toi.

Dit-elle en s’approchant de lui pour lui faire la bise mais je remarque qu’elle écrase ses seins sur sa poitrine comme par accident. Paul lui rend son baiser mais ne se détache pas d’elle pour autant.

— Bonjours ma puce. Huuummm… vous parliez de moi ? Des mystères vous allez me donner un indice ?

— Moi, non mais maman si elle le veut.

Dit-elle en montant les escaliers.

Paul reste en attente de réponse mais ses yeux se portent sur mes fesses.

— Est-ce un secret ? C’est peut-être pour l’anniversaire d’Eric qui arrive,

dit Paul en s’asseyant sur le canapé sans cesser de me regarder.

Je me demande combien de temps il lui faut pour remarquer ma tenue.

— Oh, ce n’est pas un grand secret.

Et je me positionne devant lui.

— On parlait de ton travail qui doit être fatigant nerveusement et que tu as surement besoin de te détendre.

En laissant de côté les détails sur la façon de se détendre et ce que j’ai prévu pour lui.

— Oui, tu as raison, je bosse trop. Viens me faire un câlin.

Il me tend sa main et je remarque une étincelle dans ses yeux. Ça y est il remarque ma tenue d’autant que je me suis abaissée.

— Pas si vite, tu dois d’abord me promettre une ou deux choses. L’une c’est de rester à la maison plus souvent

— Promis, répond-il rapidement, ses yeux collés sur mes seins à moitié exposés.

— Deuzio, aménager une piscine derrière la maison.

— Promis aussi, d’ailleurs j’ai déjà pris contact avec un entrepreneur.

Je m’assois à côté de lui et il met immédiatement ses bras autour de moi, ses mains sur mes épaules et mes cuisses. Il se penche et m’embrasse, sa langue trouver immédiatement sa place à l’intérieur de ma bouche et je sens sa main qui glisse vers le haut de mes cuisses jusqu’à ce qu’elle chatouille mon entre cuisse.

— Huuummm, pas de culotte, gémit-il dans ma bouche.

Forcément, puisque que je l’ai donné à Sally.

— J’ai pensé que, peut-être, ça pourrait te mettre dans l’ambiance,

Et j’appuie ma bouche contre la sienne et reprend sa langue dans ma bouche dans un baiser vigoureux. Il gémit un peu surpris par ma vigueur.

— Dite doncvous pourriez aller dans votre chambre pour faire ça !

Clame Aurélie qui vient de redescendre.

Paul arrache immédiatement sa main qui est entre mes cuisses quand Aurélie entre dans la salle de séjour avec un sourire sur son visage et prend un siège sur le canapé en face de nous. Je suis surprise de la voir en chemisier rose boutonné sur le devant et une jupe courte. Très différent de ce qu’elle portait quand son père est rentré il y a quelques instants. Sa tenue est nettement plus sexy et révélatrice de ses courbes harmonieuses et je me demande si elle ne veut pas un peu aguicher son papa. Normalement, elle aime porter des jeans dans la maison et je commence à me demander si permettre à Aurélie de voir la bite de son père et…et le goût de que son sperme est la bonne chose à faire.

— Papa, t’as prévu quelque chose pour l’anniversaire d’Eric ?

Demande-t-elle en mettant innocemment ses pieds sur la table de salon devant elle.

Dans cette position, avec ses jambes en l’air et ses genoux pliés une quantité généreuse de ses cuisses lisses sont visibles pour nous. Heureusement qu’elle garde ses pieds serrés et que ses mollets cachent son entrejambe. J’en avale ma salive en sachant que Paul a la même vue.

— J’ai quelque chose en tête, mais je ne sais pas si je peux vous faire confiance pour ne pas lui dire,

Je vois bien que sa voix tremblote légèrement. Aurélie pince ses lèvres montrant sa déception.

— Papa ! Tu sais quand même que tu peux me faire confiance, je ne dirais jamais ce que tu veux que je cache.

Et cette petite garce écarte un peu ses genoux, suffisamment pour qu’on aperçoive son slip de coton blanc entre ses cuisses. Je ne sais pas si Paul a vu la même chose. Un instant plus tard les genoux d’Aurélie se rejoignent. C’est une vraie salope ! Comme sa mère. Mais je n’en reviens pas qu’elle a osé faire ça devant son père !

— Je sais, je le sais, mon bébé, te fâche pas.

Il s’arrête de parler un instant en regardant Aurélie qui fait toujours semblant d’être en colère contre lui mais, encore une fois, je vois ses genoux se séparés pendant un moment et offrir le spectacle de son slip blanc comme si de rien n’était. Pas la peine de regarder mon mari, au son de sa voix je sais qu’il a vu la même chose.

— Ah, Aurélie je j’ai acheté un des derniers appareils photo numérique, bégaye Paul.

— Encore un appareil photo !

Je dois aussi admettre que c’est un peu trop

— Paul, tu n’as quand même pas

Il lève les bras défensivement mais il garde ses yeux sur Aurélie.

— Doucement, attendez un peu avant de me tuer. Ce n’est pas juste un autre appareil. C’est la dernière technologie… le dernier modèle de reflex numérique de Canon, qui est nettement supérieur à son modèle actuel. Il prend des photos avec les plus hautes résolutions disponibles aujourd’hui. Vous savez comment Eric aime prendre des photos, il va adorer ce cadeau.

Je vois ses yeux qui brillent et jetant un à notre salope de fille je la vois rassembler ses genoux. Ainsi, elle montrait à son père sa petite culotte encore une fois, mais quelle salope ! Je lui lance un regard assassin et je me promets d’avoir une conversation sérieuse avec elle sur ce sujet. Elle comprend vite et se redressant un peu elle garde ses genoux étroitement serrés.

— Eric ne sait pas encore lasser de faire des photos comme ça c’est passé avec le motocross, déclare Aurélie.

— Apparemment non. J’en ai parlé avec lui aujourd’hui, et il m’a dit qu’il commençait à faire des séances photos avec ses copains et qu’il voudrait bien en faire avec Gina. Je pense qu’il se dirige dans cette voie.

Cette conversation commence à me mettre un peu mal à l’aise. Ça me rappelle certaines poses avec mon fils et heureusement que mon mari et ma fille ne sont pas au courant.

— Ah, bon il prend des photos de personnes maintenant Et Gina va poser pour lui ? Je peux m’imaginer le type de photos qu’il prendra, dit Aurélie en riant.

— Aurélie ! Je m’exclame, sachant pertinemment ce qu’elle veut dire.

Paul me regarde d’un air stupéfait pour enfin déchiffrer ce que sous entend Aurélie.

— Quoi tu penses qu’il ferait ce genre de photo, demande-t-il à Aurélie. Et moi je réponds,

— Non surement pas ! Nous sommes tous bien éduqués et ne nous laissons pas imaginer des choses grivoises. De toute façon c’est son affaire pas la notre.

Je me demande après coup si en disant cela je n’ai pas renforcé cette idée qu’il puisse prendre des photos de nu car Paul regarde fixement Aurélie, et elle me lance un regard soupçonneux. Puis elle se lève en s’étirant langoureusement en fermant ses yeux, les bras au dessus de sa tête. Son chemisier remonte pour dévoiler son ventre lisse et sexy et le bas de sa courte jupe arrive à la limite de son slip blanc. Qu’elle dévergondée, elle fait exprès d’allumer son père. D’ailleurs il a ses yeux rivés sur le bout de culotte qui apparait.

— Bon, je file dans ma chambre, j’ai des devoirs à terminer. Je l’ai promis à maman. Amusez-vous bien tous les deux.

Je sais très bien pourquoi elle a insisté sur le mot "promis". Je lui ai promis d’attacher son père ce soir et de baiser en laissant la porte ouverte. Cette petite salope a envie une nouvelle fois de nous voir baiser ensemble. Ce n’est surement pas la meilleure des choses à faire mais rien que de penser à ça, cela m’excite et un frisson passe dans mon bas ventre

— Chérie, J’espère que tu n’es pas en colère contre moi pour l’achat d’un appareil photo à Eric ?

Me demande-t-il avant de m’embrasser le cou et derrière mon oreille. Oooh…J’aime quand il fait ça. J’autorise sa main à revenir entre mes cuisses et à nouveau je sens le bout de ses doigts caresser ma peau tendre.

— Paul… OOoohhhhh…J’AI…Non je ne suis pas. Je suppose que ça plaira à Eric.

Sa main écarte un peu mes cuisses et un de ses doigts se pose sur mon clitoris, et fouille un plus ma chaude intimité.

— Je suis sure qu’il va adorer, dit-il en triturant mon clito.

Je me cambre et émet un petit gémissement répondant ainsi aux attouchements amoureux de mon mari.

— Paul…Paul, attends un peu. J’ai besoin de te parler de quelque chose, et je bloque sa main qui essayait d’écarter les lèvres de ma chatte.

Il cesse de m’embrasser et me regarde.

— Qu’est ce qui te tracasse, chérie, dit-il en ramenant sa main sur ma chatte.

— Que penses-tu du comportement de notre fille ?

Ses doigts s’arrêtent de farfouiller entre mes cuisses et il tousse un peu pendant que ses joues commencent à se coloré un peu.

— Tu veux que je te dise ce que je pense de ma fille ?

— Voyons, Paul, tu n’es pas aveugle

J’ai vraiment besoin de savoir. Faire semblant de ne rien voir n’est pas forcément la meilleure façon de se comporter. Paul, lentement, prend ma main et se redresse pour me regarder.

— Tu veux parler de sa tenue

— Oui, et dece qu’elle montrait, j’ajoute.

Sans s’en rendre compte, il a un léger gémissement,

— Ahtu as remarqué

Je secoue juste ma tête de haut en bas l’observant. Va-t-il me dire vraiment comment il se sent sur ce sujet ?

— J’ai été surpris qu’elle porte une mini jupe très courte et je pense que tu fais allusion à sa petite culotte qu’elle montrait de temps en temps ?

Dit-il avec un air incertain.

— Humm ! Répondis-je.

Il détourne ses yeux un instant puis,

— Qu’insinues-tu ! Oui ! Bon j’ai regardé je n’ai pas pu m’en empêcher. C’est peut-être ma

ma fille, mais c’est aussi une belle demoiselle et…et je sais que je n’aurais pas dû mais je l’ai fait. Je suis désolé, vraiment. Je ne sais pas pourquoi je n’ai rien dis.

Il est honnête avec moi et c’est la chose la plus importante. Je l’embrasse tendrement, avec amour.

-Merci, chuchotais-je et il me regarde ne comprenant pas très bien. J’aurais dû me fâcher ou le traiter de vieux cochon pour mâter l’entrecuisse de sa fille.

— Merci d’être honnête. Je vais quand même lui dire de faire un peu plus attention la prochaine fois. Pour ce soir, j’ai en tête quelque chose de spécial, donc ne laissons rien gâcher notre plaisir dès maintenant.

Après le dîner, Aurélie est retournée dans sa chambre et je suis montée prendre une douche tandis que Paul rangeait la cuisine. Je m’assure de bien nettoyé toute trace de ma débauche de l’après midi et je me parfume de mon parfum envoutant. Quand je reviens dans la chambre, Paul est déjà couché sur le lit en pyjama short. Moi je suis nue, le corps luisant dans la pénombre des lampes tamisées.

Paul s’agite un peu en me voyant arrivé vers lui et sa bite commence à se redressée me prouvant ainsi qu’il aime ce qu’il voit et il se retrouve nu en 2 secondes.

Je saute rapidement sur lui et attrapant le bandeau que j’avais mis sur la table de nuit je m’apprête à le rendre aveugle.

— Kate nous n’avons pas besoin

— Chut, tais-toi, laisse toi faire et tu ne le regretteras pas.

Et il se retrouve attaché au lit, les jambes écartées, et un bandeau sur les yeux. Debout devant le lit j’admire mon uvre. Je regarde sa queue se remplir de sang et se maintenir toute droite au dessus de son estomac dans cette extrême excitation, en attente que ma bouche se referme sur elle. Je tourne ma tête vers la porte fermée qui nous laisse faire en privé tout ce que nous voulons.

"Promets-moi d’attacher papa et de laisser la porte ouverte pour moi ce soir"

Les paroles d’Aurélie me reviennent.

Rien que d’y pnser ça durcit mes tétons qui se détachent de mes aréoles, visiblement sous une excitation perverse de ma pensée. Je lui ai promis. Merde, pourquoi pas, elle m’a déjà vu sucer la bite de son père. Elle a même goûté à son sperme ! Dieu, j’ai aimé la lécher et fait en sorte que des gouttes de sperme de son père tombent dans sa bouche !

Alors pourquoi pas encore ce soir. Il faut juste que cela se fasse dans le silence. Je pourrais même laisser ma petite salope de fille prendre un bain de sperme de la bite de son père. Je souris à cette pensée et je vais en silence débloquer la porte et la laisser entrebâiller. Avec une musique de fond que je mets en route, les gémissements de plaisir d’Aurélie seront peut-être pas entendus ou reconnus par son père.

Revenant vers mon otage je glisse ma main sur son torse, son ventre, je frôle sa bite tremblante mais, au lieu de saisir la bite érigée, jattrape ses lourdes couilles, les presse ensemble et soulève son sac de boules.

— Oh KateMurmura-t-il, sentant enfin mes attouchements sur lui.

Je grimpe au dessus de lui, sur sa poitrine et écartant mes cuisses je caresse ma chatte humide sur sa peau pour qu’il sente bien ma propre excitation. Je place ma tête au dessus de cette belle queue dure, prête à avaler cette magnifique saucisse quand je devine un mouvement du coté de la porte. Donc Aurélie est déjà à l’affût ! Je ne la regarde pas et je me concentre sur ce que j’étais sur le point de faire.

Je sers ses boules et je les fais roulées dans ma main.

— Ooooooh Kate, Ouhouuuuhhhhhh.

Je lèche ses bourses et je les imprègne de ma salive. Je jette un coup d’il pour voir ou est Aurélie et haletante je l’aperçois debout au milieu de la chambre complètement nue, ses jeunes seins fermes bien visibles avec ses tétons tous durs. Avec ses cheveux qui tombent doucement sur ses épaules elle ressemble à une vestale prête à faire l’amour à son dieux et maître.

Elle me regarde jouer avec les couilles de son père, soulever sa queue raide qui résiste à ma traction et poser mes lèvres sur son gland qui commence déjà à avoir des fuites de pré-sperme.

Le goût salé du pré-sperme de mon mari me pousse à ouvrir ma bouche pour prendre sa belle érection sous le regard d’envie d’Aurélie. Dès que j’enfourne la totalité de la bite de son père dans ma bouche, elle s’avance et laisse échapper un faible gémissement qui est heureusement couvert par la musique d’ambiance.

Je souris intérieurement quand je la vois si excitée de me voir avaler la bite de Paul. Je ne peux vraiment pas renier la filiation de ma fille. Telle mère telle fille !

J’enfonce sa bite encore plus loin, au delà de mes amygdales et mes lèvres sont caressées par ses courts poils pubiens. Ma vision devient un peu floue par ce pieu qui se coince dans ma gorge, mais je vois quand même de la surprise dans les yeux de ma fille qui est maintenant tout près de moi.

Je retire de ma bouche la bite de Paul qui laisse filer une traînée de salive et je la caresse de haut en bas en regardant les beaux seins de ma fille. Bien sûr elle le remarque et présente ses seins fermes bien développés devant ma bouche qui attrape un de ses tétons rose. Sa main sur ma nuque, elle m’appuie sur elle fermement alors que je lui suce son téton, en ouvrant ma bouche aussi largement que possible, pour aspirer son sein jusqu’à sentir le bout de son téton dur effleurer ma gorge.

— Huuuummmm, halète Aurélie.

J’espère que Paul pense que c’est moi.

Je continue de le branler tandis qu’Aurélie garde ma tête et ma bouche pressées fermement contre ses seins pour quelques instants encore avant de me relâcher. Dans ses yeux je lis qu’elle veut de nouveau me voir sucer la bite à son papa. Je la prends dans ma bouche et je me mets à la sucer fébrilement en faisant tournoyer ma langue autour du gland, puis de haut en bas, sur les côtés en léchant ma salive. Silencieusement, Aurélie passe sous moi et presse mes tétons durs jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir de pousser un long gémissement d’extase en la regardant.

— Ohhhhhhhh, ugggghhhhmmm.

Les lèvres d’Aurélie trouvent rapidement les mienne et elle m’embrasse frénétiquement. Sa langue tourne et plonge avec force à l’intérieur de ma bouche pour déguster la saveur de la bite de son papa sur ma langue, tournant autour d’elle en ratissant toute la surface de celle-ci, comme pour chercher un nectar des dieux. Je suis un peu décontenancée et je me dis que c’est le moment de fixer les limites à ne pas franchir. Je la repousse en secouant la tête d’un côté à l’autre par défi, mais c’est un faible défi, une simple formalité d’une mère consciente de la situation mais qui ne peut résister a cette débauche ses sens et à son désir autant pour sa fille que son mari.

Je lui lance un regard implorant mais je réalise aussi, que je branle la bite de son père et qu’elle est humide par le pré-sperme qui sort du bout de son gland. J’ouvre la bouche et referme mes lèvres sur le bout de sa bite, je suce cette crème que jaime de plus en plus et puis jenfonce sa queue pour quelle chatouille ma gorge. Et je sais quAurélie se trouve juste en face de moi et quelle nen perd pas une miette.

Cela me fait de nouveau jouir et retirant la bite de son père de ma bouche en levant mes yeux vers ma fille, elle reprend mes lèvres pour un profond baiser. Sa langue fouille de nouveau ma bouche, pour retrouver le goût de la bite de son père. Cette fois, j’ai… je l’ai laissé faire me perdant dans la douceur de ses lèvres et la chaleur de sa langue.

Je ne peux aussi rien faire qui pourrait éveiller tout soupçon de mon mari alors je reprends la bite de Paul dans ma bouche et commence à lui faire une pipe magistrale sans aucune pause, jusqu’à ce qu’il gémisse au bord de la jouissance. Mais je ne veux pas quil vienne encore, alors je relève ma tête, pour une nouvelle fois, recevoir les lèvres dAurélie sur les mienne et sa langue gourmande.

Je devrais lui faire signe de retourner dans sa chambre mais je ne fait rien. Mon corps est brulant et ma chatte ruisselle certainement sur la poitrine de mon mari et maintenant, ma fille m’embrasse passionnément, mais sans aucun doute, pour goûter à bite de son papa.

Aurélie, agenouillée entre les jambes ligotées de son père, lâche ma bouche et regardant la bite tendue de son père puis ma bouche attend…Quelle salope elle en veut encore !

Aurélie place ses bras doucement sur le lit entre les jambes écartées de son père et me regarde le sucer avec du désir dans ses yeux. Son visage est seulement à quelques centimètres du mien et de la bite de son père. Maintenant, dès que je la lâche elle reprend avidement ma bouche pour chercher cette saveur défendue avec nos visages au-dessus de la bite dure de mon mari. Je sais que c’est de plus en plus dangereux mais je ne peux pas m’arrêter, elle a le pouvoir de me faire faire des choses impies, des choses risquées.

Ma main caressa ce pénis familial en dessous de nos visages et je vois bien quAurélie a envie de prendre ce gros gland violet gorgé de sang entre ses lèvres entrouvertes. Je vois quelle hésite et elle me regarde implorante. Elle brule de désir de faire comme sa salope de mère… de sucer la belle bite à son papa.

— S’il te plaît…

Un murmure à peine audible est sorti de sa bouche sans me quitter des yeux.

Elle veut la queue de son père, la gouter, la sucer et même peut être faire lamour avec. Elle est tellement pervertie, tellement démente, que mon coté salope brule mon corps et mon esprit hurle ;

« Laisse-là faire, brise le tabou ! »

Mon cur bat très fort dans ma poitrine, et je pose mes lèvres sur les siennes et je lembrasse. Puis tenant la bite de Paul par la base, je la déplace vers la bouche de ma fille en linclinant et je lèche cette tige dure et ses boules. Le gland baveux de la bite de Paul passe à même pas un centimètre des lèvres dAurélie et elle sort sa langue pour, de la pointe, lécher la fente ou le pré-sperme suinte.

Ses yeux grands ouverts brillent dune luxure incroyable et dun désir fou, sa langue lèche sans cesse les minuscules lèvres roses de son méat pour déguster le nectar précieux de son père. Je me sens tellement salope de lui permettre de faire ça, que, moi aussi jai envie.

Je déplace son nud vers moi et fermant mes yeux, je caresse sa bite sur toute sa longueur avec ma langue. Je le fait très lentement et arrivé à sa base je sens un mouvement suspect au dessus de ma bouche.

Jouvre mes yeux pour voir les lèvres dAurélie autour du gland de la bite de son père et elle suce si fort que des petites fossettes creusent ses joues. Ses yeux sont fermés mais son visage rayonne du plaisir quelle a de prendre la bite à son père. Paul gémit en balançant lentement sa tête d’un côté à l’autre que son corps ligoté. Il ne semble pas se rendre compte que quelqu’un d’autre suce sa bite en ce moment.

Aurélie ne suce pas que la tête de sa bite car le phallus veiné est en train de disparaître à l’intérieur de la bouche de ma fille. Elle a plus de la moitié de sa bite dans sa bouche quand elle fait une pause mais elle reprend vite son joujou pour faire se mouvement rythmique de haut en bas, tout comme je le faisais il y a peu. Elle va de plus en plus loin pour finalement avaler la bite de son père entièrement.

En la voyant faire, je porte ma bouche sur ses couilles et je les lèche alors que ma fille continue sa pipette, oubliant ainsi le danger de faire cela ensemble.

Quand je réalise enfin que nous sommes toute deux en train de sucer la bite de Paul en même temps, il est trop tard. Paul a soulevé sa tête et arrêté ses gémissements de plaisir pour poser linévitable question.

— oh Kate, oh mon Dieu, jai limpression… non je sens que… que… quil y a deux bouches qui me bouffe la queue ! Merde ! Que ce passe-t-il ?

Et gémissant de plus bel, sa tête chute en arrière.

Aurélie me regarde mais elle ne pas lâche pas la bite dans sa bouche. Paniquée, je me redresse et me retourne pour lembrasser sur la bouche pendant que je réfléchi fébrilement quoi lui dire. Il gémit et essaye de dégager ses mains pour sûrement vouloir retirer son bandeau.

— Kate, oh mon Dieu, qui est avec toi, me demande t-il dès que je lâche ses lèvres.

Je vois Aurélie qui me regarde toujours mais qui continue de sucer la bite palpitante de son père en bonne petite salope quelle est devenue.

— Je… ne tavais-je pas promis une soirée spéciale ce soir chéri ?

— Oui, mais… mais…

Arrive-t-il à marmonner en arquant son dos sous le plaisir que lui donne sa fille, en avalant dans sa bouche et sa gorge, la quasi-totalité de sa grosse bite tendue à lextrême.

Eh bien, au moins, il apprécie ce que notre fille lui fait et je sens quil est prêt à éjaculer. Il est temps que je lui dise quelque chose de crédible ; Je ne peux pas lui dire que c’est notre fille qui lui fait une pipe aussi agréable.

— Jai… jai demandé a une de mes amie de venir nous rejoindre ce soir…

Murmurai-je enfin en lui donnant un autre baiser érotique pendant que notre fille soccupe de sa bite.

Je vois quil se contracte pour ne pas venir trop rapidement après ce que je viens de lui dire. Et une envie perverse me passe dans la tête.

— Elle mavait demandé si nous avions encore des relations sexuelles intenses et après lui avoir dit que oui, elle a voulu des détails. Quand je lui ai décrit ton sexe elle a lâché « Hum, jaimerai être à ta place » Alors jai pensé que si je linvitais ça devrait te faire plaisir… mon amour.

— Et crois moi, elle se fait plaisir ! Tu devrais voir comment elle mouille !

Les yeux dAurélie ont presque sauté hors de ses orbites tellement surprise de m’entendre dire ça et du coup elle reprend toute sa bite dans sa bouche et ses couilles dans une main. Elle est déchainée et son visage exprime la passion quelle a de sucer la bite de son père. Je sais qu’elle mouille et quelle voudrait que quelqu’un soccupe de sa chatte mais je ne vais pas satisfaire ses débordements sexuels aussi facilement.

— Ma propre chatte est trempée rien qua la voir faire. Chéri… Tu veux y goûter ?

Je n’avais pas besoin de lui demander, je savais qu’il sauterait sur l’idée, mais cest juste pour garder son esprit occupé et me donner le temps de penser comment gérer la suite et répondre à ses questions.

— Oh ouiiiiii, donne-moi ta chatte, Kate, ouiiiii… donne la moi.

Sans un mot, je le chevauche de nouveau face à ma fille qui me regarde écarter largement mes cuisses, pour totalement mouvrir et me baisser lentement sur le visage de son père, jusqu’à ce que je sente ses lèvres toucher les miennes… mes lèvres intimes de ma chatte dégoulinante.

— OOohhhhhhhh, que cest boooonnnn.

Dis-je dès que je sens sa langue de serpent sur mon clito pour ensuite glisser vers le bas et plonger dans ma fente trempée.

Aurélie regarde son père qui commencer à brouter ma chatte ouverte. Elle rythme ses coups de langue sur ceux de son père jusqu’à ce que, insatiable, je mendie cette bite qu’elle ne veut plus lâcher. Et c’est à cet instant que Paul explose, tout droit dans la bouche de notre fille ! Ses yeux grands ouverts, un puissant jet de son sperme frappe le fond de sa gorge, la forçant à avaler rapidement avant que les deuxième et troisième explosions de sperme ne remplissent sa bouche délicate. Elle retire en toussant la bite de son papa de sa bouche, quand coup sur coup, trois jets de sperme épais sortent du gland, pour s’écraser sur mes seins et ma chatte, et pour finir, sur la poitrine de Paul.

En voyant ce spectacle hautement érotique je ne peux m’empêcher de jouir. Sous mon orgasme, en criant, j’écrase ma chatte dans la bouche de mon mari, mon corps se tend et libère des vagues d’énergie sexuelle dans une extase merveilleuse.

Je ne vois plus rien, j’arrête de respirer, mais je sais que je suis en train de jouir sur la bouche ouverte de mon mari, que notre fille a avalé son sperme qu’il vient d’envoyer dans sa petite bouche si douce ! Pure luxure, pure perversion et oh… Pure inceste, donc interdits !

Je plane dans mon monde de salope pendant quelques instants, mon corps tremblant et mes jambes faibles par les spasmes qui m’ont secouée, puis, je soulève ma chatte trempée du visage de mon mari et je la glisse le long de son visage en sentant le bout de sa langue dans la fente de mes fesses, jusqu’à mon trou du cul. Affaler sur sa poitrine et cuisses écartée, je réalise qu’Aurélie nettoie consciencieusement la bite de son papa, pour ensuite lécher le sperme sur sa poitrine.

Elle le fait lentement, pour attirer mon attention et voir ma réaction. Elle remonte plus haut, après avoir fait disparaitre le sperme de sa poitrine, pour se retrouver à proximité de ma chatte encore frémissante. Elle me jette un regard incertain et tout comme un déjà-vu un autre soir, mais avec nos rôles inversés, elle commence, avec de longs coups tendrement érotiques, à lécher de sa langue délicate le sperme qui a atterri sur ma chatte. Je la laisse faire et la regarde se gaver du sperme de son père. Une fois ma chatte, mon ventre et les seins complètement nettoyés, ne laissant aucune trace du sperme de son père sur moi, je la regarde.

Son visage rayonne de plaisir quand elle se lève et sort du lit. Rapidement, je mets un doigt sur mes lèvres pour lui faire signe de ne rien dire et je donne à mon mari un long baiser d’amour sur la bouche.

— Chéri, je te laisse un instant reprendre des forces. Je vais raccompagner mon amie. Je reviens vite mon amour.

Paul manifeste son désir de se détacher de ses entraves mais je n’en fait rien, peut désireuse qu’il se libère avant que sa fille retourne dans son lit.

Je pousse ma fille hors de notre chambre et ferme la porte derrière nous. Sans dire un mot nous rejoignons sa chambre.

J’ai poussé lui plus loin dans le couloir sans dire un mot jusqu’à ce que nous étions dans sa chambre.

— Maman, oh mon Dieu ! C’était fantastique !

S’exclame-t-elle en mettant ses bras autour de mon cou.

Accrochée à moi, son haleine sentant le sperme de son père, je vois dans ses yeux toute l’excitation sexuelle qu’elle vient de vivre et une immense satisfaction se lit sur son visage.

— Ma fille chérie, tu me causes du souci et je suis inquiète.

Elle se recule légèrement et fait la moue.

— Pourquoi ? Parce que j’ai sucé la bite de papa et déguster son sperme ?

— D’ailleurs son sperme est excellant, termine-t-elle avec un sourire.

— Je connais très bien le goût du sperme de ton père mais toi toi, tu ne devrais pas le savoir. Je n’en reviens pas que je t’ai laissé faire ça !

— Moi j’ai bien vu que tu ne m’en empêcherais pas.

J’ai senti que tu avais envie de me voir sucer sa bite.

Les mains d’Aurélie quittent soudainement mon cou pour se retrouver sur mes fesses et les serrer doucement jusqu’à me faire frissonner quelques secondes.

— Non ! Je n’ai pas mais tu as profité de la situation,

Et je glisse aussi mes mains sur ses fesses pour les presser aussi, comme pour m’amuser. Nous voici toutes deux nues, nos mains sur les fesses de l’autre, Aurélie contre la porte.

— Ah oui, alors pourquoi tu me regardais si intensément pendant que je le suçais ? Et je t’ai vu jouir quand tu regardais papa éjaculer et envoyer son sperme dans ma bouche.

Et ma fille appuie ses lèvres sur les miennes et m’embrasse passionnément. Instinctivement je le lui rends son baiser pour rester collées pendant quelques instants, bouche contre bouche et ventre contre ventre.

— Je ne te regardais pas parce que tu lui suçais sa bite, je surveillais que tu ne te laisse pas emportée par ton désir et que tu n’ailles plus loin.

Et je tire sa tète en arrière pour embrasser son cou avec une intensité bestiale et fiévreuse.

— Ah, oui, m’emporter

Aurélie tremble et halète et ses tétons sont maintenant au garde-à-vous.

— Et alors ? Que se passerait-il si je m’étais laissé emporter si je m’étais baisée sur papa ?

Rien que de penser à ça j’en ai presque un vertige.

Je m’agrippe à elle, suce ses seins qui passent devant ma bouche et fouille son nombril avec le bout de ma langue pendant qu’elle creuse ses reins en prenant ma tète dans ses mains.

— Çà ! Ma chère fille vous ne pouvez le faire ! Tu peux le sucer mais pas le baiser.

Murmurai-je tout en léchant son nombril qui semble soudainement très appétissant.

Elle m’attrape par les cheveux et tire ma loin de son ventre. Je la regarde surprise, j’aurais bien continué à lécher un peu plus cet endroit.

— Tu sais à quel point j’ai mouillé en le suçant ? Tu sais que j’avais envie de crier pour qu’il me mette sa grosse bite dans ma chatte en feu ?

Elle dit ça en me fixant dans les yeux, toute excitée, et imaginant sûrement la bite de son père qui la pénètre.

Moi, je baisse mes yeux pour voir sa chatte devant moi, et involontairement je me lèche les babines en voyant à quel point elle est humide. Instantanément le désir de la bouffer menvahis.

— Oh maman ! T’as pas envie de me manger ma chatte ? Moi j’ai envie

Je ne réponds pas mais mes yeux restent fixés sur sa chatte trempée et je dégluti salement.

— Huuummm, on dirait bien que ça te tente. Maman va bouffer ma petite chatte

Dit-elle en chantonnant et me taquinant tout en prenant ma tête pour l’approcher juste devant sa chatte mais sans la toucher.

Appuyé contre la porte, elle lève sa jambe droite et met son pied sur la commode à proximité m’offrant ainsi son intimité. Sa jeune chatte entrouverte dévoile son intérieur rose, sa moiteur et son trou parsemé de rosée intime.

— Aller, maman, dis moi qu’elle te fait envie, dis moi que tu veux me dévorer, que tu veux croquer ma chatte.

Bien sur que j’ai envie et je ne suis plus à ça prêt, j’ai laissé cette salope de fille sucer et bouffer la queue de son père. Et je suis aussi prête à me laisser dominer par cette petite garce incestueuse.

— Aurélie, ouiii…J’ai envie de ta chatte je veux y gouteret la manger ! Maintenant lâche-moi s’il te plaît

Elle rit et écarte encore plus ses cuisses pour me laisser le libre accès à sa nudité obscène. Ses mains quittent ma tête et je plonge ma bouche entière sur sa chatte humide et si chaude. Je bois à la source ce jus qui sort de ma fille. J’en savoure le goût en laissant s’écouler ce liquide des dieux sur ma langue puis je l’enfonce en tournant dans sa chatte ce qui réveille des séquelles de plaisir au-dessus de moi. Elle mouille tellement que j’en bave et que ça coule sur mon menton pour finir sur mes gros seins.

— OOOoohhh, maman, ouiiiiiiiiii, mange-moi, s’écrie Aurélie en pinçant ses tétons pour accentuer son plaisir.

J’aspire les lèvres de sa chatte, dans ma bouche, et je les mâche pendant un moment en surveillant ses réactions. Elle cambre son dos un peu plus et laisse échapper un gémissement profond tout en pétrissant et tirant sur ses seins.

— Oh maman…c’est boooonnnn, suce moi bien. Ouiiiii, fais-moi jouir.

Je lâche les lèvres de sa chatte et dévie ma langue autour de son clitoris en cercles rapides et sauvages. Je veux la faire jouir et boire de nouveau son jus de chatte qui coulera directement dans ma bouche en attente ! Je pousse deux doigts dans son trou d’amour et je la masturbe pour la faire hurler de plaisir. Je travaille sa chatte et rapidement ses petits gémissements de plaisir s’intensifient pour la mener au moment inévitable et magique. Ma bouche reste collée à son clitoris et ma langue excite sans relâche son bouton d’amour tout gonflé.

— Oh maman ! OH mon Dieu Maman ! Je jouis, je jouiiiiiiiissss !

C’est un long et profond gémissement qui me confirme quelle est bien en train de jouir sous un orgasme qui la fait trembler des pieds à la tête. Je sors mes doigts de son trou et je les remplace par ma langue chaude tout en gardant ma bouche grande ouverte, attendant le jet de cyprine de ma fille. Je n’ai pas à attendre longtemps, sous ses gémissements de plaisir, je sens un flot de cyprine couler dans ma bouche ouverte que j’avale avec bonheur et perversité. Elle continue davoir des spasmes de plaisir pendant un moment tandis que je bois son précieux nectar, savourant le gout intimité de ma fille.

Enfin elle se calme et je me relève, la bouche mouillée et dégoulinante de son jus. Elle me regarde, encore un peu dans son plaisir, et elle me presse contre elle en membrassant langoureusement, tendrement, pour gouter son propre jus de chatte sur mes lèvres, puis sur mon menton. Elle ramasse même les quelques gouttes qui sont tombées sur mes seins et me fait trembler comme une feuille dans le vent, sous sa langue experte.

— Alors, maman qu’en penses-tu ? Cest bon nest ce pas. Papa et moi on a bien jouis ce soir, mais pas toi.

Oui, et moi alorsjai limpression quelle minvite dans son lit et je remarque yeux avides qui passent sur mon corps dénudé avant de sallonger sur son lit.

— Je ne peux pas ma fille, et pourtant jen ai envie, tu peux me croire. N’oublie pas que ton papa est toujours ligoté dans ma chambre, je dois y aller et de le délivrer.

— Que vas-tu lui dire pour moi ?

Me demande-t-elle soudain, son visage exprimant son excitation.

— Tu mas bien entendu, jai invité une de mes amies pour prendre soin de lui. Je dois men tenir à cette histoire et toi

Je lui pose mon doigt sur sa poitrine,

— Toi, tu ne révéleras jamais, tu mentends jamais ce qui s’est passé et tu ne feras pas de sous entendu pour mettre ton père sur la voie. Compris ?

Elle acquiesce de la tête et dune main pour prêter serment. Satisfaite, je lui donne un dernier baiser

et sors de sa chambre. Quand jentre dans la mienne je vois que Paul manifeste des signes dimpatience.

— Kate, enfin, détaches-moi ! Il ten a fallu du temps.

Rapidement, je dénoue les nuds et il sassoie pour retirer son bandeau. Il me regarde un instant et se déplace pour membrasser.

— Kate, je t’aime, dit-il simplement avant de reprendre mes lèvres et fouiller amoureusement ma bouche de sa langue.

Tombant enlacés sur le lit, je me blottis contre sa poitrine et bientôt le rythme de sa respiration mindique quil vient de sendormir.

La dernière image que jai en tête cest celle de ma fille qui reçoit le sperme de son père dans sa bouche et qui lavale.

A suivre

Phanrome

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