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Premiers Amours… – Chapitre 1




Je m’appelle Alexandra Feel, jaurais 19 ans à la fin des vacances dété. Mais pour linstant je nai que 18 ans ; 18 ans, lâge de la liberté. Jaimerais faire une folie comme toutes les filles à mon âge : me teindre les cheveux en rose ou en vert, partir faire le tour du monde, faire du naturisme Mais une jeune fille de bonne famille ne ferait jamais ça. Alors je renonce à ces absurdités et me dis que je vaux beaucoup mieux que ça. Je nai pas besoin dattirer lattention en me faisant un tatouage sur les fesses, je suis déjà le centre du monde. Mon père est lun des plus riches hommes daffaires du pays, comme létait mon grand-père et mon arrière grand père. Et bientôt ce sera à mon unique frère, William, 21 ans, de tenir les rênes de Feels Security. William est blond (il tient ça de mon père), il fait un mètre 85 et pèse 80 kg. Ce qui lui permet de pratique son sport favoris son problème : le Basket. Sil avait pu il en aurait fait son métier. Mais il est promis à un avenir plus sur. Mon frère et très beau et nhésite pas à user de ses charmes pour attirer lattention des femmes. Je dois avouer que jen suis jalouse. Je naime pas toute ses femmes qui tournent autour de lui, mais cest une réaction normale de petite sur.

Je vis avec mon père, ma mère, mon frère (et mes nombreux domestiques), dans une vaste propriété. Dans un gigantesque manoir un palais plutôt. Une trentaine de chambres, autant de salle de bains, six cuisines, dix salons, deux salles de réceptions

Il y a aussi une grande écurie, cest lun des seuls choses que je partage avec ma mère : notre passion pour léquitation.

Jai passé mon enfance à entendre les gens dires que jétais parfaite, belle, intelligente, riche, studieuse. Enfin, selon eux je navais pas de défauts. Beaucoup damies à ma mère lenviaient davoir une fille si sérieuse. Car la plus pars des petites filles pourries gâtés de riches sont des pestes qui profitent de leurs situation sociales et qui font le contraire de ces qu’elles devraient faire. Non, moi je fais tout ce qu’on attend de moi, je suis une poupée entre leurs mains, mais ai-je le choix ?

Quand on me regarde on voit, une belle fille, avec de longs cheveux châtains ondulants légèrement, de jolies yeux noisettes et de longs cils. Une bouche fine et bien rose, un beau teint sans imperfection. Un petit nez et de belles mains. Je mesure un petit mètre soixante pour cinquante deux kilos. Mes seins ne sont pas énormes (85C) mais ils sont bien fermes.

Mon avenir est déjà tout tracé, je vais faire quelque étude de plus, puis jépouserais un riche homme, probablement plus vieux que moi. On aura des enfants, un garçon et une fille : il reprendra lentreprise de son père et elle aura le même avenir que moi. Jirais dans cette bals superficiels, ferais des apparitions pour Feels Security qui mappartiendra à moitié.

Je ne veux pas décevoir ma famille. Beaucoup compte sur moi, sur Alexandra Feel, sur cette gamine de 18 ans déjà milliardaire.

Je fixe lhorizon, assise sur un banc devant ma maison. Je regarde tout ce mouvement au tours de moi, dans deux jours mon frère aura 22 ans. Ma mère prépare activement la fête.

— ma chérie, ne reste pas là, fais quelque chose. Rester inactif trop longuement ce nest pas bon, me dit elle en posant un vase plus chère qu’une télé.

— que veux-tu que je fasse ?

— tu as vue ce soleil ? Vas entraîner Alpha.

Alpha est mon étalon, cest un Pur Sang Anglais, sa robe est Isabelle. Même si jaurais pu choisir le meilleur cheval du monde, jai choisi Alpha, un cheval renfermé. Il ny qu’avec lui que je suis vraiment moi, enfin presque qu’avec lui

— Salut princesse, belle journée.

Je me retourne et le voit, lui. Je lui souris. Il me sourit à son tour.

— oui, je vais monter, tu peux me préparer Alpha ?

— je suis payé pour ça, non ?

— exact.

Il se retourne, je le regarde partir. Cest Alexandre mais pour éviter les confusions, on lappelle juste Alex, il a 21 ans. On se connaît depuis toujours. Son père travaillait déjà pour le mien en tant que palefrenier. Quand il est mort, mon père a proposé à Alex de prendre sa place. Nayant plus de famille, il accepta. Il vit dans la petite maison juste à côté de limmense écurie. Nous sommes inséparables. Il est grand, très grand un mètre quatre-vingt dix pour 70kg de muscle, du à son rude métier. Il est châtain comme moi, il a de beaux yeux gris

— Alexandra, tu viens ?

Sa voix me ramena à la raison.

— Oui jarrive.

Jentre dans lécurie, il est déjà entrain de sceller Alpha.

— Cest pour la fête de ton frère tout ce bazar ?

— Oui, ma mère a insisté, tu la connais.

— John Tompson sera là ?

— je crois

Silence de mort. John Tompson à 29 ans, il a perdu sa « promise » il y a 2 mois dans un accident de voiture. Depuis il a des vus sur moi, ce qui enchante mon père. Je suis très honorée qu’il mait choisi pour être sa future femme. Comme dit ma mère, au début tu ne laimeras pas, mais ça viendra.

— Alpha est prêt, me dit il violemment.

— ça ne va pas ?

– Alexandra, cest la vie dont tu rêves ?

— oui ! Bien sûr, cest une vie parfaite.

— cest ce que tu penses ?

— Pourquoi ?

— Juste pour savoir.

Il se tourna attendit quelque seconde puis se retourna vers moi et membrassa violemment. Je voulu résister mais il resserra son emprise. Le désir sempara de mon corps. Sa langue trouva la mienne, elles mirent à danser ensemble. Sa main remonta sur ma nuque et lautre descendis sur mes fesses et les sera doucement. Je magrippai à son dos. Sa bouche descendit sur mon cou et y déposa des baisers enflammés. Je pouvais sentir la bosse de son pantalon augmenter à chaque seconde. Il se colla encore plus à moi. Il mordit tendrement le lobe de mon oreille. Je gémis doucement. Je passai ma main sur sa bosse, il gémit à son tour. Il tenta de dégrafer mon soutien-gorge mais un bruit de pas sapprocha.

Il me lâcha, je marrangeai rapidement et ma mère passa la grande ouverture de la porte.

— Ah Alex, jai besoin de toi. Peux-tu me suivre.

— Tout de suite Mme Feel, dit il presque essoufflé.

Il parti en courant de lécurie. Je restai quelque secondes debout mais finis par massoir, ou plutôt par mécrouler sur le sol.

Alex et moi.

Ces trois mots me firent éclater en sanglots.

Je ne revis pas Alex de toute la journée, ni le lendemain. Il mignora totalement et moi aussi. Javais peur, peur davoir détruit notre amitié à cause dun moment dégarement. Jespérais que notre relation aller sarranger, mais elle empiré.

Ce soir cest lanniversaire de mon frère, la plupart des invités sont là. Impatients dassister à cette fête. Comme si ils nen avaient pas assez.

Jenfilai ma robe tulipe beige et bouclai délicatement mes cheveux. Je passai un peut de gloss sur mes lèvres, me mis une touche de mascara et descendis les escaliers. Mon frère accueillait ses invités à lentré.

— William !

Il se retourna et savança vers moi. Habillé et coiffé comme un prince.

— Tu es ravissante, me dit-il en mobservant bien attentivement.

— je te retourne le compliment.

— tu en pense quoi de cette fête ?

— je ne sais pas. Cest grand, beaucoup trop, peut être.

— je crois qu’il ny a personne de mon âge.

— William, tu lun des plus riches héritiers de se beau monde, il y a quelque sacrifice.

— comment tu fais pour faire paraître tes propos si vrai ?

— ils le sont peut être

— tu peux duper tout le monde mais pas moi. Dailleurs John Tompson est là, il te cherchait.

— je vais le voir.

— tu veux vraiment faire ça ?

— de quoi ?

— lépouser et vivre avec lui ?

— cest lun des meilleurs

— on croirait entendre maman.

— quoi ?

— promets-moi juste une chose, reste toi-même.

— mais si celle que je suis vraiment ne plais pas.

— moi, elle me plait la vraie Alexandra.

— merci.

— tiens Cassie est là.

— Cassie ? Tu nétais pas avec Amy ?

— oui mais ça Cassie ne le sait pas.

Puis il parti. Je restai là quelque seconde et vit entré Alex. Je ne lavais pas vu depuis « Lincident ». Il regarda autour de lui en souriant mais dés quil me vu sont visage se ferma. Cinq mètre nous séparaient, le monde continuait de tourner mais pas nous, le temps navais plus dimportance durant la durée de ce regard. Mon père arriva et lemmena avec lui, il voulait lui présenter quelquun.

Je regardai le sol puis me repris.

Jentrai dans la grande salle, les gens riaient, dansaient, parlaient. Mon regarde se posa sur John Tompson. Il nétait pas vraiment beau mais il avait un certain charme. Pas bien grand, un peu enrobé, les cheveux blonds plaqués, voila à quoi ressemblait mon futur mari. Il savança vers moi.

— tu es magnifique Alexandra.

— merci, votre présence menchante.

— tutoie-moi voyons.

— bien.

— comment vas-tu ?

— très bien et vous et toi ?

— je dois dire que depuis que tu es avec moi je vais très bien.

— je vais rougir je crois.

— une femme pleine dhumour, cest intéressant.

Je souris encore une fois.

— je suis désolée pour Isabella, cétait une amie.

— merci, elle me manque mais la vie continue, il ne faut pas pleurer les morts trop longtemps.

— je suppose.

Il allait me répondre quand Alex arriva, mon cur semballa dans ma poitrine.

— je vous lempreinte, dit celui-ci en prenant ma main.

Il nattendit pas la réponse de John et mentraina danser. Nous dansâmes quelque seconde les yeux dans les yeux quand je lui demandai :

— pourquoi tu as fait ça ?

— pour danser avec toi.

— je parle de la dernière fois.

— quelque chose didiot mais tu as eu lair daimer.

Jétais partagée entre lenvie de lembrasser et lenvie de le tuer.

— ce nétait quun jeu ?

— à ton avis ?

— je ne sais pas.

Il magrippa le poignet et mamena dans une cuisine déserte. Il colla son corps contre le mien.

— tu crois que ce quon a fait nétait quun jeu !?!

— je ne sais pas, depuis tu mignore, je suis perdue. Pourquoi tu moublie ?

— parce que je sais que toi et moi cest irréelle, je suis un garçon décurie et toi lun des plus riches héritières de France.

Je posai ma main sur sa joue.

— personne nes censé savoir, finis-je par dire.

— cest ridicule, je naurais pas du tembrasser.

Il se tourna mais jagrippai à mon tour son poignet.

— jai besoin de toi Alex, je ne sais pas ce qui marrive, ce qui nous arrive. Mais je ne peux pas être loin de toi plus longtemps.

Il se retourna, surpris :

— quoi ?

— je taime.

Il ne réagit pas tout de suite.

— moi ?

— oui.

— pourquoi ?

— je ne suis moi-même quavec toi, tu maccepte comme je suis, tu es toujours là pour moi.

Il me prit dans et ses bras et me souleva du sol.

— Alexandra si tu savais ce que ça me fait du bien de savoir ça. Je taime depuis toujours.

Il me sourit et membrassa fougueusement. Notre baiser dura une éternité. Nous fûmes obligés de nous arrêter, l’air venait à manquer. Il me souleva facilement et me posa sur une planche de travail. Il me fixa quelque seconde et passa sa main sur ma cuisse. Puis il l’a fit remonter doucement quand elle arriva à mon entrecuisse un frisson de plaisir inconnu me parcouru.

— attends on ne peut pas faire ça ici.

— tu as raison.

Il me posa.

— je retourne dans la salle. Reste loin de moi sinon je risque de te sauter dessus, dit-il très sérieux.

Puis il parti discrètement.

Je restai là de longue seconde. Tout mon corps tremblait. Lui et moi ?

Le lendemain de la fête mes parents et moi même sommés parti chez notre famille. Une journée de plus sans le voir.

Mais à mon retours, il arriva calmement, prit un ton sérieux et me dit qu’Alpha avait un problème. Ma mère commença à paniquer, mais Alex la rassura. Puis il m’amena à l’écurie. Une fois dans celle ci je lui demandai ce qu’Alpha avait, il me répondit :

— rien c’est tout ce que j’ai trouvé pour qu’on soit tout les deux.

— tu m’as fait peur.

— tu m’en veux ?

— bien sur que non. Tu mas manqué, dis-je, en me rapprochant de lui.

Il passa à côté de moi et ferma l’imposante porte de l’écurie à clé. Puis il s’approcha de moi doucement. C’est étrange mais je n’avais pas peur. Il porta sa main à ma joue mais nous fumes arrêtée par mon père

— Alex, comment va Alpha ? Cria t-il derrière la porte.

— beaucoup mieux.

— bien. Au faite Alexandra John est la. Vous étiez obligé de ferme la porte à clé ?

— je vous ouvre.

Alex s’avança vers la porte e tourna la clé mon père attendait devant celle ci en regardant sa montre.

— John t’attend dans la cour principale. Aller Alexandra dépêche toi.

Je passai ma main dans mes cheveux pour me recoiffer et sorti tristement de l’écurie.

John m’attendre dehors.

— bonjours comment vas tu ?

— très bien. Que nous vaut l’honorer de votre présence ?

— votre père m’a invité à souper.

— excellent. Vous entrez ?

— je t’ai dis de me tutoyer.

— c’est vrai.

Il me prit la main et nous entrâmes dans la maison.

Le repas du soir venait de commencer quand Alex entra:

— désoler pour le retard, Mme je viens vous informer qu’Alpha va mieux.

— merci Alex mais rester donc dîner, proposa ma mère.

— avec plaisir.

Alex s’installa doucement à côté de moi.

Mon père et John parlaient depuis le début du repas, c’était plus qu’ennuyeux à vrai dire.

Soudain je sentis une main sur ma cuisse nue. Elle ne bougea pas pendant un moment mais fini par monter et descendre. Je jetai un regard noir à Alex, se qui le fit sourire. Après ses longues caresses sa main monta un peu plus haut. Il s’arrêta juste devant ma culotte.

— un peu de vin ?

Je sursautai, mon père me regardait bizarrement.

— tu te sens bien ma chérie ? demanda mon père.

— oui, je vais bien.

— je prendrais bien un peu de vin Mr Feel, répondit Alex amusé.

Mon père le servit puis retourna à ses occupations. Alex bu une gorgé puis il replace sa main là où il l’avait laissé : à l’entrée de mon intimité. Il attendit quelque seconde puis passa son pouce sur le tissu. J’eus un petit gémissement. Il continua sa manuvre quelque minute puis arrêta. Il ne fit rien d’autre de tout le repas.

À la fin de celui je réussie à échapper à mon père et John pour rejoindre Alex dehors.

— hey ! Attends-moi !

Il s’arrêta et me prit la main.

— tu es fou d’avoir fait ça !

— je sais.

— je sais ? Et si mon père nous avait vus ?

— on serait tout les deux morts. Mais personnellement, je serais mort heureux.

— ce n’est pas drôle.

— viens

— où ?

— chez moi.

— pourquoi ?

— pour dormir, je ne te toucherais pas, je te le promets.

— je ne sais pas…

— je ne te ferais rien.

— ce n’est pas ça… et si mon père l’apprenait

— on trouvera une excuse.

— juste une nuit. Et juste pour dormir ?

— promis.

Alex continua d’avancer toujours sa main dans la mienne.

Sa maison était constituée d’une grande pièce à vivre, dune cuisine, d’une mezzanine qui était en faite sa chambre et une salle de bain juste à côté. Jentrai la première, il ferma la porte à clé :

— je vais te donner un vieux tee-shirt pour dormir, me dit-il en commençant à monter les escaliers.

Je lobservais, il était vraiment beau.

— tu viens ?

— oui jarrive.

Je montai à mon tour les escaliers. Il me tendit un doux tee-shirt et se tourna pour que je puisse me changer. Jenlevai ma robe et enfilai le tissu. Il en profita pour enlever son haut et mit un vieux pantalon de sport. Quand il se retourna je redécouvris son torse musclé et rasé. Je posai mes mains sur celui-ci. Il me souleva du sol et mallongea sur le lit. Je massis sur lui. Je me penchai pour déposer un baiser sur ses lèvres mais il marrêta :

— jai promis de ne pas te toucher, tu te souviens ?

Il me fit rouler à côté de lui et prit ses mains dans les miennes. Il les embrassa et me pris dans ses bras.

Je mendormi.

Je fus réveillée par les premiers rayons de soleil. Alex était déjà parti à lécurie. Je mextirpai du lit et enfilai ma robe de la veille.

Je sortis de la petite maison et rentrai chez moi. Je réussis à arriver dans ma chambre sans me faire remarquer.

Durant laprès midi je suis sortie dehors et suis partie vers lécurie en espérant le trouver. Il était avec un vieux cheval blanc, Dark, ironique.

— Coucou.

— Hey, ça va ? bien dormis ?

— très bien et toi ?

— merveilleusement bien, il hésita mais ajouta, ton père ma confié que John Tompson avait prévu de te demander en mariage demain.

Je perdis mon sourire, il y a quelque jours jaurais dit oui mais maintenant cétait différent : Il y avait Alex.

— je ne sais pas quoi faire.

— épouse-le. De toute façon on sait très bien quentre toi et moi il ny aurait jamais rien.

— le fait que je taime ne compte pas.

— ça aurait compté, si tu nétais Alexandra Feel.

— Alex !

— quoi ? Excuse-moi de regarder la vérité en face.

Je sentis une larme couler sur ma joue, il lessuya lentement.

— je ne veux pas lépouser, je veux être avec toi.

— Cest impossible, il me regarda, hésita encore et parti refermer la porte à clé.

Puis il revient vers moi, mattrapa le bras et me fit monter dans le dépôt pour le foin. Il me jeta violemment dans la paille.

— tu fais quoi là ?

Il ne me répondit pas et enleva son tee-shirt. Il se positionna au dessus de moi :

— Il est hors de question que tu perdes ta virginité avec un autre que moi.

Il me dit cette phrase avec tant de servitude et tant de courage. Javais envie dy croire.

— Alex

— Je taime, merde pour le reste.

— je

Il se redressa et enleva ma robe. Jétais en sous vêtement devant lui. Il me dévorait du regard, observant chaque recoin de ma peau, cétait comme si il me caresser avec les yeux. Il fit tomber son jean. Son caleçons noir était déformé par une énorme bosse. Son érection, cétais moi qui la provoqué.

Il sallongea sur moi et membrassa dans le cou. Il y déposa des milliers de baisers. Je caressais son dos doucement tout en gémissent. Toutes ces sensations métaient inconnues.

Puis il dégrafa mon soutient gorge rouge et le balança le plus loin possible. Il descendit et sa bouche trouva son sein droit. Il le câlina et lembrassa. Il remonta à mon téton et le mordilla. Mon pou saccéléra. Il passa à mon autre sein et répéta son opération. Mon corps était en feu. Des milliers de pensées me submergé, ce que nous faisions était si mal

Quand il eu fini, il attrapa ma main et la posa sur son érection, encore plus importante que toute à lheure. Il tremblant énormément. Il libérera ma main. Je fis descendre la fin tissu et me trouvai face à son sexe. Il devait mesurer une vingtaine de centimètre. Cétait vraiment très grand. Il comprit que la taille de son pénis mapeura :

— Alexandra, si tu ne veux pas, je ne te force pas.

— cest juste que je ne laie jamais fait

Il reprit ma main et la posa sur sa verge. Il eu un sursaut quand ma main toucha son sexe. Je lai retirai aussitôt.

— je tai fait mal ?

— non, cest juste que ça fait longtemps quune femme ne ma pas touché et puis ta main est si froide. Ça me fait du bien.

Alors je reposai ma main son membre. Voyant que je ne savais pas comment my prendre il maida et accompagna mon geste. Je fis descendre lentement ma main de bas en haut. Je jetai souvent des regards sur lui, de peur de mal my prendre. Il respirait rapidement et semblait ailleurs, ferment les yeux fréquemment. Vu quil semblait y prendre du plaisir jaccélérai progressivement mon mouvement. Il gémissait de plus en plus fort javais peur quon nous entend. Jobservais son pénis frémissant dans ma main, une envie, folle, peut être, me pris. Japprochai ma bouche de son sexe et y déposai un baiser. Il eu un frisson.

— ne tarrête pas, pas maintenant, me dit-il entre deux gémissement.

Ce quil me dit mencouragea. Jentrepris dembrasser chaque coin de sa colonne de chair. Puis je réussi à mettre tout son membre dans ma bouche, jeu un haut le cur dans elle toucha le fond, mais je ne marrêtai pas. Jallais doucement mais fini par la dévorer. Tout son corps était parcouru de sursaut.

— arrête, je vais jouir, me dit Alex en essayant de se retirer.

— ne tinquiète pas.

Je continuai mon affaire. Tout dun coup je sentis tous son corps se raidir, il agrippa mes cheveux, souleva légèrement son bassin et jouit dans ma bouche. Son sperme avait un drôle de gout, difficile à décrire. Javalai le tout.

Quand jeu fini, je levai les yeux vers lui. Il était essoufflé. Je mapprochai de lui, encore un peu ailleurs il me prit dans ses bras.

— Ça va ? Demandai-je en me collant à son torse.

— je ne me suis jamais senti aussi bien de toute ma vie. Tu es merveilleuse Alexandra.

— Je nai pas était nul ?

— non. Je ne te le cache pas, jai déjà plusieurs fille, mais toi ce nest pas pareil. Cétait je ne trouve le mot.

Je souris en fermant les yeux.

— Alexandra ? Cria une voix, tu es là ?

Cétait mon frère.

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