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Henri sert de modèle à une peintre célèbre – Chapitre 2




HENRI

Le modèle préféré des peintres, surtout des dames.

SOPHIE

Je m’appelle Sophie, artiste peintre, et une cliente m’a passé une commande assez spéciale, elle veut que je lui fasse une toile de nu masculin pour rendre jaloux son mari.

Mais ses exigences vont être difficiles à trouver, elle veut que le modèle soit bien membré et que je le peigne en érection.

La suite

 Le lendemain, nous reprenons de bonne heure.

Il reprend la pose et comme hier, je revois l’incroyables spectacle de se sexe se transformant en obélisque de chair.

Ma cliente m’a appelée hier soir pour me dire qu’elle veut assister à la séance d’aujourd’hui.

Elle se présente dès le matin, je l’a fais entrer.

C’est une très belle femme aux longs cheveux blonds et au regard rieur, elle pénètre dans l’atelier, tout cela sous le regard placide de mon modèle tenant la pose sa verge en pleine érection.

Je reprends mon travail. Henri prend conscience de la perversité de sa situation. Son excitation n’en est qu’exacerbée.

 Il s’offre en spectacle, ne laissant rien secret de son corps à 2 belles femmes qui admirent ses seules richesses, sa plastique et sa sensualité, elles ne dévoilent rien en retour dévorant des yeux la marchandise.

— Savez-vous, Henri, souligne mon mécène sur un ton badin, que je fais réaliser ce tableau pour rendre mon mari jaloux? Il me délaisse et est très fier de ses attributs qui sont pourtant en dessous de la moyenne.

Ca ne fait ni chaud, ni froid à Henri toujours en pleine forme.

J’interroge ma cliente, agacée par ses déclarations.

— Pourquoi êtes-vous venue ce matin ? J’aimerais travailler tranquillement et comme je l’entends et vous montrez le résultat que lorsque ce sera fini.

— Voyons, ma chère, pourquoi n’irions-nous pas nous occuper de ce jeune homme ?

 Et puis, il est à mon service après tout. Je trouve son anatomie encore mieux que ce que j’espérais, mon mari va en crever de jalousie, je le verrais bien dans mon lit, pas plus vêtu que maintenant. Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que je soulage un peu ce modèle qui semble manquer d’une aide féminine?

— Vous verrez Henri, assure t’elle en s’adressant à lui, vous passerez de bons moments avec moi, et en plus je saurai me montrer généreuse. Appelez-moi Isabelle.

Ce faisant, elle s’approche de lui et glisse perversement un doigt entre ses bourses, puis palpe les testicules comme des fruits mûrs qu’on envisage de déguster en bouche.

Je m’exclame outrée par les libertés qu’elle prend avec Henri.

— Laissez-le ! Vous êtes encore plus perverse que je n’avais imaginé. Vous croyez sans doute que le monde est rempli de personnes qui accèdent à tous vos caprices ?

— Oui, bien sûr si on y met le prix. Voyons, mon garçon, à combien estimez-vous la somme que vous jugez nécessaire pour me satisfaire ? Suffisamment, en tout cas, pour vous mettre quelque temps à l’abri de besoin.

Je reprends mon travail avec acharnement, agacée par ses manières.

Elle glisse la main dans son entrejambe et lui demande.

— Je te plais, je te fais bander?

Sa main gauche a saisit son énorme chibre.

— Je suis sûr que c’est moi qui te fais bander comme un taureau!

 Il plonge son regard dans son bustier et il lui chuchote:

— Toutes les belles femmes me font cet effet, mais elles ne savent pas à quoi ça les engagent. Vous sentez avec votre main l’effet que vous me faites.

Elle pose délicatement ses lèvres charnues et attirantes sur les siennes. Et comme il se laisse faire, elle lui roule un super patin.

Je la vois lui caresser les pecs, lui peloter les fesses et il a l’air d’aimer. Elle stoppe son baiser quand il lui retire son chemisier, découvrant ses seins nus, tendus par le plaisir. Il les masse doucement et l’embrasse dans le cou.

— Tu es superbement baraqué. Tu as des pectoraux magnifiques. Et de fantastiques abdominaux.

Elle caresse le tout d’une main délicate me demandant de prendre des photos.

— Waooow Et quelle putain de bite tu as! Elle fait combien?

— 24 centimètres de long et 6,3 de large.

— J’en n’ai jamais vu d’aussi belle!

Isabelle est sans complexe. Mais je suis d’accord avec elle, je ne peux qu’observer la beauté de ce sexe. Il est énorme. Des veines grosses comme mon auriculaire courent le long de sa hampe. Complètement décalotté, son gland congestionné ressemble à une grosse prune.

 Ses couilles, deux beaux fruits hirsutes, tapotent entre ses cuisses.

Il saisit son énorme tuyau d’une main et commence à jouer avec son prépuce, calottant et décalottant son gland. Il ne parle pas continuant à lui sourire, il semble dire :

« Tu es vraiment bandante, regarde ce que je vais te mettre, tu vas la prendre jusqu’au bout ». Puis, jugeant que ce petit intermède a assez duré, il la force à s’agenouiller et approche sa tête de son chibre.

Et de fait, elle se met immédiatement à l’uvre en prenant l’immense sexe dans sa main droite et en commençant par promener ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe et les testicules. Mais il a une toute autre idée en tête. Il veut pénétrer immédiatement à l’intérieur de la bouche et le lui dit sans ménagement, la baiser par la bouche.

— Ouvre ta bouche !

Elle obéit et écarte ses lèvres. Il la pénètre sans ménagement allant le plus loin qu’il peut à l’intérieur.

Elle le repousse. Il se retire une seconde et repart immédiatement à l’assaut faisant pénétrer son engin jusqu’au fond de la gorge.

 Il le maintient un moment, comme s’il veut qu’elle s’habitue à la présence du monstre, et le ressort une autre seconde et recommence comme cela cinq ou six fois, puis l’attrape par les cheveux pour qu’elle ne puisse pas fuir et se met à la tirer avec fureur.

 Je vois les yeux d’Isabelle se remplirent de larmes. Elle a mal à la gorge, devient toute rouge et semble prête à s’évanouir.

 Il ressort complètement de sa bouche pour lui permettre de respirer. Elle tousse très fort et ne peut se retenir de cracher, son pieu frétille de désir de retourner à l’assaut de la bouche. Il repart à l’intérieur avec la même fureur qu’auparavant.

Elle le regarde avec ses yeux larmoyants, son nez qui coule et sa bouche qui crache sur le sexe qui vient de ressortir, lui envoyant un pauvre sourire de chienne docile, et rouvre sa bouche pour qu’il recommence.

La scène dure une éternité, jusqu’au moment ou je le vois se raidir et pousser un énorme gémissement de plaisir. Il est entrain de jouir.

Il éjacule une première fois à l’intérieur de la bouche d’Isabelle qui avale difficilement tout le sperme qu’elle vient de recevoir.

Il déverse en des giclées interminables le reste de son foutre sur le visage, le cou et la poitrine de la femme soumise, elle est littéralement couverte de sa semence.

Il l’écarte de son bélier toujours en érection. Cet homme a un os à la place du sexe! Il ne débande même pas! Son merveilleux manche est dressé vers le plafond, tel un sabre menaçant.

Je bave littéralement en le regardant. Il est tellement beau ! Tellement vigoureux !

Je glisse ma main dans ma culotte et enfonce deux doigts dans ma chatte, je coule telle une fontaine à l’idée d’être pourfendue par une telle queue !

 Je viens de prendre conscience que jusqu’à maintenant, il ne s’est pas du tout occupé d’elle.

Il s’assied sur un fauteuil à côté de moi, me regarde dans les yeux et demande à Isabelle de bien vouloir l’enjamber en lui tournant le dos, elle s’exécute.

Sa chatte est juste au dessus du gland qui lui effleure le bas de ses lèvres à travers sa culotte, elle veut s’empaler, mais il la retient par la taille lui murmurant de ne pas être si pressée.

Il la laisse descendre un tout petit peu, son gland a un peu de difficulté à s’insinuer en elle, poussant le tissu. Il la retient et se retire, ses mains lui caressent le dos.

Il la reprend à la taille et commence à l’empaler sur son pieu pointant vers le ciel. Le gland s’enfonce un petit peu plus profondément que tout à l’heure poussant le tissu arachnéen, elle écarte les jambes au maximum.

 Il appuie brièvement d’un coup sec sur les hanches déchirant le mince rempart de tissu sous la pression de son pal qui gagne six centimètres à l’intérieur de son fourreau en feu.

Il commence alors un lent va et vient sans chercher une pénétration plus profonde. Des ondes de chaleur traversent le ventre d’Isabelle.

Il continue un petit moment ses allées et retours puis jugeant le passage assez élargi, il pousse d’un seul coup son énorme engin de quatre ou cinq centimètres plus profondément puis stoppe tout mouvement.

 Elle grogne de plaisir, je regarde entre ses jambes et je m’aperçois que seulement la moitié de la grosse bite est à l’intérieur de sa chatte, ça me rends folle d’excitation.

 Elle commence alors à tortiller des fesses, de droite à gauche, puis de haut en bas, à chaque mouvement, je la vois obligée de forcer, le sexe monstrueux entre doucement dans son vagin. Son plaisir est intense, son ventre en feu, sa respiration courte et saccadée.

 Elle sent les mains d’Henri s’emparer de ses hanches et essayer fébrilement de les tirer vers le bas pour faire pénétrer encore plus profondément son sexe dans son vagin.

Elle résiste un long moment pour accroître son plaisir, puis brusquement, fait descendre son bassin et s’empale d’un seul coup sur son sabre.

Elle sent le manche entrer en force dans son vagin qui, de ce fait, moule parfaitement son membre, frotter vigoureusement la paroi et aller loin, très loin à l’intérieur tellement il est long.

 Elle a son tison incandescent en elle mais la brûlure ne fait pas mal. Au contraire, elle lui procure une forte sensation de plaisir.

Elle se met à faire monter et descendre son bassin à son rythme, en jouant avec le plaisir de l’homme. Mais Henri est très résistant et les minutes s’ajoutent aux minutes.

 Quand elle sent qu’il est sur le point de jouir à nouveau, elle ralentit le rythme jusqu’à ce qu’il se calme et reprend le mouvement, montant et descendant le long de cette tige d’acier, tirant de lui des gémissements de plus en plus forts.

Henri est en dessous d’elle la relevant et l’empalant, il pousse à chacune des pénétrations un han de bucheron, accompagné d’un gémissement de plaisir, chacun de nous est plongé dans son plaisir en attendant le déferlement d’une jouissance paroxysmique que nous sentons proche.

Jusqu’au moment où le plaisir a atteint un tel degré d’intensité qu’elle ne peut retenir son orgasme qui déboule, tel un torrent en furie.

 Elle hurle son bonheur, en lui ordonnant d’intensifier ses coups de boutoir, poussant un énorme râle et perdant presque connaissance.

Sa respiration devient rapide et saccadée et le rythme de son cur atteint un maximum insupportable.

Elle est la première à jouir, à produire des litres de cyprine et s’écroule fourbue sur Henri qui doit employer toutes ses forces pour la maintenir assez haut pour continuer à faire aller et venir son sexe dans un vagin inondé.

Henri éjacule une quantité incroyable de sperme brûlant, épais et visqueux à l’intérieur de sa grotte d’amour.

Le foutre ressort et coule en dehors, expulsé par les allers-retours de son sexe dans la gaine féminine allant rejoindre tout le jus qui est sorti de sa chatte pour s’étaler sur le pubis d’Henri et sur le fauteuil.

Il la soulève toujours emmanchée sur son rostre, se retire d’elle et la repose en douceur dans le fauteuil puis se retourne vers moi implorant.

Sa verge toujours aussi grosse, baisse à peine du nez, il vient pourtant de jouir deux fois de suite !

Il est visiblement harassé mais heureux, il m’enlace et me donne un baiser plein de tendresse sur la bouche.

A suivre

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