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En Sologne avec ma mère et ma femme – Chapitre 1




Depuis deux ans, Je suis marié avec Karine, la maitresse de mon père, elle est très belle et a vingt- cinq ans.

Mon père a bon gout et aime les jeunes.

Je me suis marié pour donner un alibi à mon père, surtout que depuis plusieurs années je couchais avec  ma mère et mon père le savait.

Au bout de quelques mois, j’ai appris à « aimer » ma femme, mais cela ne m’empêchait  pas de passer du temps avec ma mère et elle avec mon père.

C’était en quelque sorte une réciprocité. Quand il passait la nuit avec sa maitresse, j’en profitais pour passer la mienne avec ma mère.

Ma mère et ma femme ne se supportaient pas, se toléraient tout au plus.

Je sers aussi d’alibi à ma mère ou à Karine quand elles ont envie de rencontrer d’autres hommes, nous ne sommes pas les seuls.

Mon père est mort d’une crise cardiaque il y a quelques mois. Aux obsèques, ma mère était effondrée d’avoir perdu son mari et ma femme d’avoir perdu son amant.  Ma place était de consoler ma mère et ma femme, ce qui était assez simple et qui semblait normal pour tout le monde.

Ma vie entre ces deux femmes devenait intenable.

C’était une autre histoire quand nous sommes seuls, elles se chamaillaient sans arrêt et se reprochent mutuellement d’avoir épuisé mon père.

Le week-end dernier, j’ai invité ma mère et ma femme en Sologne pour enfin qu’elles se connaissent un peu mieux et  ne s’engueule plus en permanence.

J’ai réservé deux chambres dans un château transformé en centre de vacances avec un grand parc, piscine et tennis.

Le voyage fut infernal, je conduisais, ma femme à côté de moi et ma mère derrière. Pendant tout le voyage, elles n’ont pas arrêté de «  s’engueuler ».

Pendant le diner, elles se sont calmées (Nous ne sommes pas seuls), je les invite à prendre le café au bar, la discussion va bon train sans excès de voix ou de propos vulgaire, puis nous regagnons nos chambres.

J’ai choisi deux chambres contigües avec une porte communicante. Pour donner le change, j’embrasse ma mère sur la porte de sa chambre et entre dans la nôtre avec ma Karine.

Une fois entré dans la chambre, je quitte ma femme pour rejoindre ma mère dans sa chambre par la porte communicante, je compte bien passer la nuit avec elle. Depuis la mort de papa nos nuits ensemble se sont espacées pour le plaisir de mon épouse.

Après avoir flirté avec ma mère, comme nous le faisons à chaque fois que nous sommes ensemble, je l’entraine sur le lit pour finir de la déshabiller et lui faire l’amour  sans oublier les préliminaires.

Cela fait une grosse demi-heure que nous sommes ensemble, ma langue suce la chatte maternelle alors que ma mère suce mon pénis sans retenue, la porte entre les deux chambres  s’ouvre Karine complètement nue entre  en disant :

– Je veux ma part moi aussi, il n’y a pas de raison que ta mère jouisse et pas moi, je suis ta femme malgré tout.

Ma mère, surprise par cette intrusion, se relève brusquement en laissant ma bite échapper de sa bouche.

Je ne vois rien, car en se relevant, ses fesses viennent écraser mon visage.

Karine profite que ma mère ne me suce plus pour prendre ma queue bien raide dans sa bouche pour continuer ce que ma mère à commencer, Je m’aperçois du changement de bouche, mais elles sucent aussi bien l’une que l’autre, on voit qu’elles ont été initié par le même homme.

Je ne quitte pas la chatte de ma mère et Karine retire ma bite de sa bouche pour venir s’asseoir sur moi et prendre en elle ma queue bien raide, elle entre sans difficulté, elle a dû se masturber un peu avant pour que sa chatte soit prête.

Elles se font face et les insultes pleuvent (salope, pute, garage à bites, vide couille, etc.) Je ne sais pas qui insulte l’autre mais je capte  bien les deux voix.

Au bout de quelques minutes, je n’entends plus la voix de ma mère, elle commence à jouir en déversant sur la figure un jet de cyprine bien chaud.

Je n’entends plus ma femme, elle jouit aussi, je me retiens le plus possible pour ne pas jouir tout de suite dans sa chatte toute trempée.

Je n’entends plus rien à part leurs râles de jouissance, je ne peux plus me retenir en j’envoie un jet de sperme au fond de la chatte de Karine.

Ma mère et ma femme ayant bien joui (avec deux femmes c’est la première fois), nous nous retrouvons côte à côte, mais elles ne s’insultent plus au contraire elles se caressent et flirtent ensemble.

Karine me dit à l’oreille qu’elle n’était pas que la maitresse de mon père mais aussi l’amante de ma mère et qu’elles ne s’insultaient que pour donner le change, mon père ne savait rien.

Ce voyage a tout déclenché et maintenant nous sommes trois.

Le samedi se passe normalement, nous visitons les environs et nous déjeunons à Romorantin,  l’après-midi nous visitons le château de Villandry, puis nous rentrons à l’hôtel pour une soirée calme et se reposer de notre journée de visites.

Le diner se passe bien et nous rejoignons nos chambres, mais contrairement à la veille, nous entrons tous dans la même chambre (Les autres ont s’en fiche).

Nous nous sommes mis au lit sans un mot, elles se sont mises ensemble devant moi, toute la nuit je n’ai pas eu le droit de les toucher, je me suis masturbé plusieurs fois devant le spectacle, elles ne m’ont rien épargné, j’en bande encore rien que d’y penser.

Le dimanche, ma mère a mis une robe sans rien en dessous, ni culotte ni sous-gorge, après un déjeuner copieux, nous rentrons sur Paris, elles se sont installées derrière et heureusement que les glaces sont teintées, tout en flirtant, mon épouse a caressé ma mère jusqu’à la jouissance, j’ai même vu dans le rétroviseur que maman avait las seins à l’air.

Nous arrivons sur Paris, je voulais laisser ma mère chez elle, quand elle nous invite à entrer pour se « désaltérer », je ma doute que c’est pour faire l’amour une nouvelle fois.

Maman nous propose de dormir chez elle, que nous rentrerons demain matin.

Nous dinons rapidement pour nous mettre au lit rapidement (elles sont aussi chaudes l’une que l’autre).

Je baise ma femme plutôt elle est sur moi en offrant ses fesses au regard de ma mère, qui ouvre un tiroir pour en sortir un gode ceinture,  après s’être harnachée et enduit la rondelle de Karine, elle lui entre le gode dans son petit trou.

Ma femme est prise des deux cotés, elle a l’habitude de le faire.

Puis ma mère se retire de Karine, qui par un mouvement de rein se retourne pou être en dessous, je ne suis pas sorti de sa chatte pour autant, mais j’offre mes fesses à ma mère.

Elle attendait que cela, me passe beaucoup de gel  entre les fesses, je veux l’interrompre, mais ma femme me demande de la laisser faire.

Maman introduit doucement  son gode dans mon petit trou pour ne pas me faire trop mal, quand celui-ci est entré entièrement, elle commence des va-et-vient. C’est tellement bon après un moment douloureux que je jouis par le cul et je ne peux pas ne retenir, j’envoie une giclée de foutre chaud dans la grotte de Karine, qui me dit :

– Tu as l’air d’aimer cela, la prochaine fois ce sera avec une vraie bite.

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