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Ce mâle alonger à côté de moi – Chapitre 1




Je me présente je mappelle Jules et cela faisait un moment que je fantasmais sur un pote, William, bien qu’il revendique ouvertement son hétérosexualité. Moi même j’avais toujours été ouvertement hétéro, bien que fantasmant de tant en temps sur de jeunes et beaux mecs.

Je venais d’avoir 20 ans et j’avais décidé de fêter ça dans mon studio avec quelques amis présents en ville donc William. C’était le genre de mec qui plaît à toutes les filles: grand, les épaules larges, le torse musclé et surtout un sourire qui me faisait craquer en secret. Ce soir là il portait un jean qui moulait son cul et un t-shirt qui faisait ressortir ses pecs musclés, ce qui le rendait terriblement sexy!

La soirée avancée et les bouteilles de vidaient dans la bonne humeur. Quand arriva le moment de se quitter la plupart de mes amis rentrèrent chez eux mais William habitait à l’autre bout de la ville et ne se sentait pas de rentrer chez lui en voiture.

— Ca te dérange pas si je reste dormir chez toi ce soir, j’crois que j’ai un peu trop bu pour conduire.

— Pas de problème j’vais te sortir un duvet et un oreiller.

— Oh tembêtes pas, il fait pas froid j’en ai pas besoin, au pire on partagera ta couette!

A ce moment là j’ai ressentit un début dexcitation à l’idée de dormir à côté de ce beau mâle, dans le même lit, sous la même couette. L’idée de passer la nuit à quelques centimètres de son corps musclé, de pouvoir sentir sa chaleur et son odeur commençait à me faire bander et je n’allais pas pouvoir cacher mon excitation plus longtemps.

Je pris donc le chemin de la salle de bain pour aller me déshabiller et me calmer en me brossant les dents. J’avais l’habitude de dormir en sous-vêtement et je n’allais pas changer ce soir.

Quand je suis revenu dans la pièce qui me servait de chambre j’ai trouvé William en boxer moulant blanc allonger sur le dos dans mon lit, et je ne pus mempêcher de le mater discrètement. Son torse était bien dessiné, ses cuisses musclés, et de petits poils recouvraient le haut de son torse et le bas de son ventre jusquà son boxer qui laissait deviner un beau paquet au repos. Ma réaction en se fit pas attendre et j’ai couru me mettre sous la couette, pour essayer de dissimuler mon érection, bien qu’il fasse encore assez chaud. Il était tard, et nous étions fatigués. William ne tarda pas à se mettre lui aussi sous la couette à mes côtés.

— On a passer une bonne soirée, me dit-il.

— J’aurais pas pu rêver mieux pour mes 20 ans.

Il me sourit, et me souhaita bonne nuit. Puis nous nous sommes endormis tous les deux.

Au milieu de la nuit je me suis réveillé et comme William dormait encore j’ai pu profiter du spectacle de son corps endormi juste sous mes yeux. La couette avait glissée au pied du lit. Il était allongé sur le côté, face à moi et je pouvais le regarder respirer lentement. Son torse se gonfler et dégonfler au rythme de sa respiration. Je sentais l’air chaud sortir de sa bouche sur mon visage. Il nétait qu’à quelques centimètres de moi et je ne mit pas long temps avant de bander. Son corps si puissant semblait bien inoffensif ainsi endormi, ses bras musclés semblaient accueillant.

William se retourna alors dans son sommeil, me tournant le dos. Je pus alors admirer son autre côté. Son dos musclé et taillé en V, descendant sur ses petites fesses moulées dans son boxer mexcitait au plus au point. En particulier les deux petites fossettes en bas de son dos. Je m’imaginais le prenant dans mes bras, l’embrassant. Mais je ne fit rien, par peur de le réveiller, et je me rendormis.

Plus tard dans la nuit, je fus réveillé par une drôle de sensation. J’étais couché sur le ventre, et mon sexe était en érection, comprimé par mon boxer et le poids de mon corps. Mais ce nétait pas cela qui m’avait réveillé. Cétait William qui sétait rapproché de moi, et qui désormais frôlait mon bras avec son visage. Il dormait toujours, et sa barbe de 3 jours venait frotter contre mon biceps. Ses lèvres embrassait ma peau. Pris dans ses rêves William continuait à se rapprocher de moi. Bientôt ses mains vinrent caresser mon ventres et ses jambes sentremêlèrent avec les miennes. Mon excitation était de plus en plus forte et je me sentais de plus en plus à l’étroit dans mon boxer.

Je ne sais pas de quoi il rêvait, mais ce plaisir ne durât pas longtemps et William se réveillât et nous découvrit dans cette position, nos corps l’un contre l’autre. Je fis mine de me réveiller aussi et de le repousser.

— Désolé, je sais pas ce qu’il m’a pris, me dit-il

— Je sais pas non plus j’dormais. Tu devais être en train de rêver.

C’est alors que je pris conscience que mon érection était toujours là, et bien visible, ce que William ne tarda pas à remarquer:

— On dirait que toi aussi t’était en train de rêver hein, me dit-il en montrant mon entre jambes d’un signe de tête.

— Heu… oui, ça doit être ça, dis-je gêné en esquissant un sourire

— Ou alors c’est moi qui t’ai excité comme ça, me répondit-il en rigolant.

Je me retournais sur le ventre pour essayer de faire oublier mon érection à William, et lui restait sur le dos et me dit:

— Je sais pas à quoi je pensais mais on dirait bien que moi aussi ça m’a excité!

En effet une belle bosse commençait à se dessiner dans son boxer. Il glissa alors sa main à lintérieure pour tenter de remettre sa bite en place.

— Ou alors s’est toi qui m’a excité comme ça, dit-il en rigolant encore une fois.

Je rigolais aussi mais jétais complètement perdu, le mec sur qui je fantasmais depuis des mois, mon pote, était allongé à coté de moi, sa queue en érection. Je lui dit:

— Ca fait un moment que j’ai pas couché avec quelqu’un ça doit être pour ça que je m’excite pour un rien.

— Moi pareil j’en peux plus. Faudrait que j’me vide, me dit-il en souriant. 🙂

Il me regardait et je ne savais pas quoi répondre. Etait-il en train de me faire des avances? Dans le doute je lui proposais:

— On a qu’à se regarder un film de boules ça nous détendra.

La télécommande de la TV était posée sur la table de nuit de son côté, je me penchais donc au dessus de lui pour l’attraper quand je sentis quelque chose sur mon dos. Il venait de poser délicatement sa main sur moi et me dit:

— Ou alors on peut peut-être s’arranger entre nous, en souriant. 🙂

Je lui souris aussi, et il rapprocha son visage du mien en posant sa main sur ma nuque, et nos lèvres se rencontrèrent pour la première fois. Je restais 2 secondes comme ça et je me reculais en faisant mine de protester, pour la forme, au cas ou il essayerait de se foutre de moi.

— Qu’est ce que tu fait?

— Je croyais que c’était ce que tu voulais aussi, vu comment t’es…

Je n’en demandais pas plus et l’embrassais à mon tour. Ses lèvres étaient douces et ne tardèrent pas à s’ouvrir pour laisser nos langues s’entremêler. J’étais aux anges, jembrassais le mec sur qui je fantasmais depuis des mois, et il embrassait comme un dieu! Pendant que nous nous embrassions nos mains parcouraient nos corps, à la découverte d’un plaisir encore inconnu. Pendant que les siennes s’acharnaient sur mon dos et mes fesses, je caressais son torse et ses épaules avec les miennes. Ses pectoraux était recouvert d’une fine couche de petits poils ce qui le rendait encore plus viril.

Après de longues minutes de baisers échangés, William me prit dans ses bras et nous fît rouler sur le côté, pour se retrouver sur moi. Je lui dis alors:

— C’est la première fois que je fais ça, et … Wah!

— Moi aussi et j’suis bien content que ça soit avec toi, me dit-il en me faisant un clin dil ;)

Il continua à m’embrasser quelques minutes puis commença à descendre dans mon cou. Je laissais échapper des soupirs de plaisir et laissais ma tête partir en arrière. Il continua sa descente en embrassant mon torse, mes abdos pour enfin arriver à mon entre-jambe. Il me regarda alors dans les yeux, comme pour me demander la permission:

— Je peux? dit-il en souriant avec se sourire qui me faisait craquer et auquel je ne saurais dire non.

En guise de réponse je lui souris à mon tour et il entrepris de faire glisser doucement mon boxer vers mes pieds, découvrant ma queue plus tendu que jamais. Il commença timidement par embrasser ma queue sur toute la longueur avant de la lécher de bas en haut. Puis il l’a pris en bouche, et bien que j’ai déjà connu ce plaisir avec des filles, la vue de ma queue dans sa bouche de barbu viril m’exita au plus au point. Il commença les va et vient entre ses lèvres avec une douceur qui contrastait avec la force de son corps et de ses bras, ce qui m’excita encore plus. Pendant ce temps je caressais doucement ses cheveux mi-long. A ce rythme là je n’allais pas tenir très longtemps. Je pris alors sa tête entre mes mains et la rapprocha de mon visage pour l’embrasser à nouveau.

Son corps était allongé sur le mien, et pendant que nous nous embrassions avec ardeur nos queue frottaient l’une contre l’autre sous les mouvement de bassin de William. J’en profitait pour caresser son dos, descendant de temps en temps sur ses petites fesses qu’il cambrait sous mes caresses, mincitant à enlever son boxer pour découvrir ses deux beau globes à la peau si douce et imberbe.

Il se coucha alors sur le dos à côté de moi et sans qu’il ai besoin de me le demander je m’allongeais sur lui, et ne sachant pas trop comment m’y prendre jentrepris de l’imiter. Jembrassais son cou, des épaules et souleva un de ses bras pour aller embrasser son aisselle. Je continuais ma descente sur ses pecs qui étaient plus musclés que les miens, et à la vision de ses tétons qui pointaient je vis qu’il était aussi excité que moi. Je leur donnais quelques coups de langue et je continuais en léchant ses abdo, marrêtant sur son nombril avant d’arriver sur sa queue déjà décalottée. Elle était impressionnante, assez longue et assez épaisse pour me satisfaire. J’embrassais son gland avant de d’insister sur son frein avec ma langue et devant mon hésitation William mencouragea:

— Vas-y n’ai pas peur, tu vas voir comme c’est bon.

Je me décidais alors à prendre sa queue en bouche. La sensation que cette colonne de chair dans ma bouche me procurait était indescriptible. Cette chaleur, cette odeur de mâle. William laissa échapper un râle de plaisir:

— Tu vois que tu t’y prends bien, me dit-il.

Il me sourit, et moi je continuais à le sucer encouragé par ses gémissements. Nous étions tous les deux très excités, et je sentais bien qu’il n’allait pas tarder à jouir alors je décidais de prolonger le plaisir et de d’arrêter ma fellation pour l’embrasser à pleine bouche. Nos langues, nos salives et le goût de nos queue se mélangeaient dans nos bouches pour notre plus grand plaisir.

J’étais sur lui, et ses caresses sur mes fesses se faisaient, ses doigts parcouraient ma raie, sarrêtant sur ma rondelle encore vierge. Notre désir grandissant Wiliam me dit:

— J’ai envie de toi Jules, en me souriant comme à son habitude.

— Moi aussi, lui dis-je timidement.

— T’es sûr? On dirait pas, on peux s’arrêter là si tu préfères.

— Non surtout pas!

Il me sourit:)

— C’est juste que j’ai jamais fait ça avec un mec avant…

— Tu me fais confiance?! me demanda-t-il

— Oui!

Et je l’embrassais à nouveau pendant qu’il jouait avec mon cul qui n’attendait plus que lui. Je me penchais vers la table de nuit pour attraper du lubrifiant et des capotes, et les tendis à William.

Il m’attrapa par la taille et me coucha sur le dos. Puis il m’écarta doucement les cuisses et repris ses caresses sur mon anus. Puis il approcha son visage de mon entre-jambe et donna un premier coup de langue à mon anus. Cette nouvelle sensation me fit pousser un râle de plaisir. Encouragé par mes cris, il continua de plus belle son jeu de langue sur ma rondelle, tantôt la léchant avec le plat de sa langue, tantôt appuyant avec la pointe. Sous ses caresses mon anus ne mit pas longtemps à se détendre et décida de m’y aider en me mettant un doigt recouvert de lubrifiant. C’était la première fois que je ressentait la présence de quelqu’un d’autre dans mon cul, et cette sensation unique me fit bander de plus belle. Voyant que jappréciais il me mit un deuxième doigt et continua à jouer avec mon cul, alternant les va et vient avec l’exploration de mon intérieur.

Voyant que mon cul n’opposait plus de résistance à ses avances, je pris sa queue d’une main et commençais à le branler doucement, pour lui signaler que jétais prêt.

— J’en ai envie, lui dis-je en le regardant

— Pas autant que moi, me dit-il en me souriant. Avec ce sourire il aurait fait de moi n’importe quoi!

— Mais vas y doucement quand même!

— T’inquiètes pas j’te ferais pas de mal, me dit-il en m’adressant un clin d’oeil.

Il enfila une capote et approcha la queue de mon cul. Je pouvais sentir son gland frotter contre ma raie, et tenter de forcer le passage de mon anus. Malgré lexcitation j’étais tendu, alors William sallongea sur moi et m’embrassa. L’effet fut immédiat et il put commencer à me pénétrer. Je sentais sa queue progresser en moi, et malgré la douleur je l’encourageais à aller plus loin en appuyant sur ses fesses. Une fois arrivé au fond je pouvais sentir ses couilles sur mon cul. Cette sensation de plénitude était merveilleuse et la douleur disparue rapidement.

— Ca va?

— Tarrêtes surtout pas! Encule moi!!

J’avais prononcé ces mots au creux de son oreilles et ce fut le déclic. William entreprit des va est vient d’abord lents qu’il accéléra de plus en plus, tout en m’embrassant. Dans cette positions je pouvais laisser mes mains parcourir ses cheveux, sa nuque, son dos et ses fesses. Le plaisir était tellement fort que nous ne pouvions nous empêcher de laisser échapper des cris de plaisir. William se redressa, pris mes cuisses entres ses main en les écartant encore un peu plus pour contempler le spectacle de sa queue entrant et sortant de mon cul. Puis il se retira et me regarda fixement:

— Qu’est ce qui va pas? lui demandais-je

— J’ai envie… il s’arrêta.

— De quoi?

— De te prendre en levrette bébé.

Il venait de m’appeler "bébé". J’étais tellement ému et excité par sa tendresse que je me mis à 4 pattes sans rien demander de plus et je lui dit:

— Allez viens là.

— T’es un amour, me glissa-t-il en s’allongeant sur mon dos et en m’enfonçant sa queue.

Je le sentais aller et venir dans mon cul, tout en m’embrassant dans le cou, sur le dos. Il se redressa pour m’attraper par les épaules et ses coups se firent de plus en plus fort. Je me cambrais bien pour le sentir au plus profond de moi, excité comme jamais à l’idée de me faire prendre ainsi par mon pote. Je lui dit alors en me retournant:

— Putain c’que t’es bon ! J’ai envie de te voir jouir en moi!

Il se retira et sallongea sur le dos, la tête relevée par un oreiller, il me regarda et me sourit. Sans qu’il dise un mot je mavança au dessus de lui et m’empala sur sa queue. J’étais maître de la situation et j’entrepris des petits mouvements de bassins. Sous les regards et les cris de plaisir de William mes mouvements samplifièrent pour devenir de grand va et vient, sa queue sortait presque totalement de mon cul, avant d’y re-rentrer encore plus profondément. Ses mains étaient posées sur ma tailles et il me soulevait de ses bras puissants. Puis d’une main il m’attrapa la nuque et m’embrassa en se redressant.

Nos deux corps à la verticale, nos torses se frôlaient à chacun de nos mouvements. Son autre main s’était posée sur le haut de mon cul, l’attrapant pour accélérer mes va et vient. Et c’est ainsi que dans un râle de plaisir commun je sentis sa queue dans mon cul se contracter et jouir. On continua nos mouvement quelques instants puis on tomba sur le lit, lui au dessus, sa queue encore en moi.

Il la retira, se débarrassa du préservatif et me dit:

— Maintenant à moi de m’occuper de toi!

Et il descendit sur la queue, la suçant avec ardeur tout en me regardant et en caressant le bas de mon ventre. Il ne me fallut pas longtemps avant que ma queue se contracte et au lieu de s’arrêter, il continua de plus belle jusqu’à me faire exploser dans sa bouche. Je caressais ses cheveux un instant, le laissant nettoyer ma queue jusqu’à la dernière goutte. Je restais allongé et il se coucha à côté de moi. Je posais ma tête sur son torse, il me prit dans ses bras, et nous nous sommes endormis comme ça, nos corps encore chaud et recouvert de sueur l’un contre l’autre.

FIN

Malheureusement cette histoire n’est qu’un fantasme et cette nuit là j’ai du me contenter de l’observer pendant qu’il dormait, et de sentir son corps se frotter au mien pendant qu’il dormait, n’osant rien faire par peur de le réveiller.

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