LE FRÈRE ET LA SUR

François les surprend dans cette position.

— Deux chattes en chaleur, grommelle-t-il en dégrafant sa ceinture.

— On ta rien demandé, sinsurge Annie.

— Vous pourriez être plus discrètes. Vos affaires traînent dans le couloir. Et si les parents étaient venus à limproviste, quest-ce que vous auriez dit?

— Jespère que tu les as ramassés.

— Jai autre chose à faire, dit-il en montant sur le lit.

Il a quitté pantalon et slip et approche sa verge raide des fesses de sa sur. Annie voit en gros plan presque trouble à cause de la proximité le gland savancer, écarter au passage les lèvres du sexe et disparaître dans lorifice rose que linstant précédent elle investissait de lindex et de la langue. Elle sent sur son clitoris le tremblement des lèvres de Martine au fur et à mesure de lintroduction. Cela déclenche un frisson comme si cétait elle que la queue pénétrait.

La suite nest plus intéressante pour elle. Martine, toute à sa jouissance, ne rend plus les caresses. Annie glisse sous le couple en pleine action et saccroupit à ses cotés. Elle ajoute ses câlineries à la folie sexuelle de ses amis, terminant par lintroduction dun index fureteur entre les fesses du garçon. Elle aime le grognement de plaisir qui accompagne lentrée du doigt.

Aujourdhui François est en verve. Est-ce le match disputé qui le rend si performant? sinterroge Annie. Elle est un peu jalouse de son amie. Chez elle, le garçon est moins vaillant!

— Hein que taimes ma grosse queue!

— Aaah!

— Hein que taimes te faire ramoner comme ça!

— Aaaah!

— Hein que cest meilleur que se faire gnougnouter!

— Aaah!

— Prends ça ma salope!

— Non, pas de grossièretés! sinsurge Annie. Jaime pas ça!

— Euh moi non plus, murmure Martine pour ne pas déplaire à son amie.

— Oh!

François en reste baba détonnement! La montée de la jouissance lempêche de se récrier et il éjacule avec des feulements de fauve satisfait.

Annie récupère son chemisier quelle enfile sur ses tétons dressés. Elle apporte la robe de Martine dans la chambre. Le frère et la sur sont toujours sur le lit, lun sur lautre. Annie les bouscule. François dégage son sexe.

— On dirait que faire du sport te réussit François.

— Nest-ce pas? Ten veux toi aussi?

— Ça métonnerait dans limmédiat, réplique Annie à la vue de la limace luisante qui glisse le long de la cuisse, laissant une trace humide.

— Deux minutes et je suis à toi.

— Non, merci sans façon. Je vous laisse. Il est temps que je rentre.

— Tu diras pas ça mercredi prochain quand on viendra chez toi!

Annie néglige de répondre. Elle hausse les épaules et sort de la chambre.

— Je taccompagne, déclare Martine se levant dun bond.

Les deux filles sembrassent devant la porte.

— Tu devrais thabiller. François a raison, quest-ce que tu ferais si tes parents arrivaient?

Martine étouffe un rire.

— Je vois dici leur tête!

Elle entrebâille juste pour laisser passer Annie et referme soigneusement à clé.

Dans la chambre, François samuse avec la robe.

— Donne-moi ça!

— Quest-ce qui ta pris tout à lheure?

— De quoi tu veux par Non! laisse-moi!

Martine tente de se soustraire aux mains envahissantes.

— Quest-ce que cest ces manières? Toses dire que taimes pas ma queue? insiste-t-il en posant la hampe qui a repris une taille respectable dans la paume de sa sur.

Ils ont découvert cet été chez leur grand-mère le pouvoir érotique des grossièretés débitées pendant létreinte. Machinalement Martine manipule le sceptre vivant.

— Dis-le que taime le sentir te trouer, mon zob.

— Aaah!

François bascule Martine sur le lit et se positionne entre les cuisses écartées.

— Hein que tu meurs denvie quelle te tringle ma pine!

— Aaah!

Il senfonce dun seul coup dans le vagin encore plein de sa semence.

— Aaah! Avoue Han! que tes Han! une grosse salope Avoue

— Ouiii!

— Répè Han! Répète après moi Han!

— Ouii!

— Répète: je suis une Han! une grosse salope Han! Allez!

— Aah!

— Plus vi Han vite.

— Je suis Aah!

— A Han! Allez!

— Oui, je suis une Aah! grosse salope!

— Une grosse Han! salope qui aime Han! se faire tringler Han! par son frère.

— Ouiii!

— Répète!

— Une grosse salope qui Aah!

— Allez! Répète Han! taimes ça!

— Une grosse salope Aah! qui aime se faire Aah! baiser par son frère.

— Ouii!

— Aaaah!

Martine noue les chevilles sur les fesses de François. Celui-ci donne de violents coups de rein. La jeune fille adore être bousculée après les caresses dAnnie

Ils gisent côte à côte essoufflés.

— Dis

— Oui petite sur?

— Promets-moi que tu recommenceras pas à me parler comme ça devant Annie.

— Taimes plus? Cette blague!

— Si, mais que ça reste notre secret.

— Bon, je ferai comme tu veux.

Elle lembrasse sur la joue et attrape sa robe.

— Merci! Aide-moi à ranger, les parents vont bientôt arriver

(A suivre)

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