Il fait froid dehors : le vent souffle glacé depuis le Pôle Nord, jen suis sur. La télé na que des programmes pour débiles mentaux. Jai fini ou presque mon polar : je crois avoir trouvé le méchant. Il est trop tôt pour dormir, alors je décide de passer le temps dune façon merveilleuse. Le chauffage est à fond, je peux me mettre à laise : nue, ce sera la meilleure tenue pour la suite.

Je reste un moment dans le fauteuil, celui où je passe les meilleurs instants de célibataire. Mon intention est telle que je suis excitée terriblement. Zut, je suis obligée de me lever pour chercher un jouet dans la chambre. Mon excitation nest pas passée. Je tiens un joli gode dans la main. Le fauteuil est tourné vers la fenêtre aux volets ouverts : je suis à la vue de tous, je garde la lumière forte pour être bien exposée ; jadore me montrer, mexhiber.

Je suis prête maintenant à vivre un bon moment. Je pose le gode sur le fauteuil, juste à coté de mon corps, à droite. Je le sens contre ma cuisse. Cest mon amant pour ce soir. Mon copain est parti deux jours sans moi pour une sombre histoire de famille. Je vais me passer de lui.

Je rêvasse, je me vois avec une copine, comme avant il y a longtemps. De temps en temps, jaimerais bien les caresses dune autre femme.

Alors maintenant je suis partie je me sens réellement avec une autre fille qui sappelait Julie. Elle nest pas très grande, brune aux yeux noisettes, aux seins un peu petits que jaimais sucer. Il me semble en avoir le goût un peu piquant dans ma bouche. Je sens ses mains entre mes jambes que jouvre. Sa main caresse lentement la peau si sensible à cet endroit. Ses doigts viennent enfin sur ma chatte. Je sens qu’elle cherche un peu mon bouton : il y a si longtemps que jattends sa main à cet endroit secret. Ses doigts touchent maintenant avec précautions mon clitoris. Ses lèvres sont sur le miennes, je sens sa langue fouiller ma bouche. Elle accélère sa caresse. Je ne tiens plus je me laisse aller : je jouis.

Hélas, jouvre les yeux, je suis seule, nue à me masturber. Jai encore envie : je prends le gode, le lèche à peine pour me baiser toute seule. Je le mets juste à lentrée de ma grotte. Je le rentre très doucement, je dois bien mettre 5 minutes avant de lavoir tout au fond de mon ventre. Je le laisse immobile un instant avant de le faire revenir vers lentrée. Je le sors ensuite dun seul coup. Il me manque une glace pour me voir, voir ma chatte baisée. Jentre à nouveau cette fois pour ne plus le faire ressortir au moins dans cette partie du jeu.

Je le fais aller et venir dabord lentement, quand je sens que mon plaisir augmente, je vais très vite pour jouir encore une fois.

Ce nest plus un gode, cest sa bite. Cest lui qui me baise comme il sait si bien faire. Je sens son poids sur moi, je sens son ventre contre le mien, je sens son gland qui entre sans fin dans mon vagin. Cest bon, trop : je jouis.

Je le laisse en place pour profiter de mes derniers spasmes. Quand jai fini de jouir, je prends ma cyprine épaisse pour mouiller mon cul. Jy entre un doigt que je fais aller et venir, jy ajoute vite un deuxième : je me branle le cul : cest bon. Je finis avec quatre doigts dans le cul. Cest peut-être trop, mais cest bon. Jaurais du garder le gode dans mon vagin : jaurais eu ce que je désire depuis longtemps, une double pénétration, cest parait-il très bon.

Et si je remplaçais mes doigts par le gode ? Je le mouille bien avant de le mettre à lendroit voulu. Je ne force pas pour quil entre. Au début, cest moins bon quavec mes doigts, mais quand je le mets à fond, alors là tout change.

Jai sa bite dans le cul. Il sait comment me sodomiser. Je lai dans le ventre, sa bite est bonne, très bonne : elle me donne une foule de plaisir. Il men a fait découvrir dautres que je ne connaissais même pas. Par exemple quand je faisais une fellation, je crachais toujours le sperme ; il ma appris à le garder dans la bouche, le déguster. Jadore son sperme maintenant.

Jaime aussi quand il pose sa bite entre mes deux seins. Il se branle sur moi, je regarde toujours sa bite tout près de moi. Jattends quil décharge pour récupérer sa semence.

La seule fois où je lai trompé cest à sa demande : je rêvais depuis longtemps de me faire baiser par un autre devant lui. Nous avons choisi mon amant parmi dautre dans un bistro. Nous étions assis à une table, javais sa bite dans ma main : je ne le branlais pas, il bandait simplement.

Nous regardions les hommes potables. Cest lui qui a repéré un type assez grand, brun, bien monté daprès lui.

Je lai abordé alors que javais lodeur de mon amant dans ma main. Je lui ai proposé de me baiser devant mon chéri. Il ma regardé, comme un animal dans une foire : je lui plaisais : il a regardé mon mec et a dit très vite oui.

Chez nous, nous navons pas fait de chichi. Je lai laissé me déshabiller pendant que je le voyais bander. Je touchais sa bite : elle était épaisse. Pendant que je me couchais, il sest vite mis tout nu. Mon chéri avait raison, il était bien monté.

Il est venu à mes cotés pour me caresser : je nen avais pas besoin, je mouillais déjà depuis le début, depuis quil avait dit oui. Mon mec aussi était nu. Il ne ma pas touché, il attendait.

Mon amant est venu sur moi, il a entré son gros morceau dans ma cachette. Sa grosseur ne ma pas gênée au contraire, jai eu une autre sensation que quand mon mec me baisait. Et puis il me regardait faire. Dun simple signe il a compris que je voulais sa queue dans ma bouche : je me trouvais avec deux hommes à la fois.

Sa bite avait le bon goût que jaime, légèrement acide à cause du reste durine quil oubliait toujours denlever dans la journée pour que je lai dans la bouche le soir. Et en plus ce léger rebord sur la fin de son gland. Je ne me souviens plus du nombre dorgasme que jai eu avec cette queue étrangère dans mon sexe.

Depuis je lui suis entièrement fidèle, sauf en pensée où je rêve souvent du corps de Julie.

Il faudra que je lui demande de me donner à une autre femme, surtout sil est là, que nous profitions ensemble dun corps de fille.

Du coup jai encore envie. Si je pouvais lui téléphoner sur un fixe pour faire lamour par téléphone, comme certains, nous nous branlerions ensemble.

Parce que jaime le voir sa bite dans sa main qui monte et descend. Jaime le voir se donner ce plaisir divin de la masturbation. Si sa main droite le branle, sa main gauche se perd sur les couilles dabord et son cul ensuite. Il y entre deux doigts, pas plus. Il caresse son cul à la même vitesse que sa queue. Jadore quand il jute. Jaime voir son liquide se répandre sur son ventre ou souvent sur le mien.

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