Deux semaines auparavant, javais découvert linceste. Le fait davoir fait lamour avec ma mère ma procuré des sensations que nul ne peut imaginer sil na pas essayé. Il ne sagissait pas à la base dune volonté de ma part, mais plutôt de circonstances qui ont aidé. En revanche, pendant deux semaines, ma volonté de poursuivre était farouche. Je navais alors personne dans ma vie sentimentale, et je ne désirais personne une fois que javais goûté au sexe de ma mère. Mais dautres circonstances ont fait que jai momentanément dû arrêter avec ma mère, ce qui ma permis de le faire avec ma sur. Voici lhistoire.
Mon père avait beaucoup de travail avant la période des fêtes, lan dernier, ce qui me laissait loccasion de faire lamour avec ma mère. Mais la période des partiels approchait et je travaillais beaucoup, comme je lavais promis. Enfin, mes examens se sont terminés et ce fut une libération, tant intellectuellement que sexuellement. Je suis rentré à la maison et je suis monté dans ma chambre. Ma mère est venue my rejoindre et je lui ai raconté que les derniers partiels daujourdhui sétaient très bien passés et que je le sentais bien. Comme je voyais en cet instant le moment où je pourrais développer plus avant ma relation incestueuse avec ma mère, qui avait démarré deux semaines plus tôt, je commençais à bander. Je lui ai demandé si elle pouvait me faire lamour, pour me récompenser davoir aussi bien travaillé. Elle me répondit :
— Pas maintenant. Ton père ma appelé, il va rentrer dun moment à lautre, il pourrait nous surprendre. Par contre, si tu veux, on peut faire un truc rapide.
Elle ma dit que je pouvais commencer à me masturber, et que quand je serai prêt, je pourrai jouir en elle.
— Je ne peux pas faire ça ! répliquai-je. Et ton plaisir à toi ?
— En temps normal, ce serait extrêmement mal vu. Mais là cest moi qui te propose, ça me gêne pas. Par contre, si tu veux le faire, fais-le tout de suite, on na pas tout notre temps.
Jai baissé mon pantalon et mon slip, jai agrippé mon pénis durci et jai commencé des va-et-vient énergiques le long de ma hampe. Pendant ce temps, ma mère avait ôté son pantalon et sa petite culotte blanche et sétait assise sur le bord de mon bureau. Quand jai senti le jus monter en moi, je me suis approché de ma mère, elle a écarté les cuisses, a attrapé mon sexe et la placé à lentrée de son vagin. Une fois entré, jai poursuivi mon labeur de lapin. Mon amante a soulevé son pull et a écarté un bonnet de son soutien-gorge, juste le temps pour moi dapercevoir un sein, avant de tout remettre en place, juste pour mexciter un petit peu. Jai joui en ma mère peu de temps après. Je suis resté en place le temps de reprendre mes esprits, puis je me suis retiré et rhabillé. Ma mère a remis ses effets. Cest à ce moment que nous avons entendu la porte dentrée.
— Eh, bien ! Juste à temps, dit ma mère, avant de sortir en me déposant un baiser sur la joue au passage.
Je venais de faire un truc bizarre. En gros, je me suis masturbé, je suis entré dans ma mère pour jouir et jen suis sorti. Comme un goujat du XIXème siècle. Jétais content davoir déversé mon sperme au fond de son sexe, mais je ne lui avais pas donné de plaisir. Je me suis rassuré en pensant que lidée venait delle, que je ne lavais forcée en rien, et que de toute façon, vu le timing, nous naurions rien pu faire dautre. Je me suis promis de ne pas ravoir de sexe sans quelle nait de plaisir aussi, que je me rattraperais la prochaine fois, et jai pensé à autre chose. Mais il ny a pas eu dautre fois. Noël est arrivé avant que je naie pu retrouver une relation intime avec ma génitrice. Mon père était en vacances et je le soupçonnais de fêter lévénement avec ma mère et son corps (jalousie profonde). La famille était arrivée le lundi soir pour fêter Noël tous ensemble chez nous. Mon oncle paternel et sa femme furent installés dans la chambre de ma sur Johanna, mes deux cousins dans la chambre damis au fond du couloir. Le reste de la semaine sest écoulé comme tous les ans : balades dans les montagnes et les prairies enneigées, un peu de ski un jour, visites de sites et musées, musique des années 80 en préparant le repas du soir Les vacances !
Johanna est arrivée le vendredi soir après son travail, à lavant-veille de Noël. Comme elle sétait faite confisquer sa chambre, que javais un lit double et quon était frère et sur, elle allait partager ma couche pendant une semaine. Ça nous arrivait parfois quand on avait des invités. Nous avons toujours gardé une certaine pudeur, cela faisait bien des années que nous ne nous étions pas vus nus, en gros au début de ladolescence. Quand on se changeait, on prenait soin de détourner le regard. Et encore à ce jour, lidée que ma sur puisse être nue derrière mon dos le temps quelle se mette en pyjama me laissais totalement coi, malgré mon aventure maternelle. Je trouvais ça normal et naturel. Ce soir-là ne fit pas exception.
Le temps quelle finisse de se laver les dents et tout et tout, jétais dans le lit avant elle. Elle sest assise sur le bord du lit pour défaire ses chaussures, et on a commencé à discuter dun peu tout pendant quelle finissait ses affaires. Nous avons parlé du test de dépistage du SIDA que nous avons fait chacun de notre côté au début du mois. Elle navait rien et moi non plus. Nous avons discuté dautre chose. Au bout dun moment, alors quelle se tenait debout à côté du lit, de son côté, face à moi, elle me demanda :
— Je peux ?
— De quoi donc ? répondis-je.
— Me déshabiller.
— Oh ! Pardon.
Je me suis retourné pour la laisser se changer. Ça na pas pris beaucoup de temps. Elle gardait sa petite culotte pour dormir, et mettais un long T-shirt sur sa poitrine nue, avant de se glisser dans le lit. Pour ma part, je dors toujours en slip. Nous avons éteint la lumière et poursuivi notre discussion, en versant petit à petit dans nos histoires damour. Je lui ai raconté le vide intersidéral de mes histoires récentes (sic !), et elle sest confiée à moi sur sa rupture. Elle ma tout raconté dans les moindres détails, mais ensuite elle a insisté sur labsence de lhomme quelle avait.
— Ce nest pas facile de rentrer du travail, le soir, chez soi, et de savoir que personne ne tattend, que tu ne verras personne, tu es toute seule. Au cours de la journée, je peux me concentrer sur mon travail, je parle avec les clients, jai un semblant de vie sociale. Mais quand je suis dans mon lit, la nuit, jai froid, il ny a personne pour me réchauffer. Il marrive de pleurer. Jai besoin quun homme me prenne dans ses bras, quil membrasse sur la joue en me disant des « je taime ». Jai besoin de me réveiller le matin et de le voir à mes côtés. Javais tout ça avant, maintenant je nai plus rien, je suis toute seule.
Je lai écoutée, jai essayé de compatir à sa douleur, jétais dans mon rôle de grand frère. Le frère auprès de qui sa sur sait quelle peut se confier. A la fin de sa tirade, elle essuya une petite larme qui coulait sur sa joue. Après un instant, elle me dit :
— Merci, mon frère adoré. Je sais que tu seras toujours là pour mécouter.
— Toujours.
Elle me déposa un baiser sur la joue et se coucha en me tournant le dos. Je fis de même. Mais ce quelle avait dit mavait touché. Et comme je voulais le bien de ma sur, je me suis allongé sur le dos, et fixant le plafond dans le noir, je lui ai proposé :
— Hem Si tu veux, tu peux dormir contre moi, si ça peut tapporter un quelconque réconfort.
— Quoi ?
— Je ne suis pas ton copain, et je ne peux pas le remplacer, mais je te ferai toujours une présence, si tu veux te coller contre moi, te réchauffer
— Oh, cest gentil.
Elle sapprocha de moi, se colla contre mon flanc gauche, posa sa main gauche en haut de mon pectoral droit, et avança son mollet sur le mien. Une fois correctement installés, nous navons plus bougé et nous sommes endormis. Le lendemain, à mon réveil, Johanna navait que peu bougé. Sa jambe était repliée et montée sur mon genou, et sa main était descendu au niveau du ventre. Je lai laissée finir sa nuit. Puis elle sest réveillée, sest étirée, ma souri et ma embrassé sur la joue. Elle a ensuite passé un bras de chaque côté de mon buste, a enserré mes jambes dans les siennes et ma fortement étreint. Jétais son prisonnier.
— Ça faisait longtemps que je navais pas dormi aussi bien. Merci mon frère, je tadore.
Elle sest assise dans le lit, et sest étiré en levant ses mains très haut. Jai pu voir se dessiner sous son T-shirt la silhouette de sa poitrine projetée vers lavant. Elle est sortie du lit pour aller shabiller pour le petit déjeuner. Dans la pâle lumière matinale qui filtrait à travers les trous du volet roulant, jai pu voir que sa culotte, mal mise, ne couvrait que la moitié dune de ses fesses. Elle la tout de suite remise en place, mais le simple fait davoir vu ce petit bout de peau, qui en soit nest pas grand-chose, ajouté à sa silhouette en sétirant, ça ma fait bizarre. Javais une femme devant les yeux.
Jai pensé à autre chose, puisque la journée sest déroulée dune banalité à faire peur. Que dire ? Cétait le réveillon ! Un 24 décembre habituel. Jai discuté cinéma avec mon cousin :
— Lhistoire de Paranormal Activity, cest un jeune couple qui vit dans une maison, et la nana est hantée par un démon qui vient les hanter la nuit. Le truc bien, cest que la première nuit tu entends juste un bruit, la deuxième nuit tu as une porte qui bouge, etc.
— Ouais, en fait chaque nuit il se passe un truc différent.
— Oui, mais limportant, cest que ça va crescendo. Chaque nuit est plus forte en émotions que la précédente.
Ma sur a séquestré ma chambre une demi-heure au cours de la journée pour empaqueter tous ses cadeaux. Puis, courses de dernière minute du samedi soir que Noël cest demain et que je nai aucun cadeau, messe de minuit, dinde et pomme dauphines. Quand ce fut lheure de tous aller se coucher, nous avons eu droit au traditionnel « Tout le monde met ses chaussures sous le sapin ! ». Quand il ne restait plus que Johanna et moi-même pour éteindre les lumières et fermer la trappe du poêle à bois, nous avons mis nos cadeaux, pour que nos parents en se levant les découvrent comme quand ils nous le faisaient étant petits. Puis nous sommes retournés au lit.
Sitôt dans le lit, moi sur le dos, Johanna est venue placer sa tête dans le creux de mon épaule, et on a parlé comme la veille. « Jai hâte douvrir mes cadeaux », « vivement demain matin », bien sûr, mais un peu plus tard :
— Tu es sûr que ça ne te dérange pas que je dorme tout contre toi ? me demanda Johanna.
— Mais non, répondis-je, ne ten fais pas pour ça. Je suppose que ça me fait du bien à moi aussi de dormir avec une femme.
— Tu es adorable.
Nous avons continué à discuter, puis elle me demanda si nous pouvions toujours dormir lun contre lautre, mais sur le côté. Elle voulait que ce soit moi qui me colle contre son dos. Un peu comme un couple.
— Ça te gêne ? demanda-t-elle.
— Non, pas, vraiment, mais cest que Cest une position un peu, comment dire Un peu sous-entendue. On nest pas en couple, on est frère et sur. Ce serait de linceste !
— Il ny a inceste que sil y a relation sexuelle. Or, jusquà preuve du contraire, on na jamais eu ce genre de relation.
Entendre sa sur lancer comme ça, « on na jamais eu ce genre de relation », ça sonnait étrange. Cen était presque choquant. Vous imaginez un membre de votre famille, ou un ami, un collègue, un prof qui viendrait vous voir et vous dirait du tac-au-tac « on na jamais fait lamour » ? Que répondre ? Heureusement, Johanna a poursuivi, mépargnant la peine de chercher une réponse adéquate :
— En même temps, il ny aurait pas de mal.
Mon sang ne fit quun tour.
— Euh Pardon ?
— Linceste. Je trouve que cest quelque chose de normal. En plus, si tu réfléchis bien, cest le meilleur moyen de pouvoir avoir du sexe avec quelquun en qui tu as toute confiance. Tu peux le considérer comme un inconnu parce que tu nas jamais rien fait de sexuel avec ton parent, mais tu le connais, tu sais quil ne te fera pas de mal. Tu as une vraie relation de confiance qui est en place et tu tabandonnes mieux.
— Vu comme ça, cest pas faux
— Tu as déjà pensé à linceste, toi ?
— Non. Je préfère ne pas y penser. Je trouve ça dégoûtant.
Au bout de quelques secondes, jai rajouté :
— sauf si cest avec toi, tu es tellement belle.
— Oooh, tu es un amour !
Elle approcha son visage du mien, me dit :
— Tiens, le voilà ton inceste.
Et elle membrassa sur la bouche.
Mon cur sétait arrêté de battre. Du moins en avais-je eu limpression une fraction de seconde, avant quil ne se mette à battre la chamade.
Nous nous sommes mis en position, moi derrière elle, les jambes en équerres, formant comme une chaise dans laquelle elle vint sassoir. Ou sassoir allongée. Jai passé mon bras devant elle et elle ma pris la main. Nous sommes restés comme ça. Effectivement, cétait une position très agréable. Seulement, je repensais à ma sur ce matin au réveil, la silhouette de ses seins sous le T-shirt, sa fesse à demie nue, et ce soir, la position assez suggestive dans laquelle nous étions, le fait que nous ayons parlé dinceste, son baiser, son doux baiser. Ses lèvres, délicatement posées sur les miennes. Je ne trouvais pas le sommeil. Nous étions sans parler depuis environ dix minutes à un quart dheure, quand Johanna a rompu le silence.
— Ça va ?
— Oui, tout va bien.
— Quest-ce quil tarrive ?
— Rien du tout.
— Cest moi qui te mets dans cet état ?
— Quel état ?
— Arrête de faire lidiot, dit-elle. Je sens un truc dur contre mes fesses. Alors à moins que tu naies glissé un objet dans ton slip, il ny a pas trente-six solutions.
Je me sentais gêné. Je ne savais pas quoi dire. Javais limpression que quoi que je réponde, elle pouvait le prendre mal.
— Ce nest pas de ma faute ! me défendis-je. Cest toi qui mas embrassé tout à lheure !
— Ne tinquiète pas, il ny a rien de grave. Cest agréable, jespère.
— Ben Cest une érection, quoi !
— Ya pas de soucis. Je suis plutôt flattée ! Si tu le souhaites, tu peux rester comme ça toute la nuit. Attend un peu, allonge tes jambes.
Je ne comprenais pas où elle voulait en venir, mais jai obéi. Jai allongé mes jambes, et elle a allongé les siennes, avant de se recoller à moi un peu plus près.
— Tiens, ce sera mieux comme ça. Tu vas pouvoir placer ton pénis entre mes fesses toute la nuit, tu seras au chaud. Hier jai passé une super nuit grâce à toi, aujourdhui on inverse.
Le fait davoir allongé les jambes avait détendu les fessiers. Il y avait plus de mou, plus de chair, contre laquelle jai collé mon bassin. Cétait effectivement plus agréable que de sentir les os du bassin. Jai donc placé mon pénis contre ses fesses, en allant aussi loin que nos slips le permettaient. Johanna a repris ma main dans la sienne et nous nous sommes couchés pour de bon. Ma sur na pas eu de mal à sendormir. Moi, par contre
Quand je me suis réveillé en ce matin de Noël, Johanna était déjà réveillée. Javais bougé pendant le peu de sommeil que javais eu, jétais revenu à ma place et je tournais le dos à ma sur.
— Quelle heure est-il ?
— Les parents ne devraient pas tarder à tous nous appeler. Mais on a encore un peu de temps si tu veux revenir contre moi.
Nous avons repris la position que nous avions la veille avant de dormir.
— Encore en érection, hein, grand frère ?
— Oui, ça sappelle le matin.
— Jespère que le matin ne fait pas tout, que jy suis aussi un peu pour quelque chose. Colle-toi bien.
Ce disant, elle posa sa main sur ma fesse pour me tirer tout contre les siennes. Encore une fois, jai placé mon sexe contre la raie de ses fesses et nous sommes restés un moment à profiter de linstant, jusquà ce que je pose à ma sur la question suivante :
— Johanna ?
— Hmm ?
— Pourquoi tu mas embrassé, hier soir ?
A ces mots, elle se tourna sur le dos et plaça ses pieds entre mes cuisses et mes mollets, que javais repliés contre elle.
— Je ne sais pas, répondit-elle. Peut-être que jen avais juste envie.
— Mais Je suis ton frère !
— Et un frère plutôt mignon qui est toujours là pour consoler les demoiselles esseulées. Approche, jen voudrais un autre.
Je me suis penché vers elle, tout doucement. Jai approché ma bouche de la sienne. Javais la gorge sèche. Johanna ne bougeait pas, elle attendait. Notre premier baiser hier était terriblement excitant, mais navais duré quune seconde. Cette fois, je voulais en profiter. Je voulais avoir le temps de prendre conscience du contact de nos lèvres. Jai déposé mes lèvres sur les siennes, sans vraiment lembrasser. Cétait juste deux bouches qui se touchaient. Jai attendu quelques secondes, puis jai légèrement entrouvert ma bouche. Ma lèvre inférieure est descendue sous la sienne, et je lai remontée lentement pour quelle saccroche à sa lèvre. Jai ensuite embrassé, sa lèvre supérieure, toujours avec la même lenteur. Je voulais mettre dans cette lenteur une certaine sensualité. Petit à petit, ce qui nétait quun simple contact en lèvres est devenu un baiser passionné. Puis on a frappé à la porte. Nous avons immédiatement repris des positions un peu plus décentes pour un frère et une sur, chacun de son côté du lit. La tête de ma mère est passée par la porte pour nous dire que le père Noël était passé.
Nous nous sommes levés et avons passé un Noël tout à fait normal. Johanna et moi agissions comme nous avions toujours agi en public. Un frère, une sur, et cest tout. Personne naurait pu deviner ce quil sétait produit dans mon lit ces deux dernières nuits. Parmi mes cadeaux, jai eu de la part de Johanna une mini-caméra pour filmer ses exploits sportifs. Je lai remerciée en disant que je men servirais pour le ski. Je vous passe les détails de la journée. Le seul truc marrant a été quand, dans la voiture, Johanna et moi assis à larrière, cette chanson à la radio est passée, qui disait « Embrasse-moi idiot, cest vraiment beaucoup beaucoup mieux que des mots ». Nous nous sommes regardés en souriant.
Et ce fut le retour au lit. Jai demandé à ma sur si on reprenait la même position, mais elle a dit :
— Oui, mais pas tout de suite. Tu as passé une bonne partie de la nuit en prenant soin de ton sexe, maintenant jai envie de prendre un peu soin du mien.
Elle ma fait mallonger sur le dos, et est venue se placer au-dessus de mon bassin, face à moi, une jambe de chaque côté. Elle a soulevé un peu son T-shirt le temps de sinstaller. Jai pu voir sa petite culotte qui se déposait tendrement sur la bosse dure que faisait mon slip. Elle a relâché son vêtement, ma demandé si jétais bien installé, et sest penchée sur moi pour membrasser avant de se redresser. Je prenais conscience de la pression quexerçait la fente de son sexe contre le mien. Le poids de ma sur de maidait pas à oublier mon érection. Javais limpression quelle la renforçait. Ensuite, elle a commencé à onduler du bassin, davant en arrière. Cétait très agréable, et apparemment pour elle aussi puisquelle émettait quelques légers gémissements. Elle sest penchée sur moi et, tout en continuant à onduler le bassin, ma longuement embrassé. Je lui rendais son baiser avec une certaine fougue. Jai posé mes mains sur ses cuisses et les ai tendrement caressées. Jai doucement remonté vers ses fesses et les ai caressées à leur tour. Johanna respirait assez fort. Puis, sans raison aucune, elle sest retirée en disant que ça suffisait pour le moment, et nous avons repris notre position de la veille. Une fois en place, jai fermé les yeux et je me suis laissé aller. Mais au bout dune minute ou deux, jai senti que sa main se posait sur mon sexe. Elle attrapa mon slip et le fit descendre.
— Quest-ce que tu fais ?
— Je te mets tout nu. Après tout, cest Noël. Et moi, je suis ton cadeau.
Jétais donc tout nu dans le dos de ma sur. Jai entrepris de poser le bout de mon pénis entre ses fesses, mais elle bougeait encore. Elle enlevait sa culotte. Une fois fait, elle attrapa mon pénis à pleine main et le dirigea entre ses fesses. Mon gland était coincé entre la fesse droite et la fesse gauche de Johanna. Elle ma laissé réaliser ce quelle faisait, et a commencé à balader mon gland le long de sa raie. Quand elle sest arrêtée, elle a laissé mon pénis entre ses cuisses, non loin de son vagin. Jétais terriblement excité. Jai effectué un petit mouvement pour me serrer un peu plus, et mon sexe a légèrement coulissé contre le sien. Elle ma dit :
— Hummm, continue
Jai alors recommencé ce même mouvement, puis un autre, et un autre encore. Jai effectué une série de va-et-vient contre ses lèvres intimes. Je narrivais pas à croire que, pour la première fois de ma vie, jétais entièrement nu et je me masturbais contre les parties intimes de ma sur ! Le cumul de lexcitation non soulagée de ces dernières quarante-huit heures ont fait que la sauce na pas mis de temps à monter. Jai dit à Johanna que jallais bientôt jouir et elle ma encouragé à continuer. Je lui ai répondu que je ne pouvais pas jouir comme ça contre ses parties, et ma proposé de jouir entre ses fesses. Jai dû refuser, de peur de tacher les draps. Sachant que cest ma mère qui les lave
— Rhô, quelle nouille ! Tu nes pas drôle ! me dit-elle excédée. Très bien, si cest comme ça javale tout. Ça ne fera de tache nulle part.
Jai accepté. Jai continué à aller et venir entre les cuisses et les fesses de ma frangine. Quand jai senti que cétait le moment, je me suis allongé sur le dos et Johanna ma sucé. Jai joui dans sa bouche et elle a tout avalé. Elle na pas une seule fois lâché mon gland avant que tout mon sperme nait disparu. Elle a ensuite posé sa tête contre mon torse, en me caressant très doucement le pénis, avant darrêter et de poser sa main sur mon épaule droite, comme notre toute première nuit. Nous nous sommes endormis sans se rhabiller, tels quels.
Le matin suivant, au réveil, Johanna était levée. Je me suis souvenu que nous étions lundi et que les cousins devaient reprendre la route aujourdhui. Je me suis levé et les ai rejoints au petit-déjeuner. Ils sont partis peu après le repas de midi, nous laissant seuls, nos parents, Johanna et moi. Ma mère a dit à Johanna quelle pourrait reprendre sa chambre, maintenant que tout le monde était parti, ce à quoi lintéressée a répondu :
— Oh, en fait, je pensais continuer à dormir dans la chambre de François. Jai toutes mes affaires là-bas et je nai pas envie de les transbahuter alors que je repars dans quelques jours. En plus, on dort vachement bien dans son lit.
Ma sur voulait continuer à dormir avec moi. Jespérais secrètement quelle le souhaitait pour nos ébats plus que pour son sommeil. Cest avec une grande impatience que jai attendu la nuit suivante. Pour une fois, Johanna était couchée avant moi. Je me suis allongé à côté delle et je lai embrassée. Nous avons roulé et elle est passée sur moi. Elle a enlevé mon slip et a commencé à me caresser et à me sucer. Cétait si bon ! Je nai jamais aimé que lon puisse me voir nu. Je préfère quand cest moi qui vois. Même avec mon ex, jessayais de ne pas laisser trop longtemps mon sexe dans son champ de vision. Ce soir, javais le même sentiment, mais cela mexcitait. Elle touchait mes parties interdites. Elle baladait sa main vers le haut, vers le bas, déposait un baiser sur le gland, le prenait en bouche et continuait à monter et descendre sa main. Elle a ensuite marqué une pause, le temps denlever sa petite culotte, puis sest placée à quatre pattes au-dessus de mon corps. A cause de son long T-shirt, je ne voyais rien dexotique. Elle sest approchée de mon oreille et ma susurré :
— Je suis vierge.
Dentendre ceci, de la part de ma sur à mon intention, sachant que son sexe nu était à quelques centimètres du mien, ma provoqué une plus forte érection. Elle sest abaissée et nos sexes se sont touchés. Elle a pris mon pénis dans sa main. Jai senti un contact au bout de mon gland. Le contact est devenu plus insistant et a englobé mon gland en entier. Puis jai senti le bout de ma hampe inclus dans ce même contact. Je sentais que cétait humide. Johanna, ma sur, avait introduit mon pénis dans son vagin. Cétait notre premier rapport sexuel.
Elle sest arrêtée de descendre. Elle avait les yeux fermés et se pinçait une lèvre. Je lui ai demandé si ça allait :
— Ça va. Ça fait juste un petit peu mal, je sens que ça tire quelque part.
— Ce doit être ton hymen. Respire profondément.
Elle a appliqué mes conseils, et a commencé de touts petits et très longs va-et-vient le long de mon pénis. Plusieurs minutes se sont écoulées sans que nous ne bougions. Je savais que dans ces cas-là, il faut laisser faire le temps. Jai su que ça avait fonctionné car au bout dun moment qui mavait paru une éternité, jai senti le bord de son vagin glisser sur un bout de mon pénis qui avait été malheureux jusque-là. Tout doucement, ma sur a continué sa descente. Encore. Je ne pouvais pas le voir, mais je sentais bien mon sexe qui se faisait de plus en plus enserré. Jai ensuite senti le contact de ses cuisses sur mes hanches, et une fois au bout, Johanna sest laissé peser sur moi. Elle devait être fatiguée dêtre restée aussi longtemps accroupie au-dessus de moi. Enfin, après avoir retrouvé ses esprits, elle a soulevé son T-shirt jusquau nombril, me laissant voir son pubis pour la première fois, avec mon pénis à lintérieur.
— Désolé de ne pas mêtre rasée, dit-elle. Je sais que les garçons naiment pas les poils.
— Ne dis pas de bêtises ! ai-je répliqué. Tu es naturelle. Si un garçon naime pas ça, il na quà sen aller. Moi, je reste.
— Pff ! tes bête !
— En plus, les poils sont une sensibilité supplémentaire.
Disant cela, jai approché ma main et ai trifouillé ses poils pubiens.
— Hi ! Hi ! Tu me chatouilles, idiot !
Je nétais pas mécontent de lavoir chatouillé. Ce nétait peut-être pas très sexy, mais ça la faisait rire. Cest important dêtre dans de bonnes dispositions lorsque lon fait lamour.
— Bref, ai-je continué, même sil a des poils, ton pubis reste beau.
— Tu trouves que mon sexe est beau ?
— Oui. Et cest normal, tu es belle toute entière.
— Tu dis ça, mais tu ne mas jamais vu toute entière.
A ces mots, Johanna a soulevé son T-shirt lentement, langoureusement. Elle a fait apparaître son nombril, puis la zone des côtes flottantes, du sternum, et a enfin dévoilé ses seins. Elle a enlevé son vêtement en entier et s’est retrouvée torse nu face à moi. Nous étions entièrement nus lun devant lautre, lun dans lautre. Je restais pantois devant sa poitrine.
— Je sais que jai des petits seins dit Johanna.
— Je men fous, la coupé-je. Tu as des seins, ce sont les tiens, ils sont naturels, mais plus important que tout, ils sont beaux. Tu sens leffet que tu me fais ?
Il faut dire que cette vision avait renforcé, si cétait possible, mon érection. Je sentais les afflux de sang qui gonflaient ma hampe et mon gland de façon ponctuelle et répétée. Jai posé mes mains sur les cuisses de ma sur, et après les avoir un peu caressées, jai suivi les courbes de son corps jusque sur ses fesses, puis le long de son dos. Jai passé mes mains sur son ventre, et jai remonté jusquau bas des seins. Jai fait glisser mes pouces sur leur naissance inférieure pour remonter sur les côtés. Une fois au-dessus, jai descendu le bout de mes doigts sur leur chair, en évitant les mamelons. En bas, jai plaqué mes mains sur son corps et je les ai déplacées jusque sur sa poitrine. Dun simple contact, jai ensuite soupesé ses seins, puis les ai rapprochés lun lautre. Je les ai agrippés fortement mais gentiment pour ne pas lui faire mal et les ai attirés vers moi pour les repousser ensuite. Jai fait parcourir mes ongles de haut en bas, et jai fini par poser mes paumes sur les côtés, et avec les pouces jai à peine effleuré ses mamelons. Elle a poussé un profond soupir. Jai reposé mes pouces sur ses mamelons en restant une fraction de secondes de plus. Jai recommencé. Je les ai caressés de bas en haut, de haut en bas, jai fait le tour des aréoles.
Pendant ce temps, mon amante, au départ statique, commençait à dodeliner, à se trémousser. Elle gémissait en fermant les yeux. Elle fit quelques va-et-vient le long de ma hampe en se soulevant à la verticale pendant un moment. Puis elle se pencha en avant et ondula du bassin davant en arrière pendant que je léchais ses seins. Mes mains étaient revenues sur les fesses de Johanna et accompagnaient chacun de ses mouvements. Je les caressais, je les malaxais. Jaimais attraper son bassin et le coller contre le mien, jaimais sentir mon pénis profondément enfoui dans son vagin.
Elle sest penchée un peu plus sur moi et ma dit à loreille :
— Je prends la pilule.
Ces mots quelle mavait lâchés nétaient pas une information. Cétait une invitation. Alors quelle sallongeait contre mon ventre, je commençais à moi-même activer mon bassin. Je navais jusque-là queffectué des petits mouvements, jai donc entamé un vrai va-et-vient. Jenfonçais mon pénis au fond du vagin de Johanna puis le retirai un peu. Doucement dabord, puis de plus en plus vite. Jai ensuite retiré mon pénis jusquau gland, la partie la plus large de mon sexe, pour comprimer au maximum les capteurs sensitifs de son jardin secret, concentrés à lentrée. Jai ensuite joué à sortir complètement mon sexe du sien pour le remettre aussitôt. Cétait comme si je pénétrais ma sur à chaque seconde. Je sentais le jus qui montait. De son côté, Johanna semblait beaucoup apprécier. Elle respirait vite et fort. Elle membrassait sur la bouche, sur les joues, dans le coup où elle faisait une petite aspiration, revenait à ma bouche, donnait un petit coup de langue sur mes lèvres. Elle fermait les yeux. Elle gémissait de plus en plus. Jaccélérais mes mouvements, tout en parcourant ses fesses de bas en haut avec mes ongles. Elle bougeait de plus en plus. Je la sentais venir.
— Johanna
Jai approché ma bouche de son oreille et lui ai murmuré ce quelle avait besoin dentendre. Je lui ai murmuré ce que javais envie de lui dire, ce qui me brulait les lèvres. Je lui ai murmuré ce que je ressentais :
— Je taime
— Oooh !
Elle lâcha un grand cri. Lémotion devait être forte. Elle faisait lamour pour la première fois, cétait avec son propre frère, et ce dernier lui disait « je taime ». Elle était en train de jouir. Tout cela ma fait jouir aussi. Je me suis déversé dans son vagin. Jai senti le sperme qui giclait à plusieurs reprises. Elle a dû le sentir aussi car elle a lâché un puissant :
— AAAH !
J’avais peur que mes parents n’entendent, mais apparemment non. Elle ma embrassé avec beaucoup de fougue pendant que mon pénis avait ses derniers spasmes. Pendant quelle se reposait sur mon torse, haletante, je continuais à caresser ses fesses, le haut de ses cuisses et son dos. Quand elle sest soulevée plusieurs minutes après, jai pu continuer ma tâche sur ses seins. Javais lu une fois que pour une femme, faire lamour ne devait pas être une fin en soi, mais quil devait y avoir un début et une fin. Jai donc tout fait pour que sa première fois soit une réussite et jai continué à la caresser, à lembrasser, à lui dire des mots damour, pendant de longues minutes. Mon pénis, devenu flasque, a repris sa vigueur peu de temps après lacte, mais pas une seule fois je me suis retiré. Cest donc à lintérieur du vagin de ma sur que je suis redevenu dur. Comme nous étions fatigués et quil était tard, nous sommes restés dans cette position et nous nous sommes endormis.
Le lendemain matin, je me suis réveillé alors que nous étions dans la même position. Mon pénis était toujours dans le sexe de Johanna quand jai eu mon érection matinale (bien quici le matin nait joué quun petit rôle dans mon érection). Vu quelle dormait encore, jai effectué de tout petits va-et-vient. Pour ne pas la réveiller. Elle était si belle quand elle dormait. Elle a fini par se réveiller, et ma dit que cétait le meilleur réveil quelle avait connu dans sa vie. Nous avons refait lamour dans cette position avant de nous lever.
Ma sur et moi avons passé le reste de la semaine à faire lamour toutes les nuits, et de temps en temps au réveil. Puis elle est retournée chez elle, appelée par son travail. Jai regardé Paranormal Activity pour penser à elle. Je ne savais pas quun film à frisson pouvait mexciter autant.
Nous avons pu nous revoir au cours des quelques mois qui ont suivi une fois de temps en temps, quand elle venait chez mes parents pour le week-end. Mais le mois de juin est arrivé, et jai eu mon diplôme. Jai trouvé un emploi en septembre et jai dû déménager. Du coup, ma vie sexuelle est retombée à néant.
Je suis revenu chez mes parents la semaine de Noël, il y a moins dun mois. Je pensais que ma relation incestueuse avec Johanna pourrait se rallumer. En fait non, car elle navait pas les mêmes vacances que moi et nous ne nous sommes pas vus. Par contre, il y avait bien ma tante et mon oncle, mon cousin et ma cousine, du même âge que moi.
Après quelques années à le lire, je me suis inscrit sur ce site il y a un mois, peu avant Noël, pour y écrire ma première histoire. Jai aimé partager cette histoire avec ma mère avec vous, et après plusieurs mois sans sexe, cela ma rappelé ces vacances particulières et ma donné envie de recommencer cette année. Cette fois, jai pris les devants.
Ma cousine et moi avons appris à économiser leau de la douche en prenant une seule douche pour deux personnes.
Peut-être vous raconterai-je tout bientôt ?