Je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivée il y a environ une vingtaine d’années et qui m’a laissée un merveilleux souvenir qui, malgré le temps, ne s’est jamais effacé de ma mémoire.

    Je devais avoir à l’époque environ 35 ans. Nous habitions un petit village de la Marne et je venais d’acheter une maison ancienne pas très loin de celle que nous louions. Cette année là j’avais réservé mes congés d’été à en rénover l’intérieur(papiers peints, peinture) après avoir terminé depuis peu les travaux plus lourds(maçonnerie, installation électrique, plâtre, etc…). Il faut dire que j’étais et suis toujours un passionné de bricolage, c’est un passe-temps qui contribue à me destresser d’une activité professionnelle prenante et très chargée en responsabilités. Au grand dam de mon épouse Véronique, qui trouvait que ces occupations empiétaient trop sur nos loisirs.

    C’est donc au matin d’une belle journée qui s’annonçait chaude et ensoleillée que je mapprêtai à aller mesurer les pièces à remettre en état afin d’acheter l’après-midi le papier peint et la peinture nécessaires.

    Cet été là, comme tous les précédents depuis qu’elle avait atteint l’âge de 10 ans, nous avions en vacances pour un mois ma nièce Élisabeth, la fille d’Odile, la sur aînée de ma femme. Nous l’appelions affectueusement Lison. Comme nous n’avions pas d’enfants, cela nous faisait plaisir de l’emmener en vacances en juillet, elle partait ensuite avec ses parents en août. Mais cette année, exceptionnellement malheureusement pour elle, les vacances allaient se passer dans la marne pour les raisons que je vous ai précédemment évoquées.

    Lison était à l’époque une jeune adolescente de 17 ans, vive, délurée, toujours gaie et souriante, vraiment agréable à vivre. Vue son âge, c’était vraisemblablement une des dernières années que nous allions l’avoir avec nous. Il est normal qu’elle préférerait bientôt partager ses vacances avec des jeunes de son âge.

    Physiquement elle était devenue au fil des années une belle jeune fille, grande, cheveux châtains mi-longs, un visage expressif aux yeux bleus pétillants de malice et une grande bouche aux lèvres finement ourlées.

    Elle était très sportive. Elle pratiquait l’aviron depuis plusieurs années, discipline dans laquelle elle excellait au plus haut niveau puisqu’elle avait obtenu le titre de vice championne de France dans sa catégorie aux derniers championnats de Vichy. Ce sport est un sport complet qui a la particularité de faire travailler tous les muscles et c’est ce qui avait contribué au développement harmonieux de son corps. Lorsqu’elle bougeait, on devinait les muscles longs et fins sous la peau qu’elle était toujours halée du fait de son activité de plein air. Des épaules larges dominaient des rondeurs appétissantes que l’on devinait fermes, une taille mince et des cuisses longues et musclées. Depuis quelques temps un détail de son anatomie avait le don d’attirer mon regard, sa croupe, qu’elle avait toujours eu bien rebondie et qui, avec l’âge, lorsqu’elle marchait, lui donnait un je ne sais quoi de provoquant.

    Donc, ce matin là je préparai le double mètre, un bloc et un stylo et mapprêtai à partir pour la maison lorsque mon épouse m’apostropha:

    – «Ludo(je me prénomme Ludovic), peux-tu emmener Lison? J’ai rendez-vous ce matin en ville chez le coiffeur et ensuite j’ai quelques courses à faire, j’en ai au moins pour 3 heures. Ça ne va pas être drôle pour elle d’attendre tout ce temps ici ou avec moi chez le coiffeur!

    – «Pas de problèmes, lui répondis-je, en pensant en même temps que ce serait plus facile à deux de manipuler le double mètre ruban.

    Ainsi fut fait et nous partîmes de concert en chahutant et en riant.

    Arrivés sur les lieux, nous nous mîmes rapidement au travail. Il y avait 8 pièces et couloirs à métrer et ensuite tous les calculs à faire pour déterminer le nombre de lès de papier et les surfaces à peindre afin de fixer les quantités à acheter au plus juste

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    Mais à deux cela prit beaucoup moins de temps que prévu, d’autant que cette corvée se fit dans la joie et la bonne humeur, comme toujours avec Lison.

    Aussi, 3/4 d’heures plus tard, disposant de toutes les mesures je m’installai à la table qui se trouvait dans le salon et entrepris les fastidieux calculs précédemment cités.

    Pendant ce temps, Lison finit de visiter la maison qu’elle voyait pour la première fois, ainsi que l’immense terrain entourant la bâtisse. Puis elle revint près de moi.

    Me voyant plongé dans les calculs elle n’osa pas me déranger et c’est tout naturellement qu’elle se plaça sur ma droite en entourant mon cou de son bras gauche dans un geste affectueux et regarda de façon détachée ce que je faisais.

    Après quelques instants d’immobilité, je sentis sa main sur mon cou, puis ses ongles me gratter légèrement. La sensation n’était pas désagréable mais je ne prêtai alors à ce geste pas plus d’attention que celui d’un comportement amical sans arrière pensée. Puis elle prit une attitude que je mis sur le compte de la fatigue due au fait de garder une même position plusieurs minutes: elle s’appuya plus lourdement sur moi et très rapidement je perçus la chaleur de son sein sur mon épaule. J’eus bien envie de lui dire de prendre une chaise, que ce serait beaucoup plus confortable, mais en même temps la situation me troublait et je décidai de laisser faire.

    Quelques temps plus tard, ce fut sa seconde main qui vint se poser sur le haut de mon torse, largement découvert à cause de la canicule, ma chemisette n’étant fermée que par les deux derniers boutons. Puis elle entreprit une légère caresse tout d’abord innocente.

    Je commençai à avoir quelques problèmes de concentration lorsque cette main descendit en continuant à me caresser. En moi même je persistai à penser que pour Lison c’était un comportement tout fait naturel et que j’aurais l’air idiot de lui dire darrêter. Mais dieu qu’elle avait la main légère et douce.

    Quand sa main arriva au niveau de mon sein gauche, elle entreprit de le caresser par des mouvements circulaires, puis elle saisit le téton qu’elle pinça doucement entre pouce et index. Je pris dans un premier temps cet attouchement pour un jeu et c’est en souriant que je lui jetai un coup dil avec l’intention de la gronder gentiment. Mais quelle ne fut pas ma surprise de découvrir ma Lison, le visage très sérieux, les yeux fermés et la respiration qui s’était nettement accélérée.

    Je restai littéralement interloqué.

    Mon cerveau tournait à toute vitesse. Vite, interrompre cette situation quelque peu scabreuse mais qui, d’une certaine façon, avait, je dois le reconnaître, un côté très excitant.

    – «Mais enfin – me disais-je – réagis, ce n’est pas un comportement que peut avoir un oncle vis vis de sa nièce!.

    Pourtant, le trouble qui m’envahissait m’avait complètement inhibé et mempêchait d’agir. Je décidai de laisser faire pour voir jusqu’où cette situation allait nous entraîner.

    Sa main abandonna mon téton à mon grand soulagement pour reprendre doucement sa progression vers le bas. Cette fois j’étais complètement déboussolé et me laissai envahir par une sorte d’engourdissement et de bien-être.

    De pas très innocent, cela prenait maintenant une tournure nettement érotique et le gonflement naturel qui était en train de s’opérer dans mon short était là pour en témoigner. Heureusement j’étais penché en avant sur la table et Lison ne pouvait pas s’en rendre compte. D’autant qu’elle avait toujours les yeux fermés.

    Sa main était maintenant sur mon ventre découvert par le short taille basse que je portais. Je commençai sérieusement à perdre pied et décidai de me fixer une limite à cette progression: une fois que sa main parviendrait à l’élastique de mon short, c’est décidé je ferai cesser ce manège démoniaque!

    Et bien sûr sa main finit par atteindre l’élastique de mon short.

    Mon sexe était tendu à faire mal et se trouvait de plus en plus à l’étroit dans sa cage textile que j’avais heureusement choisie ample pour être à l’aise dans mes mouvements.

    Je m’apprêtai donc à tout stopper lorsque, comme si elle avait deviné mes intentions, ses doigts agiles se faufilèrent prestement sous l’élastique et entrèrent sur un domaine oh combien plus dangereux mais aussi hyper excitant.

    J’abandonnai toute velléité de révolte et me laissai brusquement aller au plaisir qui sournoisement m’envahissait.

    Dans le même temps je me calai bien sur le dossier en avançant mon bassin au maximum sur le bord de la chaise afin de lui faciliter ses mouvements d’exploration. Je lâchai papiers et crayon et laissai tomber mes bras de chaque côté de mon siège.

    Dans ce mouvement, ma main droite se trouva au contact du mollet de Lison. Je sentis sa jambe tressaillir pendant que sa respiration s’accélérait encore. Je ne savais pas où tout cela allait nous emmener mais je n’étais hélas plus en état de réfléchir sereinement.

    Sa main avait interrompu momentanément sa progression, attentive à ce qu’allait être ma réaction. Je ne la fis pas attendre plus longtemps et commençai une caresse sensuelle avec la paume de ma main sur le mollet. Je descendis sur sa cheville puis je remontai lentement jusqu’au creux du genoux, là où la peau est si douce et très sensible. Je m’attardai à cet endroit. Lison avait maintenant une respiration irrégulière. Je commençai pour ma part à avoir très chaud et ce n’était pas qu’à cause de la chaleur estivale. Puis je laissai ma main continuer son ascension.

    Toute ma paume était collée sur sa cuisse qu’elle avait ferme et musclée. Je la caressai en allant de l’arrière à la face interne. Je montai toujours et parvint bien vite sous la légère robe d’été. A un moment j’arrivai à l’endroit où les deux cuisses se rejoignent. Alors, afin de me permettre de poursuivre, Lison écarta légèrement ses jambes. Je sus désormais qu’il n’y aurait plus de retour possible, nous étions tous les deux d’accord pour continuer ce jeu dangereux mais oh combien troublant.

    Pendant ce temps, Lison, toute attentive qu’elle était aux sensations qu’elle ressentait, avait stoppé tout mouvement à l’intérieur de mon short. Aussi, pour lui rappeler ma présence, je fis aller mon bassin d’avant en arrière. Elle comprit le message et reprit sa progression. Elle n’était plus loin du but puisque sa main s’insinua entre mon slip et le short et atteignit rapidement la base de mon sexe orgueilleusement dressé. Elle marqua un temps d’arrêt puis je sentis ses doigts s’écarter et me saisir le sexe à la base. Je manquais de défaillir tant l’émotion fut intense. Jamais au cours de mes expériences sexuelles passées je n’avais connu quelque chose d’aussi excitant. Dans le même temps, je me rendis bien compte que je n’allais pas pouvoir tenir longtemps face un tel traitement. J’avais le ventre en feu, mes idées sens dessus dessous. Un profond désordre régnait alors dans ma tête. Une gamine de 17 ans, ma nièce qui plus est, qui me mettait dans un tel état?! Inimaginable il y a encore quelques minutes.

    Tout en me délectant de toutes ces sensations multiples qui avaient envahies mon corps, je continuai de mon côté ma progression. Ma main était maintenant prise entre ses deux cuisses dont je savourai la douceur de la peau. Je palpai cette chair ferme et élastique. Lison avait désormais beaucoup de difficultés à tenir debout, elle avait laissé reposer sa tête sur ma tête, son bras gauche était cramponné à mon cou et je sentis dans mon oreille sa respiration brûlante et précipitée.

    Je progressai encore un peu pour atteindre la source de cette chaleur qui me troublait tant et mes doigts touchèrent bientôt sa culotte. Son entrejambe était trempé, signe du grand émoi dans lequel elle se trouvait. Puis je dégageai ma main de cet adorable étau et entrepris de lui caresser les fesses. Dieu, qu’elles devaient-être belles à admirer ces fesses, deux rotondités parfaites, fermes à souhait, au sillon bien marqué Je laissais aller ma main entre ces deux magnifiques mappemondes, lui imprimant un mouvement de va et vient. Mais la sensualité du toucher était perturbée par la présence de l’étoffe de la culotte. Aussi je saisis prestement l’élastique de cette dernière et entrepris de la baisser lentement. En la prenant alternativement à droite et gauche, je réussis à la faire descendre jusqu’en bas des jambes. C’est Lison elle même qui finit par un mouvement des pieds de s’en débarrasser définitivement. Cette fois elle était à ma disposition, toute à ma disposition.

    De son côté ma jeune partenaire ne perdait pas son temps, elle avait abandonné la position intermédiaire pour se glisser directement sous mon slip et saisir mon sexe à pleine main. Mais elle fut aussi gênée par l’étoffe. Ce fut d’une voix rauque et presque inaudible qu’elle me demanda de baisser slip et short. Je m’empressai d’accéder à sa demande, soulagé de laisser enfin mon sexe en liberté.

    Lison s’en saisit avidement, le branla énergiquement, l’enserra dans sa main tout d’abord malhabile mais rapidement trouva le geste juste en réalisant des mouvements verticaux de plus en plus rapides, qui, je le sentis bien, allaient rapidement aboutir à une éjaculation et une jouissance que je prévoyais exceptionnelles.

    Pour ne pas être en reste, je repris rapidement possession du majestueux fessier que je pouvais dorénavant malaxer à ma guise en me délectant du fait de sentir sur ma paume la peau nue qui s’était couverte de chair de poule. En même temps je savourai le délicieux frôlement sur le dos de ma main du tissu de la robe légère. N’ayant plus d’entraves pour explorer le profond sillon, je laissai ma main errer dans cet excitant canyon. Je sentis sous mes doigts son petit trou plissé qui réagit à mon contact en se contractant à chaque toucher. Décidément, ma nièce était réceptive à toutes sortes d’expériences.

    Puis je descendis et passai ma main entre les cuisses qui s’écartèrent plus largement. C’est ainsi que je pus atteindre le centre du volcan en éruption. Son abricot, couvert d’une toison fine et soyeuse, laissait couler un abondant miel tant son plaisir était grand. Son clitoris était maintenant sorti de son cocon et dardait fièrement. Lison laissait désormais échapper de sa bouche une plainte continue qui devint cri lorsque j’entrepris de lui masturber le clito par un mouvement circulaire de mon index. Son bassin était animé d’un mouvement saccadé d’avant en arrière, elle reculait lorsque le plaisir devenait trop intense, presque insupportable, mais revenait bien vite chercher le contact. J’accélérai le mouvement de mon doigt, elle se mit à trembler de tous ses membres pendant que sa main entreprenait une danse effrénée sur mon sexe..

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    Elle poussa un long cri, une vague de son liquide d’amour arrosa copieusement ma main et, concomitamment, dans un râle que je ne pus maîtriser, je me libérai, j’éjaculai, j’éjaculai, encore et encore, ça n’en finissait plus. J’arrosais copieusement le dessous de la table, mon ventre, sa main.

    Puis le silence. J’étais obligé de la maintenir maintenant par la taille pour l’empêcher de s’écrouler. Sa respiration redevint petit à petit normale.

    Tant l’excitation avait été grande, mon sexe avait à peine débandé. Je relevai alors la robe de Lison au-dessus de sa taille, mon regard découvrant pour la première fois cet extraordinaire postérieur dont la vue acheva de me rendre toute ma rigidité initiale et, après avoir reculé mon siège et lui avoir fait écarter ses jambes de part et d’autre des miennes, j’entrepris de l’asseoir sur mon sexe que je tenais d’une main pour le présenter à l’entrée de son puits d’amour.

    Lison me tournant le dos, elle se pencha au-dessus de la table, elle plia les genoux, mon gland arriva au contact de sa vulve, commença à écarter les lèvres encore suintantes de son récent plaisir….

    – «Ouhouuuuhhhhhh!! C’est moi! Où ètes-vouuuuss.?

    Nom de D…Ma femme!

    – «Vite! Ramasse ta culotte, file dans les toilettes!

    Prestement moi-même je me reculottai, enfermant du même coup mon sexe qui avait repris une taille plus décente plus vite que prévu avec le sperme qui m’avait abondamment arrosé. Du sperme encore accroché sous le plateau de la table continuait de goutter, des tâches blanchâtres très suspectes parsemaient le sol. Je me sentis tout d’un coup mal, très mal.

    Rapidement j’essuyais tant bien que mal ma main encore toute humide des sécrétions vaginales de Lison sur mon short et renfilai mes jambes sous la table afin de cacher le maximum des traces laissées par nos ébats. Je saisis papier et crayon afin de me donner une contenance.

    La porte s’ouvrit:

    – «Je suis rentrée plus vite que prévu, le coiffeur n’a pas pu me prendre II a des problèmes de personne……Mais, qu’est-ce que ça sent ici? Il y a une odeur bizarre!

    Tu parles, ça sent le stupre à plein nez. «Euh! ce doit-être le plâtre qui finit de sécher, il faudrait laisser les fenêtres ouvertes pour aérer».

    – «Bonjour tantine! Mais tu n’as pas été coiffée?.

    C’est Lison qui fait son entrée dans la pièce, fraîche, souriante, en forme, comme d’habitude. Tout juste remarque t-on ses pommettes encore roses du plaisir que je viens de lui donner. Mais quelle comédienne cette gamine! Elle mériterait un oscar.

    Deux jours se sont écoulés depuis cette brève aventure érotique hélas trop vite interrompue.

    Ces deux jours n’ont rien apporté de nouveau quant à mes relations sulfureuses avec ma nièce. Il faut dire qu’à aucun moment nous ne nous étions retrouvés seuls et la présence continuelle de mon épouse me poussait à être très prudent. Quant à Lison, elle avait un comportement complètement naturel, toujours aussi gaie, vive, rieuse. A la voir, rien ne pouvait laisser penser que nous avions eu des rapports aussi chauds deux jours auparavant.

    J’avais entrepris comme prévu mes travaux de peinture dans la maison tandis que ma femme et Lison s’occupaient de leur côté à nettoyer le parc. Mais avec la chaleur qu’il faisait en ce mois de juillet, nous nous octroyions une sieste réparatrice tous les après-midi et le travail n’avançait à vrai dire pas très vite.

    Ce matin là, pour me changer les idées et entretenir la forme, je décidai de partir courir dans la campagne de bonne heure avant que la chaleur ne devienne insupportable.

    Je revêtis donc une tenue adéquate et me préparai à sortir lorsque Lison déboula en trombe de sa chambre:

    – «Attends, tonton, je viens avec toi!

    – «Je veux bien mais tu as prévenu ta tante qu’elle ne te cherche pas ?

    – «Oui, oui, je viens de la croiser dans le salle de bain!

    – «OK! alors c’est parti!.

    Rapidement nous sortîmes du village et arrivâmes dans la campagne.

    J’eus rapidement du mal à suivre le train imposé par ma nièce et elle prit rapidement de l’avance.

    A ma décharge, il est vrai qu’au niveau sportif je ne faisais pas partie de la même catégorie que Lison et, de ce fait, je ne me trouvais pas vexé le moins du monde d’être distancé par cette spécialiste.

    Après avoir gravi un chemin à la pente assez raide et avoir passé un virage sur la gauche, le chemin entamait une longue ligne rectiligne et était dominé sur la droite par un talus haut de 4 à 5 mètres.

    Mais ma surprise fut grande en débouchant du virage de ne plus apercevoir Lison. D’accord elle court vite, mais là ça fait un peu beaucoup. Perplexe, je continuai ma course en solitaire lorsque soudain une voix, au-dessus de moi, m’interpella:

    – «Alors, on traîne?

    C’était bien entendu Lison dont la tête émergeait en haut du talus entre les épis de blé du champ dans lequel elle se trouvait. Elle disparut aussi vite qu’elle était apparue. Intrigué je grimpai prestement le talus en m’agrippant aux hautes herbes.

    Personne! Qu’une vaste étendue d’un blond ondoyant!

    Je m’avançai dans le champ, les épis de blé m’arrivant à la taille.

    Et c’est alors que je l’aperçus. Elle était lascivement allongée sur un lit de paille dorée, un léger sourire aux lèvres, les yeux pétillant de malice. Elle offrait son jeune corps qui venait à peine de sortir de l’enfance à mon regard fiévreux.

    Je m’allongeai près d’elle, les yeux fixés dans ses yeux. J’avais des difficultés à maitriser les battements de mon coeur. J’étais conscient que quelque chose d’extraordinaire était sur le point de se produire.

    Mon corps était maintenant contre son corps, je sentais sa chaleur traverser nos légers vêtements. Je la saisis de ma main droite à la taille et mon visage s’approcha de son visage, ma bouche de sa bouche, je sentis son souffle brûlant, ses lèvres s’entrouvrirent et nos bouches se soudèrent. Ma langue trouva rapidement sa langue et elles entreprirent ensemble une folle sarabande, nos salives se mélangèrent en même temps que nos haleines.

    J’étais maintenant pratiquement couché sur elle. Nous étions seuls au monde, plus rien ne pouvait nous arriver, seuls comptaient la communion de nos deux corps et le plaisir qui allait finir par nous emporter loin, très loin, haut, très haut.

    Fébrile, ma main s’insinua sous son léger maillot. Elle atteignit rapidement sa jeune poitrine qu’elle avait laissé libre de toute entrave. Dieu qu’ils étaient doux et fermes ces seins qui présentaient maintenant de belles formes et de magnifiques rondeurs. Je saisis un téton et le pinçai légèrement entre le pouce et l’index. Elle exhala un gémissement. Le téton était devenu dur matérialisant ainsi le trouble qui commençait à envahir le jeune corps que j’allais posséder.

    Oui, je n’avais plus qu’une envie, qu’un seul but: posséder le corps de ma nièce.

    J’étais dans un tel état d’excitation que je n’étais plus capable de réfléchir et encore moins de réaliser la gravité de l’acte incestueux que j’allais accomplir. Seul comptait le plaisir du moment.

    Tout en continuant notre interminable baiser, je laissai ma main descendre sur sa peau douce. Elle se faufila sous l’élastique de son short. Je lui caressai un instant le ventre qui ondula sous ma main. J’atteignis enfin le renflement du pubis couvert d’une si douce toison.

    Lison retenait maintenant sa respiration, attentive ce qui se passait et aux émotions qui étaient en train de traverser son corps.

    Je laissai un doigt s’insinuer entre les lèvres de son sexe déjà humide et entrepris une douce masturbation qui rapidement provoqua chez elle une onde de plaisir qui lui fit arquer les reins.

    Mais le short entravait mes mouvements. Je décidai donc de lui ôter. Elle m’aida en soulevant légèrement le bassin afin que l’élastique passe plus aisément son magnifique postérieur que j’effleurai au passage.

    J’eus quelques difficultés à cause des baskets. Cette fois Lison était pratiquement nue devant moi, le corps illuminé par le soleil matinal de juillet.

    Elle avait fermé les yeux et attendait, complètement abandonnée.

    Je me mis tête-bêche et approchai mon visage de son intimité

    Tout d’abord je ne la touchai pas, me contentant de humer les odeurs sensuelles qui émanaient de sa vulve. Mais elle s’impatienta et vint au devant de ma bouche en projetant son bassin.

    Je laissai donc la pointe de ma langue caresser les lèvres qui commençaient à se gonfler d’amour, je les écartai en m’enfonçant petit petit et en donnant à ma langue un mouvement de va et vient. Cette fois Lison se laissait aller complètement en appréciant l’immense vague de fonds qui emportait son corps. Puis je remontai légèrement pour atteindre son clitoris qui était maintenant complètement dégagé et qui dardait fièrement. J’exerçai alors une pression en tournant de plus en plus vite avec ma langue. J’avais maintenant un mal fou à maintenir le jeune corps qui était agité de mouvements désordonnés tandis qu’un râle continu sortait de sa gorge. D’un seul coup son corps se raidit, sa respiration s’interrompit, puis elle émit un long cri tandis qu’un flot de mouille m’inondait la bouche. Lison venait de connaître un orgasme dévastateur, son second que je lui donnait en quelques jours. Puis son corps se détendit et reposa, inerte, comme endormi.

    Je continuai à laper son jus intime et caresser légèrement ce sexe tout humide de plaisir.

    Au bout de quelques instants, je sentis la main de Lison me caresser à travers le short.

    Je dois dire que de mon côté je n’étais pas resté insensible à cette joute amoureuse. Depuis que j’étais allongé sur la paille près du corps de Lison, mon sexe était raide comme jamais il ne l’avait été, même lors de notre première aventure. Il était devenu douloureux tellement il était gorgé de sang et formait sur mon short une proéminence impressionnante.

    Puis Lison baissa mon vêtement afin d’avoir un accès plus facile à l’objet désiré. Aussitôt elle se saisit de la hampe et se mit à la masturber. Soudain je sentis son souffle brûlant sur le gland qui était maintenant complètement dégagé, sa bouche se posa dessus en un baiser des plus excitants et entreprit de l’absorber. L’extrémité de mon sexe avait dorénavant complètement disparu dans ce fourreau humide et chaud. Lison commença alors une masturbation des plus sensuelles avec cette bouche que j’avais si longuement appréciée il y a quelques instants tout en continuant de sa main le mouvement de va et vient.

    Un plaisir indescriptible commençait à me monter des reins. Je n’allais pas résister longtemps à ce redoutable traitement. Le problème c’est que malgré mon grand émoi et mon envie incontrôlable de me laisser aller jusqu’à l’orgasme, un ultime moment de lucidité me permit de me demander si Lison allait vraiment apprécier cette forme de rapport pour la première fois qu’elle accomplissait un acte sexuel avec moi?

    Non! Je voulais la prendre comme un homme prend une femme et la faire jouir en jouissant moi-même au fond de son ventre!

    Aussi c’est avec résignation que je me dégageai de cette enivrante fellation et je pris une position plus conforme à mes desseins.

    Lison avait compris et c’est d’elle même qu’elle écarta les jambes afin de me laisser prendre place.

    Elle reprit fougueusement mes lèvres avec sa bouche après avoir plusieurs fois murmuré: «ouiii, ouiii, vas-y, viens».

    De ma main je positionnai bien mon sexe et entrepris lentement d’envahir son antre désormais en fusion.

    Dieu que le conduit était étroit. Mais la pénétration se faisait tout de même aisément tant la lubrification était abondante. Plus mon sexe avançait, plus je sentais le corps de Lison vibrer. Bientôt je ressentis une résistance. Ainsi Lison était encore vierge! C’est moi qu’elle avait choisi pour faire d’elle une femme! Je mapprêtai donc à forcer cette ultime fine membrane avec précaution, l’opération pouvant s’avérer douloureuse.

    – «Mais, qu’est-ce que c’est?

    Tout à coup on entendit un bruit de moteur qui semblait se rapprocher!

    Sans interrompre mon étreinte, je me dressai sur les bras et jetai rapidement un coup dil au dessus des épis de blé.

    HORREUR!!!

    Le paysan venait d’entamer le moissonnage du champ! Dans quelques instants il allait être sur nous avec sa machine infernale!

    – «Vite, vite, Lison! Le cultivateur, il fauche son champ!

    – «Oh non! Mais qu’a t-on fait au Bon Dieu pour toujours être dérangé à chaque fois au meilleur moment?

    Ouh là là! Laissons le Bon Dieu en dehors de cette histoire pas très catholique!

    Contraint et forcé je dus dégager mon sexe de son doux étui soyeux et rapidement j’aidai Lison à enfiler son short et remis le mien en place.

    C’est en rampant que nous regagnâmes le talus le long duquel nous nous laissâmes glisser jusqu’au chemin creux.

    Et c’est fortement déçus et frustrés que nous reprîmes notre course à pieds tandis que, comme pour nous narguer, la moissonneuse-batteuse passait au-dessus de nos têtes dans un nuage de poussières et un boucan d’enfer.

    Mais nous n’avions plus le coeur à courir et nous regagnâmes bien vite la maison.

    En arrivant je vis ma femme qui sortait la voiture du garage.

    – «Ah! Déjà de retour? J’avais laissé un mot sur la table. Je pars en ville faire quelques courses. Je ne demande pas si quelqu’un veut m’accompagner, dans l’état où vous êtes je pense qu’une douche est plus conseillée!

    Elle a bigrement raison, d’ailleurs je constate que Lison n’a pas attendu son conseil.

    Je surveillai quelques instants par la fenêtre le départ effectif de ma femme, je préférais être prudent, puis je protégeai mes arrières en fermant les portes à clé.

    Je me dirigeai enfin vers la salle de bain. Lison y était effectivement puisque je découvris une basket dans la salle manger, une autre un peu plus loin, son short dans le couloir et enfin son maillot, qu’elle avait dû jeter en l’air, accroché au luminaire.

    Quel empressement!!

    Je pénétrai dans la salle de bain et entendis l’eau couler.

  Fébrilement j’ôtai mes vêtements et c’est totalement nu que j’ouvris en grand la porte de la douche.

    Un merveilleux spectacle s’offrit alors moi. Lison me tournait le dos. Je découvris la vision féérique des deux magnifiques rondeurs de son postérieur rebondi à souhait. Leur ampleur affinait encore plus la taille que je pourrais presque entourer de mes deux mains. Elle tenait ses jambes légèrement écartées, deux longues jambes aux cuisses musclées et bronzées.

    Cet admirable spectacle ne tarda pas me faire réagir. C’est avec le sexe bandé au maximum que je pénétrai à mon tour dans la douche.

    Dès qu’elle perçut ma présence, Lison ferma les robinets arrêtant ainsi l’écoulement d’eau, ce qui me permit de laisser la porte ouverte et de nous offrir ainsi plus d’espace.

    C’est alors qu’elle me surprit en prenant une position qui me laissa sans voix. Elle saisit les robinets de ses deux mains, puis elle recula en se courbant au maximum et en creusant le plus possible ses reins, écarta ses jambes, les pieds en appui de chaque côté du bac à douche. C’était totalement indécent mais oh combien érotique!.

    J’avais devant moi une femelle réclamant le mâle, un animal en chaleur attendant de se faire saillir. Mais Dieu! Que cet animal était beau et désirable!

    Cette position accentuait la proéminence de son postérieur et les deux globes, en s’écartant, me permettaient d’apercevoir la rondelle que j’avais trouvé si sensible au toucher. Entre le haut de ses deux cuisses, juste sous les fesses, sa vulve formait un renflement des plus démoniaques, les lèvres légèrement ouvertes, luisantes de désir. C’était un appel à l’amour.

    Manifestement Lison ne réclamait pas de préliminaires.

    Sans plus attendre je me présentai donc derrière elle et je dus forcer pour descendre l’extrémité de mon sexe qui pointait vers le haut tellement la pression intérieure était puissante. Le gland pénétra facilement l’entrée du vagin parfaitement humidifié et vint butter sur l’hymen. Cette fois rien ne m’empêcherait de la faire femme.

    Je forçai d’un coup et tout mon sexe s’engouffra au plus profond de la caverne brûlante. Lison émit un léger gémissement de douleur au moment de sa défloration.

    J’étais maintenant arc-bouté contre ce superbe corps, le ventre plaqué sur son postérieur, écrasant les fesses. Je restai quelques instants immobile afin de la laisser s’habituer à l’intromission et à la douleur de se calmer. Mais manifestement cela ne plut pas à Lison qui me donna de violents coups de reins, me faisant comprendre qu’elle attendait autre chose.

    Alors je commençai le pilonnage. Je sortis mon sexe entièrement pour aussitôt le propulser au plus profond de ses entrailles. Mon gland butait sur le col de l’utérus tandis que mon ventre claquait sur les fesses, les faisant trembler comme un bloc de gélatine que l’on secoue leur donnant un mouvement des plus sensuels.

    A chaque pénétration, Lison poussait un cri qui alla très vite crescendo.

    Mes deux mains bien cramponnées à ses hanches, je la faisais venir à moi à chaque mouvement afin damplifier la force de la pénétration.

    Nous étions toujours très excités de notre aventure champêtre avortée, le plaisir vint rapidement.

    Lison maintenant hurlait:

    – «Ouiii! Ouiii! Plus fort, plus fort! Vas y! vas y! Encore! Encore! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!

    Ne pouvant plus me maîtriser, je bloquai Lison contre mon ventre et me libérai. Je lui envoyai plusieurs giclées de sperme au fond du vagin. Lison était maintenant en plein orgasme, ses cuisses tremblaient, son bassin était agité de mouvements désordonnés, une plainte continue sortait de sa bouche puis elle hurla sa jouissance.

    L’orgasme avait été brutal, bestial. Il la foudroya. Ses jambes ne la supportèrent plus, ses genoux fléchirent et son corps s’affaissa sur le sol.

    Je m’accroupis près d’elle, sa respiration était encore saccadée, le souffle brûlant. Ses yeux s’entrouvrirent, me regardèrent, un sourire de reconnaissance illumina son visage.

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