A peine arrivé, Monsieur Henry me descend de Rail. Laissant les chevaux devant l’entrée de l’écurie, il me guide vers une esplanade bétonnée, sous un toit. Il m’installe au milieu. Il attache mon collier à un mousqueton et me voilà une fois encore attachée. Mes poignets sont reliés au mousqueton au-dessus de ma tête. Monsieur Henry ôte mes bottes. Mes chevilles sont écartelées par une barre de bois. La corde se tend. Pour garder mon équilibre, je me mets sur la pointe des pieds. L’écuyer me pose un bâillon boule et s’en va chercher les chevaux. Je ne peux pas m’exprimer. Je mords dans la boule de caoutchouc dur. Je frissonne. Monsieur Henry s’occupe des chevaux. Je me fatigue. Je danse sur la pointe des pieds pour me reposer. Soudain, une ombre passe derrière moi. C’est l’un des chiens de Monsieur Armand. Le gros rottweiler est là face à moi. Il me regarde. Il s’approche. Il me sent, me hume de loin. Il n’ose pas venir plus près. Il surveille à gauche et à droite. Il craint l’homme aux chevaux.

Monsieur Henry est entré dans l’écurie. Le chien approche. Il est à un mètre de moi. Il me sent le sexe. Il est vrai qu’avec tout ce que j’ai pris, soit dans mon sexe soit dans mon cul, je dois sentir la femelle à un kilomètre à la ronde. J’essaie de le chasser mais ma position est trop inconfortable. Le chien avance encore. Je remue pour essayer de soustraire à sa convoitise mon sexe. Je ne peux rien faire. Son souffle froid entre mes cuisses me couvre de frissons. Soudain j’ai l’impression que mon cur s’arrête. Une sensation de fraîcheur sur ma cuisse me fait sursauter. Mon regard se penche vers mon ventre. J’aperçois la tête du chien entre mes cuisses. D’un coup de hanches, j’essaie de le chasser. Malgré le mouvement, l’animal ne recule pas beaucoup. L’action de mon bassin est sans grand effet. Le chien revient à la charge et place de nouveau son museau au niveau de mon entrejambe. Je suis particulièrement surprise. La présence de cet animal est inattendue, mais elle me fascine. Un chien me sent comme une femelle, comme sa femelle.

Je ne sais pas ce qui m’arrive. C’est comme une envie brutale, animale, c’est le cas de le dire. Mon ventre se convulse. Je sens naître en moi une sourde excitation. Je m’installe le plus confortablement possible sur mes pieds. Je bascule mon bassin vers l’avant. J’hésite. Je suis folle de céder à l’envie de ce chien. Pourtant lentement, j’ouvre légèrement ses jambes. Le chien surpris par ces mouvements, recule et gronde. Il montre ses crocs. Mais l’odeur de mon ventre doit être plus alléchante que la peur. Il revient à la source du fumé. Il s’approche passant entre mes cuisses entre-ouvertes et pose sa truffe directement contre ma chatte. Le contact m’envoie une onde de plaisir à travers son corps. J’ouvre grand les jambes. La langue rose commence à lécher mon sexe humide avec ferveur. Elle est râpeuse et m’envoie des ondes de plaisir dans tout le corps. Elle s’insinue entre mes grandes lèvres. Mon ventre est secoué de mouvements incontrôlés. Une boule, dans le creux de mon ventre, gonfle.

Elle se libère, se vide. Une onde de choc traverse mes reins, mon ventre et explose dans mon sexe. Ma mouille inonde ma chatte. Le chien, devant cette arrivée de liqueur féminine, prouvant l’excitation de la femelle, redouble d’ardeur. Jouant des muscles de mon ventre et de mon sexe, je m’efforce d’écarter mes lèvres gonflées d’excitation. J’offre à cet animal, un accès total à mon ventre, à mon sexe. Mon bassin ondule face à la caresse de cette langue. Je la sens se glisser le long de mes lèvres puis remonter sur mon clitoris dardé. Je succombe sous l’onde de plaisir qui me traverse. Le chien me lape à grands coups de langue. Chaque repli de mon sexe est visité. Ma respiration s’accélère et je souffle de plus en plus fort. Mon ventre se projette et devance la langue de l’animal. Le chien grogne de plaisir. Il me lubrifie la vulve. La sensation est incroyable. Je me tords de plaisir sous cette caresse animale. Je me laisse emporter par les secousses du plaisir qui monte irrésistiblement.

Ma chatte ruisselle de mes jus et des spermes mélangés reçus cet après-midi. Le chien lape goulûment. Je me vide. Le chien ne fait aucune différence. Il lape à tout va. La langue épaisse et large stimule mes grandes lèvres, les petites et le clitoris. Au départ, caché dans son capuchon, la langue râpeuse l’a relevé et mis à jour le bouton sensible. Je crie de plaisir dans mon bâillon. Sous la torture infligée par le léchage, je ne peux résister. Mon corps s’embrase. L’orgasme est là, violent. Je serre brutalement mes cuisses et emprisonne entre mes cuisses la tête de Rex. Je m’écroule, suspendue à la corde. L’orgasme m’a fauché. Mes jambes ne me soutiennent plus. Monsieur Henry arrive. Il botte le cul du chien et me flanque une paire de calottes. Je n’ai jamais reçu une telle paire de gifles.

— Tu es une vraie chienne, une salope invétérée… te faire lécher par un chien… tu me dégoûtes… je vais prévenir Monsieur François…

Je regarde le chien qui dans son coin me regarde. Je remarque que le pénis du chien est sorti de son fourreau protecteur. Il est pointu, rouge vif, énorme. Il palpite et touche le pelage de son ventre.

Monsieur Henry réfléchit et me prévient :

— Ça te plaît de te faire lécher par un animal… Tu vas avoir de quoi te faire jouir…

Il sort. Le chien revient. Cette fois il me contourne. Il flaire mon cul. Il ne s’arrête pas à certaines considérations sanitaires. Il me lape le cul. La sensation est à la fois douce et irritante. Mais le plaisir que j’en ressens est merveilleux, sublime. Monsieur Henry revient avec Rail. Il chasse de nouveau le chien. Il présente mon sexe aux naseaux de Rail. L’animal, surpris, flaire le fumé de ma chatte. Sa langue est plus large, plus longue et surtout plus râpeuse que celle du chien. Elle est dure et il la met en cuillère. Elle me pénètre la chatte. Le plaisir est odieux, violent. Mon ventre ne peut cacher les ondes de plaisir qui le secouent. Monsieur Henry retire la tête de Rail de mon entrejambe. Il le place de travers. J’aperçois alors sous le ventre de l’animal son sexe. Je n’en avais jamais vu d’aussi près. C’est énorme, monstrueux. Du fourreau, sort un membre de 35 à 40 centimètres de long et de sept à huit de diamètre. Monsieur Henry le saisit à pleine main et le pointe vers moi.

De son autre main, il prend les testicules de l’étalon et les serre. Le résultat est immédiat. L’animal éjacule. Les jets de foutre chevalin me frappent entre les seins. Cela sent très fort. Le sperme dégouline sur mes seins et entre mes seins. Mon ventre est inondé. L’animal se secoue et les dernières gouttes restent accrochées au bout du vit gigantesque. Monsieur Henry essuie le membre de sa paume et me regarde droit dans les yeux.

— Tu es une sacrée salope… une vraie pute… une traînée… faire cela avec des bêtes… tu n’as pas honte…

Je ne peux pas répondre. Des grognements sortent de mon bâillon. Il me libère de cette entrave.

— J’ai honte, mais je n’y peux rien…

Il me frotte la paume sur la bouche.

— Avale… bois la semence de cet étalon chienne, pute…

Je ne peux pas me défendre. Il me pince le nez et je suis obligée d’ouvrir la bouche. Le reste de sperme me coule dans la bouche. C’est salé, âcre, mais pas forcément désagréable. Je lèche la paume tendue. Monsieur Henry retire sa main. Il va dans le coin du local et revient avec un jet d’eau. Il m’arrose. Je crie. L’eau est froide et la pression forte. Le jet s’arrête. Il vient vers moi. Il a dans la main une brosse en nylon. Il m’étrille comme il le ferait pour un cheval. Les poils durs me strient la peau. La brosse passe entre mes cuisses et trouve mon sexe. La douleur est insupportable. Je crie lui demande d’arrêter. Il continue de plus belle. Il pointe le tuyau vers ma chatte. Il pousse et fait pénétrer l’extrémité dans mon vagin. L’eau froide m’envahit et me glace. Mais, malgré la rudesse de l’acte, je suis contente. Je suis lavé de l’intérieur. Il me contourne. Pressant l’extrémité du tuyau, il fait un jet puissant. Il le pointe sur mon anus. De l’autre main, il écarte mes fesses.

Le jet me cingle la rondelle. La série de sodomie que j’ai prise cet après-midi m’a laissé l’anus dilaté. L’eau me pénètre… c’est froid. Je me vide. Il me rince et me sèche avec une serviette très rêche. Il me laisse le temps de reconduire Rail. A son retour, il me chausse avec mes talons hauts. Il accroche ma laisse à mon collier.

— Je te ramène à Monsieur François.

Nous traversons l’écurie. Le parc de l’entrée est éclairé par quelques rayons de soleil. Après avoir gravi les quelques marches du perron, il active la cloche. Maître FX est là.

— Alors Henry, comme s’est conduite ton élève ?

— Comme une moins que rien, Monsieur François… elle s’est fait sauter par tout le groupe de chasseurs puis elle a gouiné les deux serveuses. Au retour, elle s’est fait lécher la chatte et le cul par Rex le chien de Marcel. Je l’ai fait lécher par Rail et il lui a déchargé dessus. Elle a dégusté le reste de la semence dans ma main…

— Eh bien bravo, chienne… belle performance… merci Henry

— De rien, Monsieur François… au plaisir…

— Viens-toi, salope…

Il me tire par le collier. J’entre dans le hall. Il appelle Virginie. La soubrette ne devait pas être loin.

— Va me laver ça… je la veux en bas résille, porte-jarretelles et mini robe noire dans une demi-heure dans le salon. File…

Virginie m’a lavé avec beaucoup de patience et de douceur. Elle n’a eu aucun geste déplacé. Une demi-heure plus tard, elle me remet à Maître FX. Toujours en tirant sur la laisse, nous sortons. Il me fait monter dans le 4X4 Mercedes, à l’arrière. Je m’assois sur le sol. Il crochète ma laisse à un anneau sur le plancher du véhicule. Nous partons de la propriété. Nous roulons pendant une dizaine de minutes. Je ne vois pas où nous allons, la laisse me maintenant la tête plus bas que les vitres. Le véhicule se stationne. La porte arrière s’ouvre et Maître FX m’extrait. Nous sommes dans une rue. Une enseigne de notaire joue avec les derniers rayons de soleil. Nous nous dirigeons vers une petite porte en bois qui jouxte l’étude notariale. Maître FX sonne. Des pas résonnent sur un dallage. Le battant s’entrouvre. La tête d’une jeune femme se glisse dans la petite ouverture.

— Ah ! Bonjour, Maître FX… entrez, Maître Jacques vous attend…

— Bonjour Jade…

Elle se recule et ouvre la porte pour nous laisser le passage. Elle repousse le panneau. Nous sommes dans un jardin, invisible de la rue : pelouse, rosiers et autres plantations agrémentent la place. Jade passe devant nous. Elle ne porte qu’un petit tablier attaché autour de sa taille. Sa poitrine est libre. Son petit cul se dandine sur les talons hauts. Autour de ses cuisses, elle porte deux bandes de cuir. Je ne sais pas à quoi elles servent. Nous pénétrons dans la maison. Maître Jacques nous accueille. C’est un homme de soixante ans environ. Petit, bedonnant, presque chauve, les quelques cheveux qu’il lui reste sont sales et gras. Son regard est perçant, libidineux. Ses petits yeux noirs me fouillent. Ils me déshabillent.

— Bonjour vieux bouc…

— Bonjour François… comment va ?

— Bien… as-tu préparé le contrat que je t’ai demandé ?

— Oui, bien sûr… venez dans mon étude.

A travers un dédale de couloirs sombres, nous entrons dans l’étude. Un bureau de bois foncé trône au milieu de la pièce. Maître Jacques s’installe. Maître FX se laisse tomber dans un large fauteuil de cuir. La matière est patinée par le temps et aussi par la crasse. Personne ne m’offre de m’asseoir. Maître FX me tient toujours par ma laisse. Je reste debout à ses côtés.

— Je commence la lecture…

— Passe-nous les textes, viens en au fait…

— Voici le contrat qui nous amène :

" Aujourd’hui, le 27 juin 2001, nous…(je passe)

Nous sommes réunis…

Mademoiselle Charlotte X

Saine de corps et d’esprit, n’agissant sous aucune contrainte, accepte de vivre à temps complet chez Maître FX pour une période d’une année. Elle sera mon esclave et devra toujours obéir à ses ordres.

Sa maison sera louée pendant cette période.

Fait le 27 juin 2001,

A XXX

Signature"

— Mais, Maître Fx, vous ne m’avez pas parlé de ce contrat…

— Silence… signe… comment veux-tu progresser dans ta soumission si tu restes la semaine chez toi ? Tout serait à refaire le week-end… signe, ne nous fait pas perdre de temps…

Un peu à contrecur, je signe. Je n’ai pas le choix.

— Voilà une bonne chose de faite…

— Mais comment vais-je faire pour mes affaires, mes meubles ???

— Georges et Virginie iront chercher tes vêtements. Ta maison sera louée meublée…

Pendant ce temps, Maître Jacques range les papiers. Puis il s’adresse à Maître FX:

— Cher ami,… pour le règlement de mes frais…

— C’est cette chienne qui va te régler……

Il décroche ma laisse…

— Elle est à vous, cher ami, payez-vous sur la bête… pendant ce temps, je vais voir Jade……

— Je vous en prie… Allez toi avance vers moi…

Je passe de l’autre côté du bureau. Je suis face à lui. Aussitôt, sa main droite file sous ma robe, entre mes jambes, haut, très haut.

— J’aime les culs nus… sans poil…

Il me tourne et m’appuie sur le bord du bureau…… Sa main se pose sur ma nuque et m’oblige à m’allonger à plat ventre sur le plateau. Ses deux mains saisissent le bas de ma robe et remontent mon vêtement sur ma taille. Les fesses à l’air, je l’entends fourrager dans son pantalon. Je vois comment je vais payer le contrat.

— Tu vas savoir pourquoi François m’a appelé "vieux bouc"…

Ses mains me prennent par le gras de la fesse et les écartent violemment. Je crie :

— Vous me faites mal…

— Une claque me tombe sur la fesse droite.

— Aie…

— Tais-toi…

Il se baisse et me crache sur ma rondelle fripée… c’est froid. Aussitôt, une présence pointe sur mon anus. Il donne un coup de reins et son gland s’enfonça dans mon cul. Un cri de douleur ponctue l’intromission. J’adore la sodomie, me faire défoncer le cul. Mais là je commence à comprendre ce que veut dire "monter comme un bouc". Je trouve que Maître Jacques va trop vite pour me prendre l’anus. Je me cramponne au bord opposé du bureau avec mes deux mains. Mon sphincter ne semble pas vouloir céder. Il m’empale, d’un seul coup. Immédiatement, la douleur brûlante irradie ma rondelle. Le muscle est distendu au maximum. Il va me déchirer. Je suis bonne pour l’hôpital. Mon Dieu qu’il est gros ! Me voilà en train d’implorer le bon Dieu… je perds franchement la tête. Je me demande comment mon petit trou peut avaler cette énorme queue. Il pousse encore une fois et rentre plus de la moitié de sa queue d’un seul coup. La douleur me chavire. Maître Jacques se soucie de mes douleurs comme de ses premières chaussettes.

Il entame une poussée supplémentaire. Je me demande si c’est sa queue qui m’encule ou si c’est une barre de fer rouge. Je me relâche, me détends pour essayer de m’habituer à son diamètre. Je sens sa progression dans mon étroit conduit. Il donne quelques légers coups de reins. Il pénètre un peu plus. Quelques minutes plus tard, ses couilles touchent mes fesses.

— Ca y est, je suis tout entier dans ton cul, salope…

Il reste quelques instants, immobile puis entame de lents va-et-vient. C’est une véritable bête. Ses coups sont comme des ruades, violentes, profondes. Son pubis claque contre moi à chaque coup de boutoir. Il pousse comme s’il voulait me transpercer, comme s’il cherchait à aller toujours plus loin. Ma position est très inconfortable. Mon pubis, à chaque coup de reins de Maître Jacques, tape contre le bord du bureau. La peau de mon ventre va se rappeler de la bordure du vieux bureau. Les mouvements de reins s’accélèrent. Maître Jacques va jouir. Je lui facilite la tâche en me cambrant le plus possible. Il se rue dans mes reins. S’il continue ainsi, son sexe va me transpercer ou me sortir par la bouche. Son sexe palpite et prend encore plus de volume. Les spasmes de sa verge me secouent. Les jets remplissent mon conduit. A chaque spasme, j’ai l’impression que mon boyau va exploser. Son éjaculation ne cesse pas. Il jouit longuement. Enfin, il s’écroule sur le dos, le souffle court, en nage.

Il se redresse rapidement. Sans aucune précaution, il se recule. Son gland n’a pas diminué de volume. C’est comme s’il m’arrachait les tripes. Je hurle de douleur. Je me touche l’anus. C’est une brûlure horrible. Je pleure à plat ventre sur le bureau.

— Allez salope, arrête de pleurnicher… amène-toi… on ne va pas passer le réveillon là-dessus…

Je me redresse. Je le suis dans le couloir. Je marche comme si j’avais un tonneau entre les jambes. Je suis courbée en avant. J’ai mal. J’ai la sensation que je fuis. Je passe ma main entre mes cuisses. Je la ressors poisseuse, engluée d’un liquide blanchâtre mêlé de traces brunes. C’est dégueulasse… il me tend son mouchoir.

— Essuie-toi

Le mouchoir est douteux. Mais plutôt que me vider sur mes cuisses et les bas, j’éponge les liqueurs qui sortent de mon cul. Nous arrivons dans le salon. Maître FX est assis dans un fauteuil, les cuisses largement écartées. Son pantalon est sur ses chaussures. Entre ses cuisses, à genoux, Jade est installée. Elle a le sexe mâle dressé sous le nez. L’engin est assez gros. Sans hésiter elle le prend d’une main. Elle peine à en faire le tour. Elle donne des petits coups de langue sur le bout du gland. Maître FX avance le bassin. Il n’en peut plus. Elle prend le bout entre ses lèvres, le suce doucement. Elle l’enfonce doucement dans sa bouche en le faisant coulisser. Elle absorbe tout le gland, le suçant de plus belle. Au passage, elle le mordille de ses incisives. Grâce aux lents va-et-vient, sa bite durcit. Je constate qu’elle a du mal à l’avaler. Maître FX veut aller plus loin et donne des coups de bassin. Jade tient le membre par la base entre ses doigts. Elle le serre. Le sexe prend des proportions impressionnantes.

Elle recommence un mouvement très lent de va-et-vient. De l’autre main, elle empaume les testicules. Elle joue comme elle le ferait avec des boules chinoises. Elle les fait tournoyer dans sa paume, les écrase doucement. Mais elle exécute sa fellation avec encore plus d’énergie. Jade ne se lasse pas de déguster la verge. Plus elle le suce, plus la queue grossit. Vu le visage de Maître FX, Jade suce merveilleusement. Maître Jacques intervient :

— Vas-y François, laisse toi aller… cette salope adore le sirop de corps d’homme…

Jade s’active de plus en plus.

— Jade, ma salope, François va te juter dans la bouche… tu vas tout avaler… tout boire… jusqu’à la dernière goutte… je veux que tu le mettes à genoux, qu’il ne puisse plus se relever… ce qu’il m’a offert avec sa chienne était remarquable, je ne voudrais pas être redevable à son encontre…

Est-ce les paroles de Maître Jacques ou la fellation de Jade ou les deux réunies, Maître FX ne peut se retenir. Il se cambre dans le fauteuil. Il tient la tête de Jade par les cheveux, l’obligeant à garder son nez perdu dans les poils de son pubis. Il se vide les couilles au fond de sa gorge en plusieurs jets. Elle peine à avaler et à respirer. Elle hoquette. Le sperme lui sort par le nez. Maître FX lui oblige à tout avaler.

— Maintenant que tu m’as épongé, tu vas me nettoyer… avec ta langue…

Jade se met au travail. Elle se met à astiquer cette queue qui s’est vidée en elle. Quelques minutes plus tard, le sexe est propre comme un sou neuf. Le gland brille tellement qu’elle ne résiste pas. Elle lui donne un petit coup de langue. Maître FX se relève et la bouscule. Elle tombe sur les fesses, les cuisses largement écartées, le tablier relevé sur son ventre. Je remarque l’utilité des bandes de cuir autour de ses cuisses. Un mousqueton accroché à la bande de cuir est pris sur un anneau. L’anneau tire sur la grande lèvre du sexe de Jade. Elle est percée aux lèvres. Son sexe baille, les lèvres largement écartées par les anneaux. Maître Fx remarque mon regard

— Cela te plaît ? Tu aimerais être percée et annelée comme Jade ?

— Je ne sais pas… cela doit faire mal…

— Jade as-tu eu mal lorsque tu as été percée ?

— Non, Maître, c’est pour le plaisir de mon Maître et de ses amis…

— Reste comme tu es et montre-toi mieux…

Jade s’installe sur les fesses. Elle laisse tomber ses cuisses de chaque côté. Son sexe s’ouvre en corolle comme une fleur rouge. Plus elle écarte les cuisses, plus les mousquetons tirent sur les anneaux et les anneaux sur les lèvres. On admire l’intérieur du sexe. Il est rouge foncé, gorgé de sang. Les parois sont humides, et des perles de mouille apparaissent sur les parois du vagin béant.

— C’est très joli, Jade… je pense que Charlotte voudra rapidement me faire le même plaisir…

Nous quittons l’étude. Maître Fx me positionne comme à l’aller. Il fait nuit noire quand nous arrivons au château. Aussitôt arrivé, Maître FX me somme de me mettre nue. Je ne dois que garder mes bas et mes chaussures. Je n’ai que ma robe à poser. Pour la première fois, je suis invité à m’asseoir à la table. Nous dînons normalement, si dîner nue est normal. Dès vingt-deux heures, mon Maître m’ordonne d’aller me coucher. Virginie me conduit à une chambre. Je passe dans la salle d’eau. Une douche me remet sur pied. Je me couche entre des draps propres. Tout compte fait, Maître FX n’est pas si méchant que cela. Je m’endors rapidement.

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