Une fois notre pique-nique rangé, on retrouve Laure sur la terrasse. Nous sommes nus tous les trois et regarder déambuler Laure ainsi est terriblement excitant.

— Ma chérie, me dit-elle, il va falloir te calmer un peu. Jaimerais temmener en ville à mon tour. Allé suis moi !

Elle mentraine vers sa chambre où elle me montre tout un ensemble de tenues que je vais pouvoir porter.

— Pour sortir, celle-ci serait pas mal, dit-elle en me positionnant la jupe en jean sur les hanches. Mais il va falloir dissimuler ton gros clito ma chérie, ajoute-t-elle me attrapant ma queue encore en érection.

Je la suis dans la salle de bain. Installé sur le bidet, je masperge la bite et les couilles avec le jet deau froide. Je pers rapidement de la vigueur et une fois ma queue devenue bien petite, elle messuie rapidement pour me faire enfiler une culotte en latex fendue sur les fesses. Je me retrouve avec le sexe complétement ramassé. Elle me tend la jupe que je peux alors enfiler sans faire une bosse disgracieuse sur le devant. Elle glisse sa main sur mes fesses et je sens ses doigts se glisser dans ma raie pour titiller ma rondelle.

— Tu vois ma chérie, tu es toute disponible comme ça !

— Cest très excitant de porter une jupe et davoir les fesses à lair libre !

— Passe ce soutien-gorge avec ces prothèses, tu vas faire un bon 90C

Jaccroche rapidement les agrafes dans mon dos. Quel plaisir de sentir le volume de ces faux seins sur ma poitrine. Jenfile le tee-shirt quelle me tend. Je me regarde dans la grande glace. Jai une silhouette plutôt sexy je trouve.

— Tu vas en faire tourner des têtes, me dit-elle, nous allons en ville.

— Mais tu crois que

— Allons ma chérie, il te faut assumer pleinement ton état de femelle. Regarde comme tu es jolie tu es faite pour ça ! depuis le temps que tu fouilles dans les affaires de ta mère, que tu les portes

— Comment le sais-tu ?

— Mais elle me la dit ma chérie. Elle a vite remarqué que ses affaires étaient déplacées. Il ny avait plus que toi à la maison ce nétait plus ton père qui ouvrait les tiroirs

— Mon père qui

— Oui, ton père aussi faisait ça. Tu es comme lui ma chérie, une bonne petite femelle. Lucie, ta mère, et moi sommes de très bonnes amies. Nous avons grandi toutes les deux ici. Jallais souvent chez elle. Ta gm nous laissait faire plein de chose. Quand elle nous a trouvés au lit en pleine après-midi, en train de faire lamour, elle na rien dit, au contraire. Elle nous a rejointes ! elle dormait déjà avec ta mère depuis un moment. Nos premiers hommes, on les a eu ensembles. Mais aucun ne nous a comblées. Jusquà ce que nous trouvions ton père et celui dEric. On est tombé sur eux lors dune soirée chez des amis. On cherchait une chambre, avec ta mère. Ils étaient tous les deux comme je tai trouvé avec Eric tout à lheure. On a fini par baiser tous les quatre. Par la suite, cétait plutôt eux qui se faisaient baiser par nous, surtout après leur avoir fait reconnaître leur gout pour les dessous féminins. On sest marié. Le plus drôle cest quils portaient des bas et un porte jarretelles sous leur pantalon pendant la cérémonie !

Une fois que Lucie et moi avons été mises enceintes, on a décidé que nos maris allaient devenir définitivement des femelles. Ton père est devenu Jeanny et celui dEric Sara. Ta gm nous a bien aidées. Elle connaît beaucoup de monde

— Elle sait pour moi ?…

— tu crois que ce matin, cest le hasard qui a fait venir Jacques dans la cabine ? ta gm est doué pour toutes ces choses. Elle ta invitée à venir chez elle car elle te savait prête à franchir le pas.

— Donc tout le monde sait Maman aussi ?

— Mais bien sûr ma chérie ne tinquiète pas tu vas avoir 18 ans dans peu de temps et tu seras alors officiellement Paulette… et pour faire honneur à ta mère et à toute ta famille, il va falloir te préparer.

Encore étourdie par toutes ces révélations, je me laisse conduire par Laure vers le centre-ville où elle désire me confronter tout de suite avec mon nouveau statut de femelle.

Tout dabord intimidé intimidée de me retrouver dans la rue dans ma nouvelle tenue, je my sens rapidement à laise. Elle me guide dans les petites ruelles jusquà une boutique très discrète, où seule une petite plaque signale Dessous et dentelles près de la porte.

— Laure, ma chérie, il me tardait de te voir ! dit une grande femme rousse accueillant Laure avant de lembrasser sur la bouche. Depuis que tu mas parlée de la petite de Lucie..

— Que voilà. Irène, je te présente Paulette Paulette, voici Irène

— Bonjour Madame, dis-je timidement

— Elle est bien sa fille . Et de Jeanny aussi

Irène est une femme assez grande. Ses longues jambes apparaissent encore plus fines dans ce fuseau noir moulant parfaitement ses cuisses et ses hanches. Son chemisier blanc léger largement ouvert sur une sorte de corset noir lui faisant une taille très fine, met en valeur une poitrine opulente supportée pas des balconnets. Un soutien-gorge noir en dentelle enveloppe ses seins généreux en laissant deviner ses gros tétons sombres. Penchée vers moi, elle moffre son décolleté plongeant en me complimentant sur mon allure.

— Tu as déjà une bonne allure ma chère. On dirait bien que lhérédité fonctionne pour ça aussi !

— Tu me disais avoir de nouveaux corsets ?

— Tout à fait et parfaitement adaptés à nos petites femelles tu vois, ils sont ajustables facilement portés assidument, ils sculpteront parfaitement leur corps.

Laure me fait signe de me dévêtir. Je me retrouve en culotte devant ces deux femmes.

— Et tu pourras y fixer les sangles pour tous les godes que tu veux ma chérie. car je suppose que tu vas la dilater un peu ?

— Oui, bien sûr. Même si elle est plutôt déjà ouverte

— Cest vrai ?….

Irène a glissé sa main entre mes fesses et son doigt agile est déjà à moitié entré.

— Elle semble assez souple en effet mais essayons dabord un corset

Commence alors les essayages de corsets différents. Laure arrête enfin son choix sur un modèle qui marque bien la taille.

— Quelques semaines avec celui-là, et tu auras une croupe de vraie salope !

— Tu es passée voir Sophie, demande Irène

— Jy vais en sortant dici !

— Alors je te laisse filer. Jespère que tu me la prêteras un de ces jours ?

Elle nous embrasse toutes les deux et nous sortons.

— On passe chez Sophie maintenant il faut commencer ton traitement tout de suite !

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