Clémence avait épousé Cyril quelques années plus tôt. Dans ses bagages, Cyril avait emmené Ophélie et Justin, ses enfants d’un premier lit. La famille recomposée vivait des jours heureux. Mais les années commençaient à s’accumuler. Et malgré la jeunesse et la beauté de Clémence, Cyril avait de plus en plus de mal à assumer son rôle de mari dans la chambre. Dans le même temps, Ophélie se faisait de plus en plus femme et attirait les garçons. Il n’en fallait pas plus pour que Clémence commence à jalouser sa belle-fille. Cette dernière s’en aperçut très vite. Tous les efforts de Cyril pour que sa femme et sa fille s’entendent semblaient vains…

Jusqu’à cette fameuse soirée…

Ophélie ! Il y a quelqu’un pour toi, hurla Clémence à la porte.

J’arrive.

A la porte l’attendaient deux de ses amis’. Clémence savait pertinemment pourquoi ils étaient là et quelle fin de soirée ils espéraient.

Alors, ce soir, c’est eux qui vont te sauter ?, grommela Clémence.

Sûrement, répondit-elle enjouée.

T’es vraiment qu’une…

Ce n’est pas de ma faute à moi si papa n’arrive plus à avoir envie de ça, lança Ophélie avec un regard dédaigneux pour sa belle-mère.

Puis Ophélie sortit avec les deux garçons alors que Clémence retournait à son désespoir de femme délaissée.

Moins d’une heure plus tard, la porte s’ouvrit à nouveau. Ophélie rentrait bien tôt ce soir. Mais elle semblait accompagnée. Clémence dévala les escaliers pour aller à la rencontre de la jeune fille et lui dire sa façon de penser. Elle fut arrêtée net par ce qu’elle vit. Ophélie était accompagnée de trois garçons.

Je n’ai pas été très sympa avec toi tout à l’heure, lui dit Ophélie.

Comme d’habitude, répondit Clémence.

Oui, mais je me suis rendu compte que… tu… ne mérites pas ça.

C’est gentil de ta part, si tu le penses vraiment.

Je le pense et je ne suis pas la seule. Les gars, vous pensez que c’est normal de ne pas bander pour elle ?, demanda-t-elle aux garçons.

Non, O. Elle est bonne ta belle-mère, répondit un des garçons.

Clémence se rendit alors compte qu’elle était descendue de la chambre en ne portant sur elle que sa nuisette. Soudainement, elle se sentit nue… terriblement nue devant les yeux pervers qui la fixaient.

Allez chercher mon père. Il faut qu’il voie la suite.

Les garçons montèrent l’escalier à toute vitesse. Ils redescendirent quelques minutes plus tard avec Cyril, à peine éveillé et bien hébété. Ils l’installèrent sur une chaise à laquelle ils le ficelèrent.

Papa, tu ne t’occupes plus de ta femme comme il faut. Je sais que tu n’es plus de première jeunesse donc tu n’y es pour rien. Mais, parce que je t’aime, mon petit papa, je veux t’aider.

En faisant brutaliser ma femme ?, questionna hargneux Cyril.

Non, si elle ne veut pas, il ne se passera rien. Et si tu es capable de t’occuper d’elle, on vous laisse… Alors ?…

Cyril baissa les yeux, conscient de son incapacité. Ophélie fit alors un signe à Alban, un des garçons qui s’approcha de Clémence. Il l’attrapa par les hanches et déposa un doux baiser sur ses lèvres. Le garçon commença à lui caresser la poitrine. Derrière elle, Clémence entendait la voix d’Ophélie qui lui disait : « Si tu veux, tout s’arrête. » Mais elle ne bougeait pas. Les baisers s’arrêtèrent tout de même. Clémence sentit que le garçon appuyait sur ses épaules. Elle descendit doucement jusqu’à se retrouver à genoux. Alban défit alors sa braguette et sortit son sexe déjà bandé.

Elle suce ta belle-mère ?, demanda Alban.

Papa ? Elle suce ta femme ?, questionna alors Ophélie.

Ne fais pas ça… s’il te plaît, implora Cyril, les larmes aux yeux.

Non, elle ne suce pas. Enfin, pas encore. Ouvre la bouche, ordonna Ophélie à sa belle-mère.

Et Clémence finit par ouvrir la bouche. Alban y enfourna son sexe. L’agrippant pas la nuque, il commença à faire aller et venir sa verge entre les lèvres de la femme. Clémence tournait les yeux vers son mari qui, impuissant, voyait la bouche de son épouse forcée par un sexe bien durci. Alban faisait taper ses bourses contre le menton de Clémence. Elle bavait abondamment laissant couler des filets sur son torse.

Tu l’aimes bien ma bite, hein, sale pouffiasse ?, demanda Alban.

Elle ne peut pas répondre. Tu lui fourres la bouche, ricana Ophélie.

Alban finit par se retirer de la bouche de Clémence. Des larmes avaient coulé de ses yeux et de la bave maculait son menton et sa nuisette. Alban releva la femme par le bras et l’envoya vers Samuel et Luc qui n’attendaient que ça. Samuel, derrière elle, souleva la nuisette de Clémence et glissa son doigt le long de son sexe.

Elle dégouline !

Sa nuisette est toute sale, ajouta Luc.

D’un geste brutal, il déchira le fin tissu qui tomba en lambeaux aux pieds de Clémence. L’attrapant par les cheveux, Luc fit pencher Clémence vers sa verge qu’il avait sortie. Il lui fourra dans la bouche que la femme avait ouverte consciente de ne plus pouvoir lutter contre ses instincts. Samuel glissa facilement deux doigts dans le sexe brûlant de Clémence. Il commença à la branler sans douceur. Clémence malgré sa bouche remplie se mit à gémir. Luc besogna la gorge de Clémence pendant quelques minutes avant de se retirer. Samuel la redressa et l’entraîna sans ménagement jusqu’à Cyril. Il lui fit tourner le dos à son mari. Elle fut forcée de se pencher pour lui montrer son sexe. Samuel posa ses mains sur les fesses et les ouvrit.

Tu as bien vu ce cul ?, lança le jeune homme. Tu l’as déjà bien baisée cette salope ?

Oui, il l’a bien baisée… avant… répondit Ophélie.

Et cette belle chatte ? Tu as vu comme elle mouille ? Tu crois qu’une belle chatte comme ça peut se passer de bite ?

S’il vous plaît, implora de nouveau Cyril.

Mais cette supplication ne fit qu’exciter un peu plus Samuel qui bandait déjà bien dur. Il se positionna derrière la femme. Il s’enfonça d’un coup sec dans le sexe béant de Clémence qui hurla de plaisir. Placé où il était, Cyril ne manquait rien de la verge de Samuel qui allait et venait dans le sexe de son épouse. Clémence gémissait de plaisir de se sentir de nouveau remplie par une verge de mâle. Elle ne pouvait se contenir. Ophélie s’approcha alors de son père.

C’est comme ça qu’on baise une bonne cochonne… A couilles rabattues…

S’il te plaît, Ophélie…

Tu trouves qu’on la ménage trop, papa ?, demanda la jeune fille.

Non… S’il te plaît… Laisse-la… Elle ne mérite pas ça.

Au contraire. Elle mérite d’être baisée comme une chienne. Tu ne peux plus alors mes copains prennent le relais. C’est pour toi.

Ophélie dressa alors une main ferme qu’elle fit retomber dans un claquement sur la fesse de Clémence. Une belle trace rouge la marqua alors. Ophélie recommença sur l’autre fesse. Elle claqua ainsi à plusieurs reprises Clémence qui criait à chaque fessée. Pendant ce temps, Samuel continuait à la besogner avec vigueur. Il finit par ressortir avant de jouir laissant le sexe de Clémence béant de désir.

Ophélie l’attrapa alors par les cheveux et la rendit à Luc. Il la positionna à quatre pattes sur le sol et prit place derrière elle. Il s’enfonça dans le sexe trempé de Clémence.

Mais c’est que sa chatte avale ma bite !

Ouais, c’est une vraie affamée, ajouta Samuel.

Agrippé à ses hanches, Luc envoyait de gros coups de butoir dans le sexe de Clémence. Cette dernière gémissait bruyamment de plaisir. Samuel qui avait suivi la femme, attrapa et commença à lui malaxer la poitrine. Alban s’était approché de Cyril et Ophélie.

Son cul ? On peut lui prendre son cul ?, demanda Alban.

Je ne sais pas. Papa ? Elle a l’habitude de se faire enculer ?

Arrête Ophélie !, hurla Cyril.

Demandons-lui… Tu veux qu’on arrête Clémence ?, questionna Ophélie.

Non… S’il vous plaît… Continuez, répondit Clémence entre deux halètements.

Je peux t’enculer, jolie pétasse ?, voulut clarifier Alban.

Fais ce que tu veux, accepta Clémence.

Luc continuait à besogner Clémence alors quAlban s’approchait. Il lui donnait de grands coups de verge en lui claquant gentiment les fesses. Samuel tripotait toujours les seins de Clémence. La femme s’aperçut alors qu’elle était entourée, à la merci des trois garçons. Cyril, bien qu’impuissant, tenta de ruer pour voler au secours de son épouse mais Ophélie l’en empêcha.

Elle a ce qu’elle veut… ce qu’elle mérite…

Luc quitta le sexe de Clémence et fit signe à Alban qu’il pouvait prendre sa place. Alban se positionna et, des deux mains, ouvrit les fesses de Clémence. Il posa son gland sur le petit trou de la femme. Il se mit alors à pousser pour entrer. Clémence se mordit les lèvres pour tenter de ne pas hurler. Mais la douleur était trop forte et Clémence cria à l’entrée d’Alban dans son anus. Loin de l’arrêter, ce cri excita Alban qui s’enfonça jusqu’à la garde entre les fesses de Clémence. Une fois bien au fond d’elle, il commença à aller et venir dans son anus. Clémence gémissait, haletait, criait de douleur et de plaisir. Ophélie commentait à l’oreille de son père l’attitude de « sale enculée » de sa belle-mère.

Visiblement au bord de l’orgasme, Alban se retira du cul de Clémence. Samuel s’allongea au sol et invectiva la femme.

Grimpe sur ma bite… Et fous-toi la dans la chatte. Je sais que tu crèves d’envie de me sentir encore te remplir le con.

Clémence, presque comme un robot, chevaucha Samuel et s’empala sur sa verge dressée. Elle commença à monter et descendre le long de ce dur barreau de chair. Ophélie s’approcha alors de sa belle-mère et la poussa pour qu’elle se penche sur Samuel. Elle se tourna vers Luc.

Son trou du cul est libre. Je suis sûre qu’elle aimerait être prise par deux gars en même temps.

Ne se faisant pas prier, Luc prit place derrière Clémence. Il se positionna à l’entrée de l’anus déjà ouvert de la femme et poussa fort pour l’enculer. Durant toute la progression de Luc entre ses fesses, Clémence lançait des cris de douleur et plaisir mêlés. Lorsqu’il fut bien au fond d’elle, il invita Samuel à recommencer ses va-et-vient. En rythme les deux garçons baisaient Clémence qui exprimait son plaisir sans retenue. Elle poussait de grands cris et avait la bouche grande ouverte comme pour chercher de l’air. Ophélie s’approcha alors de sa belle-mère.

Ils ont de bonnes bites mes copains ?

Oui… c’est… trop bon, répondit Clémence.

Et ils te baisent bien, ma salope.

Mmmmm… Oui…

Et tu te fais bien enculer aussi… comme la bonne chienne que tu es.

Je suis une… bonne… grosse… sale chienne.

Ophélie fit alors signe à Alban de s’approcher. « Fous-lui ta bite dans la bouche. » lui dit-elle simplement. Alban se mit devant Clémence, attrapa ses cheveux pour lui redresser la tête et enfonça sa verge dans la bouche ouverte de la femme. Ainsi trois sexes étaient en elle. De concert, ils la besognèrent pendant un petit moment avant que Samuel ne demande grâce.

Ophélie demanda alors aux trois garçons de se mettre autour de Clémence. Cette dernière agenouillée au centre était entourée des trois verges tendues. Les garçons commencèrent à se masturber alors que Clémence passait d’un gland à l’autre pour les téter ou les lécher. Très vite, une première giclée de sperme vint s’écraser sur le visage de la femme. Une deuxième puis une troisième suivirent lui maculant aussi la poitrine.

Les trois garçons reprirent alors leur affaire et furent raccompagnés par Ophélie jusqu’à la porte. Lorsqu’elle revint, Clémence était toujours nue, à genoux, du sperme collant sur le visage et les seins, dégoulinant jusqu’à son ventre.

Tu as bien joui, maman ?, demanda Ophélie.

Oui.

Et toi, papa ? Ça t’a plu ?

Mais Cyril ne répondit pas. Un sentiment mélangé d’excitation et de colère l’empêchait de formuler la moindre réponse.

Je peux aller me laver ?, demanda Clémence.

Non… Ce n’est pas tout à fait fini, répondit Ophélie. Justin, tu peux venir.

Justin, la verge à la main, sortit de la cachette qui lui avait permis de profiter du spectacle. Il s’approcha de sa belle-mère et, sans lui laisser le temps de réagir, lui enfonça son sexe dans la bouche. Il commença à donner de grands coups de reins faisant taper ses boules sur le menton déjà maculé de sperme de sa belle-mère.

Justin, mon fils, s’il te plaît… Laisse la tranquille.

Elle aime la bite cette cochonne ! Je lui donne de la bite… Depuis le temps qu’elle m’excite.

Il lui fonça la gorge un petit moment puis sortit de la bouche de Clémence. Elle subissait, hagarde, le traitement que lui infligeait son beau-fils. Ne lui laissant aucun repos, Justin fit se mettre à quatre pattes Clémence et se mit derrière elle.

Depuis le temps que je rêve de ce cul !

Prends-le, elle ne dira rien, lui dit amusée Ophélie.

Joignant le geste à la parole, Justin dirigea son sexe tendu et couvert de bave vers le petit trou de sa belle-mère. D’un geste brutal et rageur, il sodomisa d’un coup sec Clémence qui hurla. L’agrippant d’une main par les cheveux et de l’autre par les hanches, il se mit à l’enculer bestialement. Clémence hurlait à chaque coup de butoir. Ces cris galvanisaient Justin. Il la sodomisa de longues minutes. Ophélie crut même un moment qu’il n’allait pas finir. Mais il finit par se retirer.

Par les cheveux, il redressa Clémence et lui fourra de nouveau sa verge salie dans la bouche. Il lui besogna la gorge de nouveau. Il finit par la coller contre lui ne lui laissant plus d’espace pour respirer. C’est alors qu’il jouit, se déversant dans la gorge de sa belle-mère. Les yeux grands ouverts et presque révulsés, Clémence avala tout le sperme de son beau-fils. Lorsqu’il eut fini, Justin se retira et tapota la joue de Clémence comme pour la féliciter. Puis il se rhabilla se retourna dans sa chambre.

Je peux aller me laver maintenant ?, demanda Clémence.

A l’heure qu’il est, il est grand temps pour toi d’aller au lit, lui répondit Ophélie.

Mais je ne peux pas aller au lit comme ça.

Bien sûr que si, ricana la jeune fille.

Alors que Clémence, les orifices endoloris et salie montait dans la chambre, Ophélie défit les liens de son père.

Tu devrais avoir honte de ce que tu as fait, lui dit Cyril.

Pas du tout… Je sais que ça t’a fait de l’effet. Monte et baise ta femme. Elle n’espère que ça.

Cyril finit par monter dans la chambre. En y rentrant, il vit sa femme, à quatre pattes sur le lit.

Baise-moi !

Et Cyril ne se fit pas prier pour faire jouir une nouvelle fois la salope perverse qui lui servait d’épouse.

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