La semaine ne se déroula malheureusement pas comme prévu. Gérard croulait sous le boulot et rentrait tous les soirs très fatigué. Aussi, il n’était pas très enclin à s’occuper de moi. Pourtant tous les soirs, je mettais une des tenues préparée par Charles. Il ne se passa pas un soir durant lequel je n’avais pas une robe ou une jupe très courte, des sous-vêtements sexy ou, sur demande de Gérard, aucun sous-vêtement. Mais je ne pus le satisfaire comme je l’aurais souhaité.
Le jeudi soir, j’ai tout de même demandé à Gérard de s’occuper de moi.
« Tu as quoi en tête ? Tu sais que je suis un peu…
— Oui, mais tu peux te servir sur moi des jouets.
— Mais, ils sont un peu particuliers.
— Je veux que tu le voies, que tu profites de moi. Je veux te donner… ça… »
Après avoir ouvert le sac, Gérard sortit tout ce que Charles avait préparé. Pour l’occasion, j’avais mis une guêpière noire et rouge avec le string assorti, un chemisier en voile et une jupe si courte que l’orée de mes bas apparaissait. Le tout était complété par une paire de chaussures à talons vertigineux.
« Approche… »
Il commença par me lier les mains dans le dos avec les menottes. Assis sur le fauteuil au milieu du salon, il m’obligea à marcher devant lui. Il se moqua de ma démarche hésitante avec ses chaussures franchement peu adaptée à la marche. Soudain, il fouilla parmi les jouets de Charles et en tira une cravache. Pendant que je marchais devant lui, il fit glisser le bout de la cravache sur mes jambes et mes fesses. Puis, un premier coup s’abattit sur une de mes cuisses. La surprise faillit me faire tomber ce qui amusa beaucoup Gérard.
« Viens ici. Face à moi. Jambes écartées… »
J’obéis et Gérard commença à faire jouer la cravache sur mes jambes. Des petits coups sur l’intérieur et l’extérieur de mes cuisses et remontant doucement. Je sentais une douceur chaleur envahir mon ventre et j’eus un frisson quand je sentis la pointe de la cravache contre mon string. Il m’y tapota quelques instants. Mon plaisir augmentait en même temps que la douleur que je ressentais.
« Enlève ton string. »
Bien entendu, je fis ce que Gérard me demandait et j’ôtais mon string. La cravache revint jouer mais directement sur mon sexe. Il tapotait, écartait mes lèvres, glissait entre elles. Au bout d’un moment, il approcha la cravache de son nez.
« Tu sens l’envie. Tu aimes ?
— Je crois que oui.
— Pardon ?
— Oui j’aime ce que tu me fais…
— Maître…
— Quoi ?
— Tu dois finir tes phrases par Maître…
— D’accord, Maître.
— Prends ma place, tes mains sur l’assise, le cul cambré. »
Dans cette position, Gérard releva ma petite jupe et commença à caresser mes fesses. Il glissa petit à petit entre mes cuisses et entama une légère masturbation qui me fit vite décoller. Ses doigts allaient et venaient le long de mon sexe ruisselant. Soudainement, il enfonça un de ses doigts entre mes cuisses. Il me pénétra ainsi, sans douceur, en appuyant sur mes hanches pour que je me cambre plus. C’était dégradant mais, bizarrement, particulièrement agréable. Alors que j’allais jouir, Gérard retira son doigt de mon sexe. Je n’osais pas bouger mais je ne le sentais plus ni même l’entendais.
« Chéri ?… Chéri ?… M… Maître ?
— Oui…
— J’ai eu peur que tu sois parti… Maître.
— Non, je t’observe, ma petite chatte en chaleur. »
Je l’ai alors senti s’approcher de nouveau. Sans prévenir, deux doigts entrèrent dans mon sexe et commencèrent à aller et venir en moi. C’est alors que j’ai senti un autre doigt contre la raie de mes fesses. Ce nouveau doigt appuya fermement sur mon petit trou jusqu’à ce qu’il lui laisse le passage. Totalement soumise à mon homme, mon Maître, je le laissais me pénétrer et me sodomiser sans bouger. Le plaisir était si fort que je ne pouvais que le ressentir et me laisser porter. Soudain, ce fut trop fort et je me suis mise à jouir en gémissant.
Lorsque j’ai repris mes esprits, j’étais à genoux, le torse sur l’assise du fauteuil et la tête enfouie dans le coussin. Puis j’ai de nouveau senti les mains de Gérard sur moi. Tout d’abord, elles furent douces, caressantes… Puis, soudainement, une violente claque heurta mes fesses. Elle fut suivie de nombreuses autres claques qui firent chauffer mes fesses.
« Quel beau cul ! Tu aimes que je le claque ?
— Non, Maître, dis-je sans le croire vraiment moi-même.
— C’est parfait. Je vais donc y aller plus fort. »
Et, effectivement, il intensifia ses fessées. Il me faisait mal mais, entre mes cuisses, je commençais à me liquéfier. Gérard s’en aperçu puisqu’il passa sa main entre celles-ci sur mon sexe brulant de désir. J’étais aux anges, partagée entre la douleur des claques sur mes fesses et le plaisir de ses doigts contre mon sexe. Il passa une dernière fois ses doigts le long de mon sexe mouillée puis il les approcha de ma bouche.
« Lèche ! »
Docilement, je me suis exécutée et ai nettoyé ses doigts de mon jus de plaisir qui était sur ses doigts. Lorsqu’il fut propre, il retourna vers le sac. Il en retira des objets que je n’ai pas pu voir. Brutalement, il enfonça un objet ente mes cuisses qu’il me demanda de tenir bien au fond de moi. Gérard mit en marche l’objet qui se mit à vibrer en moi. Presque sans y être préparée, j’ai alors senti un second objet entrer tout aussi brutalement entre mes fesses. Gérard m’ordonna de le tenir aussi. Ce second se mit à vibrer aussi. Le plaisir de sentir ces deux godemichés vibrant en moi était aussi puissant que celui d’être vue aussi avilie par Gérard. C’est alors que je vis le sexe tendu de Gérard se pointer devant ma bouche. Elle y entra sans attendre. Mes mains étant prises, je ne pouvais que laisser faire Gérard. Il me baisa alors littéralement la bouche. Ses couilles frappaient contre mon menton et son gland frappait au fond de ma gorge. Baisée de toute part, je finis par jouir une seconde fois.
« Garde bien les deux godes en toi !
— Oui, Maître. »
Gérard me voulait baisée plusieurs fois. Il aimait ma docilité à accepter ces pénétrations qui n’était ni naturelle ni agréable car mon sexe et mon anus avaient besoin de repos après l’orgasme. Voyant que j’obéissais, il augmenta le rythme de son sexe dans ma bouche offerte. Il me prit ainsi la bouche pendant quelques minutes avant de jouir à longs jets épais au fond de ma gorge.
« Avale tout. Je viendrais te chercher plus tard. Tiens bien les deux godes en toi que je n’ai pas de mauvaise surprise en revenant. »
Il me quitta et partit vers les chambres me laissant toujours penchée sur le fauteuil, le goût de son plaisir dans la bouche. Dans cette position humiliante, nue et pénétrée de chaque côté, j’attendis que Gérard revienne. Mais c’est un nouvel orgasme qui me terrassa. Je fis un effort considérable pour garder les deux objets en moi. Attendant toujours avec impatience le retour de Gérard, je fus cueillie par un nouvel orgasme… puis un nouveau… Et c’est à bout de forces que je me suis endormie sur le fauteuil.
Lorsque j’ai ouvert les yeux, il était près de deux heures du matin et Gérard n’était pas venu me chercher. Je me suis aperçue que les deux godes n’étaient plus en moi. Je me suis retournée pour les remettre au plus vite mais ils n’étaient plus à côté de moi. C’est alors que j’ai aperçu un coussin qui n’était pas là quelques heures plus tôt avec, à côté, notre réveil et dessus un petit mot :
« Ma docile,
J’espère que tu te réveilleras avant 5h du matin pour lire ce mot. Comme tu n’as pas réussi à tenir jusqu’à mon retour, tu dormiras dans le salon, sur le tapis. Je t’accorde ce coussin pour ta tête. Tu dormiras nue. J’ai mis le réveil à 5h pour que tu ne sois pas en retard pour tes tâches de demain matin. Elles seront les suivantes dans l’ordre :
— Petit déjeuner pour toi
— Douche avec rasage
— Habillage. Tu mettras ce que j’ai préparé dans la salle de bain.
— Maquillage. Ne lésine pas sur celui-ci. Tu sais à quoi tu dois ressembler.
— Préparation de mon petit déjeuner que tu connais bien
— Service dans la chambre.
Là, bien entendu, je jouerais un peu avec toi.
Dors mal,
Ton Maître »
Bien entendu, mon sommeil fut largement « agité ». Aussi quand le réveil sonna, il ne me fallut pas longtemps pour me lever. De peur de décevoir mon Maître, j’ai commencé à préparer mon petit déjeuner toujours nue. J’ai déjeuné puis je suis allée à la salle de bain. Dans la douche, j’ai pris soin de moi. Je pus alors m’apercevoir que mes fesses portaient encore quelques stigmates de la soirée de la veille. Quand ma douche fut finie, je me suis penchée sur les vêtements choisis par mon Maître. Il m’avait choisi une jupe si courte que mes fesses étaient à peine cachées, un soutien-gorge en voile qui ne cachait rien de ma poitrine, une chemise qu’il voulait que je laisse ouverte et une paire de chaussures à talon aiguille. Je suis ensuite passée au maquillage insistant sur le rouge à lèvres, le mascara et le crayon. Après avoir fini, j’eus vraiment l’impression d’être une fille de joie.
Chancelante avec ces chaussures, je me suis dirigée vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner de mon Maître. J’étais toujours dans les temps pour son réveil mais je devais me presser un peu. Lorsque j’eus fini, il était juste l’heure d’aller le réveiller. Tout en douceur, je me suis glissée dans notre chambre.
« Bonjour Maître… Bonjour Maître…
— Bonjour.
— Voici votre petit déjeuner.
— Pose ça là. Suce-moi pendant que je mange. Ne me fais pas jouir avant que je finisse. »
Docilement, j’ai posé le plateau sur le lit et me suis mise à quatre pattes sur le lit en prenant en bouche mon Maître, mon amant, mon amour. Je lui ai fait la plus tendre et la plus amoureuse des gâteries. A chaque fois que je relâchais son sexe, je voyais les traces de rouge à lèvres que j’avais laissées et l’air qui chatouillait mon sexe sous ma jupe me rappelait mon apparence.
« J’ai fini. Tu me nettoieras après. »
A cette phrase, j’ai compris que Gérard voulait finir. Il agrippa d’ailleurs mes cheveux et commença à augmenter le rythme et la profondeur de ses pénétrations dans ma bouche. En quelques minutes, j’ai senti qu’il était sur le point de jouir. J’ai resserré mon étreinte autour de sa verge et ai accueilli son sperme avec bonheur. Il jouit par spasmes dans ma bouche me la remplissant. Bien entendue, en bonne femme docile, j’ai tout avalé et, comme ordonné, j’ai nettoyé son sexe au mieux. Je me suis ensuite redressée. Il m’a ordonné de débarrasser le plateau et de le rejoindre dans la salle de bain. En y arrivant, j’ai vu Gérard qui, entièrement nu, m’attendait.
« Je vais prendre une douche. Tu me laves… »
Il se mouilla entièrement puis me tendit le flacon de savon. A mains nues, je dus le laver complètement ce qui m’obligea à passer mes mains partout sur ce corps dont j’étais folle. Je me suis bien sur attardée sur ses fesses fermes et sur son sexe que j’avais en bouche quelques minutes plus tôt. Lorsqu’il fut bien savonné, il repassa sous le jet d’eau pour se rincer. Il sortit ensuite de la douche. Il voulut que je m’installe à ses côtés pendant qu’il finissait sa toilette. Comme ordonné, j’ai posé les avant-bras à côté du lavabo et j’ai cambré les fesses. Il releva alors ma jupe et, tout en se lavant les dents, il passa ses mains sur mon sexe bien humide et entre mes fesses. Il glissa des doigts en moi par devant mais aussi par derrière. Il m’ordonna de ne pas me quitter des yeux au travers du miroir en face de moi. Je voyais mon mascara qui coulait un peu sur mes joues à cause de la fellation brutale que Gérard m’avait imposée quelques minutes plus tôt. Je voyais mon rouge à lèvres qui avait débordé autour de ma bouche. Et dans mes yeux, je voyais le plaisir que je prenais à sentir les caresses et les pénétrations digitales de Gérard. Tout à coup, je me suis sentie comme une traînée, prête à tout pour prendre du plaisir même à être tripotée avec une froideur déconcertante par l’homme de ma vie. Cette idée me fit jouir violemment.
« Quand tu te seras remise. Démaquille-toi, déshabille-toi et viens dans la chambre. Il est temps que tu te prépares pour le travail. »
De nouveau nue, je me suis rendue dans la chambre. Gérard m’ordonna de me mettre à genoux au sol en attendant qu’il choisisse mes vêtements. Il fouilla de longues minutes dans mon placard puis en sortit une robe bleu marine avec une ceinture blanche. Il y ajouta une paire de chaussures à talon blanche.
« Tu mets ça… UNIQUEMENT ça… Et bonne journée… »
Il quitta alors la pièce et la maison et je suis partie au travail. En rentrant le soir, Ernest était déjà là. Il venait de charger le coffre de la voiture avec le sac que nous avait donné Charles. Ernest souleva ma robe et s’exclama :
« Espérons que ce cul abîmé convienne quand même à Monsieur Charles. En voiture petite salope ! »
Je quittais alors une nouvelle fois mon doux foyer pour cette maison où Charles, sa femme et leur homme à tout faire s’occupaient avec perversité de moi.