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Vacances chez tante Béatrice – Chapitre 3




Désormais Béatrice et moi menions une relation à la fois incestueuse, adultérine et amoureuse. Chaque jour, dès que mon oncle Paul partait à son bureau, ma tante et moi laissions aller nos corps et nos sens et partions dans des ébats chauds pour ne pas dire torrides. Ma tante continuait mon éducation sexuelle, ainsi j’apprenais et me perfectionnais dans la connaissance du corps féminin et Béatrice prenait du plaisir avec ce jeune amant qu’elle façonnait et dirigeait comme elle voulait. Chaque pièce de la maison devenait tour à tour un lieu de baise et de plaisir. Une fois, nous prenions notre douche ensemble, une autre, je découvrais Béatrice jambes écartées sur le canapé du salon qui m’invitait à la lécher devant une cassette de film x, bref, toutes les perversions devenaient possibles pour nous 2. En plus, je prenais de plus en plus d’assurance dans nos ébats. Cependant, j’avoue que j’avais un sentiment de culpabilité vis à vis de Paul. Mon oncle avait toujours été sympa avec moi, et moi dès qu’il avait le dos tourné je baisais sa femme. Toutefois, dès qu’il fallait passer à l’acte, mes remords disparaissaient et je me donnais à coeur joie pour satisfaire mes envies et celles de Béatrice.

Un matin, en entrant dans la cuisine, Béatrice était en train de nettoyer la table et me tournait le dos. Une grosse bosse déformait déjà mon caleçon. Je relevais sa fameuse blouse et enfournais ma queue dans sa vulve.

"- Et bien, voilà un réveil dynamique." (dit-elle en se laissant faire).

Je la ramonais quelques instants et la fis se retourner. Béatrice ôta sa blouse et s’assit sur le bord de la table, grande ouverte. Je m’emboîtais en elle et recommençais à la baiser. Nos bouches s’embrassaient à pleine langue. Je finis par jouir en elle, puis nous reprîmes nos occupations habituelles. Je m’attablais et Béatrice me servit mon petit déjeuner. Elle vint s’asseoir face à moi:

"- J’ai à te parler Bastien. Nous avons tous un ou plusieurs fantasmes. Le tien était de me baiser et tu l’as réalisé et j’en suis la plus heureuse et la plus fière. Moi, j’en ai un que j’aimerais bien assouvir au moins une fois. Je rêve de me faire prendre par 2 mecs en même temps. J’en ai déjà parlé à Paul et il est d’accord. Il serait l’un des 2, mais c’est sur le second garçon que ça coince. Il refuse que l’on demande à l’un de nos amis. Il a peur que je craque sur l’ami en question et que je le quitte, chose qui n’arrivera pas, mais Paul est comme tous les hommes, il a ses doutes et ses craintes. Alors, j’ai pensé à toi. Tu serais d’accord ?

— Oui (dis-je), mais comment va réagir Paul? Et puis si tu lui parles de moi, il risque de se douter de quelque chose sur ce qui se passe entre toi et moi.

— Laisses moi faire, je sais comment m’y prendre avec lui sans qu’il se doute de quoi que ce soit. Je vais lui proposer ton nom et lui raconter que tu t’es confié à moi comme le font beaucoup d’adolescents à des membres de leur famille. Tu m’as parlé de tes amours et tes aventures, rien de plus normal, et c’est ainsi que m’est venue l’idée de te faire participer à la réalisation de mon fantasme. Et puis, vu, les hommes, vous êtes tous pareils, dès qu’il s’agit de baiser, nous les femmes, on vous tient par la queue.

— C’est d’accord pour moi Béatrice.

— Je suis heureuse que tu acceptes. C’est un peu un prêté pour un rendu. Je t’apprends les plaisirs charnels et tu m’aides pour mon fantasme. En plus, je me sentirais plus rassurée d’être avec 2 hommes que je connais déjà tant dans la tête que physiquement. Mais toi, tu ne lui parles de rien et même à moi, tu ne m’en parles pas. Je m’occupe de tout."

La conversation s’arrêta là. Je finissais de déjeuner. Béatrice se leva et quitta la cuisine. Une tâche de foutre était apparue sur sa blouse au niveau de ses fesses. Je la regardais en souriant.

Les jours passèrent et toujours rien. Béatrice ne me parlait plus de son fantasme et je n’osais pas le lui demander. On continuait à s’envoyer en l’air une fois Paul parti et c’était tout. Mais le vendredi soir, alors que j’étais seul au salon à mâter la télévision, mon oncle Paul entra en caleçon.

"- J’ai besoin de ton aide, ça te dit de baiser une femme, une vraie? (je compris de suite que c’était le moment)

— Oui. (répondis-je un peu interloqué tout de même)

— Suis-moi."

J’entrais dans la chambre conjugale et Paul ferma derrière nous. Tante Béatrice était couchée sur le lit, nue et se caressait la chatte, souriante et gaie.

— Coucou Bastien, tu veux bien te joindre à nous pour des jeux coquins de grandes personnes?

— Ca va? Ca te fais bizarre de voir ta tante sous cet aspect? (demanda Paul)

— Non, ça va. (répondis-je puis Paul reprit)

— Tu vas voir, c’est autre chose que de baiser des adolescentes pré-pubères qui ne se lavent pas la chatte régulièrement.

— Chéri, n’en rajoute pas, tu vas me le bloquer. Mets-toi à l’aise Bastien, déshabilles toi et viens sur le lit."

Paul commença à caresser son épouse puis il lui lécha le clitoris. De mon côté, j’étais un peu gêné, mon assurance habituelle avait un peu fondu. Béatrice me prit la main et la passa sur sa poitrine. Je commençais à bander fort puis me lâchais. Je roulais une pelle à Béatrice qui gémissait sous les coups de langue de son mari. Je lui offris ma queue pour qu’elle me suce. Ca y est, elle réalisait son fantasme. Un homme lui bouffait la chatte et elle en suçait un second. Paul dit:

"- Ca te plaît ma chérie?

— Mmmm, oui, ça démarre bien cette histoire."

Béatrice me pompait tout en me léchant les bourses. Je passais une main dans ses cheveux, une autre sur ses seins, tirais les tétons. Au bout de quelques minutes Béatrice s’arrêta et dit:

"- Excuses moi Bastien, je vais m’occuper un peu de mon mari, prends moi en levrette mon chéri."

Elle prit la queue de Paul dans sa bouche.

-" Ha quand même! Je commençais à penser que tu m’avais oublié (dit Paul)

— Que tu es bête mon amour.

— Vas-y Bastien, baise ta tante."

Je me positionnais derrière elle et enfonçais ma bite dans sa fente mouillée. Béatrice poussa un gémissement de plaisir, la bouche pleine. J’entamais alors un va et vient tonique. Elle gloussait à chaque fois que mon sexe venait buter au fond de sa grotte.

"- Notre neveu est un bon coup Paul, oh oui! Continue mon chéri.

— Moi aussi je veux te prendre (plaisanta Paul)

-T’inquiète pas, j’ai un deuxième trou qui t’es réservé."

Je me couchai sur le dos, Béatrice vint s’empaler le vagin sur ma queue, et Paul, vint s’enfoncer dans l’anus de ma tante qui était prise en sandwich. Nos visages se faisaient face.

"- T’étouffes pas trop là-dessous? (demanda-t-elle en riant)

— Non je tiens le coup.

— Alors j’y vais." (dit-elle)

Elle bougea doucement, je sentais ma pine comme aspirée dans sa chatte, c’était une agréable sensation. De son côté, Paul tapait dans le cul de sa cochonne d’épouse. Cette dernière criait puis m’embrassa. Nos langues se mêlaient et ses cris arrivaient dans ma bouche. Petit à petit, Béatrice et Paul intensifièrent les mouvements. Mes mains caressaient les hanches de ma tante qui criait fort sous les coups de bite de son mari et le forage que j’exerçais en elle.

"- Oui les gars, c’est bon! je viens! je viens!"

Elle eut un orgasme très fort. Qu’elle était belle ma tante. Paul s’allongea à son tour et elle vint s’asseoir sur lui, lui tournant le dos. Je me mis debout sur le lit pour qu’elle me finisse. Je sentais l’éjaculation toute proche. Je finis par gicler sur son visage dans un râle de bonheur et de délivrance. Paul à son tour explosa dans la chatte de sa femme qui prit la queue de son mari pour le sucer à son tour. Elle en avait de partout.

On se nettoya avec des mouchoirs.

"- Merci Bastien. (dit Béatrice)

— Oui merci à toi." (reprit Paul)

Je sortis de la chambre et filai sous la douche. Les 2 mariés recommencèrent à baiser derrière moi.

C’est une histoire vraie que je vous ai relater ici. Cela peut paraître dur à croire, mais c’est pourtant la vérité. Nous n’avons jamais recommencé l’expérience. Cependant, chaque fois que je venais passer quelques jours chez tante Béatrice et oncle Paul, dès que ce dernier sortait, ma tante et moi nous nous envoyions en l’air. C’est resté notre secret.

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