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Ma femme et les routiers – Chapitre 1




La vie continue sans que je puisse réaliser mon fantasme de la voir livrée à d’autres hommes.

Le temps passe et même avec ces moments intenses de baise plus chaude qu’avant je ne suis pas totalement satisfait.

Et puis les choses ont changées ma femme et moi venons d’avoir un bébé, une petite fille.

De retour de maternité j’ai constaté l’appétit sexuel de mon épouse qui avait encore grandi, sans toutefois atteindre aux sommets de l’aventure qu’elle avait vécue avec les deux routiers il y a un peu moins d’un an.

Je désespère de la voir être aussi salope et amoureuse de bite avec moi. A force de retourner et retourner tout ça dans ma tête, une solution a fini par s’imposer à moi. Je dois retrouver le gars, comment s’appelle t’il – ah oui, Michel et lui faire une proposition afin de combler mes attentes, piéger ma femme et la soumettre à mes désirs.

Après quelques recherches – assez courtes ma foi, il a suffit que je reste sur la parking du routiers où nous l’avions rencontré la première fois – j’ai réussi à reprendre contact avec le gros.

Au début un peu inquiet, se demandant ce que je pouvais lui vouloir, il a paru abasourdi quand je lui ai raconté sa petite aventure avec ma femme. Comment il l’avait sodomisée lui et son pote, comment il avait abusé d’elle.

En ce qui concerne cette dernière partie je ne suis plus sûr du tout qu’il ait réellement abusé d’elle.

Quoiqu’il en soit on a convenu d’un deal. J’accepte ce qui s’est passé, il paraît avoir peur de ce que je pourrai faire, comme si après tout ces mois, et avec quelles preuves. En fait je le soupçonne d’avoir peur que je lui fasse du chantage, ou que je le dénonce aux flics !

La seule chose que je lui impose c’est celle-ci : "quand tu vas l’enculer, tu l’obligeras à te sucer la queue, puis tu recommenceras à lui mettre dans le cul et à nouveau dans la bouche, d’accord ?". "Pas de soucis avec ça" me dit-il. "En fait tu veux que je te la dresse". "Exact mon gars, et vu ce que j’ai vu de tes prestations, je ne pense pas que ça te dérange ?". Le gros sourit, "Pas de problème, ça me va, une femme comme la tienne, j’en ai pas vu beaucoup."

Les choses se présentent plutôt bien.

Comme il est routier, je lui ai demandé ce qu’il transportait. "Un peu tout et n’importe quoi" m’a t-il répondu.

L’idée a germé dans mon esprit. Nous allons commander un meuble – j’en avais justement besoin, j’irais l’acheter et avec Michel, nous préparerons le coup, il jouera le rôle du livreur. Il faudra des caméras de petite taille, les planquer chez nous dans le salon, c’est là que ça se passera.

Le jour convenu, il nous a bien fallu cinq jours pour planifier ça, le faire venir à la maison, préparer les caméras, mettre le canapé comme il faut, tout est enfin prêt. Ce jour là ma femme est à la maison et doit réceptionner le meuble. Moi j’ai fait semblant de partir et après avoir garé la voiture je suis revenu et mes suis planqué derrière la maison. J’entends un camion arriver, c’est bien lui. On sonne et j’entends ma femme répondre : "j’arrive monsieur".

D’où je suis je ne vois pas l’entrée, mais j’entends bien. Ma femme balbutie : "vous je". Pas de réponse, puis un tranquille : "Tiens, tiens, mais on se connait". "Enfin, je suis venu livrer un meuble". "Ah" soupire t-elle, "je comprends". Elle le guide vers l’intérieur et lui demande de déposer le meuble dans l’entrée.

Le gros lui dit : "Alors c’est là que tu habites ? On peut pas dire que tu ai beaucoup donné de tes nouvelles"

Ma femme balbutie : "Heu, je ce qu’il s’est passé avec mon mari on a eu un bébé et". Le gros l’interrompt en lui donnant une claque sur les fesses : "c’est pas grave, mais je suis content de t’avoir retrouvé une bonne salope comme toi, ça court pas les rues". A ces mots ma femme est devenue blanche, terrorisée. Elle doit penser, les amies, les voisines, si quelqu’un était au courant. Il la pousse dans le salon, on y est enfin, je vais pouvoir tout voir et filmer en plus des deux caméras posées discrètement sur les meubles et cachées par des objets.

Il lui dit : "Tu pourrais m’offrir à boire". Ma femme semble soudain rassuré, "bien sûr" répond t-elle et elle se dépêche d’aller chercher une boisson.

Quelques instants plus tard, il est assit confortablement sur le canapé, elle un peu moins bien, en retrait, nerveuse, les mains croisées sur les genoux. Le gros la regarde et un air égrillard apparaît sur ses traits. "Alors ma petite pute, je t’ai manqué ? quelle surprise, non ?". "Je ne vous autorise pas" répond t-elle offusquée.

"Dis-donc, tes amis et ta famille aimerait voir les photos qu’on avait pris mon pote et moi ?"

Ma femme sursaute, porte une main à sa bouche et dis tout bas : "Mon dieu, non"

"C’est pas grave" dit le gros, "j’ai un peu de temps devant moi, tu me fais un petite pipe et j’oublie tout". "Non, s’il vous plait, non" répond ma femme, mais le gros s’est déjà rapproché et lui touche les genoux. Là elle semble vaincue. Le rouge aux joues, elle se laisse faire, tandis que Michel lui dégrafe le soutient gorge. Ses seins jaillissent hors de chemisier. "Putain, ils sont beaux". Il aide ma femme à retirer ses chaussures à talon haut, il lui caresse les orteils, nus et soigneusement vernis. "T’as des beaux pieds ma salope" Ma femme gémit, n’opposant aucune résistance. "Dis donc, foutue comme t’es, je vais pas me contenter d’une pipe" Il se penche et lui gobe les mamelons, elle frémit mais le laisse faire. Il tâte son pantalon, se débraguette et extrait son chibre. Si elle avait oublié sa taille, elle sursaute à nouveau en fixant la queue qui prend de l’ampleur, alors qu’il la force à se courber vers lui. Je vois mal, non là c’est mieux, il lui a mise dans la bouche. Il sort ses grosses testicules et lui dit : "suce moi aussi les couilles, petite pute". Ma femme, docile, en prend une en bouche, puis l’autre et salivant dessus les masse avec sa langue. "Là c’est bon, putain, tu fais ça bien". Il l’interrompt alors, finissant de se déshabiller. Les vêtements de ma femme formant déjà un tas au sol. Puis il se cale au fond du canapé et invite ma femme à venir sur lui. Je vois son beau visage, elle n’a plus tellement l’air dominée, mais presque lubrique. elle semble s’attendre à sa prochaine demande. "Je vais t’enculer tu aimes toujours ça ?". Elle hoche timidement la tête et s’accroupit au dessus de lui. Elle lui tourne le dos, ses beaux seins ballotent doucement, tandis que se penchant en arrière elle s’abaisse. Il saisit son gros membre, le gland est distendu par le désir et j’ai une vue incroyable du cul de ma femme descendant à sa rencontre. Puis plus rien, il tâte, caresse la rondelle, y glisse un doigt, ma femme gémissant lourdement alors que le gros lui introduit, deux puis trois doigts dans l’anus. Puis il lui dit de descendre et je fixe fasciné le trou du cul de ma femme distendu par le gland trop large qui met du temps à passer, élargi enfin par le pieu épais. Puis elle descend lentement, alors que le gros propulse son énorme sexe à sa rencontre.

La vision est stupéfiante, de voir ce petit trou si vite rempli par ce gros machin. Ma femme se penche en arrière alors que Michel, lui prend ses pieds, les soulève, les décollant du canapé, forçant ainsi ma femme à accueillir encore plus de la colonne de chair. Puis la gardant ainsi, il commence à la soulever, la faisant descendre puis remonter.

Ma femme se lèche encore les lèvres, des "Oh oui" passent ses lèvres, indiquant bien son plaisir. Ses pieds se relèvent, elle en écarte les orteils de plaisir, ça doit être incroyable comme sensation pour qu’elle réagisse ainsi.

Le gros sodomise ma femme en la tenant par les jambes. Dans cette position, elle dos à lui, les cuisses remontées les jambes qu’il maintient en l’air, j’ai une vue parfaite sur son anus dilaté par la queue épaisse, de sa chatte dégoulinante. Et il l’encule en la faisant monter et descendre en cadence. Comme j’avais fait un point avec le gros Michel, on a soigneusement positionné deux caméras portables, je manipule la troisième pendant qu’il se fait du bien avec ma femme. Elle soupire de plaisir, regarde vers son bas ventre et le membre qui est en train de s’enfoncer dans son cul, puis les relève, les ferme et gémit de plus belle.

Il continue sa sodomie sur un rythme endiablé puis comme convenu il décule en la soulevant et lui dit :

"Tu vas sucer ma queue petite pute"

"Non, je t’en pie, non", réponds t’elle apeurée.

"Ben quoi", grogne le gros en l’obligeant à se pencher vers sa bite, "tu ne te nettoies pas le cul ?"

"Si, si, mais", balbutie t’elle complètement désolée, "elle, elle sort de mon derrière !"

Regardes, lui dit Michel, elle est toute propre Arrêtes de faire ta mijaurée et suce moi.

Je regarde fasciné le joli visage de mon épouse penché sur le chibre.

Puis docilement elle pose un bisou rapide sur le gland, mais le gros lui impose de le prendre en bouche, et c’est avec une petite grimace que ma femme engloutit la queue qui vient de sortir de son cul.

La vision est féérique, ma femme suce le gros sexe, je vois parfaitement ses joues déformées par la mentule, et le gros lui caresse les seins pendant ce temps. Le rythme de la fellation est lent, il la laisse faire. Elle vient de sortir la queue de sa bouche et lèche le mat gluant, puis le reprend en bouche et aspire doucement. Ses doigts aux ongles manucurés, soupèsent et massent les grosses boules. Le gros Michel a l’air d’apprécier, mais il l’arrête bientôt en lui disant : "Reviens sur moi, ma belle petite salope, je vais te la remettre dans le cul !" Elle se redresse, et lui sourit timidement tout en se penchant en arrière et en guidant le membre vers sa rondelle. Je suis toujours autant fasciné par le trou béant qu’est devenu son anus. Il lui a tellement élargit que je me fais la réflexion qu’elle pourrait en accueillir deux en même temps – hum, c’est à considérer !

Mais Michel est pragmatique, il se contente comme convenu de la sodomiser et la rendre plus salope encore. Aussi à grands coup de queue il la défonce, la soulevant et la faisant redescendre, lui massant les seins. Il grimace de plus en plus, aussi il préfère se retirer de son trou et la laissant retomber épuisée dans le canapé, il lui présente sa queue.

Ma femme le fixe et ouvrant sa bouche, honteuse mais soumise, le suce. Michel Grogne et fait quelques va et vient dans sa bouche, Il lui fait lécher son gland et passe doucement sur sa langue, la complimentant sur sa douceur. Puis il se retire la prend par les épaules, la redresse se faisant se tourner et lui replante sa queue dans le fion. Un grand coup qui lui arrache un cri, puis un autre et encore un Ma femme se reprend sa queue jusqu’aux couilles et il en profite un maximum. Il souffle, puis se retire de son anus d’où s’écoule une liqueur preuve de sa jouissance intense, il la fait se retourner et la faisant s’accroupir lui fait ouvrir la bouche.

"Allez petite pute, tu vas t’en prendre plein la bouche."

"Hum", gémit-elle les yeux mi clos, tandis que le gland entre dans sa bouche.

"Tu vas avaler ma salope, tu veux dis ?"

Ma femme retire sa queue de sa bouche et lui réponds ; "vas-y je suis ta petite pute je vais avaler ton sperme !"

Le gros la laisse le sucer quelques secondes, puis la fait se reculer et un jet épais suivi d’une dizaine d’autres l’arrose. Elle a en plein la bouche et ses yeux et ses joues sont recouverts de sa semence blanchâtre.

Il faut dire qu’on avait convenu Michel et moi qu’il ferait abstinence au moins quinze jours, je soupçonne qu’on est plus proche du mois. Et en plus comme il n’a pas jouit dans son cul avant il en a une énorme quantité !

Je n’ai rien perdu en filmant tout de cette éjaculation impressionnante, de son ravissant visage souillé par le sperme, de ses yeux mi clos, gémissante, épuisée, esclave de ses sens.

Le gros passe son gland sur son visage récupérant un peu de son foutre, l’amène jusqu’à sa bouche, sa langue est chargée de sperme, il lui enfonce dans la bouche et ma femme ne peut qu’avaler, son sophage faisant du bruit alors que le jus descend dans son estomac.

Michel se tourne vers moi – où plutôt l’endroit où je suis caché – et lance :

Alors, c’était comment ?

Ma femme stupéfaite, regarde de tous côtés, alors que je sors de ma cachette.

"Tu Tu, "- balbutie t’elle "tu étais là ?" – question complètement hors propos, montrant bien son innocence Ah les femmes !

"Alors, non contente de m’avoir trompée une fois déjà avec ce gars et son pote, tu viens de te faire enculer par lui et il gicle dans la bouche ?"

"Chéri, non s’il te plait, ce n’est pas ce que tu crois" et penaude : "tu étais au courant pour la première fois ?"

"Et que crois-tu, toi ? Tu allume ce mec, il te sodomise pendant une demi heure et après tu lui demande de jouir dans ta bouche ! Et oui je t’ai vue te faire enfiler par ces deux camionneurs !"

"Ah oui, j’oubliais de te dire que je t’ai filmée que crois tu que notre famille et nos amis vont penser de tout ça ? et notre fille quand elle aura l’âge de comprendre ?"

Je la sens au bord des larmes, vaincue et désespérée.

"Je t’en supplie je t’aime" dit -elle tout bas, "c’est plus fort que moi je ne sais pas pourquoi"

"Essuie toi le visage" je lui dit en lui tendant une serviette. Ma femme me regarde, ses beaux yeux sont tristes, et je craque presque, mais je ne dis pas. "Merci" me dit elle tout bas.

Michel observe tout ça avec intérêt. Il ne dit rien attendant de voir ce que je vais faire.

Ma femme tourne les yeux vers lui, puis vers moi. "qu’est-ce que tu vas faire de moi ?, j’ai peur je t’aime tu sais"

Je la regarde m’approche d’elle et doucement je lui dis : "Je t’ai piégée, ça c’est vrai, mais c’est toi qui m’a trompée, non ?". Doucement elle dodeline de la tête. "Alors puisque tu aimes ça on le fera comme ça maintenant et tu accepteras que je t’encule et tu me suceras après". Ma femme toute rougissante acquiesce. "Et même si tu as envie de plus, on pourra toujours demander à Michel de se joindre à nous, pas vrai Michel ?"

Le gros fixant ma femme fait oui de la tête.

Je prends la main de ma femme, elle est toujours nue et tellement désirable, la pose sur ma braguette.

"Regardes dans quel état je suis maintenant, tu pourrais me soulager". Docile, elle ouvre le zip et extrait ma queue.

Elle la caresse en me regardant dans les yeux. "Suce là" – un peu gênée elle regarde vers le gros toujours nu et bandant carrément maintenant. Elle se penche et gobe mon gland, puis descend le long de ma hampe. Michel s’approche – une caméra à la main – et tout en filmant met sa queue près du visage de ma femme. Cette dernière me regarde interrogative. "au point ou tu en es, tu peux le sucer, non ?" Elle prend nos deux queues et se met à les sucer en même temps, je pense que le film que fait le gros sera particulièrement bien. Ses lèvres alternent les léchages et les succions sur nos membres, sa bouche est déformée par nos glands et elle continue jusqu’à ce que je l’arrête.

"Attends Michel, allonges toi, elle va venir sur toi". Michel obtempère, ses grosses couilles ballotant alors qu’il s’étend et que ma femme se couche vers lui. Il lui pétrit les seins et s’enfonce dans son intimité. Je pense que ma femme sait ce qui va se passer, mais elle n’en a pas moins un hoquet de surprise quand je positionne mon gland sur sa rondelle et pesant doucement, m’enfonce dans son anus. Je pousse avec force et lui défonce le rectum. Elle geint doucement, puis se met à haleter alors que je prends de la vitesse et l’encule avec vigueur.

"Hum ah" gémit-elle. "tu aimes ça ma salope" lui dis-je alors que je regarde ma queue la besogner, écartelant son petit trou et profitant, enfin, de son cul ! Elle a le feu aux joues, mais les bruits qu’elle fait confirment le plaisir qu’elle prend. Aussi j’en profite, la sodomisant sur toute la longueur de mon pieu, m’enfonçant jusqu’aux couilles avant de me retirer presque complètement. "Attends, attends, on va changer" dit Michel. Il fait se retourner ma femme et guide sa queue vers son anus, force un peu et s’enfonce dans le délicieux orifice. Ma femme râle – vu la taille de sa queue, je comprends qu’elle la sente passer – et je m’enfonce dans sa chatte trempée. Je me penche, lui gobe les seins et approchant ma bouche de la sienne lui roule un patin baveux.

Nous la pénétrons comme ça une bonne dizaine de minutes et j’ai de plus en plus l’impression que son trou de balle s’élargit encore plus.

"Et si on essayait un double ?" Je repense à la caméra caché qui doit toujours filmer – j’espère que l’angle sera bon.

Michel me regarde et dit : "pourquoi pas, dans cette position ?" Ma femme sursaute, je n’ai pas l’impression qu’elle soit d’accord, mais très honnêtement, a t-elle le choix après ce qui s’est passé ?

Je me positionne à l’entrée et regarde la queue du gros dans le cul de ma femme. J’avance un peu et réussit à pousser son membre avec la mienne. Ma femme grimace et me griffe même les bras alors que j’essaie de m’introduire dans son anus. Par force, je parviens enfin à entrer dans son cul et me logeant à côté de la queue de Michel, je m’enfonce jusqu’aux couilles. Puis je me retire doucement avant de m’enfoncer à nouveau alors que Michel essaie de trouver le rythme. Ma femme halète, ses seins sont gonflés, alors que nos deux bites ont pris possession de son cul. Nous la sodomisons en cadence, Michel a pris un bon rythme, il pousse, tandis que je me retire, puis à son tour se retire et je m’enfonce dans le trou béant de ma femme. Je la regarde alors qu’elle me fixe, les yeux exorbités, jouissant comme une salope, alors que deux queues sont dans son cul. De temps en temps elle se passe la langue sur les lèvres et se caresse les seins tirant sur ses mamelons. Ses halètements se sont changés en petits cris, ses yeux se ferment, elle jouit intensément.

Nous continuons ainsi quelques minutes à lui défoncer le cul de conserve.

"Tu aimes ça deux bites dans ton cul ?" lui dit Michel.

"Oui oui j’aimes ça, enculez moi tous les deux" Ma femme est survolté, comblée par cette double sodomie, qui va sûrement la laisser avec l’anus bien ouvert.

A un moment j’ai repris la caméra et ai filmé un peu la scène, je passe de son anus défoncé par nos membres à son visage métamorphosé par les orgasmes, ça fera des superbes souvenirs – et en plus on voit bien que c’est elle. Michel à du mal à tenir, il me le dit alors et je le laisse se retirer. Il se lève et s’éloigne de quelque pas nous regardant continuer. J’ai remonté les jambes de ma femme sur son torse, elle est toujours sur le dos, et je lui bourre la rondelle à grands coups de reins. Son anus un peu moins dilaté, semble mieux accepter la pénétration à laquelle il est soumis. J’ai du mal à tenir aussi je décule et me soulève jusqu’au visage de ma chère et tendre (et avilie) femme. Elle ouvre sa bouche et engloutit mon gland. Michel s’est repositionné face à son trou et la sodomise à nouveau. je lui propose de se faire sucer, il se retire alors et prend ma place dans la bouche de ma femme. Je me suis pour ma part réintroduit dans son anus. Nous continuons l’un dans la bouche, l’autre dans son cul, puis inversement, quelques instants encore.

Mais toutes les excellentes choses ont une fin nous n’en pouvons plus et ma femme elle même est épuisée par son plaisir, ses orgasmes à répétition. nous l’aidons à se mettre à genou et lui donnons nos queues. Nous éjaculons en même temps. Pour ma part je jouis tellement que son visage est recouvert de sperme, alors que Michel préfère lâcher son jus sur sa langue et son menton. Mais ainsi elle est recouverte de notre matière séminale elle rentre sa langue où s’est déposée une grosse quantité de semence et avale le tout.

Nous nous asseyons éreintés, un peu confus et surtout repus de sexe.

Ma femme a les yeux fermés et respire lentement.

Je l’aide à se nettoyer et du mieux que nous pouvons après l’intensité de nos étreintes, nous nous rhabillons.

Je n’oublie pas avant de laisser Michel partir, de reprendre ses coordonnées et de le remercier.

Ma femme qui est toujours volubile semble désertée par toute volonté. Je fais un saut chez la la nourrice pour récupérer notre fille. Le diner est vite avalé, la petite est fatigué et nous la couchons dans son berceau.

Nous sommes ma femme et moi dans le salon. Au début, elle semble un peu gênée, mais finalement se rapproche et se colle à moi. "je te demande pardon" dit-elle. Je la regarde et l’embrasse doucement :"je sais , je t’aime et je comprends, mais maintenant plus jamais ça sans moi". Elle hoche la tête, approuvant. Puis timidement : "tu veux me baiser ?". comme je lui sourit, elle retire rapidement sa nuisette sous laquelle elle est nue et m’enjambe. Elle me regarde, belle et désirable, ses seins gonflés par le désir. elle saisit mon sexe, alors que je caresse ses seins, et me guide vers son antre. Mais elle me regarde, l’air coquin et dévie mon gland vers ses fesses et tout bas "puisque tu aimes me sodomiser je vais t’offrir mon cul, mon chéri", puis s’abaisse sur ma queue. Je gémit de plaisir alors qu’elle s’encule d’elle même, descend doucement avant de remonter. "Tu aimes ma queue dans ton cul ma belle petite pute" lui dis-je. "Hum oui, mets la profond" répond t’elle. Mais trop excité par cette journée, ces révélations, nous venons trop vite, je n’ai que le temps de lui dire en râlant que je viens. Elle se soulève, retirant ma queue de son rectum et approchant son visage prend une copieuse giclée de foutre sur les joues et le nez. Ma femme lèche le sperme qui coule mais engloutit vivement mon membre alors qu’un dernier jet jaillit directement dans sa bouche.

Depuis nous nous adonnons régulièrement à la sodomie et parfois plusieurs fois dans la journée. Ma femme suce, avale ma semence et prend plaisir à le faire, me soulageant régulièrement et nous revoyons aussi Michel. Nous avons pratiqué plusieurs doubles sodomies – ma femme est devenue accro – et nous parlons même de le faire avec un troisième comparse, mais ceci est une autre histoire.

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