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Ma femme avide de sexe – Chapitre 1




Ma femme Lise est accro au sexe, moi, je suis plutôt voyeur.

A chacune de ses pulsions, avec mon accord, elle part à la recherche d’amants dans le parc voisin.

Le début d’après-midi est chaud, Lise, habillée légèrement, arpente les allées du parc à la recherche de nouvelles proies.

Elle remarque, assis sur un banc, un couple d’un certain âge, lui, regarde une revue, elle, fume une cigarette.

Lise s’assoit sur le banc d’en face, et fait mine de chercher quelque chose dans son sac à main.

Elle ne cesse de croiser et décroiser ses longues jambes, cela a pour effet de faire remonter sa courte jupe sur le haut de ses cuisses.

Malicieusement, Lise décroise les jambes et les écarte lentement tout en épiant le couple. La femme donne un coup de coude à son compagnon, celui-ci relève la tête et regarde par-dessus sa revue les jambes superbes de la nouvelle venue.

Lise, satisfaite de la réaction du duo, écarte davantage les jambes.

Le couple a maintenant une vue parfaite, il peut même voir la fente rasée de Lise, l’homme se racle la gorge et écarquille les yeux, la femme ne peut détacher son regard des cuisses largement ouvertes.

Sans honte, Lise pose sa main sur sa chatte et se caresse en fixant le couple, la femme marmonne, l’homme lui sourit.

Lise fait monter et descendre de nombreuses fois ses doigts sur sa fente imberbe, d’une main, elle écarte les grandes lèvres et avec les doigts agiles de l’autre, se frotte le clito, rapidement, elle commence à geindre, le couple un peu excité se lève et s’approche.

La femme s’accroupit face à Lise et lui prend la main.

Elle sourit tout en l’accompagnant dans ses mouvements de masturbation.

Lise cesse de se branler, la femme – rapidement – lui enfonce deux doigts dans la gaine brûlante et la ramone, l’homme ne reste pas inactif,à travers le corsage, il lui masse les seins.

Lise ronronne comme une chatte, elle est sur le point de jouir.

Mais à la vue de promeneurs, le trio cesse les attouchements, Lise se rajuste et propose au couple de la suivre.

Les deux, sans aucune hésitation, acceptent.

Arrivée à destination, Lise présente son mari Paul au couple, il les invite à prendre un verre au salon, les palabres entre eux durent un petit moment, d’autres verres sont versés.

Enfin, Lise propose de les conduire à la salle de bain, ils en ressortent après quelques ablutions, entièrement nus.

Pendant ce temps, Paul a débarrassé la table basse et a pris place dans un confortable fauteuil, Lise s’y allonge et invite la femme a la lécher.

La femme, ravie, s’agenouille entre les cuisses ouvertes, et commence à faire voyager sa langue sur la fente boursouflée.

L’appendis lingual s’enfonce dans la gaine et la fouille profondément, Lise commence à gémir.

L’homme se masturbe, il avance jusqu’à Lise et lui offre son membre à sucer.

La gourmande s’en saisit et gobe le gland violacé, sa langue fait merveille sur le cèpe, l’homme grogne en caressant les seins de la suceuse.

La femme, quant à elle, sort de son écrin la perle d’amour et l’aspire fortement, Lise sursaute sous la force de la succion, la femme tète avidement le bouton qui a doublé de volume.

Lise geint, elle s’acharne sur la bite raide. L’homme est au bord de l’explosion, il râle comme un animal.

Il se raidit et envoie plusieurs giclées de sperme dans la bouche vorace de Lise qui avale la semence jusqu’à la dernière goutte.

Paul a sorti sa bite de son pantalon et la branle sauvagement, il la serre si fort que l’on peut penser qu’il veut l’étrangler, il geint à chaque descente de son poignet sur sa queue gorgée de sang.

Lise ondule du bassin sous les doigts agiles de la femme qui lui fouille la chatte avec trois doigts, elle la ramone intensément, Lise pousse un cri et gicle sa cyprine, la femme accélère le ramonage, Lise gicle davantage en grinçant des dents.

La femme s’écarte, et cède la place à son compagnon qui enfonce sa bite jusqu’aux couilles dans la gaine trempée.

Lise gémit à chaque coup de boutoir, les va-et-vient sont de plus en plus rapides, la bite coulisse aisément dans la gaine lubrifiée naturellement.

Lise ce cabre et pousse un cri de jouissance, elle noie les couilles de son baiseur avec sa cyprine abondante.

L’homme se retire du cratère en pleine irruption, il se masturbe doucement, il demande à Paul de s’allonger sur le sol.

Paul obtempère, il s’allonge sur le sol, sa bite et tendue comme jamais.

Lise a compris, elle descend de la table, enjambe son mari et lui saisit la bite, elle la dirige vers sa chatte détrempée, elle descend lentement sur la queue large et épaisse de son mari qui s’enfonce en elle.

Soudainement, elle se laisse tomber de tout son poids pour que l’empalement soit total.

Paul la plaque sur son torse.

Dans cette position, Lise offre son anus à son amant d’un jour, il pose sa bite contre la rondelle brune et la maintient contre, d’une main de l’autre, il s’accroche aux hanches.

Il pousse fortement, l’anneau ridé cède et avale la lentement le pal de chair, la pénétration fait rugir Lise, elle serre les dents, sa bouche est déformée par un rictus affreux.

L’homme cesse de pousser que lorsque ses couilles frappent les fesses de la soumise.

Les deux queues ne sont séparées que par une fine paroi, Lise a l’impression qu’elles sont dans le même orifice.

C’est en alternance que les deux pistons la forent, les queues entrent et ressortent à un rythme qui augmente au fur et à mesure que les gémissements de Lise deviennent de plus en plus plus bruyants.

La défonce et terrible, Lise pousse des râles de bête blessée, la femme a saisi les mamelons de Lise, et les roule entre ses doigts, elle les presse plus ou moins fort selon les gémissements que la soumise pousse.

Lise pousse un hurlement terrible, sa jouissance est si forte que sa cyprine gicle puissamment, sa tête bascule de gauche à droite, ses yeux sont révulsés.

La femme écrase le téton épais planté au centre des aréoles brunes, cela a pour effet de la faire jouir davantage.

Les deux hommes presque ensemble, déchargent leur semence gluante dans les entrailles de la soumise qui ne cesse de jouir.

Son corps est secoué de spasmes violents, les orgasmes multiples la font délirer.

Lise mord l’épaule de Paul tellement les jouissances sont fortes.

Enfin, l’enculeur se retire du corps tremblant de spasme, Lise se laisse tomber sur le côté, Paul félicite sa femme de la performance accomplie.

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