Le soir lhomme voulu regarder la télé et Isabelle cru quelle allait enfin se reposer mais son maître lutilisa comme repose pied. Elle était à quatre pattes le dos bien droit et les jambes écartées pour que son dominateur puisse poser ses jambes dans son dos tout en matant ses trous offerts.
Isabelle resta ainsi pendant au moins deux heures et ses genoux lui faisait mal, ses mains, ses bras et ses épaules aussi mais elle ne voulait pas bouger pour ne pas décevoir son maître qui était si content delle.
Au moment daller dormir Isabelle se dirigea sur vers le lit.
— Ou crois-tu aller petite pute ? la reteint son maître, une chienne ne dors pas sur mes beau draps.
Isabelle ne put laisser échapper un mot stupéfaite par cette simple phrase et pendant quelle essayait dimaginer ce quil allait lui arriver le maître sortit une laisse du placard et lattacha au collier et au pied du lit ne lui laissant que dix centimètres de mouvement. Elle avait le cou presque collé au sol et le cul en lair. Elle senti du froid sur son anus et avant quelle ne puisse analyser ce quil se passait son plug entra dun coup dans son anus, puis son maître lui jeta une couverture minuscule avant de lui souhaiter ironiquement une bonne nuit et de se coucher dans son lit confortable.
Il fallut plus quune heure à la chienne pour trouver une position relativement confortable malgré sa laisse et lorsque enfin le sommeil vint son plug se mit à vibrer. Elle se dandina une longue minute avant de se rendre compte que son maître la regardait. Il avait la télécommande à la main et semblait apprécier le spectacle. Puis sans aucun mot il se leva, lui montrant ainsi sa belle érection sans quil eut à parler elle voulut se mettre à quatre pattes mais la laisse len empêcha et elle se retrouva ridiculement le cul en lair à tirer sur le lien qui lattachait au lit. Lhomme adora cette position et alla rapidement se placer derrière elle pour lui fouiller la chatte de ses doigts.
— Mais tu mouille comme une truie petite salope
Et lentement, très lentement il entra sa longue bite dans sa chatte jusquà la garde. Une fois au fond il bougea un peu les hanches. Isabelle gémissait, criait, haletait de plaisir et pour une fois il prit tout son temps pour la baiser. Alternant les mouvements rapides avec des plus lents. Lui malaxant les seins, lui fessant le cul lui tirant même les cheveux et parfois même il se penchait en avant pour lui dire à quel point il laimait chienne et comme elle était bonne. Parfois elle lui laissait de petit baisés dans le dos avant de la besogner à nouveau et lorsquil jouit il lui fit lécher son gland pour le nettoyer avant déteindre les plug et de retourner se coucher.
Isabelle sentait le sperme couler sur ses cuisses et décidément elle aimait ça et cest satisfaite quelle sendormit une seconde fois avec peine.
Deux fois dans la nuit son maître abusa delle de la même façon et les deux fois elle jouit avec un bonheur non dissimulé.
Le lendemain matin Isabelle avait mal partout. En grande partie cela était dû aux positions inconfortables quelle avait dû prendre pour saccommoder de sa laisse mais également des baises incessante et délectable que son maître lui avait fait subir. Lorsquil la détacha pour aller prendre le petit déjeuné elle eut grand peine à suivre le rythme de lhomme de la maison. Arrivée dans la cuisine sa gamelle était vide et elle ne compris pas ce que cela voulait dire.
— Suce moi, lui dit-simplement son maître, si je suis satisfait tu mangeras à table avec moi.
Isabelle sexécuta et sappliqua comme jamais, mettant en uvre tout lart de la pipe quelle connaissait. Elle sautorisa même un petit doigt dans le cul pour titiller le point g de son maître et pour la première fois depuis leur rencontre elle entendit lhomme jurer de plaisir. Il lui tenait les cheveux mais cette fois ci ce nétait pas pour la guider mais au contraire pour la retenir tans la petite salope semblait soucieuse de bien faire et quand enfin la jouissance arriva il fut surpris de lintensité de celle-ci et de la soif de sa soumise. Quand elle leut bien nettoyé il lui fournit un peignoir léger (pour que le sperme qui coulait encore un peu de sa chatte ne salisse pas les sièges).
— Tu me surprends un peu plus à chaque fois petite pute, lui dit-il avec un peu dadmiration. Cet après-midi va être mémorable.
Le petit déjeuné fut rapide mais conséquent. Son maître lui expliqua quil ny aura peut-être pas de déjeuner étant donné le programme. Dans la salle de bain il ne la baisa pas mais la regarda se laver et il la guida pour se laver la chatte profondément lui mettant le jet sur le clitoris. Il la regarda se masturber avec la pomme de la douche jusquà ce que lorgasme lenvahie. Ensuite il lui retira lui-même le plug qui était toujours dans son cul et la mena dans la chambre pour la vêtir. Isabelle était toujours debout sur ses deux jambes et elle trouvait cela étrange de voir lappartement de son maître de ce point de vu.
Sur le lit se trouvait une robe en latex assez courtes et une jarretière. Isabelle shabilla avec cela et eut beaucoup à difficulté de entrer dans la robe tant elle était moulante. Le décolleté était plongeant et descendait jusque sous les seins, dos nue elle laissait quand même voir la naissance de la raie des fesses et niveau longueur il ny en avait pas beaucoup non plus à peine la largeur dune main sous les fesses. Difficilement elle enfila la jarretière et se regarda dans la glace. Si sa généreuse poitrine était mise en valeur ce nétait pas le cas son ventre car ses petits bourrelets étaient largement visible dans tous ce latex. Derrière elle son maître brossait les cheveux contentieusement et après quelques manuvres savamment menées elle se retrouva avec une belle queue de cheval très tirée. Pour finir lhomme revint avec de grandes bottes qui lui montaient jusquau-dessus du genou. Une fois la séance finit elle se regarda encore dans le miroir et sa tenue lui fit immédiatement penser à une maîtresse SM.
— Lhomme qui vient dans une heure rêve de mater une dominatrice, lui expliqua-t-il, tu qui aimes être humiliée tu vas adorer.
Sans sen rendre compte Isabelle commença à mouiller mais un doute lenvahi.
— Je ne suis pas une dominatrice monsieur, comment je vais faire.
— Fais comme à ton travail ma petite pute, et ça ne durera pas longtemps il va vite te mater, résiste pour la forme.
— Je ferai de mon mieux.
— Tu mas fait beaucoup plaisir hier, ne me déçoit pas aujourdhui, reprit-il, ça risque dêtre un peu violent mais juste ce quil faut tu nas aucune raison davoir peur je serai là tout le temps.
Une heure plus tard on sonna à la porte et lappréhension pris le dessus sur lexcitation dans lesprit dIsabelle et lorsquelle vu que lhomme qui voulait la mâter était le voisin qui lavait reluqué avec tant denvie. Il était difficile pour la femme de ne pas baisser les yeux face à un homme qui avait un tel charisme. Mais elle teint bon et cest droite les jambes légèrement écartées et les mains sur les hanches quelle accueillit lhomme. Du coin de lil elle vit son maître aller sinstaller dans son fauteuil, un coude sur laccoudoir, la tête posé dans sa main il semblait se délecter de la situation.
— Bonjour, dit timidement le voisin.
— Bonjour qui ? demanda Isabelle se prenant au jeu.
— Bonjour madame.
— Retire tes vêtements.
Un peu surpris, lhomme posa son manteau et commença à détacher sa chemise. Il était lent.
— Dépêches toi, râla la femme.
La cravache qui lavait si souvent frappé trônait sur la table, prise dans son rôle elle sen saisit et commença à jouer avec, la tenant dune main, tapant dans lautre. Le voisin était torse nue, ses muscles étaient bien dessiné et la pilosité de son torse était parfaite, ni trop ni trop peu. Doucement elle fit passer la cravache sur ses pectoraux et il frissonna lorsque le cuire passa sur ses tétons. Doucement elle la fit descendre le long des abdominaux et arrivé au pantalon elle tapa dessus lui ordonna t de retirer ça. Elle lui tourna le dos faisant quelques pas de façon théâtrale dans la pièce en attendant quil sexécute. Elle commençait à aimer ça, peut-être nétait-elle pas faite pour être une chienne finalement. Le pantalon était ouvert mais toujours pas tombé.
— Accélères petit lope ! soupira Isabelle
Isabelle neut le temps de voir que les sourcils de son maître se lever. Linstant daprès le voisin était derrière elle, il avait passé un bras autour du coup de la femme et lautre lui serrait la taille.
— Cest qui que tu appelles lope espèce de garce ?
Son bras quitta sa taille pour lui saisir la queue de cheval et la tira violemment en arrière. Sa langue lécha le coup de la femme comme un animal qui goutte sa viande avant de la manger. Il inspira profondément lodeur de ses cheveux avant de lui susurrer.
— Tu vas prendre pour les autres.
Il y avait tant de menace dans sa voix quIsabelle trembla un peu mais Isabelle sétait prise aimait ce changement de rôle.
— Lâches moi, grogna-t-elle, tu nes pas à ta place.
Lhomme la jeta au sol et elle se retrouva à quatre pattes.
— Maintenant tu es à la tienne sale pute !
Elle savait quune dominatrice ne se laisserai pas faire, quelle remettrait cette homme à sa place reprendrait sa place de dominante en un claquement de doigts mais ce nétait pas ce quelle était et quand le voisin la saisit pas la queue de cheval et quil lui enfourna sa bite dans la bouche alors quelle criait de douleur et de surprise elle se laissa faire et fut surprise daimer ça ;
Elle ne bougeait presque pas, les hanches du voisins faisaient des va et viens tirant un peu plus ses cheveux alors quil prenait du plaisir. Il était de plus en plus saccadé. Dans ses yeux on voyait de la satisfaction, comme si enfin il arrivait à dompter un fauve. Dun coup il senfonça bien profondément au fond de sa gorge, si brusquement quelle en eut le souffle coupé. Il resta ainsi quelques seconde, Isabelle crut quil allait jouit mais il nen fit rien. Il se retira aussi brutalement quil était entré et lui lâcha les cheveux par la même occasion. Elle était toujours à quatre pattes la tête baissée pour reprendre sa respiration. Le voisin séloigna dun pas ou deux et se baissa pour ramasser la cravache. De retour auprès de la soumise il se plaça derrière elle et tira sur sa robe pour dévoiler son cul.
— Bien sûre une salope comme toi na pas de culotte ! éructa-t-il.
Isabelle neut pas le temps de répondre, déjà le premier coup de cravache atterrit sur son fessier.
— Compte, lui ordonna-t-il.
La soumise eut besoin de toute sa volonté pour ne pas hurler en comptant les nombre de coup. Ses fesses devaient être zébrées et si sensibles quil lui semblait que chaque coup était plus puissant que le précédent mais après tout cela était-il peut être le cas.
La situation était si excitante quIsabelle ne put sempêcher de mouiller. Le voisin le vit et se délecta de passer la cravache sur ses lèvres dégoulinantes à plusieurs reprises.
— Écartes, ordonna-t-il.
Sans se faire prier elle sexécuta et dun coup elle se retrouva à se fait baiser pas la cravache. Elle faisait de long va et viens dans sa chatte poussant jusquau fond de son vagin. Ce nétait pas violent mais ferme et sans appel. Elle mordait ses lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Parfois il ressortait la cravache pour lessuyer sur son visage. La première fois il lavait frappé avec lobjet mais son maître été intervenu lui indiquant quelle ne devait avoir aucune marque. Isabelle subit ce long traitement durant presque vingt minutes encaissant les insultes qui tombaient plus fortes et plus violente. Sa bite quil navait pas rangé depuis la fellation était à présent tellement dur que lon pouvait voir de grosses veines battre dessus. Elle était si grosse, si belle, Isabelle en salivait mais lhomme vint se placer derrière elle et frotta son gland entre ses fesses.
— Je vais de défoncer le cul, lui dit-il, et tu vas me dire que tu aimes ça salope.
Elle tourna la tête et se rebella. Son maître en fut satisfait. Elle se souvenait de ce quil avait dit, que cet homme voulait mater une dominatrice et même si elle ne connaissait pas grand-chose à ce que faisait ce genre de femme elle se doutait quelle ne se laissait pas facilement prendre comme une chienne. Peut-être aurait-elle dû trouver une phrase puissante à dire mais il ne lui en laissa pas loccasion. Face au regard noir quelle lui avait lancé il avait saisi la queue de cheval et lavait forcé tourner la tête.
— Ne me regarde pas pétasse, cria-t-il.
A peine eut-il finit sa phrase il entra dun seul coup dans lanus dIsabelle, en deux seconde elle avait senti ses testicules taper contre sa chatte dégoulinante. Il tenait toujours ses cheveux et donnait de grand coup de reins. Oh mon Dieu que cétait bon ! Si elle avait aimé être la dominatrice au début du jeux elle navait maintenant plus aucun doute cest là quétait sa place, à quatre pattes à subir les assauts des bites que son maître voudrait quelle prenne. Elle jeta un coup dil à lhomme dans son fauteuil et il suivait la scène avec un grand intérêt. Une bosse hors norme déformait son pantalon et cela la fit encore plus mouiller. Elle voulait continuer à jouer le jeu pour les deux hommes mais elle nen pouvait plus, la bite en elle était si grosse si dur et si rude Un gémissement lui échappa.
— Je savais que tu aimais ça sale pute ! se félicita le voisin en la burinant de plus belle.
Soudain un orgasme arriva intensément mais doucement, trop doucement car lhomme en elle se vida en lui fessant le cul. Les derniers coups avaient été si violent quIsabelle ne pût tenir debout lorsquil sortit delle. Elle resta ainsi quelques secondes, elle lentendait respirer fortement. Il la regardait, elle le savait mais elle ne savait plus quoi faire. Cependant elle tenta quand même un regard à la dérobé et elle constata quil était toujours en colère. Avant quelle ne puisse réagir il la saisit par le bras gauche et la traîna dans la salle de bain. Une fois sur place la jeta dans la baignoire. Elle tomba sur le côté, son dos, son épaule et sa hanche lui firent mal. Difficilement elle se mit à quatre pattes prête à se relever et cest là quelle sentit un liquide chaud lui couler dessus. Il ne lui fallut pas longtemps avant de comprendre que le voisin était en train de lui uriner dessus. Quelle horreur ! Elle voulait se retourner, lui hurler dessus se débattre mais il lui pissait dans le dos et elle avait peur quen bougeant elle se prenne de la pisse sur le visage ou en avaler alors quelle crierait. Elle le laissa donc faire, mortifié. Après une longue, très longue minute elle entendit la braguette se refermer et le voisin séloigner. Les deux hommes discutaient doucement alors quIsabelle sentait les gouttes couler sur son corps, se glisser sous sa robe trop moulante, lodeur forte sincrustait dans sa peau et dans ses cheveux. Elle avait envie de pleurer.
Sans quelle sen rende compte son maître était à ses côtés.
— La pisse ce nest pas mon truc, lui dit-il, mais là tu es tellement belle.
La soumise neut pas le temps de réagir, déjà il était derrière elle et frottait sa braguette contre sa chatte. Il lui interdit de bouger, il ne voulait pas de pisse sur lui. Sans la toucher de ses mains il sortit sa bite et le fit lentement pénétrer dans sa chatte. Elle était encore très humide et il entra facilement. Aucune caresse, aucun geste tendre juste les va et viens de ce membre énorme quelle aimait de plus en plus. La chaleur qui lavait habité quelques instants auparavant lenvahi de nouveau et cette fois-ci sont amant fut assez attentionné pour la laissé jouir avant de la remplir.
— Tu vois que tu aimes ça finalement, lui dit-il tendrement.
Il sortit delle et immédiatement elle sentit sa semence couler sur ses cuisses et se mélanger avec celle des voisins. Il était au lavabo et se nettoyait la bite en la regardant ; Isabelle nosait toujours pas bouger, à la fois dégoûtée, honteuse et fière davoir satisfait son maître. Lorgasme quelle avait eu navait pas été phénoménal mais elle aimait tout ce qui venait de son dominateur.
— Laves toi, lui ordonna-t-il, tu pues et rejoint moi au salon, à quatre pattes précisa-t-il, noublie pas que tu nes quune chienne.
Leau coula avec abondance dans la baignoire et Isabelle se lava deux fois le corps et trois fois les cheveux. Sa robe en latex et ses bottes avaient disparues, en même temps elle naurait pas remis ses affaires pleines durine mais il ny en avait pas dautre en échange, rien à part son collier.
Quand elle arriva dans le salon son maître était dans son fauteuil habituel. Sa queue était rangée et il lisait le journal. Isabelle uniquement vêtu de son collier approcha à quatre pattes ne sachant que faire dautre. Sans la regarder il lui flatta la tête comme un bon animal. Elle resta ainsi un long moment mouillant comme une idiote alors que son maître ne lui portait aucune attention.
Lheure du déjeuner était passée depuis longtemps mais Maître P décida de passer un peu à table. Avant de sassoir à table il posa au sol la gamelle de la femme. Dedans il y avait un liquide blanc, elle sapprocha pour le sentir et elle lidentifia immédiatement comme étant du sperme. Surprise elle regarda le grand homme blond.
— Un souvenir de mon voisin, lui expliqua-t-il, pendant que tu me vidais. Jy ai ajouté ma contribution quand tu te nettoyais.
Elle savait ce quelle devait faire, mais ça sentait fort et elle nen avait pas vraiment envie. Elle avalait bien sûre mais là ce nétait pas la même chose.
— Dépêche-toi, la rabroua son maître.
A contre cur elle se pencha en avant, lodeur lui envahi le nez et elle dût lutter pour ne pas reculer. Du bout de la langue elle toucha la surface gélatineuse et du se faire violence pour ne ravaler le haut le cur qui lenvahissait. Une première lampé lui donnèrent envie de vomir mais elle continua, pensa à autre chose. Elle en était à la moitié lorsquelle se rendit compte que la situation et sa position la faisait extrêmement mouiller. Le cul en lair la tête en bas elle commençait à se frotter les cuisses. Son maître le remarqua et sen amusa, il la regarda finir son écuelle. Il lappela encore petite chienne et elle en mouilla davantage gémissant de plaisir comme un bon animal de compagnie.
Cela faisait une heure quIsabelle était le cul en lair la face au sol montrant ses trous ouverts et dégoulinant à son maître. Ses genoux et son dos lui faisaient mal mais elle ne bougeait pas. Pour la première fois de sa vie elle sentit de la cyprine couler le long de sa cuisse et si cela était possible ça lexcita encore plus. Soudain une langue ramassa cette goutte et remonta jusquà ses lèvres. Oh mon dieu son maître allait la lécher, elle allait sévanouir de plaisir.
— Ne jouit pas avant que je te lordonne, grogna-t-il dexcitation.
Avec une lenteur criminelle sa langue nettoya ses lèvres, les petites et les grandes, elle sinsinua dans son vagin lapa son clitoris. Isabelle faisait son possible pour se contenir mais ses soupirs de plaisir se transformèrent rapidement gémissement puis en cris mais tout son self contrôle était dans le fait quelle ne devait pas jouir. Une fois quil leut bien fouillé il sassit sur ses genoux, la soumise crut quelle put se relever mais il la reteint. Lentement il entra un doigts entre ses lèvres. « Ne pas jouir, ne pas jouir » ne cessait de se répéter Isabelle mais cétait tellement bon, il y avait à présent deux doigts en elle et ils faisaient des va et viens divin. Un troisième entra et rapidement un quatrième rejoint les autres et à cet instant elle comprit le projet de son maître : il voulait entrer la main entièrement. Cette idée lexcita tant quelle sentit immédiatement un puissant plaisir lenvahir.
— Non, gémit-elle malgré elle.
Son maître ne lécoutait pas et continuait des va et viens de plus en plus long et puissant, les articulations de ses doigts étaient presque rentré, cétait tellement bon. Il agitait ses doigts à lintérieur delle comme pour la défier. Elle gémissait si fort et cette fois elle dit à haut vois.
— Ne jouis pas, ne jouis pas surtout ne joui pas.
Mais à la seconde ou les articulations entrèrent dans son vagin une décharge paradisiaque parcourut tout son corps contractant tous ses muscles et lui volant un cri suraigu quelle ne savait pas pouvoir sortir. Ses forces labandonnèrent et seule la main de son maître dans sa chatte la tenait en place. Cependant il la sortit dun coup et Isabelle tomba sur le côté se délectant encore de cet orgasme sans précédent. Elle regarda son maître, comblée mais cela ne dura pas. Le regard de lhomme était dur et sans appel. Immédiatement et avec difficulté elle se mit à genoux la tête baissée attendant patiemment la suite des événements.
— Je tavais dit de ne pas jouir, râla son maître, tu nas pas obéi
— Pardon monsieur, gémit-elle, jai fait mon possible.
— Il va falloir que je te punisse.
Il fit deux trois aller-retour en réfléchissant alors quIsabelle se décomposait peu à peu. Comment aurait-elle pu se retenir davantage ? Elle avait fait tous ce quelle pouvait. Lhomme se pencha pour être à son niveau et lui dit avec un grand sourire sadique.
— Je tinterdis le sexe pour une semaine, lui chantonna-t-il, ni avec ton mari et même pas de plaisir solitaire.
Elle le regarda avec horreur, comment allait-elle pouvoir faire ça ?
— Et pas d’incartade petite pute, reprit-il, je le saurais !
Lhomme profita de sa petite victoire, il essuya sa main sur le ventre de sa soumise. Un fois fais il la renvoya chez elle.
Une semaine, une semaine sans sexe sans caresse sans masturbation repousser son mari nallait pas être très difficile mais passer tout ce temps la chatte vide allait être une véritable torture.