La semaine suivante est celle de mon anniversaire. Il a lieu le jeudi 23 mai et cette journée restera comme l’une des plus marquantes de ma vie. Elle commence par une surprise et un sourire : au réveil, à 6h, Christine accompagne son "Bon anniversaire" d’un smack aussi inattendu que soudain. Je reste hébété et bafouille mon remerciement. Ensuite, et contrairement à ce qu’elle fait d’habitude, mon épouse se prépare avant d’aller prendre son petit-déjeuner. Après sa douche, elle revient dans la chambre pour se mettre de la crème. Je suis encore dans le lit et pour la première fois depuis des mois, je la vois nue. Elle se tourne. Je bande sous la couette.
Christine passe ensuite un string minuscule, un porte-jarretelles et des bas résilles. Je ne peux être plus heureux que ce matin. Elle le sait, j’en suis persuadé. Elle met une robe que j’adore et qui se boutonne entièrement sur le devant. Elle quitte ensuite la chambre, comme si de rien n’était. Après ma douche, je rejoins la famille à la cuisine avant de partir au travail, le sourire aux lèvres.
A 7h30, à peine ai-je me le pied dans mon bureau que Mélissa déboule et vient me rouler une formidable pelle. Je bande, elle me suce, je la baise très vite sur le bureau et constate qu’elle a mis, elle-aussi, un porte-jarretelles. A 7h45, je peux allumer mon ordinateur et commencer à travailler.
Plusieurs collègues passent me souhaiter un joyeux anniversaire durant la matinée, dont Barbara qui me dit qu’elle a une surprise pour moi à midi. Chez elle. Mais pour l’heure, c’est une message de Mélissa qui revient mon attention : "10h10, archives . ne me fais pas attendre". Oh que non ! Quand j’arrive, Mel m’attend, le string à la main. Nouvelle fellation et nouveau rapport expresse. Je lui dis qu’elle va bientôt mériter son surnom de "Miss Quicky".
— J’adore les quickies, je trouve ça tellement excitant.
— Mieux vaut quatre rapports de cinq minutes plutôt qu’un seul de vingt.
— Ah mais c’est sûr, ça !!
Nous retournons travailler et à midi, comme prévu, je me rends chez Barbara, malgré une surenchère de dernière minutes de Mélissa qui me promettait "d’être une vraie pute".
Barbara, qui est partie un peu plus tôt, m’ouvre dans un peignoir de soie ambré et elle m’emmène directement à l’étage, dans la chambre. Je m’assieds sur le lit et Barbara dénoue lentement le peignoir. Sur la peau hâlée, une guêpière blanche en dentelles, un string minuscule et des bas blancs opaques. La belle laisse tomber le peignoir et vient à califourchon sur mes cuisses :
— Je veux le faire comme la dernière fois
Barbara se lâcherait-elle ? En tout cas, après une courte fellation, elle s’offre littéralement à moi et j’en profite. Crescendo. Elle sait qu’elle peut dire non à tout moment, mais au contraire, Barbara semble vraiment apprécier que je la baise. En levrette, mon index dans le cul la surprend mais elle le prend tout de même en entier. Dans la même position, je lui donne deux belles fessées. Ensuite, me retirant vivement d’elle, je prends sa tête et l’amène sans ménagement à mon sexe :
— Suce ma grosse bite, ma belle !
Barbara obéit sans broncher. Enfin, dans une dernière position pour le moins osée (Barbara est couchée sur le côté, une jambe sur mon épaule tandis que je suis agenouillé entre ses jambes), je vais-et-viens lentement en elle et lui dit :
— J’adore te faire l’amour comme ça.
— Je crois que je suis en train d’y prendre goût moi-aussi.
— Regarde-toi dans cette position
— Jamais été aussi ouverte devant un homme sauf devant mon gynéco !
Nous rions. Je me retire. Sans que je le demande, Barbara garde ses jambes ouvertes. Elle roule sur le dos et ramène ses genoux à hauteur de ses oreilles. Elle est plus souple que je le pensais et ce qu’elle m’offre vaut tout l’or du monde. Je me penche, lèche mon minou, elle frissonne. Je descends à son anus et le titille quelques instants. Puis je la pénètre à nouveau. Doucement puis un peu plus vite, et petit à petit, je bombarde la chatte et jouis tandis que Barbara, relâchant soudainement ses jambes, est parcourue, elle aussi, d’un intense orgasme. Elle rit ensuite :
— C’était peut-être ton anniversaire, mais ça a été ma fête aussi.
Nous pique-niquons ensuite à la cuisine (fromages, charcuteries, pain) puis retournons au travail.
Je m’assieds à ma place et déverrouille mon ordinateur. J’ai un invitation pour une réunion provenant de Fabienne. Surpris, je regarde les détails : aujourd’hui même, à 18h, dans son bureau, "apéro anniversaire". Je souris. Je dois cependant aller chercher ma fille à son cours de tennis à cette heure-là. Plutôt que de lui répondre, je monte à l’étage, dans son bureau. Sa porte est toujours ouverte, sauf lorsqu’elle est en séance. Je toque sur l’encadrement de la porte. Grand sourire de sa part :
— Entre seulement, Florent !
Puis :
— Et ferme la porte, s’il te plait.
Elle se lève. Jupe mi-longue plissée en cuir kaki, chemisier noir discret. J’apprécie énormément et elle le remarque. Elle me fait la bise puis m’embrasse sur la bouche :
— J’étais sûre que le cuir te plaisait.
Je souris et après quelques banalités, j’en viens à l’objet de ma visite :
— Je ne vais pas pouvoir rester ce soir. Je dois aller chercher ma fille.
— Oh ! Quel dommage. Tu ne peux pas t’arranger ?
— Difficilement
Fabienne regarde la porte, elle semble hésiter. Elle se tourne, de manière à être dos à l’entrée et elle dit :
— C’est très dommage, car ce matin, j’avais pensé à toi en m’habillant.
Elle déboutonne son chemisier sur un élégant soutien-gorge demi-sein. Soulevant ensuite sa jupe, elle dévoile un string ouvert des plus torrides. Elle lâche la jupe et je pose la main sur son sein gauche et caresse. Elle me regarde, provocante et stressée :
— Mon assistante doit m’apporter un dossier d’un instant à l’autre
Elle se reboutonne.
— Ce soir, 18h. Essaye au moins. Je dois être chez moi pour 20h.
Un dernier baiser et je m’en vais.
En arrivant à mon bureau, je réfléchis : je peux aller à 18h, la baiser très vite et arriver à l’heure au club house où je dois attendre ma fille. Mais Fabienne n’aura pas envie de ça. Je m’arrange finalement avec mon père et informe Christine du changement de programme et du fait que je ne rentrerai pas de la nuit. "ok". Je confirme alors ma présence à Fabienne.
Quelques instants plus tard, Mélissa entre dans mon bureau et elle a envie de faire l’amour. Je lui dis que je ne peux pas. Elle sourit et me demande avec qui j’étais à midi. Je ne dis rien. Elle cherche, propose évidemment Fabienne. Non. Ma femme ? Non. Je dis non aussi pour ses autres propositions, y compris Barbara, pour qu’elle ne se doute de rien. Elle me dit qu’elle reviendra à la charge. En fait, elle m’envoie un message dans l’après-midi pour me dire qu’elle est très occupée et qu’elle m’invite au restaurant le soir même. Sachant que Fabienne devra rentrer, j’accepte l’invitation.
18h. Dans le bureau de Fabienne, après un verre à ma santé, ce sera à nouveau très sexe, un rapport long et souvent vigoureux, qui se finira à nouveau dans le cul de la jolie DRH. Quelques discussions plus tard et il est 19h30. Je dois rejoindre Mélissa. Ce genre de jour où je bénis l’opportunité d’avoir une douche sur mon lieu de travail
J’entre à 20h dans le restaurant choisi par Mélissa. Elle est déjà là, porte une très courte robe rouge foncée et des talons assortis. Et elle ne porte pas du culotte. Je l’invite à une exhibition en pleine rue en sortant de l’établissement. Après quelques hésitations, elle relèvera sa robe au niveau du nombril durant quelques secondes. Nous n’allons pas chez elle et nous baisons, très vite et très fort, le long d’une rivière à proximité de chez moi. Je lui dis que j’ai envie d’un long rapport avec elle. Il y en aura même deux. Nuit torride.