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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 6




Le reste de la journée du mercredi 5 juillet, se passa tranquillement,  la famille étant réunie de nouveau.

Le jeudi 6 fut consacré à visiter la ville voisine d’Olomouc, ou Eva venait tout juste de terminer  ses études universitaires. Ce qui lui permettait, à la rentrée de septembre, d’obtenir un poste d’institutrice.

Il était aussi prévu de visiter la capitale, Prague. On devait, Eva et moi, y aller dès le lundi suivant, le 10, et passer trois ou quatre jours. On logerait chez sa tante. A l’époque, le fonctionnement de l’hôtellerie était plus problématique qu’actuellement.

Ce jeudi soir, donc, alors qu’on s’apprête à se coucher, Eva me glisse :

« Demain matin, je viendrai te voir dans ta chambre »

« A quel heure ? » répondis-je, dressant l’oreille.

« Entre 7h et 7h et quart, à peu près Nous serons seuls Penses à laisser la porte de la chambre ouverte. »

Il est 23h quand j’éteints la lampe de chevet. Avec l’espoir de ne pas oublier l’heure !

Je m’endors très vite cependant et quand je me réveille, il est à peine 5h et demie. En bas, j’entends les bruit étouffés des préparatifs de départ au travail du reste de la famille. Puis le silence se fait. J’en profite pour me lever et ouvrir la porte de la chambre, et, en même temps pour retirer mon pyjama, ne gardant que mon slip. Je me recouche, somnolant plus ou moins, en attendant Eva.

Vers 7h20, une silhouette apparait dans l’encadrement de la porte. C’est Eva et elle tient un plateau dans ses mains :

« Bonjour, Bob ! Je viens avec quelque chose à grignoter ! Nous prendrons le petit déjeuner plus tard, peut-être » Sa phrase reste en suspens.

Elle pose le plateau sur le bureau : il contient deux grandes tasses, un thermo de thé et un morceau d’un biscuit réalisé par sa mère. En même temps, je découvre qu’elle ne porte qu’une culotte,  genre taille basse, bleu ciel et un t-shirt blanc défraîchi, un peu étriqué pour sa taille.

« Je te plais comme ça ? » fait-elle, souriante, en se mettant face à moi.

Ses seins tendent le tissu et les tétons saillants révèlent l’absence de soutien-gorge.

« J’ai utilisé ta thermo ! J’ai trouvé ça plus pratique ; le thé va rester chaud ainsi ! »

Eva est souriante et même joyeuse un peu trop même. Aurait-elle pris ou bu quelque chose, pour mieux « assurer » ? En tout cas, elle semble bien s’être préparée pour cela.

« Tu veux boire un peu de thé ? Tu dois avoir la bouche sèche ! »

Je sors donc du lit pour m’assoir sur le bord de celui-ci. Elle me voit donc en slip, mais se contente de me tendre une tasse de thé, avec un petit sourire entendu. Je la bois à petites gorgées, tandis qu’Eva fait de même, assise sur la chaise du bureau.

Puis elle vient s’assoir sur le bord du lit, à côté de moi, et tout naturellement, nous échangeons un baiser passionné et très vite, nos langues se mêlent. Ma main droite se pose sur le devant de sa culotte et je commence à masser son sexe à travers le tissu. Je sens aussitôt sa main gauche palper mon slip et masser mon sexe, qui déjà tendu depuis un moment devient raide et prend du volume.

Puis je sens sa main s’introduire dans mon slip et saisir ma queue bien dure qu’elle commence, doucement, à masturber. De mon côté, je continue à masser son sexe à travers sa culotte, passant parfois juste un doigt dessous.

Elle esquisse un mouvement pour se lever :

« Je l’enlèveça sera plus facile pour toi, non ? »

 Eva qui prend une telle initiative, c’est bon signe. Elle se lève et sa culotte glisse sur le sol

« Hmmm ! Tu as de très jolies fesses J’adore les voir ! Et ce t-shirt il est un peu petit pour toi, non ? Remarques, qu’il te rend excitante !tes seins ressortent terriblement bien ! »

Elle se rassoit et reprend mon sexe dans sa main gauche :

 « Elle te plait, ma queueou ma bite, c’est comme tu veux ? » lui dis-je.

Elle regarde mon sexe qu’elle tient dans sa main : « Elle et jolie taqueueou ta bitec’est çà ? »

« Oui, c’est ça, chérie ! La bitela queuedis-le encore ! »

« La bitela queue » répète-t-elle avec applicationNous voilà engagés sur un cours de vocabulaire !

« Et ça, ce sont les couilles ! » dis-je en montrant mes bourses bien pleines.

« Les couillesles couilles » Dit-elle, amusée.

« Je voudrais que tu le fasses avec ta  bouche, au lieu de ta mainTu te souviens comme tu aimé ça au jardin Embrasse ma bite pour commencer ! »

Eva me parait réticenteelle regarde ma queue dressée qu’elle tient toujours dans sa main. Puis elle se décide et s’allonge en partie sur le lit pour avoir la tête entre mes jambes. Timidement, elle ose quelques baisers furtifs le long de la colonne de chair.

« Maintenant, lèches-la avec la langue !  Lèche ma queue, chérie ! »

Par petites touches, Eva passe sa langue sur mon sexe. Le contact est très agréable, mis j’ai envie de plus :

« Prends ma bite dans ta bouche ! N’oublies pas ce que j’ai fait  pour toi ! »

Eva est embarrassée par ma demande. Je sens qu’elle veut bien me faire ce plaisir, mais elle n’a aucune expérience et devoir faire cette chose « sale » à ses yeux

« Vas- y !  Après tu trouveras ça bon ! Mais mets-toi plutôt à genoux entre mes jambes, ça sera plus facile »

Eva se met donc à genoux. Elle regarde mon sexe dressé à quelques centimètres de son visage, puis se décide à en prendre le bout entre ses lèvres.

« Comme ça ! Oui ! Mets ta langue en basil faut le faire passer sur ta langue ! »

Elle essaie de suivre mes consignes, avec quelques maladresses, ce qui rend la situation encore plus excitante. Elle finit par faire entrer quelques centimètres de ma queue (17cm sur 4) dans sa bouche.

« Bien, ma chérie ! Maintenant, essaie de la faire coulisser dans ta bouche ! »

Eva est un peu gênée par le diamètre du sexe (qui lui occupe une bonne partie de la bouche), mais elle arrive tout de même à le faire coulisser, bien que très lentement.

« Maintenant, va un peu plus vite !Tiens ma queue avec ta main droite ça sera plus facile ! »

Elle suit mes indications et les allers- retour dans sa bouche deviennent plus réguliers, tandis que je sens ma queue entourée par le fourreau chaud et mouillé de sa bouche. Et comme l’excitation commence à me gagner, je préfère interrompre l’expérience. Chaque chose en son temps !

« Tu vois, ce n’est pas si compliquéjuste un peu de pratique ! J’ai bien vu qu’au début, tu faisais la grimace ! »

Eva acquiesce : « Je n’avais jamais fait encore mais ça n’est pas si mauvais que ça, finalement.. » Une manière bien à elle d’exprimer sa pensée.

« Maintenant, on va jouer à un autre jeu Tu vas te mettre debout et te pencher en avant ! »

 « Tu veux encore voir « ça », mon ? » Elle n’ose pas prononcer le mot

« Oui, c’est ça, juste voir ton petit trou, chérie »Un petit mensonge, car j’ai l’intention d’aller  plus loin, cette fois.

« Viens près de ton bureau, ça sera plus facile ! Tu te tiens par les mains au bord du bureau, bien penchée en avant et les jambes écartées ! »

Je retrousse son t-shirt jusqu’au nombril et me place derrière elle. Puis j’écarte ses fesses à deux mains. Son petit illet apparait de nouveau.

« J’adore voir ton petit trouje ne m’en lasse pas »

D’un coup, Eva réalise que je suis nuet que ma queue est bien raide :

« Bob ! Je ne veux pas que tu fasses ça ! Je ne suis pas d’accord »

Puis elle tempère : « Le doigt, je veux bien.mais ça, non, Bob, nonc’estc’est trop gros ! Je vais avoir mal ! »

Puis elle sent mon index et mon majeur, s’enfoncer dans sa chatte, que je commence à ramoner.

« Je n’ai pas de matière grasseje vais utiliser ta mouille, ça sera parfait ! »

     

Je commence à m’adresser à elle, peu à peu, de manière plus crue, pour l’habituer progressivement.

Après quelques passages avec mes doigts dans sa chatte, je reviens vers son anus. Je pose le bout de l’index sur l’entrée, et l’enfonce peu à peu. Je sens Eva frémir. Une fois le doigt entièrement entré, je le fais coulisser, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Eva se met à haleter en cadence. Je tente alors l’introduction du majeur, en plus. Maintenant que son anus est lubrifié, cela ne devrait pas être difficile. Eva a un sursaut, en sentant mon deuxième doigt  tenter de se frayer un passage dans son anus.

« BobVas doucement ça fait un peu malje »

Eva grimace un peu quand les deux doigts parviennent à franchir l’orifice anal. Une fois les deux doigts au fond, je commence un véritable forage, en faisant tourner mes doigts dans son anus. Elle tressaille Ces doigts qui fouillent ce qu’elle a de plus intimeElle est envahie d’un sentiment de honte, avant qu’un plaisir naissant, puis de plus en plus présent, de plus en plus intense, lui fasse oublier cette honte.

Elle halète en cadence ; laissant échapper de longs gémissements :

« Tu aimes ça, n’est-ce-pas ? Que ça t’excite de sentir mes doigts bouger dan ton petit trou »

« Hmmm ! Ouioui  ! » Avoue-t-elle entre deux gémissements.

« Alors, je vais essayer d’y mettre ma queue »

« Bob, c’est trop gros Je vais avoir malJ’ai un peu peur, tu sais »

« Juste essayer, chérie ! » dis-je pour la rassurer.

Je sors mes doigts de son anus, déjà lubrifié. Je récupère de la mouille sur sa chatte et en enduit le bout de ma queue. Puis je pose le gland sur l’orifice anal, déjà plus ouvert. Puis je saisis Eva aux hanches et commence à pousser.

Je suis partagé entre le désir d’éviter toute douleur inutile à Eva, et celui de pénétrer son anus, coûte que coûte, pour lui offrir sa première sodomie.

Eva pousse un petit cri étouffé quand le gland parvient à franchir son orifice anal. Et elle crie pour de bon quand les premiers centimètres de ma queue parviennent à s’introduire dans son anus, en écartant les parois. Heureusement, nous sommes seuls dans cette maison, car il est évident qu’Eva est bruyante en amour

Malgré ses cris, je dois constater qu’Eva ne fait aucune tentative pour interrompre ce qui pourrait être pour elle, un supplice. En fait, elle est partagée entre l’envie d’arrêter au plus vite cette épreuve et celle, sans doute plus forte, d’expérimenter des émois inconnus d’elle

Toujours est-il que, cramponné  à ses hanches, je pousse en avant centimètre par centimètre, arrachant à chaque avancée, un cri plus ou moins étouffé, de la part d’Eva, qui laisse donc ma queue envahir son anus. Puis, une ultime poussée, un ultime cri de sa part et ce sont mes couilles qui butent sur les fesses d’Eva :

« Nous y voilà ! Pas trop mal, chérie ? » Dis- je à Eva.

Eva est en sueur : « C’est gros ! » gémit-ellemais elle ajoute aussitôt : « Mais ça peut aller ! »

Puis lentement, avec douceur, je fais coulisser ma queue dans son fourreau anal.

Je sens Eva tendue, et qui serre les dents, jusqu’à ce que, la lubrification aidant, le coulissement s’opère en cadence. Au bout d’un certain nombre d’aller-retour, un changement s’opère et Eva passe des cris à de petits gémissements, qui peu à peu prennent de l’ampleur. Voyant que la chose prend une bonne tournure, je commence à accélérer le mouvement de va et vient. Eva doit être envahie par une onde de plaisir, car les gémissements deviennent plus rapides et cette fois, elle exprime clairement son excitation :

« Hummm ! C’est bonC’est bon Encore ! Encore ! Ne t’arrête pas ! »

Ces mots ont le don de m’exciter et je me mets à la ramoner avec plus d’ardeur. Ses gémissements enflent. Je sens ma queue enserrée dans l’anus d’Eva et ça m’excite encore plus :

« Tu aimes ça, n’est-ce-pas ? Dis-moi le encore que tu aimes çaQue tu aimes sentir ma queue dans ton petit trou ! »

« Hmmmm ! J’aime ça j’aime ça J’aime sentir ta queue dans mon. cul » Ose t-elle-même avouer.

Puis, au bout de deux minutes j’annonce à Eva :

« Chérie ! Je ne peux plus tenir.je lâche tout ! »

Je sens mes couilles se vider ; un jus épais qui tapisse l’anus d’Eva, qui en glousse de plaisir. Je reste un petit moment enfoncé en elle, avant de me retirer. Je frotte ma queue, qui s’est ramollie un peu contre ses fesses, pour m’y essuyer. Quand je m’écarte d’elle, je vois son « petit trou »devenu, pour un moment, un orifice béant, d’où un filet de sperme s’écoule jusque sur ses cuisses.

Elle se redresse, elle a chaud et se sent sale, malgré le plaisir qu’elle en a retiré :

« Bob, je vais me laversi tu veux aussi, viens ! »

Je la vois, après avoir remis son t-shirt en place, chercher ses vêtements :

« Allons-y comme ça ! Tu es sexy, juste avec ce t-shirt, non ? Si tu pouvais rester comme ça le plus longtemps possible »

« Jusqu’à leur retour, donc ? » conclue-t-elle, un brin amusée par ce qu’elle doit considérer comme un caprice sexuel de plus.

« Comme tu veux, puisque ça te plait ! » dit-elle en sortant de la chambre sans rien emporter. Puis elle s’engage dans l’escalier menant au rez-de-chaussée. Je la suis, tout nu. Et nous entrons tous les deux dans la salle de bain.

Eva veut retirer son t-shirt avant d’entrer dans la baignoire. Je tente encore le coup du caprice en lui demandant de se laver avec. Elle entre donc dans la baignoire et saisit le pommeau de la douche et un jet tiède bienfaisant la satisfait. Aussi, très vite, le t-shirt, gorgé d’eau, colle à sa peau, révélant par transparence tous les détails de son anatomie.

« Viens aussi ! Car il n’y aura pas assez d’eau pour deux douches ! »  (Elle fonctionnait avec un réservoir).

J’entre à mon tour dans la baignoire. Eva en profite pour diriger le jet d’eau sur moi. Elle commence par se savonner devant (et à savonner donc le t-shirt), me laissant le loisir de lui savonner l’arrière, de son cou jusqu’à ses chevilles. Tandis qu’elle me rend la pareille.

« C’est que le t-shirt, je ne peux pas bien le sécher comme ça je vais mouiller partout ! » dit-elle en essayant de se sécher du mieux qu’elle peut avec une serviette, tandis que je fais de même.

Une fois sortis de la salle de bains, il faut bien admettre qu’Eva est tout simplement affolante car son t-shirt mouillé moule ses formes : seins, aréoles, ventre, nombril, tout se voit. Et le fait qu’il soit suffisamment court pour dévoiler les fesses et le sexe en fait un cocktail d’un érotisme torride. Ce dont Eva semble avoir conscience.

Elle constate qu’il est déjà presque 10h et demie. Et dire qu’elle avait pensé que ça ne dépasserait pas 9h

Nous commençons par remettre de l’ordre dans la chambre, expédions ensuite un rapide petit déjeuner : une pareille débauche d’efforts donne faim et soif ! Puis nous nous reposons un peu, jusqu’à l’heure du déjeuner, vers midi et quart. Une fois le déjeuner pris, la vaisselle faite et tout remis en place, Eva s’assoit sur le canapé pour lire un magazine. Comme je suis toujours nu, elle comprend sûrement que tout n’est pas terminé

Je remonte à la chambre et prend deux préservatifs (par précaution) dans ma valise. Je retourne, et me plante devant elle, les préservatifs à la main. Rien que de la voir comme ça, sa chatte à l’air, et ses tétons visibles sous le t-shirt encore bien humide, je rebande très vite :

«  Mets le préservatif sur ma bite, ma chérie ! » lui dis-je.

Ce qu’elle n’a aucune difficulté à effectuer.

« Maintenant, tu peux sucer ma queue ! » dis-je, en la lui mettant devant son visage. Ce qu’elle fait et ce ne doit pas être désagréable, car ces  préservatifs sont parfumés à la fraise.

« Rentre-le plus dans ta bouche ! Mets-en autant que tu peux, jusqu’au fond de la gorge, si possible ! »

Elle ouvre la bouche et moi-même je m’avance vers elle, faisant entrer ma bite presque jusqu’à sa gorge, soit plus de la moitié de la longueur.

« Maintenant, je vais faire la même chose qu’avec ton cul ! » Dis- je.

Et je fais des aller- retour dans sa bouche, tout en tenant sa tête entre mes mains. Après quoi je la fais lever du canapé, je m’y assois, et montrant ma queue dressée comme un obélisque :

« Assieds-toi dessus, en me tournant le dos et rentre toi- la dans ta chatte ! »

Eva s’exécute et l’enfilage se fait sans difficulté, à croire qu’elle doit être déjà passablement excitée, pour que son vagin soit si humide.

« Tu es terriblement excitante, tu sais ! J’ai mis ma queue dans tes trois trous et tu n’as pas fait d’histoirepour ne pas dire que tu as apprécié ! »

Eva, empalée sur ma bite, se soulève et se laisse retomber et moi-même l’aide en la tenant aux hanches. Par moment, je lui titille le sexe et pince ses tétons à travers le t-shirt.

« Tu es bandante ! Je t’adore ! »

Son vagin est un étui chaud et soyeux pour ma bite. Puis je me mets debout, tout en lui demandant d’éviter de se décoller de mon sexe. Puis je la pousse vers la table. Elle s’y place en se penchant en avant, les coudes posés sur la table. Je la prends aux hanches et lui ramone son vagin. Les gémissements ne tardent pas à venir. Puis, je lui retrousse le t-shirt jusqu’à dégager ses seins, que je saisis à pleines mains. Et c’est ainsi que je l’astique, par des mouvements frénétiques, qui secoue son corps. Jusqu’à la faire jouir à fond, après qu’elle eut exprimé son excitation grandissante par des gémissements, des cris, des gloussements, en cascade.

Puis je ressors ma queue de son vagin. Le préservatif est tout fripé, mais il y a assez de foutre à l’intérieur. Je demande à Eva de me le retirer puis de lécher le sperme qu’il contient. Elle commence par esquisser une grimace, avant de se décider à retourner le préservatif et de recueillir le sperme dans sa main, avant de le lécher en totalité, en me regardant avec un sourire qui semble un peu forcé.

Puis je l’embrasse goulûment, à pleine bouche, ma queue collée contre son sexe et mes mains pétrissant fiévreusement ses belles fesses rondes.

Ainsi se terminait cette matinée du vendredi, qui, de simplement coquine au départ, était devenue torride, avec une Eva qui avait fait une expérience sexuelle de plus, en essayant de se comporter comme une « bombe sexuelle ».

A suivre ! Et c’est loin d’être terminé !

                                                                                                                                                                                                                                                                  

 

 

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