La fin de l’année se profilait à l’horizon, et depuis qu’Enzo m’avait enculé dans les toilettes du lycée, je n’avais pas eu de nouvelles expériences sexuelles. Mais je ne désespérais pas car je partais en vacance en Corse cette année, avec mes parents mais aussi deux autres familles. Dans l’une d’elle se trouve un fils dans mes âges, que je voyais environ une fois par an. Au fil des ans, il n’avait cessé de s’embellir et bientôt je me surpris à fantasmer sur Théo, c’était son nom, et son grand corps musclé, ses poils bruns qui commençaient à pousser un peu partout sur son corps et ses petites fesses bien sculptées.
Je partis donc en vacance avec un objectif: coucher avec Théo. Néanmoins, quand nous arrivâmes au gîte en Corse où nous logions, j’eus le malheur de découvrir que Théo avait en réalité une copine, et qu’il l’avait emmené avec lui en vacance. Tous mes fantasmes s’évaporèrent tandis que je voyais cette grande blonde parfaite devant moi. Je repris espoir tant bien que mal: après tout, j’avais déjà couché avec Enzo qui était en couple, alors pourquoi pas lui?
Les premiers jours se passèrent agréablement, je parlais peu à la copine de Théo mais m’intéressait fortement à ce dernier. Nous dormions dans la même chambre et je m’amusais à le mater le moins discrètement possible quand il se mettait en boxer pour aller dormir. Le garçon était adepte de VTT, il possédait donc des cuisses musclées et un petit cul qui me faisait rêver. Finalement, tout arriva pendant la deuxième semaine de notre séjour. Nous avions été à la plage, et je n’en pouvais plus de voir le dos musclé de Théo, ses abdos bien dessinés, sans que je ne puisse toucher son corps. Après avoir été dans l’eau, nous nous installâmes sur nos serviettes dans le sable. Théo et sa copine en partageaient une. Ils étaient entrain de flirter, s’embrassant, se passant de la crème solaire et je finis par surprendre un soubresaut dans le maillot de bain qui moulait parfaitement la forme du chibre du jeune homme.
Mes yeux étaient librement rivés dessus car mes lunettes de soleil empêchaient quiconque d’observer la direction que prenait mon regard. Au fur et à mesure, je voyais la bite du garçon qui grossissait, et Théo possédait un grand calibre car j’aperçus le bout de son gland qui commençait à pointer hors du maillot. Aussitôt, le garçon colla sa copine à lui d’un air gêné en vérifiant que personne n’avait rien vu. J’avais mes écouteurs même si je n’écoutais pas de musique, et c’est surement pour cela que Théo murmura à sa copine sans se soucier de moi:
"Désolée chérie faut que j’ailles aux toilettes, c’est urgent! Tu veux toujours pas m’aider un peu?
-Je t’ai déjà dis non Théo, je me sens pas prête!"
La petite dispute du couple me faisait sourire, mais mon attention était fixée sur les dires de Théo. Il se leva d’ailleurs, sa serviette autour de la taille puis alla en direction des toilettes de la plage, qui se trouvaient à l’abris dans les bois, loin de tout le monde. Un plan se dessina rapidement dans ma tête. J’attendis quelques minutes, puis je me redressais en enlevant le sable de mes cuisses, tout en disant à la copine de Théo:
"Je rentre au gîte, j’en ai marre de la plage, à plus!"
Elle me répondit d’un signe de tête puis je fis mine de partir avant de prendre la direction des toilettes. Je rentrai dans la cabine qui n’était pas fermé, sachant exactement qui occupait l’autre. Tout de suite, je me mis à chercher un trou dans le mur. Ce genre de toilette était toujours endommagé, j’allais bien finir par en trouver un… Je finis par apercevoir un petit trou assez grand pour observer ce qui se passait dans la cabine d’à côté. Je collai mon il au trou et retint une exclamation de surprise. Théo était adossé au mur en face du mien, les jambes arquées, le maillot de bain au niveau des chevilles. Je pouvais voir son énorme bite qu’il tenait dans sa main. Il avait quelques poils au dessus de son membre mais devait tout de même se raser, et ce dernier était d’une largeur effrayante bien que d’une longueur respectable. Théo faisait passer sa main droite sur son gros gland gonflé, son autre main tripotant ses couilles pleines de sueur. Il se mordait la lèvre inférieure, la tête légèrement sur le côté tandis que son corps musclé luisait à cause de l’effort qu’il faisait. J’étais au paradis tandis que je contemplais ce jeune homme sur qui j’avais tant fantasmé entrain de se donner du plaisir.
Vint un moment où je ne supportai plus de le voir se branler tout seul. Ni une ni deux je sortis de ma cabine et je vins frapper à la sienne. J’entendis Théo remonter précipitamment son maillot de bain puis la porte s’ouvrit. Il leva les sourcils de surprise en me voyant, mais sans attendre je m’engouffrai dans la cabine en refermant la porte derrière moi.
"Qu’Est-ce que tu fais là?!, me demanda le garçon d’un air presque agressif.
-C’est simple, j’ai qu’une envie c’est de te sucer. Je te regarde te branler depuis tout à l’heure de l’autre cabine, j’ai trop envie de toi. Me dis pas que tu ne veux pas te vider les couilles, parce que je sais que ta copine ne veut rien faire. Ca doit être dur de devoir être là toute la journée à la tripoter alors que tu peux rien lui faire!
-Ca te regardes pas Gaël, dégages, je suis pas pédé! me dit-il avec virulence.
-Je peux t’assurer que tu vas aimer."
Et sans un autre mot, je mis mes mains sur le torse du jeune homme. Il fronça les sourcils mais ne me repoussa pas pour autant. Je savais qu’il était curieux, il devait avoir envie de tenter cette expérience mais pour ne pas faire homo, il cachait ses désirs. D’ailleurs, sa bite ne mentait pas elle. Son sexe était toujours aussi dur, aussi dressé me rendis-je compte quand je baissais à nouveau le maillot de bain. Mes mains descendirent contre le dos de Théo au fur et à mesure que ma bouche couvrait son torse de baisers. Je descendis le long de son nombril avant enfin d’arriver à l’objet de mes désirs. Cette grosse bite tendue vers moi m’excitait au plus au point. Je commençai par la branler avec des mouvements secs et rapides, en imitant les mouvements que le garçon faisait lui même sur sa queue. Pendant quelques minutes, je me contentai de le branler puis je descendis vers ses couilles. Je les léchai avidement, les suçotant un moment en regardant Théo qui gémissait, une main derrière ma tête pour m’encourager à continuer. Puis je vins embrasser son sexe, le léchant des couilles jusqu’au gland plusieurs fois avant de le prendre dans ma bouche, commençant directement par faire une gorge profonde. Je sentis la bite de Théo se raidir contre ma langue tandis qu’il poussait un petit cris plus fort que les autres puis il commença à me baiser la bouche violemment. Le garçon se détendait et prenait vraiment son pied. Maintenant, il me faisait comprendre ce qu’il aimait en me guidant et j’apprenais à faire une pipe selon ses goûts. Ma langue titilla beaucoup son gland qui dégageait une forte odeur de sexe. Je le suçais en le branlant, le branlait en le suçant, encore et toujours en donnant mon maximum.
Au bout d’un moment, je passai mes mains contre ses fesses musclées pour voir quelle allait être sa réaction, car les hétéros n’étaient pas toujours partant pour ce genre de chose mais Théo ne dit rien. Je passais un doigt contre sa raie, il frémit mais m’autorisa à l’enfoncer dans son cul pendant que je le suçai. Le plaisir et la douleur devait se mélanger, ce qui devait être agréable pour lui. Je mis un deuxième doigt sans lui demander son avis puis un troisième, et je me mis à baiser son cul tandis qu’il se contractait au maximum. Aussitôt, je me relevai avant que Théo ne change d’avis, baissai mon pantalon et retournai le jeune homme pour venir coller ma bite à son cul. Déjà, le jeune homme faisait moins le fier et fronçait encore des sourcils. Je mis mon gland contre sa raie et me mis alors à pousser. Ma main couvrait déjà la bouche du jeune homme car un cri de douleur franchissait déjà ses lèvres. J’en profitais pour donner un autre coup de rein. Je sentis que Théo me demandait d’arrêter mais je couvrais plus fort sa bouche en faisant mine de ne pas entendre ses supplications. Je voulais défoncer ce petit boule que je voyais à la piscine, à la plage, dans le lit à côté du mien. Je sentais son anus qui s’écartait de plus en plus pour laisser passer son chibre. Celui de Théo n’était plus dur désormais mais en le tripotant d’une main experte, j’arrivai à lui redonner sa vigueur.
Maintenant que ma bite arrivait à se frayer un passage dans le cul de Théo, je me permis de faire des vas-et-viens plus rapide qui faisaient crier le garçon. Je sentais son anus se contractait contre ma queue et cela ne me faisait que le défoncer plus fort. Tandis que je continuais mes grands coups de hanches, je mis deux doigts dans la bouche du garçon, les lui faisant lécher en rythme de mes ondulations. J’embrassai son dos puissant, puis enlevai ma bite de son cul pour venir lécher son trou du cul avec vigueur, ma langue se frayant un chemin habile dans les fins fonds de son intimité. Théo n’en pouvait plus, il était toujours aussi contracté et je finis par le retourner pour l’enculer sauvagement. Ma bite forçait le passage, trouvait sa place dans son cul tout chaud.
"Alors, t’es toujours hétéro mon vieux? On dirait bien que tu kiffes ma bite hein, m’exclamai-je en regardant Théo se tordre de douleur et de plaisir en gémissant comme une salope. Putain je te défonce comme une pute, enchaînai-je avant de lui cracher sur le cul pour que mon membre coulisse plus facilement.
-Putain je vais jouir, s’exclama Théo, commençant à se masturber tandis que je continuais de lui détruire l’anus. Je le vis lâcher quatre gros jets de spermes très blanc qui me donnèrent envie. J’arrêtai alors mes mouvements pour venir lécher le torse du garçon sur lesquels étaient coulés la semence.
"T’es vraiment trop sexy. Je vais t’éjaculer dans la bouche, tu vas aimer ça ma petite salope, dis-je dans un murmure."
Théo ne dit rien et prit ma bite dans sa bouche pour la première fois, faisant des vas et viens maladroits. Je n’eus pas le temps de m’interroger sur ses talents de suceur néanmoins car rapidement je sentis une onde de plaisir me parcourir. Je saisis alors la tête du jeune homme, et le forçai à faire une gorge profonde tandis que j’éjaculai contre le palais de Théo. J’avais lâché tellement de semence que cette dernière dégoulinait de la bouche du garçon mais sagement, il avala tout. Nous finîmes par nous rhabiller tous les deux et Théo un peu honteux, rejoignit sa copine. Décidément, j’avais le chic pour trouver les vrais salopes.
