Un soir en rentrant du travail, j’avais une très grosse envie de sexe.

Mon ami est très friand de scénarios, tenues, jouets…. Quant à moi, ce n’est pas vraiment mon trip! Mais j’avais envie de lui faire plaisir et je savais quoi faire exactement pour ça.

Je me préparai donc pour devenir sa petite garce soumise. J’enfilai un harnais fait de cuir et de chaînes ; il m’enserrait et me faisait pointer fièrement ma poitrine généreuse. J’enfilai de longs gants noirs en latex, des bas de soie noirs.

Il avait une mallette rangée sous le lit contenant tout plein de jouets. Je pris des pinces reliées entre elles par une chaînette et les accrochai à mes tétons déjà tout durs d’excitation. Côté tenue, j’étais parée.

Je sortis différents godes de différentes tailles et formes et les étalai sur le lit. Afin d’être fin prête à m’offrir à lui en bonne petite chienne, il fallait que je prépare tous mes trous d’entrée…

Ma chatte étant déjà bien humide, je m’attaquai directement à mon petit trou. Pour ce faire je me caressai le minou afin de recueillir ma mouille et me lubrifiai ainsi l’anus ; un premier doigt glissa délicatement explorer cette grotte jamais visitée. Ce n’était pas si désagréable que ça. Un second puis un troisième entrèrent à leur tour. Je jouais ainsi quelques minutes et, sentant que j’étais prête, j’y introduisis un petit gode qui s’enfila si facilement que je me demandai pourquoi je n’avais pas cédé à la tentation plus tôt. Après quelques allers retours, je décidai qu’il était temps de faire subir la même chose à ma petite chatte qui ne demandait que ça. Par contre, j’y rentrai un gode beaucoup plus gros et vibrant.

J’étais au comble de l’excitation lorsque j’entendis la porte s’ouvrir et mon ami m’appeler. Je coinçai donc les godes dans le harnais pour qu’ils ne puissent pas s’échapper et me mis à quatre pattes, mon derrière pointant vers la porte d’entrée de la chambre.

N’ayant pas de réponse et entendant du bruit à l’étage, il finit par monter. Quelle ne fut pas sa surprise de me découvrir ainsi offerte à lui. S’approchant de moi, avec un petit ton pervers, il me dit : "Je vois que l’on s’amuse bien ici pendant mon absence ! Tu vas découvrir qui est ton maître ma petite chienne !"

Je l’entendis se déshabiller et, sans prévenir, commença à me fesser. Par instant, le fouet venait claquer ma vulve, je ne pouvais retenir des cris de douleur, mais quelle délice ! Il me fouetta jusqu’à ce que mes fesses soient toutes rouges.

Il m’agrippa par les cheveux pour me relever.

Voyant ainsi mes seins prisonniers des pinces, il les serra au maximum pour que mes tétons soient torturés comme ils le méritaient et m’embrassa goulûment en me caressant tout le corps.

Il m’ordonna de me remettre à quatre pattes pour subir un cuni magistral. Afin de me cambrer au plus, il me fouetta à nouveau.

Il me retira les deux godes afin de pouvoir goûter à cette chatte largement ouverte et désireuse de supplices. Étant tellement excitée, qu’au premier coup de langue, de grands frissons me transpercèrent le corps ; j’étais électrisée sous ses coups de langue qui ravissaient mes orifices. Ses doigts rentraient les uns après les autres avec tant de facilité, j’étais comblée! Il jouait en moi avec tous ses jouets en parlant crûment, ce qui accentuait mon excitation. Pour que mes seins n’oublient pas d’être malmenés, il tirait régulièrement sur la petite chaînette, ce qui avait le don de me faire trémousser encore plus.

Stoppant net ses jeux, il s’assit sur le bord du lit et m’ordonna de venir m’accroupir par terre pour le pomper comme je ne l’avais jamais fait. Je m’exécutai sans sourciller, comme sa petite salope que j’étais.

Je commençai par lui lécher le gland pour le titiller. Il en avait décidé autrement et m’appuya la tête contre lui, ce qui fit rentrer sa queue entièrement dans ma bouche jusque ses bourses toutes dures. C’est lui qui imprimait le rythme, me laissant à peine le temps de reprendre ma respiration. Il m’ordonna de le regarder droit dans les yeux. De voir son regard pervers posé sur moi, disant vas-y continue, donne-moi tout ce que tu as, me faisait redoubler d’énergie. Alors, je le pompai avec ferveur. Sentant sa jouissance venir, il m’ordonna de me remettre à quatre pattes sur le lit.

Il me pénétra jusquà la garde et commença des va-et-vient tonitruant, s’agrippant à mes hanches afin d’aller toujours plus loin à chaque coup de boutoir. J’étais au comble de l’explosion. Il me laminait la chatte et j’en demandais toujours plus.

Puis sans prévenir, il pénétra ma rondelle, d’un coup d’un seul. Il n’eut aucune difficulté tant elle s’était ouverte sous ses assauts de langue et de godes.

Il me prit ainsi, naviguant entre les deux, pendant un temps incalculable, ayant perdu toute notion de quoi que ce soit ; lorsqu’il se retira, me retourna et m’ordonna de boire toute sa semence sans en perdre une seule goutte si je ne voulais pas être punie.

Je m’exécutai immédiatement, et reçus un torrent de lave en bouche et n’en perdis aucune goutte ; je le suçai afin de lui rendre un pénis tout propre.

Nous étions épuisés par tant de jouissance mais tellement ivres de désir.

Il me remercia d’avoir été une si bonne petite soumise en espérant que cette première ne serait pas la dernière.

Depuis, nos ébats amoureux sont devenus plus pimentés, tantôt il me soumet, tantôt je le soumets, mais ceci est une autre histoire….

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