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Vacances à Djerba – Chapitre 4




Le trajet du retour fut court. Maria était radieuse et de temps en temps excitait notre hôte en lui effleurant délicatement la bosse de son pantalon. Elle poussait des petits soupirs de satisfaction en constatant l’effet que ses attouchements produisaient. En effet, je pouvais voir, de ma place à l’arrière, que la proéminence à l’entre jambes de Karim était de belle facture.

— Regarde comme il bande pour moi ! Il a une superbe queue ! Je l’adore !

Et disant cela, elle défit la ceinture et abaissa la braguette pour sortir un membre bandé bien épais qu’elle saisit et secoua voluptueusement. L’homme se trémoussait mais ne quittait pas la roue des yeux.

Elle n’alla pas plus loin. Elle le réservait certainement pour la suite.

Une fois arrivés, Karim alerta son domestique pour qu’il prépare le grand salon sur la terrasse et apporte tous les alcools et le grand narguilé. Il fit également installer un grand divan large et profond recouvert d’un tissu chatoyant d’un rouge vif.

Maria nous fit savoir qu’elle voulait prendre une petite douche et se refaire une beauté pour le reste de la nuit. Elle nous quitta et se dirigeât vers notre chambre.

Je restais avec Karim.

La nuit était délicieusement tiède et silencieuse.

Je fouillais un peu la discothèque et trouvais des CD bien adaptés pour émoustiller ma femme. En effet, ma femme aime danser et aime s’exhiber en dansant. J’en fis part à Karim qui manifesta son plaisir à ce talent qu’il ne connaissait pas encore et qui présageait des moments très chauds. Il fit installer la sonorisation sur une table basse et se retira quelques instants pour, me dit-il, se mettre à l’aise et passer une djellaba. Il me conseilla d’en faire de même.

J’allai donc dans notre chambre pour me mettre nu et passer une longue tunique. J’entendais Maria qui chantait sous la douche. Elle était d’humeur lutine.

Quelques secondes après je rejoignis la terrasse où se trouvait déjà Karim vêtu d’une belle djellaba noire avec des motifs blancs brodés sur le col. Ahmed était arrivé durant mon absence. Il avait gardé son pantalon et son veston bleu marine avec une chemise bleu ciel. Il avait juste quitté sa cravate. Les deux hommes s’entretenaient en arabe. A leurs sourires je sus qu’ils parlaient certainement de ma femme. Ils se levèrent à mon arrivée et cessèrent poliment de parler dans leur langue maternelle.

— Ta gazelle est une sacrée coquine ! Me dit ahmed. En France, vous faîtes souvent des choses comme elle vient de faire à mon restaurant.

— Dans des restaurant, jamais ! Elle a réservé cette primeur à ton établissement. Mais nous organisons de temps en temps des petites soirées à la maison où des hommes que j’ai choisi viennent pour honorer sa féminité. Jamais plus de deux hommes et moi ! Jamais de femmes, malheureusement pour moi. Elle aime être la seule femme dans ce genre de divertissement. De plus, elle est très jalouse et ne veut pas me voir avec d’autres femmes.

— C’est dommage, me dit Karim, car je connais ici à Djerba, une jeune fille d’à peine vingt ans, très belle et très sensuelle qui aime les gazelles, mais qui ne trouve pas son bonheur sur l’île ! Elle s’appelle Mara ! Presque le même prénom ! Elle aurait, je suis certain, beaucoup de plaisir à rencontrer ta femme.

— J’aurai moi-même beaucoup de plaisir à la rencontrer !

— Penses-tu que je peux l’inviter demain ou après demain pour un dîner ? Qu’en pensera ton épouse ? Je lui prends quelquefois des photos. Tiens regarde j’en ai quelques unes ici.

Il se leva, alla chercher dans un meuble à tiroirs et en ressortit une pochette de photographes d’où il tirât deux photos d’une jeune femme nu ou en lingerie blanche et assise sur des tabourets, les mêmes sur lesquels nous étions nous-même installé. Le décor était celui de cette terrasse.

Je les regardais attentivement. La jeune fille tunisienne était d’une beauté à vous couper le souffle !

— Délicieuse ! Vraiment très appétissante ! Elle a une chute de reins diabolique et un cul à damner un saint ! Mais je ne peux rien présumer de ses éventuels rapports avec ma femme ! Toutefois il me semble que c’est une bonne initiative que de l’inviter pour un dîner ! L’occasion fait souvent le larron ! Et Maria est toujours très demandeuse de plaisirs charnelles. D’ailleurs, je l’entends qui arrive.

Des bruits de talons sur le parquet en grès du couloir et Maria sortit sur la terrasse.

Elle avait revêtu, si l’on peu parler ainsi, une robe longue noire en voile transparent largement fendue sur les deux cotés. Un petit string noir cachait à peine sa touffe. Elle avait gardé ses mêmes escarpins noirs à hauts talons et ses bas résilles. Elle n’avait pas cru de circonstance de mettre un soutien gorge et on voyait très bien ses beaux seins en poire et surtout ses tétons qui pointaient agressivement. Elle avait également posé son masque doré sur le visage en prévision des photos et du film que j’avais projeté de réaliser en souvenir de cette soirée de luxure et de son émission sur le net. Pour pimenter son image de femme animale, elle avait mis autour de son cou un collier de chienne noir clouté.

Dès le moment où elle apparu ainsi dévêtue, mon membre devint dur. Je vis Ahmed ouvrir de grands yeux de ravissement. Il ne devait jamais avoir vu une tenue pareille sur une femme aussi belle et aussi sexuellement offerte.

Je vis, également, une très grosse bosse qui se formait sous la djellaba de notre hôte. Maria avait, elle aussi, remarqué l’état d’excitation de Karim. Elle arborait un sourire des plus coquin quand elle nous déclara :

— Messieurs, je suis à vous !

Elle resta debout pour se faire admirer et passa lentement devant chacun de nous en nous gratifiant d’un léger baiser sur la bouche en nous léchant les lèvres.

Je me levai pour mettre une musique adéquate, chaude et rythmée.

Maria commença à danser toute seule en nous regardant. Une bretelle de sa robe était tombée de son épaule. Elle en fit de même pour la seconde, laissant ainsi ses épaules nues.

Ahmed se leva et se mit en face de ma femme. Il dansa un petit moment avec elle, corps contre corps en lui caressant les fesses et le bas de son dos à travers le voile de la robe. Après quelques secondes, il lui saisit la nuque, attira sa bouche vers lui et l’embrassa fougueusement. Maria, toujours en dansant, lui rendit son baiser avec la même ardeur.

Ce fut un spectacle très érotique que de voir sa femme danser et embrasser avec une telle ferveur un autre homme que moi, devant moi et un troisième homme…même un quatrième, car le domestique de Karim qui était en train de servir du champagne dans nos coupes, ne perdait rien du mouvement de ma femme et de son cavalier qui étaient collés l’un à l’autre.

En effet, les deux danseurs ondulaient du bassin au rythme de la musique. Maria avançait son ventre à la rencontre de celui de l’homme qui l’embrassait. A son comportement, je savais qu’elle était déjà bien chaude et prête à toutes les dépravations. Elle lui passait la main sur la braguette. C’est alors que je vis une bosse monstrueuse qui déformait le pantalon du restaurateur.

Maria remarqua elle aussi cette érection hors du commun. Elle se détachât du baiser et le regarda dans les yeux :

— Je te fais bien bander mon salaud ! D’après ce que je touche tu es monté comme un âne ! J’ai envie de te voir nu !

Elle lui enleva d’abord son veston qu’elle jeta par terre et entrepris de lui défaire un à un les boutons de sa chemise qu’elle ôta voluptueusement. Ahmed se retrouva vêtu de son seul pantalon. Maria commençait à lui lécher sa poitrine abondamment velue et lui mordillait les bouts des seins. L’homme gémissait sous les effleurements de mon experte épouse. Il avait remonté un pan de sa robe et lui caressait les fesses à deux mains. Il entreprit de lui ôter son string qui se retrouva au milieu de ses vêtements sur le sol de la terrasse.

Le baiser devenait de plus en plus bruyant de gémissements et de succions imprégnés par leurs deux langues qui s’introduisaient profondément dans leurs bouches.

Je me levai et allai dans la chambre chercher l’appareil photo et le caméscope. Quand je revins, Karim se tenait debout derrière mon épouse et lui mordillait la nuque en frottant son ventre contre ses fesses rebondies. Je pris un premier cliché du trio qui dansait, ma femme au milieu des deux hommes. Elle s’était retourné et embrassait maintenant notre hôte en ne quittant pas de sa main droite l’entre jambes d’Ahmed. La bosse était proprement vertigineuse et j’attendais de voir l’engin qui était destiné au plaisir de ma femme.

Je m’approchais pour bien cadrer la langue de Maria qui allait de bouche en bouche avec des gémissements qui devenaient de vrais petits cris.

Les deux hommes se mirent à genoux, l’un face à elle, l’autre derrière elle. Ils avaient relevé les deux pans de sa robe jusqu’à sa taille et la léchaient goulûment, l’un la chatte et l’autre le cul. Maria, debout, se tordait comme une liane. Elle était totalement soumise aux appétits sexuels des deux hommes. Je pris une magnifique photo de ce moment. Le domestique, dans un coin de la terrasse, se caressait à travers sa djellaba en regardant cette admirable femelle s’abandonner ainsi aux convoitises de son maître et de son ami.

Je la vis fléchir sur ses deux jambes comme un pantin désarticulé et l’entendis crier comme une démente. Elle eut ainsi son premier orgasme.

Violent, animal, céleste.

Je n’arrêtais pas de clicher sa déperdition pour l’éternité.

On s’est mis à trois pour la relever et l’asseoir sur le profond divan. Sans attendre, je lui enlevais complètement sa robe et la laissais presque nue, seulement vêtue de ses escarpins, ses bas résilles, son collier de chien et son masque. Les deux tunisiens ne relâchaient pas leurs attentions. Karim enleva sa djellaba et Ahmed son pantalon…je ne crut pas ce que vis !

Maria rouvrit les yeux à ce moment, admira avec un petit cri de satisfaction ce qu’elle avait à quelques centimètres de sa bouche…

— HOU ! LA ! LA ! Tu as vu cette bite mon chéri… démente …elle va me rendre folle quand il va me la mettre…il va me défoncer la chatte et le cul avec une matraque pareille. Je veux être sa jument…son esclave ! J’en ais jamais pris d’aussi grosse et d’aussi longue – et s’adressant à Ahmed – Tu vas me prendre avec ta trique ! Je suis à toi !

— Elle est belle hein…elle te plais…tu la veux pouffiasse…tu baves devant elle…je vais te défoncer tous tes trous, espèce de salope ! Je vais te soumettre et te traiter comme une grosse chienne !

  – OH ! OUI ! Insulte moi ! Fais moi ce que tu veux…Je veux être ta chienne…Je veux être votre chienne à tous les quatre… Je veux devenir folle de jouissance…Putain quel bite…Je vais la faire durcir comme de l’acier…Je la veux…Je la veux dans ma bouche…je la veux dans mon ventre…je la veux dans mon cul !

Le moment était surréaliste.

La musique se mêlait à la fête et nous amenait à la transe.

Le champagne faisait pétiller notre soif de cette femelle. Son effet était euphorisant.

Le domestique s’était rapproché. Il se masturbait avec vigueur et sa queue avait maintenant une couleur pourpre, prête à exploser.

Karim s’était assis prés de mon épouse et lui doigtait la chatte. Ses doigts étaient trempés du plaisir qui suintait et coulait de l’entre jambes de la femelle déchaînée.

J’avais laissé l’appareil photo et avais saisi le caméscope pour filmer ces minutes d’une beauté et d’une intensité bestiale.

Le sexe d’Ahmed était monstrueusement beau. Une barre d’ébène de près de trente centimètres, bandée comme un cheval en rut prêt à la saillie.

Maria se jeta dessus comme une bête affamé.

Elle commença par cracher sur la hampe et par lécher les couilles du gros tunisien. Elle s’activait sur ce manche sans fin avec voracité et délice. Ses deux mains se promenaient le long des veines gonflées et finissaient par saisir les fesses de l’homme pour bien le maintenir près d’elle. Elle lui glissait l’index sur les plis de son anus et lui taquinait l’entrée de son conduit. L’homme haletait et son souffle devenait de plus en plus bruyant :

— C’est çà espèce de pute…lèche moi bien…suce moi les glaouis…mouille les bien…crache…crache… – et se tournant vers moi – … Putain ta femelle c’est une vraie pro de la bite…elle va m’exploser la queue, ta salope de femme !

— Et toi, tu vas lui exploser le chatte…elle n’attends que çà… c’est une vraie chienne…elle en a jamais assez…allez baise là maintenant !

— Non, je vais l’enculer tout de suite…c’est tout ce qu’elle mérite cette truie !

  – Oui…oui…encule moi, gros porc…mets la moi toute entière…lime moi le fion salaud…je la veux…je la veux…elle est bonne ! Je veux mourir avec elle !

Maria était déchaînée. Elle s’activait à pomper la queue qui lui était offerte comme si elle était morte de faim. Elle arrivait à en glisser presque la moitié jusqu’au fond de sa gorge. Elle s’en dégageait en soufflant pour mieux l’engloutir à nouveau. Le rythme devenait démentiel. La musique emportait les âmes et les corps.

Ahmed se tordait de plaisir sous les assauts de ma femme. Son gros ventre ballottait. Ses yeux se perdaient dans une folie sexuelle proche de l’évanouissement.

Je filmais ces instants beaux comme une apocalypse et magnifiquement bestiaux.

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