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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 34




Notre soirée est des plus calme. Malika on regarde la ligne fluorescente laissée dans notre sillage. C’est le plancton qui, aspiré puis rejeté par hélices, forme une traînée d’un vert lumineux.

Adélia est montée en passerelle, suivit de prés par Théna. Je tiens l’amour de ma vie dans mes bras. La douceur et la chaleur de ses fesses réveille Popol. Elle s’en amuse et se cambre.

— Tu sais que j’ai eu une invitation de Gladys. Il paraît qu’il y a une surprise qui m’attend.

— Et tu n’y vas pas??

— J’hésite. Je suis bien avec toi

— Vas-y On a toute la vie pour profiter de notre couple. Allez, file Me dit-elle en me poussant avec son cul.

— Non, viens avec moi, tu vas nous espionner Je laisserais la porte ouverte.

— Je t’aime ma chérie Hihihihi.

Nous descendons à pas de velours les échappées qui nous séparent du pont de l’équipage. Malika pénètre dans la cabine d’Axiana, elle lui fait signe de se taire. Je frappe doucement à la porte de la cabine des quatre matelotes. Des rires et des bruits de chaises se font entendre suivis d’un "entrez" à peine audible. Je pousse la porte et la laisse à moitié ouverte.

— Surprise, me dit Gladys, allez, met nous notre compte.

Elles toutes les quatre, dos à moi, à genoux sur les chaises de la cabine. Une vue imprenable sur quatre fessiers. Trois petits culs bronzés et un énorme blanc de blanc. J’en connais une qui va se régaler, je parle de ma bite, bien sûr. Je m’avance et j’aperçois des numéros en chantilly sur leurs dos. De un à trois pour les triplées, le quatre pour Glagla. Je m’avance, queue tendue, vers numéro 1. Je me penche et récupère la crème avec ma langue. N°1 frissonne et pousse un "AHHH" de contentement. Pas une parole, pas un regard ne sont échangés. Elles sont toutes à bonne hauteur. Je caresse les fesses de N°2. Même réaction que N°1. Je positionne mon chibre à l’entrée du puits d’amour de N°1

— Vous n’êtes plus vierges??

Elles secouent la tête pour me dire que non. J’avance mon bassin lentement et rentre avec bonheur dans un con encore vierge de toute bite humaine. Un long râle accompagne ma progression. Quand j’arrive en butée sur son col, je demande :

— Alors, c’est bon?? Je continue??

— Oui, à peine audible, c’est trop bon Défonce-moi Oui Il me prend Oui

Je continue de pousser et je sens l’anneau de son utérus céder. Je suis aux anges. Elle a la tête tournée vers moi et essaie de voir. Elle a la bouche en "O". Une larme perle.

— Ça va??

— HUMPH, oui, oui ARGH Ô, comme c’est bon

Je me retire et passe au N°2. Même punition, mais au lieu de ramasser la crème, je prends les cheveux de N°1 et la force à le faire. La forcer est un bien grand mot.

J’astique N°2 de la même façon. Elle a une réaction inattendue, elle me branle en contractant ses muscles vaginaux. La réaction de Popol ne se fait pas attendre. Il déverse sa pré-soupe dans les tréfonds de son utérus

— Putain, il a déjà joui, il me remplit

Petite conne, si elle savait, cela ne fait que commencer. Je me retire. Mon méat fuit. N°3 m’accueille avec bonheur et dit :

— Non, il n’a pas joui, il me remplit aussi Trop de bonheur, oui vas-y

Quand je passe à N°4, C’est d’un coup sec et violent que je la perfore.

— Argh Salope

Je rigole intérieurement. Mon jus pré-spermatique lui dégouline le long des cuisses. Je me penche et lui dit :

— Tu seras la seule à être honorés demain. Les trois autres le seront quand elles auront compris que je suis une gonzesse. Allez, sur ce, bonne soirée.

C’est dans un brouhaha que je quitte la cabine et rejoins ma tendre et douce. Elle est en train d’embrasser Axiana. Elle me fait un clin d’il. Étant de dos, je prends Axiana qui ne s’y attendait pas. Le cri de surprise est étouffé par le baiser de Malika, mais elle arrive à se libérer :

— PUTAIN DE SALOPE OUIIIIIII

Je lâche les chevaux et la défonce en laissant mon gland bien au chaud. Elle contracte sa chatte autour de ma bite. Je ressens les même sensations qu’elle, on part dans un même trip. Mes vannes sont ouvertes et ça coule le long de ses jambes. Sa rosette palpite, je la masse à l’aide de mes deux pouces. Elle hurle, c’est pas loin d’être mon cas. Elle s’accroche au cou de Malika qui l’encourage :

— Vas-y, prend ton pied, va au devant de sa grosse bite, oui, comme cela, vas-y ma salope, défonce-toi le minou sur son pieu

Hystérique, Malika lui assène des claques sur ses fesses. Axiana n’en peut plus elle s’affaisse, elle tombe à quatre pattes. J’ai accompagné sa chute et continue à la travailler. Elle a la bouche au niveau du sexe de Malika qui le frotte sur son visage.

— OUIIII Bouffe-moi la chatte ma grosse chienne, OUIIII.

Malika et moi, on se regarde et on se sourit. Je suis en nage. L’odeur qui règne dans la cabine est un mélange de musc africain et de transpiration. J’en peux plus, je lâche ma purée au pus profond de sa matrice en hurlant. Axiana s’est affalée sur ses avants-bras, m’offrant sa chatte. Encore deux ou trois coups brutaux, je vais la rejoindre. Mon sexe expulse toujours ma crème, pourtant je ne bouge plus. Malika se frotte sur mon dos tout en se masturbant. Les quatre petites n’ont rien loupé à mon accouplement. Elles sont stupéfaites.

— qu’elle amante tu fais, Vanessa Tu m’as tué

— Je te retourne le compliment, mais je n’ai pas fini Tu sens??

— Oui, ouf, je sens que je vais vomir du sperme. Mon ventre gonfle Pioufff

Je ressors du ventre d’Axiana et me finis sur son dos.

— Allez, petites catins, dit Malika, venez nettoyer tout ça

Elles nettoient le dos, le sexe d’Axiana, moi, je me sauve, aidée par ma chère et tendre.

09h00. Je me réveille seule. Cela devient une habitude. Je file à la douche. Elle est revigorante. Une fois neuve, je file rejoindre les filles qui doivent être en train de petit-déjeuner. Elles y sont presque toutes, Malika, Théna, Axiana, Glagla et les trois matelotes. Toutes sont attablées et se régale des viennoiseries et tartelettes préparées par Glagla?!?!?! Un vrai cordon bleu. J’embrasse tout ce petit monde et je m’assois à la seule place laissée vacante, celle d’Emile. À peine installée que les triplées viennent me servir en café et jus d’orange, mais tout ceci ne sert à rien, on entend dans la diffusion générale la douce voix d’Adélia.

— Vanessa est demandée en passerelle.

Je prends mon mug de café et un second pour notre maître d’équipage. Une fois en passerelle, Alexia est à la barre. Elle tourne la tête et me sourit.

— On arrive à bonifaccio et Émile m’a demandé de t’apprendre les manuvres de mouillage

— A bon, tu mouilles?? Lui dis-je en passant une main sur son sexe.

— VANESSA, c’est sérieux

— Oups, pardon. Alors comment ça se passe, dit moi tout mon amour. En l’enlaçant.

— Oh, t’es terrible Arrête, d’ici une demi-heure on est au Han

Je viens de me connecter au charmant capitaine, mais je ne bouge pas.

— Explique-moi, je te suis toute ouïe

— Non, Vanessa, je t’en supplies Arrêtes?!?!! Après je serais toute à toi.

— hummm, je vais te baiser toute la journée??

— Oui AH la vache Merci

Je m’installe sur le fauteuil du Pacha. Elle m’explique comment se placer prés du corps-mort, face au vent. Les trois petites matelotes sont prêtes à hisser le cordage à bord. L’annexe, pilotée par Axiana, s’approche lentement de la proue du navire. Notre Glagla lance un bout aux trois filles. Elles le hissent à bord et le lovent sur le guindeau. Adélia est concentrée sur sa manuvre fait culer le bateau pour tendre le cordage.

— Bien joué les filles, dit-elle par l’interphone, je mets bas-les-feux.

Elle appuie sur le bouton "stop" et c’est le silence. Seul persiste le bruit léger du diesel servant à fournir l’électricité. Les trois donzelles astique la plage avant.

— Annexe tribord à couple Cap’taine

Le sourire satisfait d’Adélia illumine son doux visage. On descend rejoindre Malika et Théna qui sont toujours à table. Adélia s’assoie et se sert un café bien mérité.

— Bon, les filles, on ne va pas tarder. Dit Malika. Nous on va en ville, on a des courses à faire, des trucs de filles. Toi, en s’adressant à moi, n’oublies pas, hier tu as fait une promesse à quelqu’un. Honore là. Allez les girls, on y va.

Je me retrouve comme une conne, seule à table. Les quatre matelotes ont quitté leur combinaison de travail et s’affairent à débarrasser, Axiana monte en passerelle. Je descends dans ma cabine. Enfin seule, je passe par la salle bain et je vois les pilules de mon traitement.

— David, il faut que j’appelle David.

Je prends mon portable, j’ai du réseau.

— Allô, David??

— Oui, que t’arrive-t-il??

Je lui explique mon cas. Le fait que je sois avec 24 petits trous à remplir (bin oui, 24. 3×8), je m’inquiète quant à mon traitement. Il explose de rire.

— Hahaha, c’est malin

Il m’explique une nouvelle posologie et surtout, me précise-t-il, de bien m’hydrater, sinon je vais dépérir. Il me prévient par avance en me signalant que j’aurais une gaule d’enfer pratiquement en permanence.

— Hé, au fait, le traitement a un effet secondaire

— Lequel??

— Ma bite prend en longueur et en volume. Normal??

— HAHAHAHA Oui, ça va se stabiliser, tout dépend de l’élasticité de tes corps caverneux.

— Et je risque d’avoir mal

— Toi?? Non, rassure-toi Mais j’en connais huit qui dresseront le drapeau blanc avant que tu n’abdiques. Vas-y doucement avec les trois jeunes, ne nous les abîmes pas, il faut qu’on les ramène chez elles en un seul morceau. HAHAHA D’autres questions??

— Euh Non.

Il me souhaite bon courage et passe le bonjour à toutes les filles. Je décide de commencer le traitement immédiatement. Une demi-heure plus tard, Popol est au garde à vous. Je me regarde dans le miroir, il paraît encore plus gros.

Je monte vers le salon extérieur, où je retrouve Glagla en train de faire bronzette. Elle m’annonce qu’Axiana est en passerelle et les trois surs sont dans leur cabine. En me disant cela, elle n’a pas détaché le regard de mon rostre. Je bande tellement, qu’il défit les lois de la gravité, il dépasse mon nombril. Je me mets au-dessus de son joli minois. Je sens sa respiration sur mes bourses. Elle se pince les lèvres et lève une main pour le prendre en main. Je souris, elle n’arrive pas à en faire le tour. Elle commence par me décalotter et admire mon anneau. Je pousse mon bassin et instinctivement, elle sort la langue. Au contact de cette dernière sur mon gland m’électrise

— C’est sensible tant que cela??

— Oui, ce doit être aussi sensible qu’un clito, je pense.

— Tu m’avais promis de me raconter comment tu étais devenue une

— Transsexuelle?? C’est un peu long, mais je vais tout de dire

Je m’assieds entre ses cuisses et commence à lui expliquer ma rencontre avec Domi, Émile, Malika et comment j’ai fait la connaissance des autres personnes, de ce que je considère désormais comme ma famille. Elle m’écoute passionnément tout en me branlant lentement. Mon pré-sperme perle, coule déjà. Je lui explique mon passage à Montpellier, ma venue à Ibiza. Elle me questionne sur la fortune d’Emile. Je lui réponds que c’est familiale.

— Tu es riche, alors??

— On peut dire cela comme cela. En explosant de rire. Sa naïveté m’éclate.

— Et qu’est-ce qui a attiré en moi, alors?? Je ne suis pas très belle

— Ne laisse personne te dire cela. Ce qui m’a plu en toi?? Voyons voir Tout d’abord, ton visage de salope, ton regard de vicelarde

À ces mots, elle rougit.

— A ton cul qui est un appel à la sodomie, tes hanches, ton imposante poitrine, ta petite taille Tu m’as plu aussi par ton air de petite ingénue

— Ingénue??

— Oui, rappelle-toi la première fois que je t’ai parlé dans les toilettes du bar

— Tu m’as impressionné. Je ne croyais pas si grande

— Et pour couronner le tout, ton culot, ton audace. Je ne pensais pas que tu viendrais au sauna

— Euh Moi non plus

— Voilà, tu sais tout de moi

— J’aimerai avoir autant de chance que toi

— Hummmm

Elle me branle toujours.

— Quoi, qu’est-ce qu’il y a??

— Attend, je vais te montrer

Je récupère un peu de liquide séminal et je descends sur son bouton d’amour. Elle sursaute et ferme les yeux. Une petite claque sur la cuisse la rappelle à l’ordre.

— Pardon. Dit-elle d’une voix timide.

Elle continue à me branler lentement. Je lui demande de moins me serrer, de me caresser. Elle a compris et c’est à peine si je sens la pression de ses petits doigts, juste la chaleur de ses mains qui m’irradie. Je me penche vers elle et joue avec ma langue sur ses lèvres. Elle va pour m’embrasser.

— Non, tu joues juste avec ta langue. Sort la Voilà, c’est parfait Hummm.

On joue un balai où les danseuses sont nos langues. De mon autre main, je pars agacer le téton qui est en face.

— HUMMMM OUIIIII

— Chut, concentre-toi sur le plaisir que l’on se donne.

Nos mentons dégoulinent de nos salives.

— Joue avec mon sein, avec l’anneau

Elle y va à l’aveugle. Sa maladresse me fait rire

— Quoi????????

— CHUTTTT Hummmm Ouiiiii

— Chut Me fait-elle à son tour.

Elle est mignonne. Elle remonte jusque sur mon gland et s’amuse de mon anneau. Là c’est moi qui réagis, son regard brille, elle est fière d’elle et elle le peut. Il n’y a qu’avec Malika que j’ai partagé ces moments érotiques. Vais-je lui en parler, surement. Mais pour l’instant je me concentre sur le plaisir que l’on est en train de partager. Je branle son clitoris entre mon pouce et mon index. Elle l’a d’ailleurs plutôt long. Je l’ai sorti de sa gangue de chair et doit avoir la taille d’un gros poix-chiche. Elle se raidit lorsque je le pince, mais ne dit rien.

On joue à ce petit jeu durant de longues minutes, de très longues minutes Je sens que le point de non-retour est proche. Je m’active de plus en plus sur son gros bouton en le branlant activement. Elle m’imite. Je sens que ça bout dans mes couilles. Pour sa part elle a refermé les yeux. Je la laisse partir dans son monde. Sa main s’active en me serrant la bite fermement. Sa glisse tout seul, mon liquide n’ayant pas cessé de s’échapper. Elle se raidit, ses mouvements sont plus saccadés. Mon jus monte inexorablement dans mon conduit et j’explose en même temps qu’elle. C’est un geyser. Mon sperme gicle avec force et nous arrose le visage. Elle n’arrête pas pour autant de me branler. Mon éjaculation l’étonne, mais chut. Elle a compris. On est couverte de semence. Nos visages, nos poitrines, nos ventres, nos cuisses et nos sexes. Tout y est passé, pas un centimètre carré de nos corps n’est resté vierge. Même nos dos et nos cheveux. On s’embrasse se moquant bien de l’état dans lequel on doit être. On se savonne de mon jus, on se masse de mon sperme. Ça pue, mais cette odeur ne nous gêne pas, au contraire, elle nous enivre. On se lèche le visage pour s’échanger nos récoltes. Elle a rouvert les yeux, elle a le regard rieur.

Sans attendre qu’elle redescende de son petit paradis, je l’allonge et la pénètre d’un coup lent, mais profond. Elle a eu un hoquet quand ma verge est venue percuter son utérus.

— Ça va??

— Oui, oui Me répond-elle doucement.

Je ressors entièrement et la perfore d’un trait, puissant et je loge ma tête dans son coup. Elle crie :

— ARGH, tu me déchires Han Putain de salope

— Pardon, tu as eu mal??

— Non, mais surprise Ouf.

Je continue mes allers-retours, mais lentement. Je lui fais l’amour. Encore une fois, j’ai la sensation de tromper Malika. Je l’embrasse dans le coup, elle repart dans son monde. Mon liquide lubrifiant a fait son effet et les flocs-flocs que font nos deux sexes couvrent tous les autres sons. Je jouis pour la deuxième fois en même temps que ma Glagla. Mon sperme sort en jets puissants et nombreux. Ça déborde de partout, je continue à la pistonner. Elle n’en revient pas et redécolle. Sa bouche est grande ouverte, mais elle reste muette.

Je m’allonge sur elle et lui mord l’épaule lors de mon ultime éjaculation.

— Aïe

— Oups Pardon Je me croyais avec Malika (quelle conne)

Elle regarde tendrement et me répond :

— Ne t’excuse pas, c’est même un joli compliment C’est flatteur.

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