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Mère et fils: une histoire d'amour. – Chapitre 10




Chapitre 10 : Maman est de retour. Toujours chaude et amoureuse.

Je pense que maintenant je comprends mieux lenfer quun toxicomane traverse quand il est en manque de sa drogue quotidienne. Apres un été où jai satisfait, presque tous les jours, mon besoin de sexe avec ma mère, je suis en manque quand je me retrouve seul dans mon petit deux pièce.

Maman est rentrée chez elle fin Août en me déposant en cours de route. Nous sommes arrivés samedi après-midi, avec une envie de sexe, sachant que nous allons être séparés pendant un long moment. Dimanche matin on se réveille toujours lun contre lautre avec nos organes collants de sueur et de nos jus séchés résultant de notre combat amoureux de la nuit.

Maman et moi sommes dans les bras de lautre, nos langues s’entrelacent et nos corps sassemblent étroitement.

Je me soulève et je regarde son corps magnifique.

Ses seins de toute beauté, qui malgré leur grosseur ne sécroulent pas sur le côté de son torse, ses jambes bien galbées avec entre ses cuisses une touffe de poils soyeux et noirs qui entoure de belles lèvres humides, étincelantes, qui minvite continuellement à plonger ma bite dans la chaleur satinée de son sexe.

Les cheveux échevelés de maman, longs et noirs, sétalent comme un halo autour de sa tête tel un ange céleste.

Je suis constamment en admiration devant la beauté de ma mère et quand je menfonce dans son sexe avec délectation, je savoure la magnificence de sa chatte et de ses chairs roses qui avale mon pénis dans son ventre. Les bras de maman viennent autour de mon cou et je reste immobile au-dessus delle pendant que sa chatte se fait plaisir avec ma queue qui la remplit. Ses épais tétons, gonflé et durs, frotte ma poitrine et nos corps roulent lun sur lautre.

— OOoohh, je taime mon Dany,

Murmure langoureusement maman quand je roule des hanches pour bien sentir la totalité de son vagin.

— Moi aussi, mamanje taime tellement

Et je masse son pubis et son corps avec le mien. Je sens ses cuisses glisser le long de mon corps puis ses jambes derrière mon dos pour se presser contre moi et ne faire plus quun. Nous faisons lamour lentement, profitant de chaque parcelle de notre corps, conscient tous les deux que ce sera la dernière fois avant longtemps.

Nous savons que notre amour incestueux nous entraîne dans un long combat. Mon besoin de jouir et de juter dans son corps est tempéré par la baise de cette nuit et je sais que je peux aller et venir dans la chatte de mon amour tant quelle même peut tenir. Heureusement que maman mouille beaucoup pour que ma grosse bite puisse la pistonner aussi souvent et aussi longtemps sans sirriter. Nous parlons à peine pendant notre coït, sauf pour se dire des mots tendres et damour entre nos gémissements de plaisirs. Ma bite va et vient dans sa chatte crémeuse, ses seins s’étalant sous mon poids, ses jambes serrées autour de mon dos, nos langues de dégustent mutuellement. Son corps séchauffe et je lemmène au bord de son orgasme juste avant de marrêter pour pouvoir encore continuer et profiter de ce plaisir des sens.

Tous les deux avons du mal à garder le contrôle de nos corps mais on y arrive pour que notre danse charnelle et ce besoin dévorant du sexe de lautre dure le plus longtemps dans de ce véritable amour que seul une mère et son fils peuvent partager.

Nous ne voulons pas que ça sarrête mais notre besoin de jouir de cet amour est plus exigeant.

Maman crie son plaisir quand son orgasme éclate et tout en gémissant elle me dit.

— Continue plus loin plus fort ! Aaahhh, Dany

Ma bite est noyée par son jus abondant et elle me griffe le dos en même temps que sa chatte se spasme sur ma bite.

Je ne sais pas comment je nai pas éjaculé en prenant mon pied à la sentir et à la regarder jouir. Maman continue à avoir des convulsions à chaque coup de bite dans sa chatte en folie. Pendant quelle jouit jai relevé ses jambes vers son torse et jentretiens son orgasme avec de lents vas et viens dans son sexe. Maman me sourit et pleure en même temps quelle geint sans arrêt.

Mes mains sur ses seins je sens son cur battre par lintermédiaire de ses tétons gonflés, engorgés de sang qui senfoncent dans ma paume. Sa chatte narrête pas de comprimer ma bite au même rythme de ses gémissements et de mes profondes poussées.

— Ouiii, aaahhh, ouiii, aaahhh, ouiii, aaahhh, ouiiiii

Je sens que je vais jouir et maman le sens aussi et à travers ses larmes de plaisir qui ravage son visage, elle me regarde intensément et chuchote.

— Sil te plaitfils, jouis avec moi. Jouis avec ta maman.

Et quand elle retient son souffle, puis hurle son plaisir, ma bite se gonfle et sous une dernière poussée elle explose, libérant un torrent de sperme au fin fond de la chatte de ma mère. C’était ce type incroyable d’éjaculation où chaque jet de sperme envoie des spasmes de plaisir dans tout mon corps et ils semblent passer dans le corps convulsé de maman, la faisant trembler dans cette union incestueuse.

On seffondre ensemble, bras et corps mélangés, riant et pleurant sous des baisers qui nen finissent pas. Épuisés, sans dire quoi que ce soit nous laissons nos curs reprendre un rythme normal en se câlinant tendrement sachant que nos vacances amoureuses et passionnées touchent à leur fin.

Quand maman est dans sa voiture, je lembrasse une dernière fois et elle me dit.

— A la prochaine fois mon amour, mon fils. Nous serons bientôt ensemble mon chéri.

Le cur serré je réponds.

— Et pour toujours maman ?

Maman hoche de la tête.

-Jai envie de pleurer en sachant que demain je ne pourrais pas faire lamour avec toi. Mais dès que je peux je viens te voir, au plus tard à noël.

— Et tu seras peut-être coincée par la neige, dis-je en souriant.

Et elle est partie après un autre et dernier baiser. Je nai pas quitté des yeux sa voiture jusquà quelle se perde dans le trafic.

Me voilà de nouveau seul.

Et ce nest pas en rencontrant Martine en cours à luniversité que je peux oublier ma mère. Je repense à maman qui ma fait remarquer que je choisissais des femmes qui lui ressemble. Elle a vu juste car je suis presque gêné en regardant Martine qui est le portrait de maman en plus jeune.

Pire encore, Martine a laissé pousser ses cheveux noirs et ils sont maintenant sur ses épaules et elle me rappelle maman plus que jamais. Plusieurs fois, je suis tenté de succomber à ses avances non dissimulées mais je veux respecter la promesse que jai faite à maman.

En plus jassocie maman et Martine. Après mes révélations de mes relations passées et en mentionnant que Martine aime aussi bien les femmes que les hommes (voire plus), et que maman m’a beaucoup interrogé sur Martine, je fantasme en les voyant ensembles et enlacées.

Ce pourrait-être juste moi, avec perversion, mais je pense que maman a fantasmé aussi sur elle. Ma mère a un côté bisexuel évident, mais son expérience avec les femmes cest limité à sa relation amoureuse avec ma tante Lilly. Et maman ma répété à plusieurs reprises qu’elle voulait vraiment rencontrer mon amie Martine. Plus d’une fois, je rêve de maman et souvent mon fantasme me fait rêver de maman et Martine faisant lamour et avec moi

Martine est toujours un peu contrariée de ne pas connaître mon amour caché, mais elle sapaise lorsque je lui promets de lui présenter mon amante la prochaine fois quelle vient me voir.

— Mon chou, jattends cela avec impatience. Je veux connaître la femme qui a réussi à me prendre le meilleur baiseur de mes amants.

Martine semble heureuse mais je la sais intriguée. Je lui avoue que Sabine est une femme plus âgée. Bien plus âgée quelle.

Martine souri et dit,

— Ce nest pas une grande surprise.

Je la regarde un peu dérouté et elle ajoute.

— N’oublies pas, que tu mas raconté ta relation avec le professeur de science et cette femme de la superette.

Martine me tire la langue et ajoute encore.

— Je suis même surprise que tu aies daigné baiser avec moi qui suis aussi jeune que toi. Et frappant du pied mon entrejambes, elle termine.

— Mais apparemment ça ne tas pas déplus, Dany !

Je soupire et jarrive à répondre.

— Tu me manques beaucoup, Martine, mais

Je marrête, car j’ai eu du mal à contrôler l’émotion dans ma voix.

— Je suis follement amoureux de Sabine. Je lui dois dêtre fidèle, je l’aime tellement.

Cest bizarre de mentendre appeler maman par son prénom alors que cest ma mère.

Martine hoche de la tête.

— Oh, je le vois bien. Ça se voit dans tes yeux quand tu penses à cette femme. Elle doit être merveilleuse ou elle a quelque chose de particulier.

Elle semble réfléchir puis me regarde dune façon bizarre.

— Qui sait mon chou, je pourrais peut-être te reprendre si je découvre ce qui la rend si spéciale. Peut-être que ta Sabine me dévoilera tous vos secrets.

Pour ma part, je me demande comment maman et moi pourrions révéler à Martine notre type de liaison. Cette étudiante bisexuelle est une personne très ouverte d’esprit, mais je me demande comment elle réagirait si elle découvrait que mon aimée et amante est ma propre mère.

Les jours sécoulent et je résiste aux avances de Martine qui ninsiste pas trop lourdement quand je la repousse. Je me focalise sur mes études et pour compenser mon manque de sexe je fais plus de sport. Et je coche sur mon calendrier les jours qui passent et qui me sépare de lêtre aimé. Heureusement que la veuve Poignet est là quand je frise la folie en pensant à ma mère.

Le dernier vendredi des jours de cours, je me sauve à 14 heures et je cours vers mon appartement. Je monte 4à4 lescalier mattendant à trouver maman sur le palier. Mais la porte est verrouillée et mon cur se serre. Je rentre à l’intérieur de mon appartement tout penaud, mais je marrête au milieu de la pièce.

Je sais quelle est là ou tout du moins quelle a été là. Je sens ce parfum de jasmin mélangé à son odeur de femme que j’ai appris à connaître si bien.

Je regarde par la fenêtre et mon cur bondit de joie à la vue de sa voiture garée dans le parking. Je redescends aussi vite que je suis monté et sur une impulsion, je me dirige vers lépicerie et je nai pas fait 100 mètres que mon choix est récompensé.

Maman se dirige vers moi, sa beauté brille de mille feux, tout est terne aux alentours. Mon amour est là. Maman porte un gros pull rouge et une jupe écossaise, comme il convient en cette journée dhiver. Le pull colle néanmoins étroitement ses seins pour mettre en évidence la magnifique forme de ses seins lourds non entravés par un soutien-gorge, tandis que sa jupe au-dessus du genou attire lattention sur le galbe de ses jambes, accentué par une paire de talons hauts sexy.

Dans son visage encadré par ses longs cheveux noirs un beau sourire se dessine et ses yeux brun-vert sécarquillent et se mettent à briller quand elle maperçoit debout à quelques mètres.

— Dany !

Et récriant mon prénom elle court vers moi pour se jeter dans mes bras.

Ah, quel bonheur de sentir son corps pressé contre le mien. Quand elle relève sa tête nos lèvres se rejoignent pour un baiser sauvage.

Les bras de maman sont autour de mon cou et moi je la soulève, la décollant du sol. Sa jambe droite passe autour de mes jambes et je prends son cul à pleine mains. Nous sommes au milieu de la rue à nous embrasser passionnément, alors que des gens passent près de nous, fronçant des sourcils ou avec un grand sourire pour certains connaisseurs.

Je sens sa jupe remonter et maman laisse échapper.

— Hep ! Attention, fils

Et elle tire sur sa jupe pour la remettre en place.

Elle me regarde avec un sourire coquin et ajoute.

— Ta maman ne porte pas de slip en ce moment.

— Maman ! Vraiment ?

— Vraiment, fils. Je pense quil est préférable de ne pas en mettre quand je sais que mon fils va me la déchirer, dès quil maura dans ses bras.

Je donne à maman un autre baiser juteux et puis je ramasse son sac de provisions.

— Dieu que tu mas manqué, maman. Viens rentrons vite avant que je te viole dans la rue.

Elle rigole et bras dessus dessous nous regagnons mon appartement. Cest un miracle que nous ne nous sommes pas cognés dans un poteau ou dans quelqu’un tellement nos yeux ne se quittent pas. Je suis comme un adolescent à son premier coup de foudre, mon cur bat follement la chamade et j’explose littéralement de joie à retrouver ma mère encore une fois. Juste le fait de sentir son corps à côté de moi, le poids de ses seins frôler mon bras, d’avoir l’odeur de maman combler mes narines et sentir ses yeux sur moi, me transporte au paradis des amoureux.

Mais une fois dans mon appartement cest lenfer brûlant de lamour.

Nos vêtements sont arrachés par nos mains fébriles. Je caresse son bas-ventre et la jupe tombant au sol, ma main plonge dans sa toison épaisse me prouvant que ma mère a en effet déambulée en ville sans culotte.

Mes doigts glissent entre ses lèvres de chatte et je sens la chaleur et l’humidité de ma maman. Puis mes mains se portent à ses seins sans hésitation, et je presse ses gros seins pour sentir rapidement ses tétons se durcir et sallonger entre mes doigts.

— Muuummm, Dany, que cest bon. Ta main ma manqué.

Quand elle baisse mon pantalon et slip, ma bite claque contre mon ventre et ma mère pousse un cri triomphant. Elle membrasse mes tétons en prenant en main ma bite en érection pour la piéger entre nos deux corps chaud. .

-Oh, maman, je taime

Ma bite est tellement dure que ça fait presque mal. Maman continue dembrasser mon corps en descendant vers le bas, sa langue taquine mon nombril et je sens son souffle chaud sur le gland de ma bite.

— Et toi je tai manqué mon beau sexe ?

Murmure maman juste avant denvelopper mon gland de ses lèvres et de le caresser de sa chaude et douce langue. Puis, lentement, cm par cm, elle senfonce ma bite dans sa bouche et je ne peux mempêcher de trembler lorsque quelle me fait une gorge profonde et que ses lèvres embrassent mes poils pubiens. Je me mords ma lèvre pour ne pas jouir lorsque ma mère suce ma bite dune manière qui nappartient quà elle.

Je ne veux pas que ça se termine trop vite car jai aussi envie de son sexe. Je la repousse gentiment et je la porte sur le lit. Je la chevauche en regardant sa belle chatte et je lentends roucouler de plaisir lorsque je me laisse tomber sur elle pour enfouir mon visage dans sa chatte poilue. Quand je frotte mon nez le long de sa fente rose et humide je sens les lèvres de maman glisser de nouveau autour de ma bite. Je parcours de ma langue toute sa chatte avec une pose sur son bouton damour tandis quelle me suce avec brio. Je bois ce nectar qui coule de la chatte de maman.

À l’aide de mes doigts, j’écarte bien les lèvres de maman pour pouvoir lécher et sucer le plus possible cette chatte que jadore et qui ma tellement manquée. Je sens maman trembler sous moi lorsque jenfonce le plus loin possible ma langue et que mon menton frotte contre son clitoris gonflé. Maman me rend là pareil avec sa langue fureteuse qui danse sur mon gland et ses dents raclent délicatement mon membre sensible.

Je frissonne de plaisir et reprends le clitoris de maman pour le sucer et le grignoter tout doucement comme elle le fait avec ma queue, puis je sonde tous les coins et les recoins secrets autour de son petit pénis. Maman commence à geindre autour de ma bite et je sens quelle pousse son bassin pour me faire comprendre de continuer. En même temps jai vraiment la sensation quelle va me bouffer ma bite ou finir par lavaler tellement elle me la gobe avec force.

Je l’entends crier avec ma bite dans sa bouche et toute sa chatte tremble quand son bas ventre est parcouru par les spasmes de son orgasme. Je suis récompensé par une véritable explosion de cyprine et ses cuisses enserrent ma tête si fortement que jai du mal à garder ma bouche aimante en place. Je lape et jaspire mais mon visage est quand même inondé par ce qui sort de la chatte de maman.

Cette boisson céleste à raison de ma volonté et ma bite se gonfle et fini par exploser dans la bouche de mon amour de mère. Jéjacule un torrent de sperme car sachant quelle allait venir je me suis abstenu de me masturber pendant presque une semaine, et maintenant il me semble que je ne peux pas arrêter. Même maman semble s’étouffer sous le flot de sperme que je produis, un fait confirmé lorsque je me dégage de lentrecuisse de maman et que je la vois reprendre son souffle, avec du sperme qui coule sur le coté de ses lèvres et sur son menton.

— Mon Dieu, Dany ! Ça fait combien de temps que tu nas pas jouis. Il est temps que maman soccupe de son fils chéri !

Elle se remet face à moi et ajoute.

— Remarque je ne vais pas men plaindre.

Et de ses doigts elle essuie son menton et suce mon jus.

Je lembrasse et prend part à sa dégustation pendant quelle goutte aussi a sa propre chatte.

Je suis heureux de la prendre dans mes bras tellement elle ma manquée et nos corps nus se pressent lun contre lautre pendant que maman récupère puis me donne des nouvelles de la famille.

Papa est toujours très souvent absent de la maison soit disant à la chasse ou la pêche. Oh et maintenant, bowling. Deux soirs par semaine ! Les jumeaux se sont enrôlés dans la marine et serons définitivement partis dans environ 6 mois.

Maman se penche sur moi pour me couvrir de baisers et ajoute.

— Et toi et moi ce sera pour toujours mon amour.

Au bout dun moment elle me dit dune voix pleine de malice.

— Je pense que jai troublé ta première femme, fils.

— Quoi, que veux-tu dire maman ?

— Jétais à la bibliothèque et devine qui jai rencontré ?

— Non ! Charlène ! Et que lui as-tu dit maman ?

— Et bien jétais là, à la fixer comme toute femme jalouse dune ex amante et elle ma finalement remarquée. Elle a eu un instant de réflexion puis elle sest mise à rougir. Elle a compris à mon regard que je savais ce qui sest passé avec elle et mon fils.

— Et quas-tu fait maman.

— Rien, juste, salut Charlène, comment vas-tu, et… mon fils, Dany ma dit de vous dire bonjours si par hasard je vous rencontrais.

Mais en vérité, javais envie de lui arracher les yeux à cette chienne lubrique qui a été la première à baiser mon fils.

Les paroles de maman me font frissonner et étonnamment, elles me font encore bander. Qui aurait cru que la jalousie de maman peut avoir un tel effet sur moi. Ma mère sent immédiatement la dureté de mon sexe et elle passe au-dessus de moi pour sapproprier cette partie de moi quelle adore et je sens les lèvres de sa chatte épanouie engloutir mon érection.

— Je te promets encore une fois, maman, que je te suis fidèle.

Maman sonde dun regard glacial le fond de mon âme pendant quelle se laisse glisser lentement sur ma bite et puis ne pouvant plus se retenir, elle rit, puis gémit, quand sa toison noire rencontre mon corps

— Ca ne me dérange pas que mon fils baise une autre femme. Jai adoré te regarder baiser Lilly, mais je pense que, étant ta mère, je dois préalablement approuver tes choix !

Maman rit franchement de ses taquineries mais aussi de la sensation quelle éprouve en sempalant sur ma queue qui est au mieux de sa forme. Comme dhab elle se serre de sa chatte pour masser ma bite et mieux la sentir.

Lentement, elle commence à monter et descendre sur ma bite, qui comme un piston bien huilé, frotte les chairs soyeuses et humide de sa chatte. Ses seins massifs se balancent au rythme de ses mouvements, dune façon presque hypnotique pendant que maman se baise sur moi. Son visage est rayonnant de plaisir et je savoure ces moments où je vois le bonheur de ma mère quand elle maime ainsi.

Je guette le moindre changement de ses mouvements, de ses réactions pour laccompagner dans cet acte damour si sensuel. Je tends une main pour caresser un de ses seins pendant que mon autre main presse son ventre rond.

— Mamantu as perdu du poids !

Elle ne répond pas car elle est dans son plaisir.

Son ventre me semble plus plat, moins bombé. Je passe mes mains sur ses cuisses et là aussi elles me semblent plus fines !

Maman se redresse et enfoncée sur moi, seuls ses muscles internes soccupe de ma bite et fièrement me dit.

— Merci de ten apercevoir mon cur. Ta maman a fait beaucoup deffort et de gymnastique pour te plaire mon chéri. Pour être belle et plus sexy.

Elle me regarde en disant cela et ses yeux sont pleins d’amour et de désir.

— Oh maman, je taimerais toujours autant et tu seras toujours la plus sexy des femmes pour moi.

Maman ondule des hanches, tord ma bite puis rebondi sur elle.

— Moi aussi je t’aime, Dany

Répond-elle dune voix tremblante et déformée par le plaisir qui monte dans son corps.

Elle se penche en avant et frotte son clito sur la base de ma queue puis monte et descend sur ma bite et dans une forte chute elle se pénètre au maximum et mon sexe va aussi profondément que possible dans son ventre.

Elle arrive de moins en moins à se contrôler, pas de fatigue, mais à cause des premières convulsions annonçant un orgasme imminent.

Maman se soulève une dernière fois et puis avec une lenteur angoissante, elle redescend sur ma grosse queue jusqu’à ce que nos poils pubiens sentremêlent dans la moiteur de sa chatte inondée de cyprine. Son corps se tend, mon nud appuie sur son col dutérus, sa chatte broie ma bite en complète érection et maman hurle son plaisir.

— AAAAHHHHHH, Ouiiiiiiiiii. Je taime ! Dany ! Je taime !

Quand ma mère jouit ainsi si violemment, je ne peux pas me retenir et jinonde son vagin de mon sperme, et nous jouissons ensemble, sous nos orgasmes et se plaisir des sens amplifié par le côté tabou de notre amour.

Les tremblements de maman sestompent et elle

s’effondre sur moi, ses seins sécrasent contre ma poitrine et ses lèvres trouvent les miennes pour un baiser qui nen finit pas.

Mais elle ne libère pas pour autant ma bite qui reste coincée à l’intérieur de sa chatte, ses muscles saccrochant à elle dune manière possessive.

Quand nous pouvons de nouveau parler maman me dit.

— Pour en revenir à tes ancienne amantes, tu as revu, Martine, ces derniers temps ?

-Oui, plusieurs fois. Nous sommes sortis boire un verre samedi dernier.

— Tu as baisé avec Martine dernièrement ?

Me demande maman dune voix taquine.

— Dis la vérité à ta maman. Tu sais, que je sais, si tu mens ou pas.

— Non, maman. Il ny a que toi. Je tappartiens.

Lexpression de son visage trahit son plaisir.

— Cest bien mon fils. Maintenant, as-tu dis à ta Martine que je veux la rencontrer ?

— Oui, elle ma même dit qu’elle est impatiente de te voir. Elle est libre demain soir mais maman, pourquoi es-tu si désireuse de rencontrer Martine ? Je t’aime, je suis ton homme, juste pour toi.

Maman sourit malicieusement.

— Je le sais, fils, et je t’aime. Je ne doute pas que je suis ta seule femme non plus, mais…

Maman s’arrête et caresse mon visage.

— Il y a quelque chose dans ta voix lorsque tu me parles delle. Je sens quil y a plus de ce quon appelle une copine de baise. Jaimerais la voir pour savoir ce que c’est.

— OK, mais que vas-tu faire ? Que vas-tu dire ? Que tu es ma mère et lamour de ma vie. Et moi je dis : Martine, je te présente ma mère ?

Maman hausse ses charmantes épaules et répond :

— Ne sois pas inquiet, daprès ce que tu mas dit delle, il semble quelle soit très ouverte desprit. Un autre sourire très malicieux illumine le visage de maman et elle ajoute.

— Je suis sûr que Martine et moi nous allons nous entendre à merveille.

Après avoir mangé et s’être reposé, maman et moi sommes allés au lit pour la nuit, et dormir après nous être aimé tendrement mais passionnément et jai sombré dans un rêve merveilleux qui ma fait oublier ces derniers mois sans sa présence et son amour.

A suivre

Phantome

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