— En faisant le tour des box, Stacy présenta ses pensionnaires de manière neutre au deux jeunes femmes.

— Voici Sultan. Il est très joueur.

— Oh ! Comme il est beau !

— Oui, ici nous prenons soin des animaux et faisons en sorte qu’ils ne manquent de rien. Un chien épanouie se reconnaît immédiatement… Ici nous avons Max, c’est un beauceron plutôt nerveux qui…

— S’il vous plaît !

Stacy fut coupé en plein milieu de sa phrase. Elle savait qu’une inconnue n’allait pas tarder à faire son apparition mais ne se doutait pas qu’il s’agissait d’une aussi belle femme. Ève était une magnifique brune aux cheveux ondulés, elle était un petit peu plus grande que la rouquine et était visiblement la doyenne des femmes présentes puisqu’elle paraissait sans complexe la quarantaine tout juste passée. Stacy compris que se tenait devant elle une rivale quand elle porta attention à la tenue vestimentaire de Ève. La courte jupe presque transparente qu’elle portait laissait facilement deviner son anatomie et le bas de son débardeur blanc était ornée de pattes de chien noires. Dans les box avoisinant, les mâles commencèrent à gratter le grillage pour essayer de sortir.

— Bonjour ! Je suis Ève. Une amie m’a conseillée de venir ici pour me procurer un compagnon à quatre pattes.

— Oh ! Bonjour, comme vous pouvez le voir je suis déjà en clientèle mais je serait à vous dans une minute.

— Et bien… comment dire… J’ai vraiment envie d’un chien… Je peux peut-être faire un tour avec vous si cela ne vous dérange pas !

— Moi ça ne me dérange pas ! Et toi maman ?

— Je vous en prie mademoiselle.

Les quatre femmes continuèrent leur visite mais Stacy devait maintenant faire preuve d’imagination pour présenter les autres mâles. Leila semblait de plus en plus mal à l’aise pendant que sa fille sémerveillait devant les animaux que lui présentait la rouquine.

— Mesdames, mademoiselle, je vous présente Hector. C’est un berger allemand très bien dressé.

— Vous permettez que je me fasse prendre rapidement ?

Stacy resta bouche bée devant la demande de Ève, qui n’attendit pas la réponse pour entrer dans le box. Refermant la grille derrière elle, la brune se mit à quatre pattes et releva sa jupe pour présenter sa splendide paire de fesses à l’animal. Le chien prit instantanément position sur la femme mature en posant ses pattes exactement à l’endroit de l’imprimé qu’elle avait sur son débardeur.

— Excusez-moi, mais j’ai vraiment envie d’un chien là ! Ne faites pas vos timides, je suis sûre que vous en avez autant envie que moi !

Contre toutes attentes, Leila fût la première à réagir et se précipita dans le box voisin où elle s’enferma avec Sultan. La maghrébine fit tomber son pantalon sur ses chevilles et se mit en levrette.

— MAMAN ! Mais qu’est-ce que tu fais ?!

— Je suis désolé ma chérie mais je n’arrive plus à tenir ! Le fait de voir tous ces mâles me donne envie de me faire prendre ! Je suis vraiment navrée que tu assiste à ça…

Stacy et Johanna étaient figées devant le déroulement des événements. Le berger allemand était en train de pénétrer Ève dont les cris de jouissance étaient presque mélodieux. Juste à coté, Sultan était en train de passer sa langue sur le sexe de Leila qui exprimait son plaisir par de nombreux râles.

— Bon, on fait quoi nous deux ?

— Il reste d’autres mâles si tu veux !

— Va rejoindre ma mère avec un des nouveaux pendant que j’accompagne Max voir Ève pour tester son endurance.

— C’est une bonne idée pour commencer ! Tu as prévu de te faire monter ?

— Certainement.

— N’oublie pas qu’on tourne ce week-end.

— Ne t’inquiète pas, je garderais les fesses bien serrées !

Stacy fit le tour des box pour trouver un mâle qu’elle pourrait imposer à Leila. Son choix se porta sur un épagneul breton qui lui semblait plutôt excité. La belle rousse alla rejoindre la maghrébine qui était en train de se faire chevaucher par Sultan et qui poussait d’incroyable hurlements de plaisir à mesure que son amant glissait en elle.

— Et bien ! Mon chien te donne vraiment du plaisir on dirait !

— Ahhhhh ! OUIIIIIIII ! Haaaaa !

— Tu sais qu’il s’est aussi tapé ta fille ?

— QUOI ?! L’énorme sexe qui est en train de me faire jouir est passé dans le corps de ma fille ?!

— Oui, et dans ses fesses aussi. Ta fille adore se faire prendre par derrière !

Leila avait du mal à se concentrer. Le sexe du dogue allemand était en train de faire des va et viens dans le sien lui procurant un plaisir qu’elle avait envie de retrouver depuis très longtemps mais ce sexe avait aussi visité celui de sa fille et les émotions se bousculaient dans la tête de la maghrébine. Sultan sentit que sa femelle était suffisamment lubrifié pour qu’il y prenne pleinement place et c’est en prenant un maximum d’élan qu’il envoya un coup de rein pour faire passer son nud dans les entrailles de sa partenaire. Verrouillée avec son amant, Leila laissa ses épaules tomber au sol et commença à reprendre ses esprits.

— Hmmmm ! Je sens enfin le sexe d’un chien jouir en moi ! Ça faisait beaucoup trop longtemps !

— Depuis combien de temps tu ne t’es pas laissée prendre par un chien ?

— Le dernier c’était un doberman que j’ai du abandonner parce qu’il ne faisait que me violer.

— Oh ! Et il ne t’es jamais arrivée de payer une autre femme pour qu’il se défoule sur elle ?

— Si ! Tu est bien placée pour le savoir ! Mais comment tu as su que c’était moi ?

— Johanna m’a parlé de sa mère maghrébine qui avait un doberman. Si il faisait tous les jours avec toi ce qu’il m’a fait ce jour-là, je comprend que tu ai voulu t’en séparer !

— C’est pire, quand je t’ai payé ce jour-là et qu’il t’a monté, il a quand même voulu me prendre dans le parc.

— QUOI ?! Mais je l’ai laissé me faire tous les trous pourtant !

— Et bien cela ne lui suffisait pas apparemment. Je me suis fait prendre à mon tour deux fois sur la route pour rentrer chez moi et une fois à la maison il à réussi à me sodomiser de force… Haaaaa !

Leila sentit que le nud de Sultan était en train de glisser hors de son corps. Elle écarta les jambes au maximum et libéra son amant dans un râle de soulagement. Entre les cuisses de la maghrébine ruisselait le sperme du dogue allemand et Stacy ne put se retenir de récupérer le liquide à l’aide de sa langue. Lexpérience de la rouquine dans le domaine pornographique lui permit de rapidement donner du plaisir à Leila qui n’avait jamais rien essayé avec une autre femme. Stacy passa une bonne dizaine de minute à récupérer toute la semence animal du sexe où avait éjaculé son chien puis elle repris place face à Leila pour en apprendre un peu plus sur elle.

— Excuse-moi de t’avoir imposé ça mais je déteste gâcher le sperme de Sultan.

— Ce fût un réel plaisir ! Tu ne veux pas que je m’installe sur le canapé pour t’assurer qu’il n’en reste pas un peu ?

— Très bonne idée !

Leila quitta complètement son pantalon et s’installa les jambes écartées sur le petit canapé du box. Stacy se mit quand à elle complètement nue dévoilant son magnifique corps et se positionna à quatre pattes pour remettre sa langue sur le sexe de la maghrébine. La mère de Johanna caressa la chevelure rousse de sa partenaire et se laissa complètement aller. La tête penchée en arrière et les yeux fermés, Leila ne se rendit pas compte que l’épagneul breton avait prit place sur le dos de la rouquine. Stacy était aux anges de planter sa langue dans le sexe féminin que la semence goûteuse de son chien avait imprégné tout en se faisant chevaucher par un nouveau mâle. Dans le box d’à coté, Johanna et Eve faisait connaissance de manière originale. Pendant que la doyenne se faisait énergiquement prendre par le berger allemand, elle parla de manière parfaitement naturelle à la jeune fille.

— Alors comme ça c’est toi la future actrice ?

— Heu… Oui, enfin normalement je serais dans le prochain fil de Stacy.

— C’est drôle quand même, j’ai pris l’habitude de me faire grimper mais je n’ai jamais penser à en faire un film… Oups… je crois qu’il vient de passer son nud !

Johanna était complètement déstabilisée par la jolie brune. Ève aida son amant à se retourner et se trouva rapidement fesses contre fesses avec l’animal sans jamais laisser paraître la moindre gène.

— Tiens, je vois que tu m’a amené mon prochain partenaire ! Il a l’air plutôt musclé ! C’est un beauceron c’est ça ?

— Oui, enfin je sais pas si tu va avoir encore envie après le berger allemand…

— Rassure-toi ma chérie je suis capable d’encaisser bien plus qu’un seul amant par jour. En parlant de ça, tu en es à combien de chien différent ?

— Une quinzaine à peu près… Je suis allée faire un tour dans le parc une nuit et je ne sais pas exactement combien me sont passés dessus.

— C’est pas mal pour ton age ! Et ton premier chien c’était comment ?

— En fait je voulais juste le faire glisser entre mes cuisses mais je me suis fais baisée dans tous les sens du terme.

— C’est original comme histoire ! Tu pourra m… Ahhhhh ! Le nud est sortit ! Tu veux bien lâcher le beauceron qu’il puisse m’enfiler à son tour ?

Johanna avait du mal a croire ce qu’il se passait devant elle. La magnifique brune venait de se faire prendre par un chien sans la moindre gène et en redemandait. La jeune fille lâcha le collier de Max et fût impressionnée de voir la motivation qu’avait l’animal pour s’accoupler avec cette femelle.

— Oh ! Je vois que tu as du mal à comprendre c’est ça ?

— J’ai vu pas mal de choses ces temps-ci mais là j’ai vraiment l’impression qu’il sais exactement quoi faire !

— C’est normal ! Je vais t’expliquer mon secret… Ah !… C’est bon, il a réussi à entrer… pendant qu’il va essayer de me féconder, je vais te raconter mon histoire.

Ève se cambra au maximum pour que les assauts de son amant ne la dérange pas trop puis elle posa son coude au sol et appuya sa tête contre sa main. La femme mature invita ensuite Johanna à s’asseoir au sol devant elle puis elle entama son récit.

— Mon premier chien c’était un berger allemand et depuis cette époque je me suis jurée de me faire tous les berger allemands que je croiserai, c’est pour ça que je me suis jetée sur ce chien ! À l’époque j’avais un peu plus de vingt-cinq ans. J’avais plusieurs petits copains en même temps parce que j’aime vraiment le sexe ! Si je pouvais me faire continuellement pénétrer, je serais la femme la plus heureuse du monde ! D’ailleurs, le beauceron est en train de me sauter et je me sens parfaitement bien ! Bref, un de mes copains m’a appelé pour me demander de garder son chien parce qu’il devait aller dans sa famille quelques temps et que j’étais la seule personne qu’il connaissait. Étant disponible pour cette période, j’ai accepté et je suis allé chez lui pour lui souhaiter bon voyage à ma manière. Je te passe les détail mais… Ha ! Le beauceron vient de passer son nud ! Tu veux bien aller en chercher un autre avant qu’il arrive à se libérer s’il te plaît ?

— Heu… Si tu veux…

Johanna était absorbée par le récit de Ève dont elle voulait connaître la suite. La jeune fille se précipita vers un autre animal qu’elle ramena avec elle devant la doyenne. En passant devant le box où se trouvait sa mère et Stacy, Johanna ne se rendit pas compte que les deux femmes étaient allongées au sol dans une position où chacune passait sa langue sur le sexe de l’autre.

— Hmmmm, un dalmatien ! J’adore leur façon de faire avec moi ! Bon, pendant que le beauceron me remplit, je vais continuer mon histoire. Donc, je suis allée chez l’un de mes copains pour lui dire au revoir et juste après qu’il ait prit son pied il m’a laissé en plan avec son chien. Les gars en question était un boxeur semi-amateur et je peux te dire qu’il m’a prit dans tous les sens avant de me finir en levrette dans le salon. J’avais les fesses à l’air et j’étais exténuée d’avoir subit ce gars mais aussi les trois autres que j’avais vu dans la matinée. J’ai beau aimer le sexe, je ne suis pas suicidaire ! J’ai toujours utilisé une capote avec mes partenaires humains. J’avais le sexe vierge de toute semence parce que je n’ai jamais laisser un mec jouir en moi. J’étais moins dévergondé puisque malgré mes vingt-cinq ans je n’avait jamais été sodomisée et je n’acceptais de sucer qu’à condition de ne pas avaler. Donc, dans la salon à quatre… Oh ! Le nud est sorti ! Tu va voir comme le dalmatien va faire !

Une fois de plus, Ève interrompu son récit le temps que son nouveau partenaire prenne place. Il s’agissait d’un animal plus grand que les précédents et Johanna le fixa du regard pour vérifier les dires de la brune. La doyenne ne mentais pas et savait que selon leur race, les chiens ont un comportement très différent. Le troisième mâle sapprocha rapidement de la femelle et plaça sa truffe entre les fesses de Ève qui ne put retenir un gloussement.

— Il me chatouille avec sa truffe ! Allez mon beau, à l’attaque !

Comme s’il avait comprit, le dalmatien plaça ses pattes sur les flancs de la femelle puis il posa délicatement son sexe entre les cuisses de la brune. Sans essayer de la pénétrer, le mâle fit glisser la pointe de son anatomie de manière à écarter les lèvres vaginales de sa partenaire puis s’y frotta déclenchant ainsi le plaisir de la femme mature. Johanna contempla la scène qui se déroulait sous ses yeux puis elle vit Ève reprendre ses esprit après avoir joui de manière incroyablement mélodieuse.

— Tu sais que le dogue allemand de Stacy sais faire pareil ?

— Elle a certainement du le dresser ! Avec moi les dogue allemand sont violent et il leurs arrive même de me traîner derrière eux quand le nud se coince.

— Ça me rappelle une mauvaise expérience !

— Tiens donc ?

— Sultan m’a traîné par les fesses jusqu’au parc. Il y avait pas plus de cent mètres mais j’ai eu vachement mal.

— Il t’a prit par derrière ?!

— Oui, mais c’est une très longue histoire et j’aimerai que tu finisse la tienne d’abord !

— Très bien…

Le dalmatien s’activait pour féconder sa femelle mais cette dernière n’était visiblement pas dérangé par le coït en cour. Johanna était plus absorbée par le récit incomplet de la doyenne que par l’accouplement qui se déroulait devant elle. Avant de reprendre son histoire, Ève quitta sa jupe et son débardeur pour ne garder que son soutien-gorge et ses chaussures. Johanna découvrit le corps incroyablement bien conservé de cette femme mature et se dit qu’avec une femme comme elle le tournage du week-end allait être exceptionnel.

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