Francis,Mme X et Moi chapitre 6
En arrivant chez Marie , jenlevai mes chaussures et nous montâmes l’escalier pour aller dans sa chambre. Elle me dit d’entrer et nous entrâmes dans sa chambre. Elle enleva sa veste et s’assit tranquillement sur son lit. Elle me demanda de la rejoindre. Je m’installai donc à ses côtés. Elle me prit dans ses bras et commença à m’embrasser tendrement.
Je me sens superbement bien avec toi, me confie t’elle.
Je lui répondis que moi aussi, je me sentais bien avec moi-même. Nous éclatâmes de rire et elle commença à me demander si je voulais passer le weekend chez elle. Je lui répondis que je demanderais à ma mère et que je réfléchirais avant de lui donner ma réponse le lendemain à la première heure de cours (je savais déjà que j’allais accepter ), je vis dans ses yeux qu’elle était heureuse dêtre avec moi et de ma réponse alors je l’embrassai.
Nous nous embrassâmes et discutâmes jusquà ce que l’heure fatidique du départ arrive. Je rentrai chez moi, me lavai les mains et m’assis sur une chaise dans le salon en attendant que le dîner soit prêt.
Quelques minutes plus tard, ma mère m’appela pour aller manger. Pendant le repas, je lui demandai si je pouvais passer le weekend chez Marie car ça lui ferait très plaisir. Ma mère accepta en disant que comme ça, elle pourrait aller se rafraîchir à la piscine car il faisait de plus en plus chaud à cause du réchauffement climatique. Je faillis sauter de la chaise en hurlant et exécuter la danse de la joie mais je me retins pour ne pas avoir l’air d’un con.
Après le repas, j’allai dans ma chambre, allumai l’ordi et me connectai sur facebook pour dire à Francis que son plan avait bien marché et que je commençais à tomber amoureux de Marie. Il me répondit «C’est cool; je vais pouvoir avoir Madame X pour moi tout seul bientôt.» accompagné d’un petit "xD". Je lui répondis « Ne rêve pas trop : même si je commence à aimer Marie, j’aime toujours Madame X.»
Puis je lui fis part du comportement étrange d’Alex. Il me répond qu’Alex devait être jaloux que je sorte avec Marie alors que lui ça allait faire un an qu’il voulait sortir avec.
Je me déconnectai, éteignis l’ordinateur et allai sur mon lit. Je finis par m’endormir.
Le lendemain, vendredi,
je me levai, me préparai comme d’habitude et pris le bus pour aller au lycée.
Dès mon arrivée, Marie me sauta dans les bras et me dit «coucou, mon amour ! Alors, pour ce week end ?»
Je lui repond que ma mère était "ok" et que moi, je ne voulais finalement pas et puis, au bout de cinq minutes, je lui avouai que c’était une farce et que, bien évidemment, je voulais passer le weekend avec elle. Elle sourit, m’embrassa et nous nous dirigeâmes vers la cour (car j’étais arrivé trente minutes en avance ) .
Je cherchai Francis des yeux mais ne le vis pas.
« Il ne doit pas être encore arrivé.» pensai-je.
Puis j’allai voir Henry pour le saluer et lui demander s’il n’avait pas vu mon ami. Il me rendit mon salut en me disant qu’il n’avait pas vu notre ami.
La cloche sonna huit heures et toujours pas de signe de Francis.
Je demandai à Marie de dire aux profs s’ils me cherchaient, que j’étais aux toilettes. Je me dirigeais vers le bureau du principal quand j’entendis un faible gémissement à la porte de la salle des profs (qui est juste à côté de la salle de musique) .
Je tendis l’oreille et écoutai attentivement. Cétait le gémissement d’un homme. Je me demandai si, par hasard, Madame X nous trompait avec un prof quand j’entendis un deuxième gémissement d’homme et une voix qui disait « ho, Franck, j’aime ta queue !"
« Franck ? Le prof de musique avec qui ?»pensai-je .
Puis, j’entendis la voix du principal qui disait « Merci, Alain, pour cette magnifique pipe mais je dois aller dans mon bureau. Les lycéens vont arriver.»
Alain commença à ouvrir la porte alors je courus me cacher dans les toilettes des filles qui n’étaient pas loin. «Ouf !» soupirai-je.
J’attendis cinq minutes avant d’aller voir le principal.
Je toquai au bureau du principal qui me dit «entrez». J’entrai alors en pensant « le principale est homo, j’en reviens pas !»
Je lui demandai s’il n’avait pas vu Francis et il me répondit qu’il était malade et que sa mere l’avait appelé à sept heures. Je le remerciai et partis de son bureau en lui faisant remarquer que sa braguette était encore ouverte. Il me remercia et la referma.
Lorsque je fus sorti, j’eus envie de rire. Lorsqu’il avait remis sa braguette, le principal avais rougi mais j’étais en retard et, donc, je courus jusqu’à la salle d’histoire car j’avais histoire.
Pendant le cours d’histoire, je fis par de ma découverte à Francis via texto. Il me répondit "écoute bien le cours. stp note bien et ramène-moi les feuilles dimanche stp"car il aimait les cours dhistoire et il savait que j’écoutais toujours à moitié. Alors, pour lui faire plaisir, jécoutai le cours qui, pour moi, semblait durer une éternité.
Après le cours d’histoire, nous avions cours de musique (ce qui me fit sourire ). J’inspirai et expirai pour ne pas rire puis entrai dans la salle.
Le prof nous dit que nous allions jouer de la flûte et commença à essayer de nous apprendre à jouer (chose quasi-impossible car la moitié de la classe, moi y compris jouait faux ). Malgré mes pitoyables efforts, je continuais de jouer faux alors, au bout d’une demi-heure, le prof qui avais mal aux oreilles à cause de notre vacarme assourdissant finit par nous mettre le CD de Pierre et le loup et nous demanda de faire un petit devoir dessus en autonomie pendant qu’il corrigeait des copies délèves.
Le cours se finit et la cloche sonna. Nous rangeâmes nos affaires pour nous rendre en permanence vu que le prof de français était encore malade.
Alors que je me dirigeais vers la salle de permanence, Alex, visiblement énervé, m’attrapa et me plaqua contre le mur. Il me regarda avec son regard de psychopathe.
Alors, il parait que tu vas passer le weekend chez Marie ?
Je lui dis de se calmer et de me lâcher mais il me crie
Réponds quand je te parle !
Je lui fis remarquer que les autres n’allaient pas tarder à venir et qu’il criait si fort qu’un pion pouvait l’entendre et le punir. Il me répondit qu’il n’en avait rien à faire et qu’il allait me faire la peau. Je ris et il dit
Ça te fait rire ? Je vais t’étriper !
Et, là, il leva le poing, le dirigea vers ma tête et, dès que son poing eut percuté ma joue, il commença à pleurer car je lui avais mis un coup de genoux dans la tête. Il me lâcha et commença vraiment à sénerver «ho ho…» pensai-je avant de détaler.
Alex commença à me courir après en m’insultant et en me menaçant. Finalement, je marrêtai et lui continua de courir. Il essaya de frainer mais fonça dans le mur juste en face de lui. J’appelai un pion pour lui signaler qu’Alex était tombé et qu’il s’était ouvert ou cassé le bras ( avant de se prendre le mur, il avait mis son bras en protection).
Les pompiers arrivèrent quelques minutes après et lemmenèrent aux urgences. Les autre élèves regardèrent comme si cétait un spectacle et je leur criai "barrez-vous; c’est pas un spectacle !"
Ils partirent car le principal était arrivé en demandant ce qu’il se passait ici. Je lui révélai tout : qu’Alex m’avait agressé et que je m’étais défendu mais, quaprès, j’ai voulut fuir et qu’Alex n’avait pas réussi à freiner.
Humm… Ok, je te crois mais je vais devoir te mettre un avertissement pour violence, Fantasmix.
Et il partit. Je rejoignit enfin la salle de permanence ou m’attendait Marie.
Mon amour, tu as l’air soucieux.
je lui répondit "tinquiète pas c’est rien" et je l’embrassai tendrement .
[ à suivre ]